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Chapitre 8-Incident-Izuku-

All his money can't buy me a time machine. no
Tout son argent ne peut pas m'acheter une machine à remonter le temps, non
Can't replace you with a million rings. no
Ça ne peut pas te remplacer avec un million de bagues, non
I shoulda told you what you meant to me. woe
J'aurais du te dire ce que tu représentais pour moi
Cause now I pay the price.
Car maintenant j'en paye le prix

In another life I would make you stay
Dans une autre vie je t'aurais retenu
So I don't have to say you were the one that got away
Et je je n'aurai pas à dire que tu étais celui qui est parti
The one that got away
Celui qui est parti

The one that got away--Katy Pery

*****

il y a 2 ans, le jour j quelques heures plus tot

Le réveil sonna fort ce matin là, insupportable son que je fis taire immédiatement. Une nouvelle journée de cours s'annonçait. Je me levai avec difficulté, encore le pied dans la tombe comme on dit, puis me dirigeai comme d'habitude dans la salle de bain

-Mmmf, C'est quoi cette tête ? avais je murmuré devant mon reflet maussade dans le miroir. Je pris la brosse afin d'arranger désespéramment mes cheveux mais rien n'y faisait. Une catastrophe !

Après la routine habituel du matin, il était temps pour moi de partir. J'enfilai mes fidèles chaussures rouges avant de déguerpir.

-Izuku ?

-Oui maman ?!

-T oublies quelques chose !

J'esquissai un sourire tendre, retrouvant ma mère dans la cuisine et lui fit un bisous sur la joue

-j'aime mieux ça ! me répondit elle avec un sourire radieux

-Je t'aime m'man a samedi, prend soin de toi !

Elle me répondit de faire bien attention, ce que je lui promis. Je pris mes valises,(vive l'internat) Puis détala a toute vitesse de peur de manquer le train.

Frustré cependant de constater, a peine le visage dehors que la pluie s'abattait furieusement sur moi. Je n'avais malheureusement pas le temps d'aller chercher un quelconque parapluie , et me contentais de me dépêcher, tournant rapidement au coin de rue. 

Finalement ta présence me pris de cours.

Katsuki demeurait et demeure éternellement devant moi, prenant le même trajet une fois encore. Je ralentis intimidé. En réalité , cela faisait plusieurs semaine maintenant que je suivais le trajet en étant a quelques mètres derrière lui. Cette distance me rendait mal a l'aise.

-Il y a quelques années on ne se séparait jamais.. Avais je soufflé tristement.

Ce malaise s'était formé le jour ou Katchan avait vu de ses propres yeux moi même utiliser un alter que je n'étais pas censé avoir. Il s'était montré agressif au départ ; je me plaignais et couinais a chaque fois que celui ci lui m adressait la parole seulement pour me rabaisser et "me rappeler ma place". Je crois l'avoir sincèrement détesté toutes ces années là, j'en avais peur, mais mon admiration prenait parfois le dessus. Puis voilà qu'il ne prenait même plus cette peine là, comme si je n'étais plus qu'un simple mec chiant sur sa route. Plus un regard, juste du mépris.

J'ignore si a ce moment là il me prenais comme son égal, mais je me rend compte maintenant que ce nouveau fossé qui nous séparait à l'époque était pour moi la pire des tortures.

Il pleuvait, et il marchait tranquillement. Génial.Je lève la tête de saturation vers le ciel grisâtre.

On se plaint souvent de la pluie quand j'y pense. Y a t-il réellement des personnes qui aiment la pluie ? J'observe la nature autour de moi et je comprend un peu mieux : on ne fait pas attention aux fleurs qui semblent soulagées de boire et  aux escargots qui daignent enfin montrer leur tête. Tous ce a quoi l'on pense c'est de pouvoir rapidement trouver un abri, et on ne prend pas la peine d'observer la nature en symbiose.

Je laisse l'eau tomber, et dessiner les formes de mon visage. Je sens les caresses que me font chacune d'entre elle, ainsi que le passage qu'elles se créaient avant d'atteindre le sol et de disparaître dans un dernier murmure.

Et toi, tu es devant moi, comme d'habitude. Capuche sur la tête, tu n'aimes pas être mouillé. Ça se comprend, les frissons la maladie et j'en passe. Tu as l'air si distant, les mains dans les poches, sans doute avec tes écouteurs. Tu te coupes de la nature, du monde et de moi.

Je me déteste. J'ai toujours cette envie insatiable de savoir à quoi tu penses. Ta stature nonchalante, tout ton être m'explose au visage et m'apparaît comme une admiration persistante. Une admiration dangereuse. Un feu affaibli par la pluie, j'avais l'impression de sentir un peu ton odeur s'évaporer dans l'air.

Et j'aimerais avoir le courage de t'approcher, de t'ôter tes écouteurs, de retirer ta capuche et de forcer nos deux visages à se rencontrer.

Mais je n'ose pas. Je ne peux pas. Une certaine crainte prend possession de mon corps, et finalement l'écart entre nous ne change pas, et ne changera peut être jamais.

Je me rassure cependant : J'ai encore 250 jour pour le faire, le temps ne manque pas, non ?

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Keep that in mind I designed this rhyme
Garde cela dans ton esprit j'ai conçu cette rime
To explain in due time
Pour expliquer à temps
All I know
Tout ce que je sais
Time is a valuable thing
Le temps est une chose qui a de la valeur
Watch it fly by as the pendulum swings
Regarde-le passer à toute vitesse comme un pendule qui se balance
Watch it count down to the end of the day
Regarde-le se décompter jusqu'à la fin du jour
The clock ticks life away
L'horloge fait tic-tac et te rappelle que la vie passe
It's so unreal
C'est si irréel

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Lundi 1 octobre ??h??

Tient il pleuvait ?
Je sens les gouttes s'écraser sur mon visage maintenant humide. C'est étrangement familier.

 À m'en souvenir, je suis en classe, je crois, au cours de monsieur Aizawa avec mes camarades. Non , en faites, nous étions en entrainement. Oui c'est ça ! Dans une simulation d'une ville.

 C'était quoi l'exercice ? 

Je ne sais plus. 

Tient de quoi l'on parlait? 

Je ne sais plus. 

IL fait froid et péniblement je m'y accommode. Nous n'étions pas en été d'ailleurs ? Pourquoi pas après tout. Mon odorat m'interpelle, l'odeur de souffre, ou bien de la poussière? Un mélange des deux.. répugnant.

 Mais je m'y habitue. 

 Et puis je sens la pluie couler sur mon front, quelques gouttes chaudes atterrissant sur mon cou me provocant de léger spasm de surprise.

...

Je n'ai pas la sensation d'être en danger, ni même d'être bien. Je suis dans un flottement sombre et sourd, et je ne sais pas comment m'y extirper.

-Izuku !

Je crois que je suis allongé au sol, il m'est impossible de bouger et d'ouvrir les yeux. Oui, je suis allongé, sur quelque chose de Froid qui ne m'est pas désagréable. 

Cette voix. Serait il possible que ?... Non il ne m'aurait pas appeler par mon prénom.

Le son devient écho et me pénétre doucement, l'action diffuse comme une douleur lointaine un peu partout dans mon corps. 

La pluie continue de tomber, pourtant les plus chaudes ont une odeur de fer.

 J'ai comme l'impression d'oublier un point essentiel, mais ça m'est égal. Tout est si calme, c'est très reposant.

-Putain.. ... lèves toi !

La voix me paraît plus proche, plus vive, j'ai l'impression de remonter une pente parsemée d'épines.

-DEBOUT !

C'est désagréable. Pourquoi tout devient désagréable d'un coup ? La douleur bien plus prononcée me lance aux bras et aux jambes à chaque ondes sonores.
Je me sens tiré mais mon corps me semble lourd, impossible de me bouger sur ce sol froid et dure.
Laisses moi !J'étais bien qu'est ce que tu fais ?!
Tout se transforme en cauchemar par ta faute ! Mais je n'arrive pas a prononcer ses mots à mon agresseur inconnu. Je ne comprend pas. Puis Je me rend compte. Je me rend compte qu'on essaye de m'extirper de quelques choses.

J'entrouvre les yeux. Ce simple geste me demande tant d'énergie.Je râle, puis  je suis perdu. Mon regard divague, tout est... Renversé, les bâtiments fument. Je crois que je suis moi même dans un bâtiment bien amoché. Il y a des gravas, beaucoup de gravas sur tout mon corps.. De l'eau, beaucoup d'eau et de poussière et puis ... Du sang ?

-Oi ! Tourne pas de l'œil !

Il est là au dessus de moi, Je crois qu'il me parle encore mais je n'ai plus l'énergie d'écouter. J'ai un mal fou à me concentrer sans que mes paupières me replongent d'elle même dans le noir. Je crois que je suis encore un peu assommé. Même si je vois flou je distingue ses cheveux blonds trempés se balancer avec le vent.
Malgré moi, Je ne parviens pas à enlever mon regard de cette vision, ce balancement régulier, la couleur dorée de ses pointes rêches, le son de l'air brassé par le mouvement. Ça m'apaise.

Jusqu à reprendre un peu plus mes esprits.

Katchan se tient au dessus de moi et me tire du mieux qu'il peut, me tenant la nuque et me tirant par la taille. La seconde chose sur laquelle mes yeux se perdent sont ses bras et ses mains d'une teinte malsaine. Je scrute mon geôlier sans même faire attention à mon propre corps que je ne sens toujours que très peu. Sa tête saigne et quelque perle de son sang tombe sur mon visage et mon cou, auteurs de mes spasms.

J'ai peur de comprendre la situation.

-Kat-katchan ? Je parle difficilement

Je me sens soulevé par ses bras et mains ensanglantés. Tu tires une tête que je n'avais jamais vu auparavant.

-Deku ! Putain t'es conscient.. Bordel j'aurais pas du t'envoyer si loin... Fait chier.
Je me souviens de cette main chaude et dangereuse sur mon visage et de cette douleur soudaine à l'estomac qui m'envoya valser à des kilomètres. Katchan m'avait sauver la vie, et il ne semblait pas satisfait pour autant.
-Tu ne vas pas crever.

Je ne sais pas vraiment s'il m'adresse la parole ou s'il se parle lui même. Mon esprit s'éclaircit de plus en plus, sans doute a cause des douleurs vivent proviennant de mes membres à chaque mouvement.

-Putain t'es lourd aujourd'hui..il marqua un blanc

Il manque de tomber, s'accroupis alors, me repose et me redresse assis, le dos sur un grava. Ses bras et ses mains sont vraiment dans un état critique.. Cette vue me fait mal.. Et je n'arrive pas à m'y détacher.

Je ne me souviens plus vraiment des événements, tout est floue et brouillé dans mon esprit. Je ne me souviens a peine de ce matin. Je me souviens de la pluie. Je me souviens de Katchan. Ma tête me picote. J'ai l'impression de vivre un cauchemar bien trop réaliste.

-Katchan.. tes mains... Maintenant que ma vue semble s'éclaircir je remarque qu'elles atteignent des teintes brunes, je ne reconnais même plus la forme qu'elles prennent.
J'étais effrayé, et en colère à la fois.
Katchan avait laissé son corps se faire meurtri à un point critique, à cette idée le reste de mon sang commençait à bouillir.

-Ouais on s'en fou, le principal c'est que tu sois en vie.T'es vraiment qu'un gros débile tu sais ça ?! Je t'avais dit de fuir tu n'avais aucune putain de chance !Tu me fou en rogne le nerd ! Tous ça, c'est parce que t'as encore voulu joué au héro alors que tu n'es qu'un apprenti !

-Qu ?

Une lumière éblouissante me coupe, il s'agit de flamme bleue. Sans pouvoir l'expliquer je me décompose à la vue de ses flammes se rapprochant de notre position. Elle m'effraie énormément, elle m'effraie tant par leur beauté que par leur dangerosité et j'en tremble. Qu'est ce qui m'arrive ? Qu est ce que c'est ?? Qu'est ce que j'ai fait... Je n'arrive à prononcer aucune de ces questions, hypnotisé par le danger imminent.

-Merde, Encore debout cet enflure ?Putain...Il se releva et fixa les flammes s'avançant dans notre direction. Bon eh bien on dirait que notre tête a tête s'écourte.

-QUOI ? Katchan qu'est ce que tu vas faire ?! criai je avec les dernières forces qu'il me restait

-Me battre le nerd, et terminer ta connerie.

-Je viens avec toi !

Bien sûr il me regarda amusé, je ne pouvais absolument pas bouger malgré mes efforts. Pourtant Je voulais comprendre ce qu'il se passait, je ne voulais pas être à l'écart.. J'ai bien compris que la situation était plus que critique... alors Je ne pouvais pas me permettre de rester assis ! Il s'accroupit en face de moi un sourire rassurant au lèvre. Il leva difficilement sa main carbonisée pour la placer sur mon épaule,  marquant une longue pause sans me regarder, visiblement troublé.

-Je vais te protéger.

Pourquoi ?... Je ne veux pas..je baisse la tète... Je sens que mes joues s'humidifient sans le vouloir, ma vue se brouille. Et les flammes se rapprochent dangereusement.
Tu vas mourir ! Mais le son ne voulait pas franchir le seuil de ma bouche.

-Oi deku ?

Il relèva mon menton de sa main, essuya mes larmes de son pouce maintenant presque noir.

Je pense que tu es déçu et en colère du regard que je te porte en jugeant  la tête que tu me fais.
Je suis désolé, mais en ce moment j'ai peur, peur pour toi. Il souffla comme pour répondre a mon monologue intérieur, puis planta son regard tendre dans le mien.
Je m'y perdais si facilement, cherchant les émotions que tu caches si souvent derrières ces grand ronds rubis.
C'était terrifiant. Car je ne lisais rien. Comme si tu avais déjà fait ton choix. Comme si tu étais déjà prêt pour ce qui allait se produire.

-Tu veux bien me faire confiance, pour une fois ?

T'es lèvres se relevaient en un rictus. Tu me souriais, Ce sourire carnassier et fière.

Non, je ne pouvais pas te faire confiance.
Et tu le sentais aussi. Tu savais que j'allais persister. Quoique tu fasses, je n'allais pas te laisser seul.

Puis sans que je ne puisse lui répondre, sans que je ne comprenne, sa tête s'approcha furtivement et il écrasa ses lèvres sur les miennes dans un geste doux et désespéré.

Le temps se fige. Je ne comprend plus rien. Je ne comprend pas le but. Je ne comprend pas le pourquoi.
Les question s'entrent-choc, tandis que le goût me parvient en bouche, et qu'une chaleur diffuse me réchauffe la poitrine.

Les larmes coulent, je le sens.
Les siennes s'écrasent sur mes mains.

La sensation prend fin. Il s'écarte doucement, avec un sourire.
Un sourire bondée d'anxiété et rempli de larmes.

Il finit par se relever difficilement sous mon regard incrédule, incapable de parler sur le coup de l'émotion, puis se dirigea lentement vers la source de lumière malsaine maintenant proche, trop proche me laissant démuni face à sa détresse. Tu profitais de mon étourdissement pour t'eclipser vers ta mort sans un mot.

Et c'était dure. Dure de voir ta démarche faible s'éloignant. Je ne voyais plus que ton dos, ta musculature meurtri ici et la, ton visage et les explications de ton geste  me fuyant vers un combat perdu d'avance.

Tu ne pouvais pas gagner le combat, mais tu pouvais me faire gagner du temps.

L'effroi defigura mon visage le temps de réaliser cette fatalité et ce qu'elle impliquait.

-KATCHAN , je l'appelai encore et encore, le suppliant. Je priais pour que les professeurs arrivent vite, je priais de tout mon cœur, de tout mon être, car c'était la seule chose que je pouvais faire pour lui. Et je me détestais. Je me détestais d'être incapable d'agir. Si je n'avais pas foncé, si je n'avais pas été aussi confiant, nous ne serions pas là à l'heure qu'il est. Je n'ai été qu'un poid en plus, inutile, et voilà que par ma faute je le mettais en danger. Je ne supportais pas cette idée.

L'idée qu'il soit en danger par ma faute.

C'était même plus profond que ça.

L'idée de te perdre m'étais inconcevable.

Je ne voulais pas être spectateur. Je ne voulais pas que tu fasses un pas de plus. Je ne voulais pas de ton faux sourire.

Je comprenais maintenant ce geste fou. Et je ne l'acceptais pas.

Je ne voulais pas de ton baiser d'adieu.


Mes débuts à la tablette graphique, je galère encore un peu à comprendre, mais je vais m'améliorer x). *********************************************************************************************** C'est déjà le chapitre 7 * wow * j'ai l'impression de ne pas du tout avoir fait avancer l'histoire ! >.< J'avais envisagé de mettre celui ci en premier chapitre, dites moi ce que vous en pensez.

Qui est le petit Issac et quel est son Histoire? Que prépare L'alliance des vilains ? Comment va évoluer la relation entre les deux personnages ? 

J'ai plutôt développé les ressentis des personnages et crée tout un développement sur ce fameux "jour j" ou tout a basculé ! Je voulais changer de style, et ralentir le rythme car dans certaine fanfiction je trouve que leur relation évolue trop vite ! Enfin bref assez tardé, je vais essayer d'accélérer le rythme dorénavant !😊

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