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Épilogue / Bonus

Hey !

Pour vous remercier des dix milles vues – cœur dans les yeux –, atteintes quelques semaines seulement après que cette histoire ait vu le mot fin apparaître, voici un petit bonus. Celui-ci peut également servir d'épilogue, d'où son titre.

On se retrouve pour un prochain bonus au cinquante mille vues ? Quoi ? C'est beau de rêver.
L'espoir fait vivre comme on dit.

Trêve de plaisanterie, peut-être qu'un jour d'autres bonus feront leur apparition, qui sait ? Je me suis beaucoup attachée à Noah et Aaron et j'ai un peu de mal à les laisser partir.

Encore merci à tous.tes ♡

En sortant de son véhicule, il glissa sur une fine plaque de verglas, mais réussit à maintenir son équilibre. Les genoux légèrement pliés, les bras à l'horizontal, la langue sortie, les sourcils froncés de concentration, un éclat de rire s'échappa de sa gorge, manquant de justesse de provoquer une nouvelle glissade.

Sa stabilité totalement retrouvée, il prit la direction de sa propriété. Gravissant les marches deux par deux, il ne tarda pas à arriver à destination.

Il hotta ses chaussures, qu'il laissa dans le petit meuble prévu à cet effet dans l'entrée, pour enfiler ses pantoufles. Elles lui avait couté quelques moqueries, mais il n'en avait que faire. Il était chez lui et, l'important s'avérait son confort. On pouvait le charrier autant que possible sur ces dernières, il n'avait aucune intention de garder ses chaussures pour parcourir son appartement.

Il entendait déjà les voix en pleine discussion, les rires joyeux, avant même de pénétrer dans le salon. Un large sourire aux lèvres, il s'adossa au chambranle de l'entrée pour contempler le tableau qui s'offrait à lui.

Le poêle était allumé, diffusant sa chaleur dans la vaste pièce. Le canapé était occupé par Amélia et Arnaud, alors que leurs enfants jouaient sur le sol. Jean lui tournait le dos et semblait en grande discussion avec Arnaud. Corinne, quant à elle, était assise sur le fauteuil et un large sourire se dessina sur ses lèvres quand elle remarqua sa présence. Ce simple geste attira l'attention de Mattéo qui tourna alors son regard dans sa direction.

— Tonton ! s'écria-t-il en se redressant sur ses jambes pour courir vers lui.

Son cœur se gonfla d'amour à l'entente de cette appellation.

Le petit bout d'homme se précipita dans ses bras et il le réceptionna sans difficulté. Il déposa un baiser baveux et bruyant sur sa joue, avant de commencer son babillage et raconter ses aventures de la semaine.

Maëlys, beaucoup moins assurée sur ses jambes, trottinait dans sa direction également. Pour le voir ou pour rejoindre son frère, nul ne savait, mais la petite fille était déterminée à atteindre sa cible.

Une vingtaine de secondes plus tard, le petit ange était dans ses bras, tandis que Mattéo retournait au milieu des jouets éparpillés sur le sol.

— Tonton est arrivé ! cria-t-il.

Son avertissement était inutile, les adultes ayant entendus son premier cri. Amélia lui adressa un sourire chaleureux. Jean et Arnaud lui serrèrent la main chacun leur tour, et Corinne se leva pour lui déposer un baiser sur la joue en guise de salutation.

Deux bras se glissèrent sur sa taille, et les lèvres chaudes de son compagnon se posèrent sur sa nuque.

— J'ai bien cru qu'ils t'avaient kidnappé et que tu ne rentrerais pas, murmura-t-il à son oreille.

Il profita de l'étreinte douce, avant de la quitter pour faire face à son amant. Il avait enfilé un pantalon noir, skinny, soulignant ses cuisses. Sa chemise grise claire dissimulait le ventre, ni rond, ni sculpté, complexe de son amoureux que lui adorait cajoler, chatouiller, embrasser, lécher. Sa tenue était simple, pourtant elle lui seyait à merveille. Noah était à couper le souffle. Et Aaron ne pouvait que se réjouir que cet homme soit le sien.

Ses cheveux étaient en bataille, comme tous les jours, et il fut incapable de s'empêcher de glisser ses doigts dans sa crinière. Sa main termina sa course dans sa nuque, sur laquelle il exerça une légère pression pour que leurs lèvres se rencontrent.

Leur échange était doux, chaste, mais suffisant pour faire passer tous ses sentiments.

— Mark avait du mal à me laisser m'échapper, c'est le premier noël que je ne passe pas en leur compagnie.

— Tu... Tu regrettes ? hésita Noah.

Ses dents mordillaient sa lèvre inférieure, le regard baissé vers le sol. Inconsciemment, il commença à se dandiner d'un pied sur l'autre, signe évident de son angoisse.

Ils étaient ensemble depuis plus d'un an, maintenant, et malgré les mois passés, les doutes de Noah revenaient parfois le hanter. Aaron pouvait être autant exaspéré par les piques qu'il pouvait recevoir dans ces cas-là, qu'attendri quand il faisait face à un Noah timide et hésitant. Un peu comme maintenant.

Sa main, qui n'avait pas quitté sa nuque, glissa jusqu'à frôler sa joue avant de stopper sa course. Noah pencha la tête pour approfondir ce contact. Il avait besoin de le sentir, de recevoir la chaleur de sa peau.

— Bien sûr que non, Noah.

Comment pourrait-il regretter ? Le chemin avait été long, parfois semé d'embuches, mais aujourd'hui Noah lui avait fait une place totale dans sa vie. Sa famille l'avait accueillie à bras ouverts, comme s'il était l'un des leurs, alors que la sienne était incapable de s'entendre. Sa touche personnelle était disséminée partout dans l'appartement où il avait pris ses quartiers – le sien désormais placé en location.

— Tu as besoin d'aide pour terminer ?

Une grimace se dessina sur les traits de Noah, alors qu'un rictus moqueur se dessina sur les lèvres d'Aaron. Ce dernier avait tout préparé ce matin, alors que son amant était au travail, puis avait laissé une liste détaillée de ce qu'il fallait faire avant de s'absenter.

Si Noah avait progressé sur bien des points durant leur relation, ses capacités culinaires étaient restées au même niveau. A tel point qu'il avait angoissé à la simple idée de devoir glisser les feuilletés dans le four pour les réchauffer, de peur de les faire brûler.

— Ma mère a contrôlé le four pour moi.

Aaron fut incapable de retenir son éclat de rire. Il avait beau tenir à Noah, être le premier à le rassurer, il devait reconnaître que, oui, il aurait été capable de faire cramer les petits fours.

— Tonton, l'interrompit la voix de Mattéo.

— Oui ? demanda Noah.

— Nan, pas toi, tonton Ron, repris Mattéo.

Un sourire attendri se dessina sur les lèvres de Noah. Il aurait pu être vexé que Mattéo l'ignore, eux qui étaient pourtant si proches depuis sa naissance, mais le seul sentiment qui l'habitait était la joie. Il était rassuré que son conjoint ait été accepté par sa famille, même s'il craignait la désillusion que Mattéo devrait affronter si Aaron venait à sortir de sa vie.

— Oui, petit cœur ?

— Tu viens jouer avec moi ?

Sa fine main d'enfant se glissa dans celle, bien plus imposante, d'Aaron et le traina à sa suite. L'aîné se retrouva obligé de s'asseoir au milieu des jouets et entama une partie de pirates et chevaliers avec les quelques Play mobil amenés.

Noah apporta les mets apéritifs sur la table basse, ainsi que la bouteille de champagne réservée au frais. Il servit l'ensemble des invités, et chacun trinqua à ce réveillon de Noël, avant que les discussions n'aillent bon train.

— Maman, c'est quand qu'y passe le père noël ?

Mattéo avait abandonné Aaron le temps de quelques secondes pour venir poser sa question. Il voyait les adultes discuter tout en dégustant l'apéro, alors que lui avait déjà fini ses saucissons favoris et attendait avec impatience ses cadeaux.

— Pendant que tu feras dodo, mon cœur.

— Et c'est quand que je vais au dodo ?

— Pas tout de suite, il faut d'abord qu'on mange, puis qu'on rentre à la maison et après au lit.

Il fit une petite moue triste, avant de trottiner pour reprendre sa place aux côtés d'Aaron.

— On joue encore tonton Ron, le père noël passe pas tout de suite.

Aaron sourit, ébouriffa les cheveux du petit garçon, avant de reprendre la course de voiture commencée.

— Ne soit pas jaloux de ton neveu, s'amusa Amélia, assise à la droite de Noah.

— Je ne suis pas jaloux, grogna-t-il en réponse.

Un éclat de rire lui échappa, attirant l'attention de toute l'assemblée sur eux. Noah enfonça la tête dans ses épaules, gêné, alors que l'hilarité d'Amélia s'accentuait.

— Je l'ai juste presque pas vu aujourd'hui, souffla-t-il.

— Oh ! Son amoureux lui manque, se moqua Amélia.

Elle récolta une tape derrière la tête, dont elle se vengea en pinçant légèrement les côtés de son cadet.

— Je suis épuisé ! s'exclama-t-il en s'effondrant dans son lit.

Depuis qu'Amélia et Arnaud étaient en couple, la tradition voulait que le réveillon de Noël se fasse chez eux. Seulement, cette année était différente et Noah avait souhaité qu'il se déroule chez lui. Chez eux. L'idée avait été accueillie avec joie et, si elle avait été excellente, elle s'avérait également épuisante. Pourtant, il n'avait aucun regret. Voir sa famille chez eux, et son compagnon intégré dans ce tableau avait gonflé son cœur de joie. Et demain, ce tableau n'en serait encore plus beau quand ils se trouveraient tous les deux chez ses parents, là où, l'année passée, il avait encore des doutes quant à leur relation naissante.

Aaron, sur ses talons, se laissa tomber sur le corps de son amant, son nez venant se glisser dans son cou, respirant son odeur. Les mains de Noah se glissèrent dans ses cheveux, prodiguant les papouilles qu'il appréciait tant.

— Tu m'as manqué.

Ses joues s'enflammèrent à cet aveu. Les progrès étaient réels, mais il demeurait toujours gêné et craintif.

Ils avaient emménagé ensemble depuis quelques mois. Les habitudes s'installaient petit à petit. La présence de l'autre étaient constante, mais, ces derniers jours, à l'approche des fêtes de fin d'années, leurs plannings s'étaient précipités. Il avait la sensation d'avoir uniquement croisé Aaron, échangé à peine un baiser, une caresse au détour d'un couloir. Et, alors qu'il pensait profiter de cette journée en compagnie de son petit-ami, ce dernier était allé travailler ce matin, avant de se rendre chez Mark. Aaron était rentré, seulement après que sa famille soit arrivée.

— Toi aussi, répondit Aaron.

Il commença à déposer des baisers papillons le long de la mâchoire du brun, mordillant la peau parfois. Ses mains se glissèrent le long des flancs, prodiguant des caresses douces, puis tirèrent sur la chemise pour la déloger du pantalon. Le tissu se froissa sous ses doigts, alors que ces derniers entraient en contact avec la peau douce.

Un soupir d'aise échappa au brun, ses mains fouillant toujours la tignasse du châtain. Il perdit ce contact quand les lèvres d'Aaron prirent le même chemin que celui emprunté par ses mains. Elles terminèrent leur course sur son ventre, laissant une traînée humide, avant que sa langue ne vienne plonger dans son nombril. L'aîné prit un malin plaisir à imiter l'acte sexuel du bout de sa langue, arrachant une plainte d'envie à Noah.

Ses doigts continuaient leur route, pour s'arrêter sur son entre-jambe, enfermée dans le pantalon. Il l'effleura, la taquina, alors que sa langue continuait sa douce torture.

— Noah, murmura-t-il, ses lèvres proches de la peau, arrachant une nuée de frissons.

Aaron délaissa la tissu du vêtement, pris appuis sur ses mains à plat sur le matelas et se redressa légèrement. Il contempla Noah, le visage rougi, sa lèvre inférieure mordillée.

— Je devrais sûrement te laisser dormir, si tu es épuisé.

A son tour, Noah se releva légèrement en prenant appui sur l'un de ses coudes. Sa seconde main, libre, alla se poser sur la nuque d'Aaron. Leurs visages, désormais à quelques millimètres l'un de l'autre, il sentait le souffle d'Aaron se mélanger au sien. Leur regard se rencontrèrent, se fixèrent.

— Tu as intérêt à éteindre l'incendie que tu viens d'allumer, chuchota Noah.

La distance entre eux fut rompue par le brun, qui vint écraser ses lèvres sur celles du châtain. Leur baiser était pressé, brutal, envieux. Leurs langues valsèrent au même rythme que leurs mains tiraient sur les tissus pour se dévêtir.

Bien vite, ils se retrouvèrent nus. Un nouveau soupir d'aise franchi les lèvres de Noah quand sa peau fraîche entra en contact avec celle bouillante d'Aaron. Il avait cette capacité à dégager une chaleur constante dont Noah profitait à chaque instant, surtout les nuits froides d'hiver.

Les lèvres du châtain semaient une trainée de baiser sur leur passage. Il avait commencé par sa bouche, son menton, ses clavicules, ses côtes. Son nombril avait été l'objet d'une longue attention, accentuant son désir pour son amant. Puis Aaron avait fini par atteindre son but.

Ses lèvres avaient léché son aine, avant de porter toute son attention sur sa virilité tendue. Sa langue avait titillé son gland, l'avait suçoté comme une friandise, avant qu'il ne finisse par lécher toute sa longueur, arrachant un soupir d'extase à Noah. Sa main gauche était crispée sur le drap, alors que la droite cajolait les cheveux d'Aaron.

Alangui dans le lit, il ne pouvait que toucher la tête d'Aaron et profiter du plaisir qu'il ressentait. Sa peau chauffait, son sang semblait entrer en ébullition, à mesure que les caresses d'Aaron se faisaient plus prononcées, plus insistantes.

Il fut incapable de retenir un léger cri quand son pénis fut entièrement avalé par la bouche chaude d'Aaron, et qu'un doigt lubrifié commença à caresser son muscle rose, avant de le pénétrer. Son index allait au même rythme que sa bouche sur sa verge. Ces sensations augmentaient, lui donnant l'impression d'être brûlant.

Il s'empala seul sur l'index d'Aaron, désireux d'obtenir plus. Plus de contact. Plus de chaleur. Plus de plaisir.

Son aîné saisit le message et son majeur retrouva son voisin, entamant des mouvements de ciseaux. Tout en continuant sa caresse buccale, Aaron leva le regard vers Noah. Il adorait voir son amant dans cet état.

Le souffle court, les joues rouges, les yeux tout justes entre-ouverts, les muscles tendus de désir. Cette simple vision le fit durcir un peu plus et il fut heureux d'avoir pris le temps de retirer ses vêtements. Sa verge compressée dans sa prison de tissu aurait été une torture pour lui. Il redoubla d'effort, accélérant tant le rythme de sa langue que de sa pénétration.

— Bébé, gémit Noah.

Cet appel suffit à faire craquer l'aîné. Aaron cessa sa douce et plaisante torture pour venir s'emparer de la bouche de Noah, dans un baiser vorace.

Il adorait quand Noah l'appelait par ce surnom. Il était peut-être banal, courant, mais Noah était si timide, si réservé que l'entendre lui procurait un plaisir infini. Il pourrait tout lui donner. Absolument tout.

Leurs lèvres toujours scellées, Aaron porta sa main vers sa verge, dont il présenta le gland à l'entrée de Noah, qu'il pénétra d'un mouvement lent. La prise de Noah sur sa nuque se raffermit, alors qu'il intensifia leur baiser.

Il sentait Aaron le pénétrer, prendre place à l'intérieur de lui. Il adorait sentir son corps contre le sien, son poids peser sur lui, sa peau frotter contre la sienne, sa dureté en lui, le pénétrant sans aucune protection. Après des mois de relation et, même si aucun d'eux n'avaient de doute quant à leur santé, ils étaient allé se faire tester pour s'assurer qu'ils pouvaient franchir le pas sans contraception.

Les résultats arrivés, ils s'étaient sauté dessus, affamés l'un de l'autre. La première fois qu'il avait senti le sperme d'Aaron couler le long de ses cuisses après leurs ébats passionnés, il était devenu aussi rouge qu'une tomate. Il avait été honteux. Puis le sourire rassurant et fier qu'il avait reçu de son amant avait fait éclater ce sentiment, remplacé par de la satisfaction. C'était lui qui procurait un tel effet à Aaron. Lui qui dormait dans son lit toutes les nuits. Lui qui avait le résultat de l'effet qu'il lui procurait coulant entre ses jambes.

Leurs bassins s'accordaient parfaitement ensemble, dansaient au même rythme. Les coups de hanches se firent plus rapides, plus brutaux. Une des mains d'Aaron se glissa dans le creux des reins de Noah pour le rapprocher encore plus de son propre corps. Il voulait se fondre encore plus en lui, comme à chaque fois.

La chambre était envahie par le bruit de leurs peaux claquant l'une contre l'autre, leurs gémissements d'extase se mélangeant, s'accordant.

La poigne de Noah sur le corps d'Aaron se serra quand il frappa sa prostate. Son bassin venait à la rencontre de celui de son aîné. Son souffle était saccadé, haché, comme s'il cherchait désespérément à retrouver sa respiration. Sa vision devenait floue à mesure que les coups de buttoirs s'enchaînaient sur son point de plaisir. Puis, l'extase pris le pas sur tout le reste.

Ses doigts se crispèrent dans les cheveux d'Aaron. Sa seconde main griffa la hanche à laquelle il se tenait et ses dents mordirent la lèvre inférieure du châtain alors qu'il se laissait aller à son orgasme, sans même qu'Aaron n'ait eu besoin de toucher son sexe tendu. Une plainte sybarite quitta sa gorge, rapidement accompagnée par un grognement d'extase d'Aaron. Les sphincters de Noah se serrant autour de son pénis avaient eu raison de son endurance, lui faisant lâcher prise.

Essoufflé, il se laissa tomber sur le corps de Noah, pesant de tout son poids. Le plus jeune le réceptionna, encerclant sa taille de ses bras, profitant de cet instant de douceur.

— Je t'aime, murmura-t-il, ses lèvres effleurant le lobe d'oreille de Noah qu'il mordilla ensuite.

— Je t'aime aussi.

Son cœur rata un battement. Ce n'était pas la première fois qu'ils se le disaient. Pourtant, à chaque fois que ces petits mots franchissaient les lèvres de Noah, il avait le souffle coupé. Une sensation de bien-être s'infiltrait en lui, comme si rien d'autre n'avait d'importance.

Il ne s'était pas trompé l'année précédente, quand il avait pensé que lui pourrait l'aimer. Il était amoureux de Noah.

Amoureux de cet homme dont la timidité et l'insécurité l'avait charmé. Amoureux de ce bordélique qui avait envahi son appartement pour son plus grand plaisir. Amoureux de celui qui l'avait réconcilié avec la notion de famille. Ses relations avec la sienne étaient toujours inexistantes, mais, en compagnie de la famille du brun, il se sentait chez lui, aimé. Il était considéré comme un membre à part entière. Amoureux de ces caresses et ces gestes d'attention grandissant à mesure que les jours passaient.

Ils s'aimaient tout simplement.

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