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Chapitre 35 - Sunset

I know I can't keep chasing after you if you don't feel some way
Je sais que je ne peux pas continuer à te courir après, si tu ne ressens rien

***

Les pertes n'avaient jamais été aussi lourdes.
Le stress n'avait jamais été aussi haut.

Les 24 h les plus longues de ma vie.

J'étais comme resté coincé dans un flottement, une bulle qui deteriorait tout mes sens à la suite des mots de présent smic.

Je ne percevais même plus le bruits de sa crise de larme de Lilith désormais dans les bras d'Eijiro, ni même les hurlements de Kanimari.

J'avais alors traîné ma lourde carcasse dans tout les recoins de chaque rue, du reste de mes bras et de mes forces je regardais sous les gravas, et lorsque je découvrais un membre, du sang ou parfois même un corps je me décomposais mentalement en songeant que tu pouvais t'y trouver.

J' errais dans les vestiges de la bataille sans but et, si mon cœur ne battait pas encore, sans vie.

Je laissais dans mon sillage des petites perles de sang qui m'indiquaient les chemins que j'avais déjà emprunté.
Mon visage était perpétuellement tourné vers le sol, les bras le long du corps, mes cheveux blonds poisseux collés désagréablement à mon front et sur ma nuque par la sueur, celle ci tout juste tordue accompagnant dans sa courbure le reste de ma colonne vertébrale.
Pour être franc mon corps me faisait un mal de chien, mais ma poitrine était le centre de tout mes maux.
Mon cerveau envoyait toutes sortes de messagers chimiques pour ne pas que je m écroule, car je crois bien que je poussais à bout tout mes organes, toute mes options, tout mes espoirs. Je tournais en rond dans un doute infini, et plus je vous cherchais, moins je parvenais à garder les pieds sur terre.

Il me semble aussi que j'effrayais tout le monde, on essaya à plusieurs reprises de me parler. Ce qui était sûr c'est qu'il avait fallu qu'on m'assome pour arrêter cette marche morbide que j'obnubilais à tout le monde.

À mon réveil colérique et précipité, on m'annonca la surprenante nouvelle.
Tu étais bien vivant Isaac et toi à 5 h d'ici.

Le stress ne m'avait jamais autant pris les tripes, devant une simple porte.
J'aggripai la poignée fermement, tournant vers la droite, la peur me dévorant l'estomac.

Puis, une fois mes yeux adaptés à la lumière maussade de la chambre, Je ne sais pas trop ce qui me prenais, pendant un instant je restai sur le seuil à vous contempler, blotti dans ce lit blanc, un nombre incalculables de bandages sur vos petits corps fragiles.

Combien de fois cette vision de toi dans ces horribles draps blancs et ses tubes s'introduisant dans tes veines m'apparaîtra au visage, tourmentant ma poitrine à son seuil de tolerance? Combien de fois devrai je supporter la peur de ton absence ? Combien de fois devrai je faire le baby sitter, pour toi le nerd, et pour ces gosses imprudents...

-Deku Isaac, putain !

J'aggripa par la main la gamine qui restait tristement blottie derrière moi, tremblante. Nous nous precipitions sur eux.

-Katchan ! Lilith !
-Katsu ! Sœurette !

J'avais du mal à contenir ma force et mon soulagement en vous serrant tout les 3 au creux de ma poitrine et mon cou.

-Bordel dites moi que je rêve pas.. Avais je laissé échapper.

-On est bien là, Katchan.. Plus en os que en chair. Dit il en riant nerveusement

Le temps semblait s'arrêter autour de nous. Une retombé d' un panel d'émotions ternes qui me pesaient lourdement sur la conscience.
En quittant vos bras, le temps reprenait son cours et la réalité des choses me revenaient malheureusement à l'esprit. Le silence suffoquant reprenait tout l'espace de la petite chambre.

-Je n'arrive pas à le croire. ..putain..

Je posais fébrilement mes mains sur les petites têtes. Le regard bas sur les draps calcaires.

-Katchan... Je... C'est de ma faute..

Izuku serra un peu plus la petite main d'Isaac à ses côté. Ils avaient tout les deux assisté à la mort de nos anciens camarades de classe du lycée.

Le corps de Sero n'était pas en état d être présenté à la famille. Je l'avais moi même vu, mutilé de toute part, je songeais avec horreur qu' à l heure actuelle on retrouvait encore des bouts de ces organes sur les lieux.

Jiro elle, avait été retrouvé sous les gravas, morte sur le coup.
Silencieusement je lui envoyais toute ma reconnaissance, elle était parvenu à garder Lilith en vie, jusqu à son dernier souffle.

La chambre recouvrait peu à peu une atmosphère cette fois si lourde, écrasante. C'était donc ça, ce ressenti après une guerre gagnée ?
Applaudir la victoire de nos mains entachée de ce rouge qui ne s'énlevait pas à la javel.

-Je le savais... Je savais que l'on allait perdre des camarades. Et pourtant.. Même en ayant tout envisager, ça fait mal... Vraiment mal... Cette triste mine qu'affichait le vert ne m'étais pas inconnue.

Sans vraiment le vouloir je revoyais en esprit ce cauchemar que je faisais même éveillé. Surplombant Dabi, avec ce bout de métal devenant ma faux. Les flammes bleues me consumant lentement, révélant finalement un monstre des plus répugnant qui residait en moi depuis le début.

Y avait il encore des partie de moi-même que j'ignorais ?

-Katchan ! Tout vas bien ?!

Je reprenais mes esprits.

-Je-Oui. Pardon c'est juste que.. Ça fait beaucoup.

Un médecin entra dans la chambre pour quelques banalités, nous déclarant que les blessures d'Izuku n'était que partielles, même les coups de poignards n'étaient pas allés si profondément, du moins juste assez pour l'afffaiblir. Nous serons répatrié demain. Izuku intima aux enfants de suivre le médecin pour faire un point sur leur état psychologique et quelques analyses. C'était surtout un prétexte pour nous laisser seul.

La porte claqua. Aucun de nous deux ne semblait vouloir briser la glace.

-Katchan...

Je fini par affronter ta vision, relevant les yeux précédemment bloqué sur les draps plissés. Tu me renvoyais ce regard voilé douloureux.

-Je sais Deku.

Dans mon impulsion je te prenais dans mes bras, te ramenant plus près du bord, mon souffle chaud herrissant ta nuque pâle.
Je sortais seulement la tête pour venir masser les cernes tombantes que tu affichais, et comme une mimique tu te mis à faire de même.
Du bout des doigts tu vint palper le reste de mon visage avec une douceur féerique, tes yeux suivaient les mouvements, et moi je restais fasciné par cette aura de bienveillance qui m'apparaissait.
Et puis, finalement, tes pupilles et tes phalanges avaient finit de faire le tour, revenants aux miennes.

-Je t'aime aussi, Katchan.

Je restais abasourdis, il n y avait que lui pour me surprendre de cette façon.

Le jeune adulte s'avança, posant ses lèvres sur les siennes, dansantes sur le rithme de nos battements.
Le front contre le sien, tout semblait plus simple à traverser.

-Izuku.

Le vert frissonna un instant, il n'avait jamais susuré ces mots aussi sérieusement.

-Je voudrais comprendre ce qu'il s'est passé, que tu me racontes, que tu me dises pourquoi Sero est mort, et pourquoi toi tu es seulement affaibli.

A cette phrase je cru comprendre qu'un souvenir t'étais réapparu. Tu semblais névrosé. Tu te decalas de moi rapidement, fixant le mur en face, quelques larmes aux coins des yeux.

-Pourquoi à t-il ?! Comment a t-il pu ?! Ce traître..

Maintenant les enfants partis, il ne retenait plus ses émotions. Izuku etouffa quelque sanglots avec ses mains frêles. Katsuki, inquiet se rapprocha, le regard perdu. Il caressa tendrement le dos de celui ci, s'injurant qu'il était sûrement trop tôt pour en parler. Katsuki n'avait jamais eut le tact avec ces choses là.

Des toquements à la porte surgirent, Izuku essuya rapidement ses larmes.

-Les médecins ont fait si vite que ça ?
-Je.. Je sais pas. dit il entre deux coup de manches.

Le grincement de la porte nous alertèrent, le seuil donnant sur le jeune Shinso, un bouquet en main.
Izulu avait cessé toutes actions, le regard scotché sur le nouveau venant.
Katsuki se redressa doucement pour l'accueillir chaleureusement, le baume au cœur de constater qu'il ne faisait pas partie des lourdes pertes. Nous n'avions en effet pas eut toutes informations, et nous étions dans ces périodes où les mauvaises nouvelles pleuvaient des cieux.

Je me levais vers mon ami, et quelque chose échappa à ma raison.

-TOI ! Les rugissement du vert me figèrent un instant. Mais t'es VRAIMENT GONFLÉ !

J'avais réagit juste à temps.
Izuku deboula du lit comme une furie malgré les blessures. Si je ne le connaissais pas, j aurais pu jurer qu il voulait le tuer.

Katsuki l'aggripa tout juste par le ventre, le vert gesticulait à se rouvrir les plaies, hurlant des phrases de haines incomprehensibles.
Shinso quant à lui restait pétrifié, nous étions tout les deux perdus et surpris d une telle énergie assassine.

-KATCHAN LÂCHE MOI !

-PUTAIN DEKU QU'EST CE QUI TE Prend ?! .

Izuku lui affligea un coup de coude bien placé, le faisant lâcher prise. La furie se rua sur Shinso avec rage, se jetant à sa gorge. Il le plaqua contre le sol, la haine aux yeux, le bouquet de fleur s'ecrasa en morceau au pieds du blond, ahuri reprenant son souffle.
Le jeune indigo restait difficilement de marbre devant l'animal.

-Je-Izuku je comprend pas-
-TU LES AS TUER.
-Izu-

Le cendré reprit le fou furieux par les aisselles, le plaquant ensuite sur le lit, maintenant face à face.

-Putain deku tu nous fais quoi ? Avait il dit entre ses dents.

Le blond tenait fermement les poignets du vert à lui couper la circulation l'écrasant de son poid, l'empêchant de gesticuler les jambes. Il ne pouvait pas laisser la haine consumer son amant.

Shinso se releva doucement, la main au crâne visiblement perturbé.

-Je-Je comprend pas- la sueur perlait sur ses quelques mèches indigo Katsuki arrête s'il te plaît, je voudrais juste qu'on s'explique calmement..

Katsuki surplombant izuku, toute lutte vaine, je n'étais pas en mesure de le repousser. J'entendais le traître se relever doucement à ma droite, et j'avais peur. Peur de ce qu'il manigançait, les images de ces zombies nous encerclant m'attaquaient l'esprit. Il fallait que je l'éloigne d'ici, de nous.

-Katchan.. Tu voulais que je te racontes pas vrai ? On s'est fait piéger dans le centre. Une embuscade minutieusement réfléchi. Il y avait tous ces hommes pantins, on n'en voyait plus le bout. Je sais que c'était son pouvoir. Je l ai reconnu. Alors laisses moi. Laisses moi rendre justice à nos amis. Avais je deblateré avec le peu de voix qu'il me restait.

Lorsque le regard de Katsuki croisa celui de Shinso, ils crurent bien descendre six pieds sous terre.

-Shinso ?.. Est ce que ?

Ses pupilles vibrèrent étrangement, comme épris d'une révélation scandaleuse.

-Katsuki. Ce n'était pas moi, je n'ai pas autant de puissance avec mon alter. Il songeait. Mais oui bien sur !
Il s'aggripa désespérément à l' épaule du blond, la solution lui était distinctement venu à l'esprit, pointant du doigt Izuku que je surplombais encore.

-C'est son père bordel, lorsqu il a pris mon sang... (Chapitre 26) Ce fumier, il a sûrement dû s'approprier mon alter ou je ne sais quelle merde !

Izuku qui était toujours présent ne semblait plus comprendre.

-Quoi ? Articula t il timidement, comprenant qu'on l'impliquait.

-Ton père Midoryia. Le scientifique fou qui nous a échappé, et nous échappe toujours.

J'ai cru mal entendre. Pourtant l'image et le son se répétait en boucle dans ma tête.
Mon père ?
Mon père...
Je senti Katchan desserer son étreinte, pour finalement se redresser.
Et puis je crois que je réalisais. Je revoyais cette homme brun, aux yeux noirs. Cet être malveillant au quelques reflets verts. Ce type à la blouse, avec ses yeux froncés. Ce gars avec cette fixation maladive pour la couleur des yeux.
Mon père ? La moitié de mon ADN et de mon sang ?
L'équation simple me prenait un temps monstre à être réalisée, sûrement parceque je ne voulais pas le croire.
Mon esprit embrumé, Je fixais mon tortionnaire, un mélange de mélancolie et de colère gravé dans mes pupilles .

-Tu le savais ?

Je n'étais pas en mesure d'apercevoir ses yeux, dissimulés sous ses cheveux blond en épis.

-Attend- Katsuki tu ne lui as pas dit ?

Shinso venait tout juste de comprendre la situation, et se senti bien bête, trop grand dans ce corps qu'il voulait réduire à l' état d invisible.

-Deku, il vaudrait mieux qu' on reporte cette discussion plus ta-

Une douleur instantané sur ma joue gauche me fit comprendre à quelle point la nouvelle te boulversais. J'essuyai le sang de ma lèvre coulante sur mon menton.

-TU TE FOUS DE MOI ? TU COMPTAIS ME LE DIRE ?

La claque avait résonné un instant. Jamais je n'avais vu autant de déception dans le regard du nerd.

-Combien de temps Katchan.. ?

-3 mois.

Je regardais difficilement tes yeux carmins, je ne réalisais pas mon geste non plus.
Tu n'avais même pas hésité. Je n'avais plus les mots, juste assez d'énergie pour trembler, la déception circulant dans tout mon être.

-partez..
-Dek-
-ALLEZ VOUS EN !

Deku renifflait bruyamment, me transperçant de ce regard plein de reproches que je détestais.
Minablement Shinso et moi sortimes de la chambre sans un mot.

-Putain je suis vraiment qu'un con.

Je frappais le mur du couloir que nous longions dans une impulsion noire de regret.

-Non je- tu n'avais sûrement pas trouvé le moment.. J'ai tout gâché..

Il se grattait la tête nerveusement. Visiblement honteux de sa piètre prestance.

Une fois à l'extérieur nous consumions notre bâtonnet de nicotine respectif.
Je relativisais en songeant que j'avais finalement obtenu la solution et la réponse a ce qui me tourmentais, ce qui me rongeais les os depuis 3 ans.
Je t'avais toi Izuku, je savais que tu m'aimais alors, égoïstement je me soulageais l'esprit en pensant qu'il ne s'agissait là que d'une dernière passe rude à traverser.

J'ai beau me persuader de ça,
J'ai pris peur, sur ce coup, ma joue endoloris me relançant une douleur fantôme. J'ai merdé une fois de plus, usant ton seuil de tolérance.
Il n y avait que moi pour te l'annoncer, et je n'ai pas pris la peine et le temps de le faire dans de bonnes conditions.

Il faut dire que tout ce précipite ces temps ci...

-On m'a raconté pour ton alter, c'est vrai ce qu'on dit ? GroundZero bientôt de retour ? Tu l'a annoncé à Izuku ?

-Non.

Je nous remettais de force dans ce silence reposant, je n'avais tout bonnement pas envi d'en parler après ce qu'il venait de se produire.
Shinso semblait pourtant vouloir à tout prix éclaircir les choses.

-Tu peux te rassurer Katsuki... Shigazaki sous les barreaux le clan est dissout. Le scientifique fou n'aura ni les moyens matériels ni la finance de refaire surface.
Il ne peut plus rien, et nous l'aurons très bientôt.

Je m'appuyais mollement sur le mur de béton grisâtre de l'hôpital. Les yeux plissés par les rayons lumineux écoutant Shinso me cracher son assurance au visage.

-J'espère bien que tu as raison. J'en ai plus qu'assez de toute cette merde qu on se trimbale depuis plus de 5 mois. Je veux, juste vivre.

J'idealisais peut être la situation, avec ces phrases clichés qui envahissaient mon crâne.

"l'amour triomphe de la mort", "à deux on est plus fort" "le pouvoir de l'amour surpasse tout".

Je ne sais pas si ce sont des conneries, j'aimais croire que non.
J'aimais croire à cette avenir radieux que je rêve dans mes rares nuits calmes.
J'avais l'impression qu'une grande page du livre venait de se tourner, et qu'un nouveau chapitre se trouvait enfin au dos de celle ci, là où j'attendais un vide blanc des plus pitoyable.

Un chapitre bourré d'espérance.

Je m'en rend compte une fois la haine dissoute et le stress évanoui.

Je réalise,

Ça fait tellement longtemps qu'on se connaît. Je t'ai vu grandir, et te métamorphoser. C' était insignifiant à l'époque, c'est seulement 10 ans plus tard que je me délecte de ces souvenirs.
Il n'y a que maintenant que je perçois cette petite pression sur mon auriculaire causé par cette ficelle rouge invisible. Une ficelle indecoupable par mes ciseaux, et que je devine rejoindre ta main de l'autre côté.

Comme si tout avait été décidé avant nous.

Il y a un moment où il va falloir que je cesse de penser et rattraper le temps perdu avec toi, le nerd. Que l'on commence ce chapitre 2 au dos de cette page, une histoire que l'on dévora comme un bon roman policier.

-ça va être compliqué pour Izuku, me coupa l'indigo entre deux lattes.
Ces dernières années ont été dense pour lui, malgré le fait que vous soyez enfin réunis.
Le peu de réaction de ma part le poussait à déblatérer tout un tas de conneries. Je ne prenais pas la peine de faire de remarques.

-Je veux pas connaître les détails de vos ebats sexuels rassures toi.
J'equarquillais les yeux.
-Allons allons ça crève les yeux, ne me regarde pas comme ça. Je suis heureux pour vous.

-Tch, alors comme ça on entend Izuku jouir jusqu'à chez toi ? Intéressant.

-haha t'es vraiment con toi !

Katsuki arbora un sourire malicieux avant de jeter son mégot au sol, dans l'intention de rentrer.
L'indigo avais pourtant cette mine insatisfaite, je ne pouvais pas le planter sans un mot sur la situation.

- Izuku t'a toujours fait confiance, alors ça ira pour vous ne t'inquiète pas, si c'est bien ça qui te torture l'esprit et qui te pousse à déblatérer des conneries. Sans déconner je ne t'ai jamais entendu en dire autant depuis que je te connais.

Je riais, il semblait beaucoup plus détendu. Je me contentais de ton soulagement bruyant avant de pénétrer le hall du bâtiment, sans pour autant couper la discussion.

-Tu sais, Pour lui son père est mort avant sa naissance. Il s'en remettra, pas comme cette abruti de double face.

Il s'arrêta un instant, la porte tout juste ouverte prête à être enfreinte, rectifiant un point des plus importants.

-On s'en remettra, ensemble.

***

I've said it before, I'll say it again
I wish we were more than friends
Every moment I'm with you, I can't help but smile
When will we stop playing pretend?
Wishing you would just make up your mind
Let me love you and we'll be alright
Je te l'ai déjà dit, je le répète
J'aimerais qu'on soit plus que des amis
A chaque fois que je suis avec toi, je ne peux pas m'empêcher de sourire
Quand arrêterons-nous de faire semblant?
Je voudrais que tu te décides
Laisse-moi t'aimer et tout ira bien pour nous

Finding hope-Love

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