L'histoire se passe pendant: le labyrinthe.

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Un bruit assourdissant retenti autour de moi. A moitié consciente, je me lève difficilement et regarde autour de moi malgré ma vu brouillée. Après quelques minutes, je pus enfin mieux voir ce qu'il y avait autour de moi: des cartons. Rien que ça, avec d'autres choses que je n'arrive pas à identifier. C'est en essayant de me lever que je remarque que le sol est en ferraille, comme tout ce qui a autour, elle là je compris: je suis dans une cage. Une cage qui monte vers le haut. Je lève la tête pour vois le sommet mais il n'y en a pas, tout est noir.

Je me mets à paniquer et cherche une sortie ou une porte, mais il n'y a rien. La cage monte de plus en plus vite, pris de peur, je hurle avec l'espoir qu'on puisse m'entendre, mais c'est à ce moment là que la cage s'arrête brusquement, me faisant sauter puis brutalement tomber.

Je reste au sol,sur le dos, regardant le "plafond", jusqu'à ce que j'entendis une voix, ou plutôt des voix venant d'en haut. Je me lève doucement en essayant d'entendre ce qu'elles disent, mais elles s'arrêtèrent d'un coup, puis dans un grincement de la lumière apparurent, m'obligeant à fermer les yeux. Après que ma vue soit habitué, j'aperçus des visages au dessus de la cage, me scrutant avec intention. L'un deux descendit jusqu'à moi puis me tendit sa main en souriant, c'était un garçon aux cheveux blond et aux yeux très sombres, j'hésitais quelques secondes avant de poser ma main sur la sienne et de me laisser emmener à la surface.

La première chose que je constatai, c'était les quatre hautes murs avec une ouverture à chacun d'eux m'enfermant dans une grande plaine verte, où il y avait deux ou trois bâtiments, un enclos avec quelques animaux à l'intérieur et une sorte de forêt au fond. Puis me sentant observé, je pose mon regard sur les vingtaines d'adolescents qui me fixaient depuis tout à l'heure, à noter que ce sont tous des garçons.

<<Bienvenue parmi nous, blocarde!>> Dit le blond qui m'a fait sortir, c'est là que je me rendis compte que je ne connaissais pas mon prénom, ni mon âge, mes parents... rien.

Et tout ces garçons autour de moi, étrangement j'ai l'impression que je ne dois pas leur faire confiance, alors aussitôt je partis en courant vers l'une des ouvertures, en ignorant les cris des garçons me demandant de revenir. J'étais plus rapide que je ne le pensais puisque personne n'arriva à m'attraper, et une fois arrivé là-bas je remarquais que l'ouverture est en fait une entrée menant à un couloir. Je ne voulais pas savoir où ce couloir menait, que je m'y enfonçai malgré les garçons m'interdisant d'y aller. Je courais à perdre haleine, je prenait des directions au hasard en espérant trouver la sortie. Alors que je m'apprêtais à aller vers le couloir de gauche, je me percutai contre quelque chose qui se trouvait juste à l'intersection, me faisant tomber violemment au sol. Je me relevai rapidement et vois devant moi un jeune homme au cheveux bruns me regardant avec étonnement. Serait-ce l'un des garçons qui m'ont poursuivi? Je ne pense pas l'avoir déjà vu, et la façon dont il me regarde me prouve qu'il ne savait pas du tout ce que je foutais ici. J'allais m'enfuir mais il fut plus rapide que moi et m'attrape le bras, puis il me demande: <<Qui es tu?>> J'étais bloquée, je n'arrivais pas à me dégager de sa poigne et décide d'abandonner, de toute façon j'étais perdu alors je suis un peu rassuré de trouver quelqu'un.

<<Qui es tu?>> répète le garçon, fronçant les sourcils,

<<Je ne sais pas.>> c'est la première phrase que je prononce depuis mon réveil.

<<Tu dois être la nouvelle qui vient d'arriver, c'est ça? me dit il avec un sourire rassurant, J'ai entendus l'alarme, mais je peux savoir ce que tu fais là?

-Je ne sais même pas où je suis!>> étrangement je parlais avec lui normalement, contrairement aux autres j'avais l'impression que je pouvais faire confiance à ce garçon. Il rit à ma réponse puis répond:

<<Tu as voulus t'enfuir, c'est ça? Moi aussi quand j'étais arrivé ici j'ai eu peur et je me suis enfuis, mais j'ai à peine parcouru 20 mètre que je me suis ramassé comme une merde!>> Je me mis aussi à rire: je me sentais bien avec lui.

<<Je te ramène au Bloc, les autres doivent surement s'inquiéter. Au fait, je m'appelle Thomas.>> Il lâcha mon bras et étonnamment je ne bougeai pas et acceptai de le suivre. Pendant tout le trajet, Thomas avait mit son bras autour de mes épaules, peut être inconsciemment je ne sais pas, mais en aucun cas je n'avais envie de fuir, je me sentais en sécurité avec lui.

Une fois de retour dans le bloc (c'est comme ça que Thomas l'appelle), les garçons ont accouru vers nous et ont crié <<La coureuse est de retour!>> ou <<Thomas a pécho la bleue!>>. Je me sentais très gênée mais je ne disais rien et me serrai contre Thomas, de peur que celui-ci me laisse seule.je le connais depuis à peine une heure que je ne peux déjà plus me passer de lui. Un jeune homme à la peau noir s'approcha de moi pour me réprimander, mais je n'en avais rien à foutre, tout ce qui comptait c'était que Thomas ne s'éloignait pas de moi. C'était comme ma bouée de sauvetage.

Mais bon je n'allais comme pas le forcer à rester avec moi, surtout que Alby (le renoi qui m'a disputé tout à l'heure) m'emmena dans un dortoir qui était ma "chambre" pour que je puisse me reposer, car demain j'allais déjà commencer à travailler!

Les jours passa, je me rappelai enfin de mon prénom (Luna) et je suis devenue sarcleuse (même si les blocards pensent à me mettre coureuse, vu ma rapidité), ce n'est vraiment le travail que je préfère, mais il est facile. Le meilleur moment de la journée, c'est quand Thomas et les autres coureurs rentrent du labyrinthe et que je me jette dans ses bras, on pourrait penser que j'étais sa petite sœur tellement il me protégeait, personne n'osait me toucher ou m'insulter grâce à lui. Mais la plupart du temps, Thomas était avec Minho dans la salle des cartes, à faire je-ne-sais-quoi. Devrais-je préciser que je ne parlais qu'avec Thomas? J'étais assez timide avec les autres, bien que Newt et Zart me paraissais sympathique.

Un jour (le troisième après mon arrivé), alors que je travaillais comme d'habitude, j'aperçus qu'il y avait de l'agitation autour de moi, tout le monde se dirigeait vers l'une des portes du labyrinthe. Je m'approchais de la foule de garçons et ce que je vis me terrorisais: Thomas, inconscient, devant un bout de bois avec Teresa hurlant à Gally qu'il était con (bon en vrai elle dit pas ça mais ça fait plus drôle!), je me rappelais alors que Thomas avait été dans la fosse toute la journée après que les portes ne se soient pas fermé hier (je ne savais pas vraiment ce qu'il s'était passé, je dormais en haut d'un arbre de la forêt cette nuit là, et quand je dors il est difficile de me réveiller), mais c'est au moment où je compris que Gally voulait sacrifier Teresa et Thomas que celui-ci se leva d'un coup et frappa le blocard qui s'apprêtait à le tenir, tout comme Teresa et sans que je ne pus me rendre compte de quoi que se soit je vis Thomas, Teresa, Minho, Chuck, Newt et d'autres blocards tendre des armes vers la foule, puis Thomas cria qu'ils allait dans le labyrinthe pour aller dans la sortie qu'ils avaient trouvé lui et Minho quelques jours plus tôt.

Quand il demanda qui voulait les rejoindre, j'essayais de contourner les garçons devant moi afin de faire face à Thomas. Voyant que je ne m'avançais pas, Thomas me regarda avec des yeux triste puis dit: <<Luna, s'il te plait, viens avec nous.

-Mais... je pensais que le labyrinthe était bourré de griffeurs?

-Le bloc aussi le sera dans quelques heures, et je ne veut pas te perdre. Donc ne me force pas à te prendre de force car de toute façon je ne te laisserais pas ici! Je tiens trop à toi pour ça.>>

Mon cœur prit un sacré coup, il avait sortit ça devant tout le monde, et les blocards me regardait, attendant ma réaction comme si il venait de faire une déclaration d'amour.

Je finis par m'approcher de Thomas, et c'est en le voyant sourire que je me jetas sur lui pour l'enlacer: amoureusement ou amicalement? On s'en fout, si Thomas part, je pars aussi.

Après moi d'autres garçons nous rejoignirent, puis nous finissions par nous enfoncer dans le labyrinthe. J'étais toujours collée à Thomas, il commençait à faire nuit et des bruits retentissait de partout. Quand nous arrivâmes devant "la sortie", plusieurs griffeurs nous attendait déjà. On se cacha derrière un mur afin que tout le monde soit prêts à combattre, mais juste avant de partir, Thomas m'ordonna de suivre Teresa et Chuck et d'en aucun cas essayer de battre l'un des griffeurs: <<Je ne veux pas te perdre.>> M'a-t-il dit murmurer gentillement. Je fus obligé d'accepter.

Tout le groupe parti dans un cri de guerre avant de se jeter sur les griffeurs surpris par notre arrivé soudaine. Pendant ce temps Chuck, Teresa et moi avions passé discrètement entre les monstres afin de passer par la porte de sortie, mais Chuck dérapa et manqua de tomber avec la clé de la porte (un machin qui fait bip), mais heureusement Teresa et moi l'avions rattraper de justesse. Nous nous remettions à courir et arrivions enfin à la porte, on insert la clé et elle s'ouvre pour donner à un couloir avec au fond une autre porte fermé par code, les blocards restant (il y avait eu des pertes) se précipitèrent vers nous pour fuir aux griffeurs, Minho cria les chiffres du code (c'était l'ordre d'ouverture des couloirs du labyrinthe) et sa marcha! La portes s'ouvrit et tout le monde se précipita à l'intérieur, sauf Thomas qui essayait difficilement d'éloigner un griffeur qui tentait de nous attraper.

<<Ne m'attendez pas! Avait-il crié tout en lançant des coups de bâton au monstres, Je vous rejoindrais après!>> Personne ne le contredit et partirent, sauf moi qui restai derrière lui à le regarder se battre avec le robot, je ne voulais pas partir sans lui. Soudainement, Thomas dérapa et tomba en arrière. Le griffeur se précipita vers lui et s'apprêtait à le piquer d'une de ses seringues. Je voyais en lui la peur et il tentait désespérément de reculer, alors que le griffeur abattait son bras mutant sur lui, je ne réfléchis plus et me jeta entre les deux.

Une horrible douleur apparue à la poitrine, la seringue m'avait totalement traversé! La dernière chose que je vus fus le visage décomposé de Thomas me regardant avec effroi et criant mon prénom. C'est dans un sourire que je quitta ce monde. Bien que ma mort soit rapide, je ne regrette pas d'avoir sauvé Thomas.

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J'ai finis cet imagine en deux jours seulement, c'est un record! 😆J'éspère quand même qu'il t'ais plus et que c'était ce que tu voulais @RbnVisionnaire , pour une fois que j'ai une commande sur Thomas!

N'hésitez pas à voter si sa vous à plu et de dire vos avis en commentaire, ça me fera plaisir!😊

Bref je vous dis à la prochaine les blocardes!💖

P.S: Qui est déjà en vacances ici?