Chapitre 31-Hunter
J'entendis distinctement la porte craquelé, la poignée grincer violemment, et instinctivement je me précipitai à l'entrée près à accueillir le maître de la maison.
Katsuki avait les nerfs à vif, il n'aimait pas cette situation à découvert. La peur qu'un de ces jours cette même portes soit forcée, donnant sur le sang de ses enfants adorés. Il avait encore sa mallette en main, les sourcils vilainement froncés d'une manière qu'on le comprenait en colère. Il n'avait même pas pris la peine de se dévêtir, se contenta de sourire à son ami d'enfance l'accueillant.
Il y eut un silence et un flottement, pour lequel les deux jeunes garçons se jaugeaient du regard.
2 petites frimousses ne tardèrent pas a se pointer en ayant entendu le bruit qu'ils attendaient depuis déjà plusieurs jours.
-Katsu tu es de retour !
Les deux petits bouts l'accueillirent chaleureusement, étreignant ses jambes de leurs petites paluches. J'observais le spectacle avec délectation, Katsuki souriait sincèrement, et n'osait plus bouger d'un cil. Jusqu'à ce qu'il remarque mon regard envieux, et soudainement changea d'attitude.
-OI, ça suffit les moustiques, bougez vous ! Rouspéta t-il
Il se fraya un chemin pour atteindre le salon tandis que moi et les enfants rigolions aux larmes pour finalement aller le rejoindre.
Il m'avait manqué, lui et son caractère. Lui tout entier.
En effet Katsuki n'était pas rentré depuis 2 jours, il divaguait entre le commissariat et le restaurant dans lequel il travaillait, car la vie tournait après tout. Izuku avait quant à lui la surveillance total des enfants, étant suspendu temporairement. Cela lui avait permis de mieux s'entendre avec Lilith la petite nouvelle, et d'en prendre bien soin.
-je me suis permi de préparer le repas !
-Parfait. J'espere que ce sera mangeable. Souffla t'il se vautrant sur son canapé, suivit de près par Isaac et Lilith.
Je me hâtai de préparer la table, en gardant un œil admiratif sur les petites têtes au fond.
-ça va vous, les demi portions ? Vous avez pas causé trop de soucis ?
-Nan, on a aider papa !
-Voui !
Katsuki plongea ses grandes paluches dans leur cheveux argentés, les caressants gentiments pour les remercier. Les deux enfants se délectaient de se contact affectif que le blond se savait donner inconsciemment.
-Dit Katsu, pourquoi vos mains avec Zuku elles sont comme ça ?
Katsuki regarda longuement sa main au mauvais souvenirs.
-Rien de beau à entendre petit morveux. T'es trop p'tit encore.
Isaac fit la moue et il se vit soudainement soulever pour être posé sur les genoux du cendré. De ses grandes phalanges il tapota son crâne.
-T'es vraiment pas croyable toi. Lui gtommela t il, tandis que de son autre bras il rapprochait aussi Lilith de lui.
Encerclé de ses bras, il huma les jeunes enfants, enivré de cette odeur qui lui avait manqué.
-Je suis rentré.. Murmura t il.
-Bienvenue chez toi, Katchan.
Izuku se plaçait devant le petit groupe, les yeux larmoyants. Doucement Katsuki se leva à sa hauteur et l'enlassa doucement. Le plus jeune, un poil perturbé finit par y répondre , s'engouffrant de plus belle dans le col du blond, tenant fermement son vêtement.
-Allons manger. Lui susurra t'il. Nous avons un gros programme qui nous attend.
Délicatement Deku se sépara du creux de mon cou et de mes bras, me laissant désarmé.
Nous n'avons toujours pas parlé de ce qu'il se passe entre nous.
Ça creve les yeux tu ne crois pas ?
On se tourne autour depuis le début, et pourtant des que l'un de nous semble enfin se dévoiler un peu, l'autre se détourne, misérable et honteux.
Et sur le balcon l'autre jour, alors que tu avais entamé le pas, alors que tu avais bravé l'interdit, je n'ai pas su répondre à tes avances correctement.
Notre situation est frustrante.
Et on ne peut pas tout se permettre non plus.
Aujourd'hui nous sommes attendu à la réunion la plus importante de l 'histoire. Après celle ci, nous savons tout les deux que les choses seront difficiles à surmonter.
Je ne t' ai toujours pas mis au courant au sujet de ton père et Je n'ai vraiment pas envi de te le dire dans l' immédiat.
Tout de suite j'ai besoin de savoir. J ai besoin de savoir plus que n'importe qui, plus que demain et plus que tout, si ton cœur bat pour moi.
Si tu m'as pardonné, si je suis digne de t'embrasser à nouveau.
Je ne veux plus perdre la face, pourtant j ai peur de l'effet que tu me fais, je l'avoue, et je le constate encore, alors que tu es devant moi, le tablier accroché à tes hanches, tes mains tenant la marmite bleue.
Mes yeux se délectent de ta stature, de ton être et de ton sourire que tu donnes si généreusement a nos enfants incroyables.
Puis qu'ils sont finalement devenus nos enfants pas vrai ?
Ou suis je toujours le seul a me créér un monde de rêve, le monde serein dont tu me parlais.
Je n'ai pas envi d'être le seul dans l'ouragan dont je suis prisonnier. Je n'ai pas envi d'être seulement la proue de ton bateau. Je veux te faire chavirer dans mes abysses, te montrer les plus beaux trésors de mon monde.
Je me rapproche de toi, je m'apprête à m' asseoir et soudainement ta main sans le vouloir me frôle un peu la cuisse. Nos regard se croisent électriquement, et malgré moi une pulsion m'attaque les entrailles.
J'ai envi de t'embrasser,de te faire l'amour comme on ne le fait plus. De te susurrer des mots que je me pensais impossible de dire.
J'en ai envi, mais ta main quitte le tissus, et maladroitement tu fais le tour.
L'électricité envoûtante s'estompe tandis que tu m'échappes finalement, à l'autre bout de la table, le sourire de nouveau encré délicieusement sur tes lèvres, les couverts en mains murmurant un bon appétit des plus ravissant.
Comme si ce petit moment électrique était des plus Anaudin pour toi, et des plus renversant de mon coté.
-Deku, Dis moi que je ne suis pas le seul bordel!
Je brise minablement l'ambiance familial de ce repas par ma question agressive.
Il me regarde interrogateur, ne comprenant pas l'allusion.
Cette électricité, ce contact animal de nos yeux prêt à se dévorer. Dis moi que je ne suis pas le seul à l'avoir ressenti vibrer dans tout mon être.
-je suis désolé Katchan... Est ce que tu as besoin de quelque choses ?
Tu l'ignorais, d'une façon presque insolente. Et tu sais pourtant qu'il en faut peu pour m'énerver. Peut être l'émotion, Ou bien la fatalité d'être seul dans cet ouragan. Je ne peux pas le supporter.
-Deku. On mourrira peut être demain ou bien Peut être après demain ou jamais. Je veux juste savoir si--
Je réalise après coup que les enfants sont là également, et qu ils arrêtent tout mouvement de fourchette suite à ma levé soudaine de table.
J ai été stupide et trop émotif. Je quitte la salle d'un pas hésitant, la honte me montant au crâne.
J'avais cette lointaine envie de tout exploser.
Tu me rend fou le nerd.
Je me réfugie dans ce qui était ma chambre, et qui est aujourd'hui le lit d izuku et Issac.
Mollement je m'effondre, humant l'odeur de mes draps qui n'est plus la mienne.
Je suis dépossédé de mes biens, et de mon cœur.
-Katchan écoute...
À l'entente de la voix je fais volte face, constatant que le brocolis s' assoit désormais à mes côtés, fermant la porte derrière lui.
-J'ai peur moi aussi Katchan. J'ai beaucoup de chance de vous avoir.
Je suis un peu trop lâche mais je vais t'en parler alors, je suis désolé pour l'autre jour. Ce geste impudique de ma part.. Je n'aurais jamais dû t'importuner... Je ne voulais pas que tu partes l'autre jour sur le balcon et je n'ai pas réfléchi..
Il faut que tu me dises, sinon je n'en serais que plus perdu.
-Deku, dis moi franchement.
-Katchan, tu sais, je suis hétéro.
Cette simple phrase me donna le vertige, ecroulant mes pensés et allusions si bien que je ne parvenais plus à comprendre le reste qui, je devinais été tout aussi frustrant.
-Je t'ai toujours admiré pour ce que tu étais. Et puis depuis todoroki j'ai cru que je pouvais être bien plus, que je pouvais peut être ressentir autre chose... mais je crois que je ne ressens que des désirs psuedo sexuel envers toi... Et je crois que..
-Deku. Arretes toi. C est pas la peine de chercher des escuses. Ça ne marche pas avec moi.
J'ai compris.
Le cendré se relève lentement, neutre pour quitter la pièce.
Je sens la culpabilité m envahir, et je le retient.
-Cette situation ne me plaît pas Katchan... Je suis perdu depuis un moment... Je ne sais pas quoi faire, pour arrêter toute cette folie qui m'attaque le crâne.. Je n'ai jamais aimé jouer avec les sentiments, mais..
Pourrais tu.. Pourrais tu m'accorder cette dernière faveur ?
Je n'aurais jamais cru faire ça, de cette façon avec toi en ce jour. Faire cette action que je convoitais et appréhendais tellement. Je te l'avais demandé, comme une solution à mes tourments, à mes états d'âme. Et tes yeux de fauves acquiesçèrent.
C'était étonnamment doux, tu as de l'experience il faut dire. Bien plus que moi. Tu me demandais sans cesse si j'étais sûr , et pour toute réponse je t'embrassais fougueusement. Et puis finalement tout se resuma en des brides de sons et de sensations.
En premier lieu, Le bruit du verrous de la porte, sentir mon corps s'amortir sur le lit.
Tu as tout d'abord a plusieurs reprise mordiller mon cou et mes oreilles, puis tes cheveux m'ont chatouillé le ventre, et j ai bien cru succombé rapidement à ton dévolu.
-Kat-Katchan...
Je ne parvenais plus à réfléchir, à me demander si cela était vrai, si cela était juste. Tu faisais en sorte que je ne puisse pas te repousser. Et en effet je n y parvenais pas. Tes yeux rubis me scrutaient avec une envi sauvage, et pourtant avec abstinence tu prêtrais attention à chacune de mes gestuelles, de mes envies.
Tu as fini par jouer de tes mains lentement sur le lieu de tes désirs, m'arrachant des gémissements incontrôlés.
Je perdais pied avec toi.
Le goût de ta salive à la mienne, entre deux battements je te susurais que j'étais prêt.
Les papillonements m'envahirent le ventre, le stress me prend un peu, et puis finalement tu le fis, d'un coup bref et sec m'arachant un cri plaintif, suivi d'une douleur vive qui s'estompa rapidement laissant place à une douce sensation que je découvre pour la première fois.
Ton torse nu que j'aggripe fortement à chacun de tes coups de hanche, ces mêmes hanches magiquements bien construites.
Nous haletons en rithme, expirant et inspirant à tour de rôle nos souffles saccadés et humides, .
Je manque d'air, je me sens défaillir dans chacun de tes mouvements, comme si tu savais exactement la où me faire chavirer et là ou me faire mal.
Je me prend au jeu, je convoite subitement ta nuque, et fais rouler sur ta peau ma langue se delectant du goût sucré. Tu redoubles d'ardeur.
Le temps passe, et coule.
La paume de ta main brûlante vint me carresser les homoplates, et vint toucher le vestige de tes morsures.
Il s'agit de la dernière danse. Et tu me le fait savoir, puisque je me sens défaillir de nouveau, mes organes ne savent plus se contrôler, mon cerveau ne sait plus où donner de la tête.
Tu me fais tourner gracieusement, tu tiens mes hanches avec ferveur, pour ne pas que je dégringole en fumée. Tu enchaînes les mouvements, sublimement.
Je suis mauvais danseur, je n'ai jamais étais bons sur le rithme de la musique, pourtant aujourd'hui je n'ai jamais autant aimé ce morceau que tu me jouais la.
Tu me soutenais là ou je faiblissais, tu écoutais les sons que je n'osais pas faire surgir, mais qui malgré moi finissaient toujours par braver le seuil de ma bouche. Et tu semblais adorer me regarder vouloir te résister sans y parvenir, me faire languir pour que je te supplie.
J'en avais oublié ton petit côté sadique.
Puis finalement la dernière valse se produisit, je crois n'avoir jamais autant ressenti de sensations plus douces et fortes. Exténué, nous n'avions plus bougé un moment.
Je compris que l'on venait de vivre la même chose en écoutant ton cœur battre à une vitesse au delà du consentement.
Maintenant face à toi, je t'entendais sourire, je voyais enfin ton rire et j'écoutais tes yeux carmins.
Tu avais fais vrillé mes sens en un claquement de doigts.
-Tu es un bon danseur, Katsuki Bakugo.
-Je sais, Izuku Midoriya.
Et puis devant ton corps nue me surplombant, devant ton visage d'ange, et tes yeux de démons je n'avais qu'une phrase à vouloir de susurrer.
-Je t'aime, Katchan.
L'ocytocine m'avait fait parler. Et Je n'aurais jamais penser pouvoir te le dire, dans de telles conditions ivre du plaisir précédent qui m'est monté à la tête.
La chute fut plus douloureuse
Puisque tu ne m'avais pas répondu.
Détournant le regard, te rhabillant et quittant la pièce d'un poid lourd, me laissant dans les draps conservant encore la chaleur de notre acte tout juste passé.
Je sais que c'était pour respecter le choix et la décision dont je t avais fais part. Je crois que tu avais compris que je culpabilisais, et que cette danse n'étais finalement qu'un moyen de me sentir moins coupable, de trouver la paix de mon esprit malade.
J'étais parvenu à te faire penser que nous n'avions juste pas su contrôler nos envies. Et que égoïstement j'avais profité de toi.
Alors, expliques moi pourquoi...
Pourquoi je te désire encore autant.
-Izuku Midoriya ?
-Hum-Oui Present Smic, je me suis perdu dans... dans mes souvenirs... Escusez moi !
Il me dévisageait avec sérieux, comme l'on dévisage un enfant après une bêtise.
-C est très sérieux vous savez, C est vraiment pas le moment.
Pro héros, héros et apprenti étions agglutinés dans cette salle sombre de réunion. La plus grande que nous avions trouvé, pourtant nous suffoquions tous dans la poussière, la sueur du stress, et l ambiance macabre de la situation.
-Hero Deku, vous serez aux ordres de la team Bêta dirigé par gang orca.
-très bien.
Je me levais avec ferveur, me dirigeant vers mon équipe. C'est en me déplaçant que je croisais ton regard de flamme, irrésistible et interrogateur.
Katchan.
Je finis par baisser la tête. Je devais mettre mes sentiments de cotés.
-Nous avons recensé une cinquantaine de bases. Et nous allons les dementeler en même temps. Il s agit d'une mission de grande envergure, qui commencera dans 2 h. Vous serez prêt, je vous le garanti. Le but est de secourir, maîtriser les vilains. Si jamais vous avez à faire à Dabi, faites le moi savoir immédiatement.
Tandis que je passais dans les rangs je constatais que Shoto était aux côté de notre professeur, le regard vide, avec sa famille tout aussi neutre et froide.
Endeavor pris finalement la parole.
-Dabi n'est autre que Touya Todoroki. L'aîné de ma famille. Nous sommes donc un appât de choix, et nous promettons de réussir a le neutraliser.
Je n'en croyais pas mes oreilles. Dabi, cette être infâme qui avait mutilé mon corps, arraché l'avenir de Katsuki était donc le frère de Shoto.
Mon sang bouillonait. Je n'osais imaginer la torpeur que vivait shoto en ce moment même.
-Il s'agira également de neutraliser Shigazaki.
L'entente de ce nom me fit remonter plus de haine que je n'aurais pu en garder dans mon petit corps.
-Les équipes de soutiens ne seront pas conviés aux combats sauf si le cas d'urgence est déclaré.
Le groupe de soutien était principalement comblé d'apprenti, de Shinso qui n'était pas encore rétabli et de Katsuki. Il avait à ses côtés Isaac et Lilith. Il n'aimait d ailleurs pas vraiment son rôle à en juger ses sourcils froncés.
Encore une fois nos regards se melangèrent un instant, et je dû me faire violence pour me détourner sérieusement sur autre choses.
C'était si compliqué de me concentrer sans me revoir, 1 h plus tôt te faire l'amour. Mon esprit me relançait malgré moi en tête de brides de ta peau, de ton visage, de tes gémissements.
Bon sang... Pourquoi t'avais je demander ça ?
Je grattais nerveusement les morsures de mon cou qui n'étaient à certain endroits pas totalement parti.
Tu as marqué ma peau si profondément, pourtant je ne me souviens pas avoir eut mal.
Je pensais avoir clos ce désire de toi qui me Hantais en te laissant mon enveloppe charnel faire ce que tu en advenais.
Il ne s'agissait que de sexe pas vrai ?
Ou bien peut être d'amour.
Avons nous fais l'amour ? Ou bien avons nous juste fais du sexe toi et moi ?
Je crois avoir malheureusement adoré.
Je crois être tombé davantage encore dans ton sillion.
Je pense pouvoir l'affirmer aujourd'hui,
Je crois bien que je t'aime, Katsuki Bakugo.
Peut importe que je sois hetero, bisexuelle ou je ne sais quoi encore...
Je t'aime parce que c'est toi.
Je n'arrivais juste pas à le comprendre jusqu'à maintenant.
Mais je suis du genre fébrile tu sais.. je me torture de question. Et si ce n'était pas réciproque ? Et si tu ne voulais que mon corps en fin de compte ?
Et si je t'avais finalement offert sur un plateau d'argent, ce que tu convoitais depuis le début ?..
Et si... Tu me laissais tomber à nouveau...?
*******
I feel it everyday it's all the same
je le sens tous les jours, c'est pareil
It brings me down but I'm the one to blame
ça m'abbat, mais je suis le seul à blamer
I've tried everything to get away
J'ai tout essayer pour m'échapper
So here I go again
Alors je viens ici encore une fois
Chasing you down again
Te poursuivant encore une fois
Why do I do this ?
Pourquoi est-ce que je fais ça ?
Over and over, over and over
De plus en plus, de plus en plus
I fall for you
Je tombe pour toi
Over and over, over and over
De plus en plus, de plus en plus
I try not to
J'essai de ne pas succomber
Over ans over-TDG
******
L'auteur va sérieusement s'exprimé ici !
Je suis pas super contente de ce chapitre, néanmoins merci d'avoir lu jusqu ici ! 😊😔
Je voulais créer une relation progressive, des sentiments qui s'affirment avec le temps et qui se confirment malgré les contraintes.
Mais je crois que je vais devoir récrire quelques chapitres pour instaurer plus de rapprochement entre les deux, car je crois que c'est ce qui vous tient en haleine et vous pousse à vouloir lire la suite. XD
La guerre commence, et Izuku se rend compte qu'il est sous "l'emprise" de Katsuki depuis son enfance, depuis qu il est revenu, et pas parce qu'il s'agit d'un homme ou d'une femme, c'est au delà du genre et de l'orientation Sexuelle ( Izuku à eut du mal à se trouver d'ailleurs). Finalement il arrive à cette conclusion : C'est parce qu'il s'agit de lui, de Katsuki et du monde qui va avec.
Cette idée est ultra bien exploité dans le livre de Maarsat "être nous", que je vous invite à lire 😭❤️
Mais, je pense que vous et moi on a tous envi de lui hurler "mais arrêts, tu le sais depuis le début ! Izuku pourquoi tu t'en rend compte maintenant alors que l'orage approche !"
Et si je devais analyser mon récit je dirais que c'est aussi Parce que leur relation est rithmée par la mort. La peur de perdre l'être aimé et de souffrir à nouveau, Izuku n'est pas en mesure de faire face à ce genre d'événement, et j espère que vous l'avez compris.
Ce qui ne fait finalement pas avancer l'histoire c'est la peur de l'abandon d'Izuku, et la peur de faire souffrir de Katsuki. Mais en même temps je me dis que c'est réaliste vis à vie de leurs personnalités.
Malgré son esprit réfléchi, Izuku finit par répondre de manière instinctive à ses pulsions plusieurs fois dans le récit, espérants comprendre son mal être, ou ses sentiments qu'il n' arrive pas à decripter (C'est ce qu'il s'est passé avec Todoroki par ailleurs) Et ce fut une mauvaise idée.
En plus des évènements extérieurs un peu tendus.
Mais, je dois vous dire une dernière chose x)
Je crois que j'en ai un peu marre moi aussi qu'ils tournent autour du pot tout les deux x) mais je n'ai pas envi de bâcler non plus.
Je me rend compte que mon histoire devient redondante, c'est un peu le retour du freesbee a chaque chapitre, leur relation qui avance se voit toujours interrompu par un évènement plus ou moins tragique.
Je crois en plus que mon histoire prend bcp de chapitres pour pas grand chose en fin de compte.
Je vais essayer d'enchaîner les dernières brides d'idée que j'avais, d'une façon poétique, et rapide.
30 chapitre déjà x) je sais maintenant qu'il faut bien 1h-2 h pour lire convenablement tous ça. Et c'est long 😱
Et je ne veux pas que ce soit barbant pour vous, alors je promet de raccourcir x)
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