Bon alors, vous l'aurez compris, notre crush secret de cette histoire est bien sur notre dépressif préféré ♡♡

Donc bah Shinobu tu peux partir de l'univers t'façon je t'aime pas hyn *tema la meuf qui juge mdr*

J'ai fais sur Giyu parce que je l'aime bien qwa et puis, qui ne l'aime pas srx ??

Si vous l'aimez pas bah...bah vous quittez parce qu'à partir de maintenant y'aura + de romance XD

Bref, bonne lecture >>>>>>>>>

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Tomyoka Giyu, qui avait été conduit dans la même chambre pour se reposer, vu Furymia les genoux à terre, la tête sur le matelas. Il l'a prit pour la mettre dans un lit à part. Se demandant pourquoi il avait fait ça.....

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PDV Furymia :

Je me réveille doucement, sur un..lit ? Mais qu'est-ce que je fais sur un lit ?? Il y a à peine 2 minutes je veillais sur les enfants ! Me serai-je endormi ? Mais..qui m'aurait mis dans un lit ? Ce doit sûrement être Aoi et les filles quand elles ont voulu passer le balais..

Je me souviens soudainement de l'accident d'hier et jette un coup d'œil aux enfants allongés. Ils ont l'air d'aller bien, ça me rassure..

Je me lève du lit pour aller m'asseoir sur la terrasse, profitant de peu du levé de soleil. Je remarque la différence de la terrasse d'aujourd'hui et d'il y a 200 ans. À l'époque, tout semblait si vide..il n'y avait personne pour s'occuper des diverses plantes etc..maintenant, il y a pleins de magnifiques papillons et les jardins sont entretenus.

Je remarque soudainement un haori de couleurs mélangés et repense au pourfendeur de la veille. Son haori sens une douce odeur des vagues..c'est bizzare. Il l'a sûrement oublié ici en tout cas..je devrais le lui rapporter..

Je pris encore quelque secondes de concentration pour enfin me lever et me pencher à des arbres pour finalement me déplacer en volant, sautant de branche en branche.

Plus tard, je me dirige vers le domaine du maître, pour lui présenter mes excuses et lui demander une punition. Il m'avait appelé pour une réunion de toute façon..

J'emporta avec moi l'haori du pilier je ne sais pas pourquoi, le mettant sur mes épaules pour bien le tenir.

Arrivée, je me plaça sur la terrasse du maître en m'inclinant légèrement comme à mon habitude. Je vois le maître arriver.

- Bonjour maître je suis désolé..

Maître : Il n'est pas encore arrivé ?

- Qui donc ?

Soudain, j'entend du bruit venant de derrière et je me retourne. Je put voir le visage familier du brun. Un visage toujours aussi inexpressif..comme moi.

Je me relève pour le saluer et je me rappelle que j'avais son haori sur mes épaules.

- Bonjour Giyu, j'ai remarqué que tu avais oublié ton haori chez Shinobu, alors j'ai préféré te le rendre.

Giyu : Tu n'étais pas obligée..mais merci ?

Nous retournons nous asseoir auprès du maître qui nous attendait.

Maître : Bien, maintenant que vous avez fini de régler vos affaires, je dois vous dire que-...

- Si je dois être punie je comprendrais..

Le maître écarquille un peu les yeux et ricane.

Maître : J'allais plutôt dire que étant donné que ton domaine a été brûlé vif, tu vas devoir loger avec un pilier de mon choix le temps des réparations...

À mon tour j'écarquille les yeux. Et mon intimité alors ?? On la jette au chien de Jean-Richard !?? Mph...

Maître : ...Maintenant ; vous avez la mission de tuer un demon..special. Il kidnappe apparemment des jeunes filles de 6 à 8 ans. On ne sait pas ce qu'il en fait ensuite. Vous devrez y aller ensemble.

Nous hochâmes la tête, Giyu et moi, puis nous saluons le maître avant de partir. Il part préparer ses affaires tandis que moi je pars vers la porte principale pour l'attendre.

Il n'est vraiment pas long à revenir. Il a simplement pris un peu d'argent et quelques accessoires pour ses cheveux.

*les trucs là qu'on met pour accrocher ses cheveux et en faire des couettes?, pas des accessoires du style kawaïï UWU*

Il me regarde différemment de comment je le regarde.

Giyu : Tu n'as rien pris ? Même pas un simple kimono au cas où ??

- J'ai rien du tout alors je ramène rien. C'est simple.

Giyu : Tu n'as même un simple kimono ?

- Je n'ai que ma tenue de pourfendeur.

Il hoche la tête malgré son envie de me questionner davantage.

Nous nous mettons alors en route, dans un silence non froid ni gênant, mais plutôt chaleureux..