le feu d'artifice
Ma mère m'avait accompagné à la grande fête que donner mon père Zeus, j'etait debout perdant mes yeux dans la foules de dieux, venant et allant, pendant que ma mère discutait avec ces soeurs . La première danse commençait tous les déesse au centre, je sentis une main prendre doucement la mienne , je relevais la tête, c'était un homme aux cheveux violet boucler court. Des yeux noir de jais fesant penser aux mystères et au silence. Envoûtant, attirant. Nous continuons à danser, nos regard toujours en contact, nous n'avions pas besoin d'échanger de mot. Il me comprenait, je sentis que lui aussi s'ennuyait à cette fête.
- Comment vous appeler vous dit il
- Perséphone
- La fille de la déesse déméter
La danse, s'arrêta rapelle à l'ordre, tous les dieux continuer à aller et revenir, à pailler. Et lui qui s'en allait loin, trop loin.
- Attendez et vous . Qui êtes vous
Il allé partir s'enfonssant plus dans la foule, pourtant un murmure me parvient avant qu'il ne devienne plus q'un doux souvenir.
《Hadés》
J'etait sur que ce ne serait pas la dernière fois que j'entendais son nom. J'entendis alors plusieurs bruit, mon père lançait des éclairs multicolore dans le ciel, un beau feu d'artifice. Un présage, peut être.
***
Quatre fois, je ne l'ai revue que quatre fois. J'avais perdu mes amies nymphes qui etiaent resté près du ruisseau et ce n'était pas pour me déplaire. Je voulais le revoir, malheureusement je devais attendre, le solstice de la saison des pluie, cent lune a attendre, c'était tellement long. Je m'avançais vers la rivière. Ma Sicile adorée, l'île ou j'ai grandi, avec ces paysage magnifique ne pouvait atténuer mon impatience. Je pensai à lui, depuis quand, trop si ma mère l'apprenait. Un bruit m'alerta, un bruit de craquement, puis un autre, je regardais autour de moi. Le sol craquelait. Un char noir sortit de terre au moment où je tombai, je criai mais arrêta lorsque je senti une bras autour de ma taille. Je regardai la personne à qui appartenait ce bras, Hadés.
- Tu m'a manqué Perséphone
Nous enfonssons sous terere j'ignore ou nous allons, mais sa précense suffisait à me calmais.
***
Je me promennais dans les allées du palais a la recherche de mon epoux.J'etait devenu reine des enfers, Hadés m'avait Ammené ici il y a cent ans. Nous nous somme marié sur le mont Olympe, ma mère n'apprécient pas ce mariage à fait déchaîné les éléments et pourrit la terre pour que je revienne. Elle avaient réussi je passai six mois avec mon époux et six mois avec ma mère. Donnant naissance à de nouvelle saison, l'automne, l'hiver, le printemps et l'été. J'entendis un brissement, un vase encore. Il y a quelques années un dieu à pris plus,d'empereur que les autres son nom, Dieu. De plus en plus de personnes nous oubliait, il en restait peu qui croyait en nous ou connaissais encore nos nom. A force d de l'oublie, tout à commençait à se briser. En Sicile, sur le mont Olympe ou en enfer. Un craquement se fit entendre et un autre le sol se mit à se briser, la porte en face de moi,tomba brisée. Ma main avait plusieurs trace de cassure, je me dirigeais vers la salle du trône, les meubles étaient brisé et le sol commençait a se fissurait. Hadés était au millieu de tout ça, sa jambe commençait à se brisée. J'essayais de m'approchais le plus possible de lui.
- Hadés
- Perséphone attention.
Trop tard. Mes jambe se fissurées, mes main aussi, et je tomba dans une crevasse du sol, il essaya de me rattraper mais sa main se brisa au même moment.
On disait que les dieux ne pouvait jamais mourrir dans un sens, oui.
***
Je parcourais la ville, franchit le passage piéton et arriva en face du bar, que m'avait montrer Julia l'incarnation du siècle 21 d'Aphrodite. Et oui, c'est moi Perséphone, après être tombé, moi et les autres dieux somme devenue des dieux oublier, pour continuer à vivre nous nous incarnons chaque siècle en humain, nous gardons tous nos souvenirs, mais nous ne savons pas comment sont les autres dieux. Nous somme le 31 janvier 2018, il est minuit moins vingt. Dans ce siècle je suis Célestine Lainé, 18 ans, engagé dans une entreprise, j'ai eu mon bac il y a trois ans, j'ai sauté des classes, à force d'entendre les même chose pendant trois siècle on retien, oui car avant 1800, mes incarnation n'allait pas a l'école. Je regardais encore ce bar, dans cette endroit se trouver tous les dieux, tous, sauf lui. Hadés, il n'est pas la. Je le cherche depuis quatre ans. J'ai cru pourtant le voir, son regard, hier au bureau, un homme avec son regard, ces cheveux sombres. Mais j'ai marché trop vite et quand je me suis retourner, il n'était plus loin. J'entre, Aprodithe vient vers moi, ma mère comme toujours discute avec ces soeurs Héstia et Héra. Je dis bonjour à tous le monde et les regardes, attend, le dj lance la musique, j'attends sa main, cette main qu'il m'a tendu il y 2500 ans. Mais rien ne vient je tourne ma tête et voit un ombre, ou plutôt une personne mais qui part trop vite, je la suis, c'est sur, c'est lui. J'arrive au balcon, il est de dos, c'est un homme. C'est lui, je le reconnaîtrais.
- Bonsoir Hadés.
Il se retourne, son regard, sombre, mystérieux et attirant. Ces cheveux, son sourir. Ma mère m'a dit que j'étais la seul à avoir vu sourire le maître des Enfer, pourtant il sourit.
- Ma chère Perséphone, tu m'as tant manquer.
Il me tend sa main, je la prend, je me retrouve en face de lui, accolé à la balustrade.
- Je t'ai chercher tu sais dit il.
- Moi aussi, alors c'etait toi hier à mon bureau
- Je suis triste tu n'est même pas venue me voir ou dire que je te manquais .
- Tu est passé en coup de vent comment j'aurais pu tue voir, mais toi aussi tu m'as manqué.
- Le plus important c'est que je t'ai retrouver ma chère Perséphone.
Il me tend une coupe de champagne. Je bois, puis un bruit, puis deux, puis des hurlement de joie. Le feu d'artifice de la nouvelle année commence, nous nous embrassons, qu'elle meilleur façon de commencer l'année 2019.
(BONNE ANNÉE)
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