Nous nous sommes levés.

- Alors, on va s'échauffer. Alors on va faire semblant de se passer une boule d'énergie.

Trop bien!

M.Polochon passe l'énergie en premier à l'élève à côté de lui. Puis ça continue. Je reçois l'énergie. Je la relance. C'est drôle.

Nous continuons des exercices d'échauffement...

- Maintenant, nous allons faire de l'improvisation, dit le professeur.

J'adore ça !

- Vous allez piocher un mot dans ce chapeau, puis vous devez parler pendant un maximum de temps de la chose, explique-t-il.

Génial !

- Qui veut commencer ?

Personne lève la main. Je lève ma main.

- Bien, à vous miss...
- Parkinson.
- Ah oui, c'est vrai. Vous étiez avec moi dans sa barque lors de votre première année. Allez-y piochez un mot, dit-il en le tendant le chapeau.

Je pioche. J'ouvre le papier. Je lis.

- sport, dis-je.
- Vas-y on t'écoute, dit le professeur.
- Le sport. C'est quand on fait travailler notre corps en souplesse, rapidité, ou autre. Il en existe beaucoup. C'est une activité sportive. Souvent fait comme un jeu et ou un effort. Il faut suivre des règles spécifiques à chaque sport.
Dans le monde moldu :
Il existe la danse. Dans la danse, il y en a plusieurs type. Il y a le moderne jazz, qui est assez facile. Pratique pour coordonner nos gestes. Il existe le break. C'est assez difficile. C'est quand les danseurs vont sur leur tête et tout. Il existe le hip-hop. C'est complexe, mais moins compliqué que le break. C'est dynamique. Il existe aussi le classique. C'est moins dynamique et plus lent. Mais ce n'est pas juste simple car plus lent contrairement à ce qu'on peut penser. Il faut des muscles et de la souplesse. La danse est dans l'idéologie populaire pour les filles. Mais en réalité c'est aussi pour les garçons.
Il existe la gymnastique. C'est un sport tout en souplesse et en force aussi. C'est assez dur pour le haut niveau.
Il existe le football. C'est un sport assez populaire. Il y a beaucoup de tournoi. Pour ce sport on utilise un ballon.
Il existe beaucoup d'autres sports moldus.
Tous ces sports sont intéressants. Ils permettent de travailler différente capacités du corps humain.
Il existe beaucoup plus de sport que ce que j'ai présenté. Si je présentais tous les sports, ce serait très long et en plus je ne les connais pas tous.
Dans le monde sorcier :
Il existe le quidditch. C'est le sport le plus populaire. Il faut marquer le plus de point. Le match se finit quand le vif d'or est attrapé.
Le sport, ce mot vient du latin sporter qui signifie "bouger", selon le dictionnaire Milana Parkinson. C'est un dictionnaire géniale ! N'hésitez pas à l'utiliser.
Voilà un court exposé sur le mot sport.

(Applaudissez moi pour ce magnifique pavé, je vais trop loin c'est ça ?)

Ouf, j'ai finis. Ça fatigue.

Tout le monde applaudit.

- Très bien miss parkinson. Je propose quelque chose. Tout le monde s'appelle par leur prénom, même moi. Ça sera plus simple, non?
- C'est une bonne idée monsieur, mais vous vous appelez comment?, dis-je.
- Je m'appelle Guillaume. Alors maintenant appelez moi Guillaume. Je préfère. Quand vous m'appelez monsieur j'ai l'impression d'être vieux.
- Mais c'est le cas non?, demandais-je.
- Je suis découvert ! Je vais mourir.
- Non, on tient à vous monsieur.
- J'ai déjà dis de ne pas m'appeler monsieur mais Guillaume.
- C'est pas simple. J'ai pas l'habitude.
- Voyez moi comme un ami et pas comme un professeur. Que d'ailleurs, je ne suis pas. Ne suis nullement le concierge qui a fait des études de théâtre.
- C'était bien?
- C'était bien. C'était quand j'étais jeune... Car oui, j'ai été jeune comme vous... Bon qui continue.

Les gens passent. Il y a les mots comme chaise, table, téléphone, livre,... On s'amuse. Guillaume sait comment détendre l'atmosphère.

Je regarde Charles. Il est beau quand même.

Avec ses cheveux roux, ses yeux bleus, ses pommettes,...

Oulala, ça va pas du tout là ! Je perds la tête.

Les applaudissements me réveille de la transe.

Je remarque que c'est Isallys qui est passé. Je l'applaudis. Je n'ai rien écouté. Mais c'est pas grave.

- Le cours est finit. Vous pouvez repartir, dit Guillaume.

Je sors avec Isallys et Haydenn. Je vois que Shirleen, la préfète de Serdaigle, a demandé à parler à Charles.

Non... Elle va lui dire... Mais, je suis sûre qu'elle a faux et qu'on est juste amis...

Nous arrivons dans la grande salle. Nous mangeons avec Elsa.

Shirleen et Charles ne sont pas revenus... J'ai peur.

A la fin du repas, je me lève. Je vais dans la salle abandonnée et je danse.

Au bout de je sais pas combien de temps, je sors.

Je vais dans ma salle commune. Je me pose dans mon recoin où personne vient me voir.

Je me mets à penser.

Je me perds dans mes pensées.

Emy et Théa viennent me voir.

- Salut, dit Emy.
- Salut, dis-je en me réveillant de mes pensées.
- On voulait s'excuser d'avoir été aussi méchante avec toi. Mais Marie, nous a moitié hypnotisé. On comprendrait que tu ne veuille plus nous parler mais on voulait s'excuser parce que tu ne nous a pas fait de mal, mais nous oui, dit Théa.

C'est la première fois qu'elle parle autant devant moi.

- J'accepte vos excuses, dis-je.
- Super! On peut venir à côté de toi, demande Emy.
- Bien-sûr.
- Alors quoi de neuf?, dit Théa.
- Ba, rien je trouve...
- Ah...
- Et vous?
- J'ai un crush, dit Théa.
- C'est qui ?
- Louis. Tu sais le mec qui tu avais présenté à la Serdaigle...
- Ah d'accord.
- À toi Emy.
- Je suis maintenant sûre que Tom Felton a une fille, dit Emy.
- T'es encore dans cette théorie, dis-je.
- Mais oui... Je suis sûre de l'avoir vu avec sa fille. Elle est blonde.
- Tu délire là.
- Mais non. En plus ça me paraît logique qu'il ai un fille.
- Pourquoi ?
- Et bien, parce qu'il fait toujours attention à ce que personne ne rentre chez lui et tout. J'ai l'impression aussi que ses amis sont dans la confidence et que c'est pour ça qu'on ne sait rien...
- Et pourquoi il cacherai sa fille?
- Pour qu'elle puisse vivre normalement...
- Et là tu vas me dire qu'elle est a Poudlard, et que c'est moi c'est ça ? Juste parce que je suis blonde...
- Non, aussi parce qu'on ne connais pas ton père...
- Parce que tu crois que je le connais ?

Un blanc.

- Non, je ne connais pas mon père. Tu crois que ça m'amuse de vivre qu'avec ma mère. J'aimerais faire comme les autres enfants, passer du temps avec mon père mais je ne peux pas car je ne le connais pas.
- Désolée, dit-elle. Je ne pensais pas que ça t'impactais tant que ça...
- Et bien, si. Désolée, je m'emporte facilement sur ce sujet...
- Ce n'est pas grave. Je n'aurai pas dû insister...
- Bon, je vais me reposer

Je pars dans le dortoir et me couche directement. Je finis par m'endormir.