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CHAPITRE 27: LES SOUVENIRS DE NANCY

"-Mon père discuta avec une femme qui n'était autre que mon futur professeur. Une vieille dame brune avec une coupe de garçon manqué limite lesbienne, dont les mèche commençait à grisonné. Elle avait un regard froid derrière ses lunettes rectangulaire, elle me faisait peur. Puis vint l'heure où les parents devait rentré chez eux. Mon père s'appretait à partir, mais je ne voulais pas j'étais au bord des larmes et il me dit:

-Ne t'inquiète pas tout vas bien se passé. Il ne faut pas que tu pleure, t'es une grande fille maintenant, c'est la première journée, c'est la meilleur des journée! C'est aujourd'hui que tu vas te faire des amies. Ensuite tu pourras les faire venir à la maison, ou tu iras chez eux! Vous pourrez même faite vos devoirs ensemble. Quand je dis ça tu as du mal à imaginé, je sais que tu as peur. Mais au final la journée vas passé très vite et tu vas bien t'amusé avec tes petits camarades, tu verra. Bon j'y vais soit gentille avec ta maîtresse...

Sur ses mots il parti puis Mme Bryce me ramena en classe. Lorsque la porte de la salle de classe s'ouvrit il y'avait un vacarme pas possible. Les gamins cessèrent de crié et de rire en nous voyant entré. Le regard de Mme Bryce était si percutant qu'on aurait dit qu'elle avait braqué une arme sur chaque élève rien qu'en les regardant.

Je me suis donc assise à la seule place qui restais. Pendant la mâtiné tout le monde se présentais chacun leur tour comme à toutes les rentrés d'élèves. Il ne se passa rien à par qu'un de mes camarades de classe avait pas pu se retenir, et avait fait dans son pantalon. C'est des choses qui arrive lorsqu'on est petit, mais les enfants sont cruel, et ils ne comprennent pas ses choses la. J'imagine la honte qu'il avait du avoir, tout la classe se moquait de lui et l'appellais "Pee Jack" Jack le pisseux je crois que c'est à peu près ça en francais. La vieille Bryce empirait la situation en lui criant dessus et en l'humiliant:

"Ah beurk c'est dégoûtant à ton âge tu fais encore pipi sur toi, ta pas honte. Tu vas passé la journée dans les toilettes si tu recommence, comme ça t'as encore envie de faire pipi tu sera dans ta maison, les water seront à ta disposition. Déguelasse se gosse, tes parents ne t'ont pas appris à te retenir plus d'une heure?"

Il parti de la salle de classe en courant, il y resta effectivement très longtemps aux toilettes, mais pas parce qu'il avait envie d'uriné. C'était plutôt à cause de la honte qu'il ressentait. Les gamins avait bien rit, mais pas une seconde ils ne c'étaient imaginé à sa place. C'était juste des gosses stupide après tout et certains d' entre eux resteront des connards toute leur vie. Avec la même mentalité en grandissant.

Ensuite vint l'après midi après avoir mangé un repas plus que dégeulasse à la cantine, nous sommes ensuite retourné en classe. Mme Bryce nous donna comme travail de dessiné le plus beau paysage qu'on est vu. Je commençait mon dessin en dessinant l'océan à l'aide de crayon de couleurs. Un gamin du nom de Bobby était à côté de moi. Son dessin était complètement affreux même pour son âge, je crois qu'il avait voulut dessiné un homme, il n'avait rien compris à la consigne. Quand je me mis à regardé son dessin il me regarda avec des yeux haineux et il devint tout rouge de colère et de jalousie en voyant le mien. Bobby attrapa mon dessin et se mis à le barbouillé comme un fou, il était fichu.

Je ne protestais pas, à quoi bon, il était trop tard, mais j'avais peur de la réaction de la maîtresse quand elle allait voir mon dessin. La vieille dame passa dans les rangs en félicitant ou bien en ce moquant de chaque dessin. Cette prof était vraiment horrible, elle n'était pas vraiment pas faîte pour ce travail et elle détestait les enfants ça se voyait. Étrange qu'aucun adulte n'avait remarqué ce détail, elle était extrêmement sévère. Elle continua son contrôle de routine et s'arrêta sur mon dessin...Mme Bryce devenu folle de rage d'un coup, elle m'attrapa par les cheveux en les tirant, ça me fit un mal de chien et je ne pouvais pas me défendre. Elle se mis à crié comme une folle:

"-TU TE FOUS DE MOI OU T'ES UNE CRÉTINE, JE NE T'AI PAS DEMANDÉ GRAND CHOSE, SEULEMENT UN DESSIN!!!!T'ES STUPIDE OÙ QUOI???"

Je hurlais de peur et je pleurais douleur on aurait dit qu'elle allait m'arraché les cheveux, c'était la première fois de ma vie qu'on me faisait du mal, même mes parents n'avait jamais levé la main sur moi. Et c'est à ce moment précis que tout à basculé..."

Elle arrêta son monologue, la télé jouait toute seule, mêlé aux ronflements de Barry. On entendait vaguement le son des voitures qui passaient dehors, mais sinon c'était plutôt calme à l'extérieur en même temps, c'était normal vu l'heure qu'il était.

-Tu sens pas le brûlé on dirait pas que quelque chose est en train de cramé? Dit Kyne.

-OH!! NO SHIT!!! Dit-elle en reniflant.

Un nuage de fumée noire sortais de la cuisine, elle courut en criant des jurons en anglais que Kyne ne compris pas. Quelques secondes plus tard, elle ressorti de la cuisine avec une grosse assiette et une pizza carbonisé qui fumait.

-Je crois qu'elle est fichu! Dit-elle avec un air désolé.

-Ce n'est pas grave à vrai dire je ne sais pas si je pourrais avalé un truc, en vrai je suis trop perturbé.

Elle posa l'assiette sur la table et ouvris la fenêtre pour faire partir la fumé de la pièce.

-Dommage que je ne soit pas une grande cuisinière, j'aurais aimé te cuisiné un vrai plat. Au lieu de ça j'ai mis une pizza à réchauffé et je l'ai cramé la honte! Qu'est ce que tu dois pensé de moi. Je suis vraiment stupid!

-Ça fais rien je te dit, te prend pas la tête...Il dors comme un bébé celui là, ah ah ah. Malgré que ta gueullé et que ça pu le cramé ça lui fais rien à lui...Ah ah ah trop fort!! Dit Kyne en regardant Barry ronflé de plus en plus fort.

-C'est vrai lui une fois qu'il dort, plus rien ne peux le réveillé, il est toujours comme ça.

Nancy revint s'assoir au près de Kyne.

-Où en etais-je? Dit-elle en regardant le plafond en éssayant de se concentré pour réfléchir.

-Ton professeur était en train de te crié dessus, je crois...Dit Kyne en essayant de l'aidé à ce rappellé

-Ah oui merci...C'est à ce moment la que j'ai utilisé mes pouvoirs pour la première fois, sans m'en aperçevoir...

-Ton pouvoir???

-Oui c'est bien ça...Seulement il est différent du tien, d'après ce que j'ai pu voir. C'est opposé du tiens, il faudrais peut être que je te fasse une petite démonstration.

Sur ses mots, elle prisle plat de Pizza brûlé entre ses mains.

-Ne sois pas effrayé par ce qu'il vas se passé. Dit-elle en fermant les yeux.

Nancy semblait médité, elle était très concentré et tout d'un coup une énergie semblait se dégagé de son corps. C'était comme un feu bleu foncé qui entourait tout son corps, une sorte d'aura bleu et blanche qui dansait autour d'elle. Kyne sentis que la pièce se rafraîchissait, il commençait à faire froid et cette fraicheur venait de Nancy. Il regarda le plat qu'elle avait dans ses mains, on aurait dit qu'il commençait à gelé, il avait cessé de fumé. Des cristaux de glace commencait à envahir le plateau petit à petit.

Dans le salon on aurait dit qu'ils étaient dans un congélateur, même Barry faisait la grimace pendant qu'il dormait comme si il ressentait le froid malgré son sommeil lourd. Nancy ouvris les yeux, ils étaient encore plus bleus que d'habitude, d'un bleu de la même couleur que son Aura. Et c'est alors que la progression des cristaux de glace accélerèrent, créant une forme peu à peu. Quand elle eut fini d'utilisé son pouvoir, elle tenait dans ses main un bloc de glace. On distinguait encore le plat emprisonné à l'intérieur. Nancy posa le cube de glace qu'elle avait entre les mains, sur la table basse, tandis que Kyne la regardait d'un air idiot la bouche grande ouverte. Il n'en revenait pas, il ne se serais jamais douté que la jeune femme soit capable d'une telle prouesse.

-Waaaww!!!! C'est une dinguerie...Dit Kyne complètement sous le choc.

-C'est bizarre que tu sois ettonné après ce que tu as fais aux vampires...

-Bin le truc c'est que moi je contrôle rien, et la plupart du temps je me rappel pas ce que j'ai fait. Par exemple tout à l'heure...Ce que j'ai fais j'en suis pas conscient...Si vous ne m'aviez pas raconté ce qui c'était passé, je n'en aurais eu aucune idée...Ton pouvoir à vraiment éveillé ma curiosité et mon admiration aussi. C'est vraiment un pouvoir magnifique, très different du mieux, le tiens est plus beau, plus majestueux. T'es vraiment trop forte!!!

-Non c'est rien ça, des fois quand je me concentre j'arrive à créé des veritable objet en glace. La ce que je t'ai montré c'est une forme basique de mon pouvoir. Je te remercie je suis flatté mais je suis qu'une novice ce que je sais faire, je l'ai appris toute seul.

-Continue ton histoire, j'ai envie de savoir la suite.

Nancy continua son récit et son visage pris une expression plus serieuse.

"-Je l'ai gelé, mon pouvoir était sorti de moi pour la première fois, avec une tel intensité que Madame Bryce fut transformé en statue de glace. Je l'avais tué, même pas six ans et voilà j étais devenu une criminelle. Les enfants criaient et pleuraient tous autour de moi. Ils s'enfuirent de la salle de classe me laissant seul avec le cadavre pétrifié de Madame Bryce.

Je suis resté là pendant un moment à regardé son visage emprisonné dans la glace, alors que les autres professeurs venait voir ce qu'il c'était passé. Je vis de la terreur dans leurs regard à eux aussi. Je l'ai entendaient à peine j'étais perdu dans mon monde. Puis il y'eu des policiers qui me posèrent tout un tas de questions et je leur donnais toujours les mêmes réponses en me répétant encore et encore. C'etait un vrai interrogatoire de police. Tout ce cinéma dura jusqu'a la fin de journée.

La nuit tomba mais je ne bougeait, j'étais paralysé parce que j'avais fait et je ne bougeait plus, la pauvre fillette que j'étais était sous le choc. Je pense que c'est la même chose que tu ressent en ce moment, je connais cette sensation de ne pas pouvoir contrôlé ce qu'on fait, même si contrairement à toi, je me rappellais de tout et ce souvenir me hantais et il me hante toujours même si c'est moins douloureux maintenant avec le temps.

La salle de classe c'était bien rempli, les enfants était rentré chez eux depuis longtemps. Il y'avait énormément de monde, en plus de la police, il y'avait des types en costume et lunettes noir. C'était surement le FBI, mais je ne me rappelle pas avoir vu leur insigne. Ses hommes ne céssait de m'interrogé, mais je ne répondait plus. J'en avais marre, je voulais rentré chez moi et j'arretais pas de pleuré, c'était plus fort que moi.

Ensuite il y'eu des scientifiques en combinaison blanche de décontamination, comme si la salle avait été mise en quarantaine. Ils examinaient Mme Bryce devant moi, avec des appareil etranges qui ressemblait à des aspirateurs, et un tas d'ordinateurs et d'équipements informatiques. J'attendais toujours que mes parents viennent me cherché, j'en pouvais plus, au bout d'un moment je me demandais si je pourrais les revoir un jour. Un des types en costard me dirent qu'ils allaient me conduire à eux, si je répondais à leur questions. Comme je ne voulais toujours pas, ils me dirent qu'ils allaient me raccompagné quand même au bout d'un moment.

Je les suivis donc jusqu'a leur voiture, une fois à l'intérieur je sentis une douleur dans le cou, comme si on m'avais piqué, j'ai cru que j'allais mourir. Et je perdis connaissance.

Lorsque je me reveilla, j'étais dans une piece maculé de blanc, comme si les murs venait d'etre peint, un blanc intense qui faisait mal aux yeux. La salle était entièrement vide, pas même une chaise ou bien un lit, rien le vide total. Il y'avait seulement un immense miroir contre le mur, qui me renvoyait mon image de fille désespéré, qui ne comprenait pas ce qu'il se passait. J'etais petite donc j'ignorais au début que c'était une glace sans teint derrière laquelle on m'epiait guettant le moindre de mes geste. Il y'avait une voix qui sortais d'un interphone collé au plafond, qui me donnait des ordres dont je ne comprenais même pas la moitié.

Je ne revis jamais ma mère ou mon père, en réalité j'étais enfermé dans un espèce de centre créer par le gouvernement americain, pour pouvoir faire des experiences sur moi. Je ne voyais jamais personne, chaque jour, pas même un medecin ou un scientifique, en réalité ils utilisait un gaz anesthésiant pour m'endormir et pouvoir mieux me disséqué lorsque j'etais endormi. Et à chaque fois je ne savais même pas que j'étais opéré car mon corps comme le tiens, je pense, à des capacité de régénération, très élevé. J'ai mis du temps à savoir tout ce qu'il faisait avec mon corps. J'etait très jeune il m'a fallut du temps pour connaître tout ses détails.

Les scientifiques avait trop peur que j'utilise mon pouvoir contre eux, donc je ne les vis jamais. Comme je te l'ai déjà dit précédemment, il m'endormait à l'aide d'un gaz qui se répendait dans toute la pièce. Et lorsque je me réveillait, je commencais à toute toute sorte de marque ou cicatrice présente sur mon corps qui disparaissaient après, des fois on me rasait les cheveux aussi. On m'ouvrais le crâne, il profitais de ma capacité de régénération hors du commun pour me disséqué tout les jours ou tout les soirs. Je n'avais pas la notion du temps, j'étais en isolation constamment. J'etais prisonnière sauf que cette situation était bien pire que la plupart des prisons. Je ne pouvais pas sortir de cette pièce, tout les jours je voyais toujours les même murs d'un blancs nacrés et laiteux. Et mon reflet dans le miroir qui vieillissait d'année en année. On ne m'apportais jamais à mangé et je n'avais jamais faim. Sûrement qu'une fois qu'ils m'endormait il devait me nourir par la même occasion. Je pense qu'il me nourissait par intraveineuse et il devait sutement me bourré de drogue pour que je ne ressente jamais la faim. J'avais pratiquement toujours des traces de piqûres sur les bras, tel une enfant junkie. Je ne savais plus quel goûts avait les aliments et quel sensation de plaisir on éprouvait lorsqu'on mangeait quelque chose de bon. Je n avais plus la notion du temps, car il n'y avait aucune horloge. Je ne savais pas si il faisait nuit ou bien si le soleil se levait. Les paysages de mon enfance avait été effacé de mon esprit, je ne me souvenais plus du visage de mes parents. La vie que j'avais vécu avant d'arrivé dans cette prison n'était plus qu'un rêve qui s'éffaçait. Je ne pouvais même pas me lavé moi même, mais à chaque fois que je me réveillais, j'étais propre et je sentais les médicaments, ainsi qu'une odeur d'hôpital...

-C'est ignoble...Comment des humains peuvent-il se comporté de la sorte. Tu n'étais qu'une enfant, les enfoirés! Il mérite la mort ses fils de putes.

"Oui mais que je soit un enfant il s'en fichait apparemment...Chaque minutes, chaque secondes était un enfer, un calvaire la bas, je ne désirais qu'une seule chose mourir. J'ai tenté de me suicicidé en utilisant mon pouvoir contre moi à plusieurs reprises mais il ne c'était rien passé.

Je devenais complètement folle parfois, je me cognais la tête contre les murs ou je me mettais à hurlé sans raison. Je ne pouvais rien faire, j'étais impuissante, pour faire passé le temps, j'exercais mon pouvoir en gélant les murs. J'imaginais comment il devait être heureux en regardant mes exploit, c'était ce qu il voulait à tout prix, me voir utilisé mes pouvoir, pour arrivé à comprendre comment il fonctionnaient.

Quelque fois je glacais le miroir en espérant que de cette manière il ne me verait pas. A chaque instant je sentais leur regard sur moi, je me sentais violé. En plus de leurs expériences sur moi, ils essayaient de me parlé mais je ne leur disais rien d'important. Su quelqu'un me posait des questions sur mon âge je dirais que j'ai 19 ans, mais je ne sais pas vraiment en réalité. Dans ma tête c'est comme si j'avais 40 ans on dirait que j'ai vécu bien 9 vies de souffrance. Je ne voyais jamais personne et pourtant j'aurais tant aimé ne voir ne serait ce qu'un visage, même si c'était les figures de mes ravisseurs, au moins j'aurais su qui haïr.

Chaque jour je me voyais grandir un tout petit peu plus et vieillir de plus en plus. Le pouvoir qui était en moi ne céssait de grandir, mais je cachais cela. Je suis resté enfermé dans cette pièce jusqu'a mes 16 ans je pense et la mon pouvoir avait bien augmenté. Un jour je concentra toute mes force, j'utilisais mon pouvoir, jusqu'à en crié. Je concentrais toute mes force sur le miroir et je le glaça de toute mes force et c'est alors avec une stupéfaction total que je le vis éclaté. Je pu enfin voir ceux qui m'avait observé, étudié depuis toute ses années. Des vieillards aux cheveux et barbes blanches. Mon pouvoir les avaient tué, ils étaient congelé, transformé en statue de glace. Je traversa le trou que j'avais fais dans le miroir, je traversa la pièce, et je decouvris le complexe militaire dans lequel j'avais été enfermé. Il y'avait des militaires armées sur mon passage. J'etais hors de moi donc je les ait tous tué, l'un après l'autre. Je reussis donc à m'enfuir en tuant tout le monde sur mon passage, en tuant tout ce qui bougeait. Hommes ou femmes ça n'avait pas d'importance, il meritais tous de mourir.

Dès que j'eu atteint la porte de la sortie je fut enfin libre. Il faisait nuit et j'étais si heureuse que j'en pleurais de joie. J'oublierais jamais la sensation que j'ai eu en respirant de l'air pur et frais. Tout me semblais si beau, c'était comme si je découvrais le monde pour la première fois, les couleurs était si étincelante que je voyais flou."

-Tu n'as vraiment pas eu une vie facile et moi qui me plaignait tout le temps d'avoir une vie de merde, c'est rien comparé à tout ce que ta subit. Mais j'ai une question importante, qu'est ce que nous sommes en réalité? Est ce qu'on est des extraterrestres? Le résultat d'une expérience raté? Est ce qu'on est contaminée par un virus quelconque?

-Ça je ne peux pas te dire, je n'ai pas de réponse car moi aussi je me pose les mêmes questions que toi. Je suis à la recherche de la vérité moi aussi, c'est pour cette raison que je suis parti à ta recherche. Mais à ce que j'ai vu tu en sais encore moins que moi. Et nos pouvoir se ressemblent mais ils sont très différents à la fois. Peut être qu'on est même pas de la même espèce, vas savoir...

-Comment à tu su où j'etais?

-Je te l'ai déjà dit, tu es passé sur BFM...

-Non je voulais dire dans ce pays.

-J'allais justement te le dire...Plus tard après que je me sois enfui, je me retrouvais à nouveau toute seule. Il n'y'avait plus aucune trace de mes parents, je ne les ai jamais revu. Je érrais dans les quartier malfamé de New York, sans argent ni vêtements à me mettre. Heureusement un homme m'acceuillit chez lui, c'était Barry. Grace à lui j'ai pu trouvé un semblant de vie normale, on peut dire qu'il m'a pris sous son aile. Barry travaillait dans une grande société d'archéologue appellé Welven, c'était un chasseur de relique. C'est grace à lui que j'ai pu apprendre le français couramment bien que je ne soit pas aussi forte que lui il sait parler plus de 12 langues. Il m'a instruite, il m'a appris à me defendre, il m'a appris à vivre, bref toute sorte de choses...Sans lui je ne serais pas la femme que tu as devant toi. Je pense que j'aurais sombré dans la folie.

-Tu l'aime c'est ça...Vous êtes ensemble depuis combien de temps?

Nancy se mis à rougir.

-Comment as tu deviné?

-On vas dire que j'ai le don pour deviné quand quelqu'un est vraiment amoureux. Je pense que c'est parce que j'ai connu beaucoup de gens en couple et comme je suis habitué à tenir la chandelle, à être le bon ami, ça devient facile pour moi de deviné. En vous voyant, ce n'était pas si évident mais la façon dont tu parle de lui...On dirait que tu l'idolatre, seul une femme amoureuse peut parlé d'un homme comme ça.

Nancy jeta un coup d'oeil sur le canapé, ses yeux émeraude brillèrent en regardant Barry puis elle dit:

-Un jour Barry m'emmena dans une conférence de la société Welven, c'est la que j'ai rencontré ses collègues de travail il me présenta une vieille dame qui était un de ses patrons, je crois qu'elle s'appelait Mme Walsh, je crois...ou Marsh...Bref cette vieille dame était vraiment flippante, mais je m'écarte un peu du sujet. Elle était accompagné d'un homme d'un certain âge mais très distingué qui s'appellait Jim Welss, ce type après quelques verres de Jack Daniels, nous raconta une histoire très intéressante sur un peuple nomade très ancien. Ses gens avait existé à la période égyptienne d'après lui, mais à pars lui personne n'y croyais. Il nous dit qu'on etait les premières personnes qui étaient intéressé par ses recherches. Apparemment il n'avait pas parlé de se sujet avec beaucoup de personnes non plus. Il était complètement bourré sinon ils ne nous aurait jamais parlé de tout ça, je pense.

Ce peuple m'avait-il dit, possédait des pouvoirs hors du commun dignes des dieux, ils étaient capable de faire tombé la pluie ou d'ouvrir des montagnes en deux...Son histoire était assez étrange et compliqué mais cela m'intéressait beaucoup, car pour moi tout ce qui acait rapport avec des pouvoirs paranormaux avait de l'importance à mes yeux. Seulement lorsque je lui demanda si il avait des preuves de ses théories, il se rétracta et il avait pour seul argument "je le sait et c'est tout" puis il parti complètement hors de lui croyant qu'on le prenait pour un fou. Et vu ça reaction disproportionné je cru vrai que c'était un savant fou excentrique mais en vrai c'était sûrement du aux litres d'alcool qu il avait ingurgité. Son histoire m'avait tellement intrigué que je demanda à Barry de m'arranger un entretien avec son patron une fois qu'il serait sobre.

Nous sommes aller le voir et je découvris un autre Jim Welss que l'autre soir, il était vraiment intelligent et aimable bourré de talents. Il nous parla de ses recherches et cette fois-ci il nous montra des croquis et des plans, il nous parla de ce peuple à la civilisation oublié. Et surtout il nous dit qu'il restait un survivant qui se trouvait en France. Je demandais alors si il était possible de pouvoir rencontré cette personne, mais il ne savais pas exactement où il se trouvait. Son histoire avait des zones d'ombres et était encore remplis d'hypothèses et de théorie sans fondement. Je lui demanda de me prevenir au cas ou il en serait plus sur le sujet, mais hélas quelques jours plus tard il avait disparu.

-En France, c'est un peu vague. Vous avez sauté dans un avion tout ça parce qu'un vieil homme vous a raconté une histoire qui vous à plut?

-Non ce n'est pas totalement à cause de ça que nous sommes venu à Paris. En réalité des hommes du centre d'experimentation dans lequel j'étais enfermé sont toujours à ma recherche. Barry voulais qu'on vienne ce caché à Londres, mais je préfèrais de loin aller à Paris. Je me suis dit que la chance me mènerait peut être vers le dernier survivant, mais en réalité je ne pensais pas du tout te retrouvé. La priorité c'était de pouvoir échappé à mes poursuivants. Le hasard fait bien les choses apparemment, puisque je t'ai trouvé. Mais ce que je ne savais pas c'etait que les hommes du centre était aussi dans ce pays. La première fois que je t'ai rencontré je venais d'echappé à ses types.

-Tu pense que je suis fais parti de ce peuple de nomades mais dans ce cas la toi aussi non?

-Je ne sais pas j'espérais trouvé des indices sur notre histoires, sur d'ou on venait vraiment. Tu n'as jamais voulus savoir qui nous sommes vraiment?

Un silence pesant régna, à la télé Ariana Grande chantais dans son dernier clips avec les ronflements de Barry en fond musical.

-Oui surtout maintenant j'aimerais savoir...La pizza vas resté congelé comme ça encore longtemps? Elle vas pas fondre? Elle à l'air vraiment solide cette glace. Dit-il en montrant le bloc de glace qui n'était pas près de fondre.

-Je ne sais pas...Mais peut être que tu pourrais me montré tes talents en la faisant fondre. J'aimerais bien voir jusqu'ou vas ton pouvoir.

-Non je ne crois pas pouvoir arrivé à faire ça. A chaque fois que c'est arrivé je faisais ça inconsciemment et la plupart du temps je ne me rappellait même pas ce qu'il c'était passé. J'ai peur de cramé toute la chambre d'hôtel où qu'il ne se passe rien tu serais déçu.

-Pourtant tout à l'heure, tu avais l'air de bien maîtrisé...

-Je me rappelle même pas ce que j'ai fais, je ne contrôle rien. C'est dangereux de resté avec moi, au lieu de sauvé Barry j'aurais très bien pu le tuer.

-Non je ne crois pas que tu sois capable de faire ça, tu as l'air d'etre quelqu'un de bien ton visage et doux, agréable...

-Et maintenant que tu m'a retrouvé que compte tu faire?

-Le professeur Welss, nous à parlé d'une forêt, je ne me rappelle plus pourquoi mais c'est sûrement un indice sur nos origines. Je crois que cette forêt s'appelle Brocéliande.

-Brocéliande c'est en Bretagne c'est pas à côté ça! Mais qu'est ce que tu veux faire là bas?

-Je ne sais pas mais quelque chose me dit qu'il faut faire vite. Des vampires sont déjà à tes trousses. Je sais que c'est étrange mais il faut nous rendre dès demain dans cette forêt.

-Pour moi c'est d'accord. Toi au moins t'es pas une fille qui se casse la tête vu que c'est le seul indice que tu as ta raison parfois il vaut mieux suivre son instinct ça ta plutôt réussi jusque la. Seulement je pense que je ne peux pas resté avec toi, je suis instable, je ne peux t'attiré que des ennuies. Vous aurez du les laissez m'emmener, je suis bon qu'a faire souffrir les autres...Je m'en voudrais vraiment si il vous arrivait quelque chose à cause de moi.

Nancy ne l'écoutais plus, elle regardait la télé et Kyne fit pareil. La journaliste lisait une feuille tout en essayant de regardé la caméra en même temps:

"Edition spécial, la police demande de l'aide à la population Française. Un criminel du nom de Kyne Mailet est activement recherché par les forces de police. Il est suspecté d'avoir commis un attentat et un meurtre un entrepôt du CAP18 Direct Photographic basé dans le 18ème. Regardé attentivement les images qui vont suivre."

Kyne reconnu le reportage de la journaliste qu'il avait croisé tout à l'heure dans la rue. Puis une photo de lui apparu à l'écran.

"Cet homme est très dangereux ne vous approché surtout pas de lui, toutes personnes ayant des informations sur cet homme dois appeler le numero d'urgence mis en place par la police qui se trouve en bas de l'ecran, dans les plus bref délais. Cet homme est l'ennemi public numéro 1. Une forte somme d'un million d'euros sera versé à quiconque aidera à sa capture."

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