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Le début de la réunion


Il y avait un grand silence. Finalement, la première personne à bouger fut la boss de la mafia chinoise, elle s'approcha avec un grand sourire et s'adressa à Tsuna en italien :

-Ca faisait longtemps, bambino ! Mais tu as grandi depuis la dernière fois !

-Moi aussi je suis heureux de te revoir, Tantine. Je suis désolé de ne pas être venue à la dernière fête, mais j'ai eu quelques problèmes avec ma famille, lui répondit Tsuna en l'embrassant

-Ne t'inquiète pas pour ça ! Maintenant que tu es présent, on va enfin pouvoir commencer ! Par contre, ne t'avise plus jamais de me donner d'ordre, sinon... continua-t-elle tout d'abord d'une voix chaleureuse puis étrangement froide par la suite.

Le boss des Vongola sourit, et s'approcha des autres bosses. Il les salua un par un, eu quelques mots de bienvenues par chuchotement et se plaça devant le siège centrale de la table. D'un côté de la table rectangulaire se trouvait les mafieux, et de l'autre, les présidents. Comme le pays hôte était les Etats-Unis, c'était son président qui se trouvait en place centrale. A sa droite se trouvait la France, puis la Chine. A la gauche se trouvait le Royaume-Uni et la Russie. Le decimo se plaça donc devant le président américain, Tantine devant la France, russe devant russe, anglais devant l'Amérique du Sud et l'Afrique devant la Chine.

Les mafieux étaient débout à côté de leurs chaises, regardant attentivement les présidents qui étaient assis. La tension monta rapidement, puis, le premier à comprendre et à se lever fut le français. Les autres le suivirent avec une dose d'incertitude. Quand tout le monde fut debout, le boss d'Afrique parla doucement de sa voix caverneuse, aussi douce qu'un poignard effilé, en anglais, comme se déroulera toute la conversation future :

-Il est impoli de rester assis lors de l'arrivée d'une personne, et encore plus de s'assoir avant d'avoir la permission du plus haut, ou qu'il se soit assis le premier.

Le silence revient. Puis, d'un geste élégant, l'adolescent s'assis, son lion à ses pieds. Aussitôt, ses hommes se posèrent derrière lui. Les autres mafieux s'assirent donc à leur tour. Les gouverneurs se regardèrent indécis et firent de même. Le jeune homme passait pour le plus puissant, celui qui soumettait tous les autres...

-Je sais parfaitement ce que vous dites. Je suis très jeune, voir trop jeune pour être ici. Vous me tolérez simplement pour ne pas me vexer. Mais sachez que si je suis ici, c'est parce que ma famille est la plus puissante d'Italie. Et malgré mon jeune âge, j'ai déjà prouvé ma valeur au sein de la mafia. Et si vous vous demandez pourquoi c'est moi qui préside cette réunion, c'est que je suis le seul ici à pouvoir tous vous tuer. Si je le voulais, je pourrais, sans aide, tuer en combat singulier chacun d'entre vous. Ou même, je pense, tous en même temps. Mais je ne le ferais pas. Je suis contre la violence. Mais ce n'est pas la seule raison. Je préside cette discussion aussi parce que je ne me soumets jamais. Je choisis les règles du jeu, et si elles existent déjà, alors je les modifierais. Et si c'est impossible, je les détruirais.

Tous les non mafieux le regardèrent avec ahurissement. Et pourtant, aucun ne rigola, ne se moqua. Est-ce dû au fait que tous les mafieux semblaient d'accord avec lui ? Personne ne sut le dire. Mais tout le monde le crut quand il continua :

-Je vais changer la mafia. Elle retrouvera sa gloire d'antan. Elle sera de nouveau un refuge pour ceux qui en ont besoin, un lieu de paix. Sachez que cette discussion et ce qui sera établie modifiera à jamais le monde que vous connaissez. Sachez-le, suivez-nous et vous survivrez, chassez-nous et vous mourrez, tous.

Beaucoup de personne déglutirent, ayant peur des conséquences. L'adolescent semblait si sûr de lui. Aucun enfant ne pleurait, ce qui était tellement rare. Comme si ils savaient que leur avenir se jouait maintenant. Le véritable débat commençait maintenant. Le premier round était mené par la boss de la mafia Chinoise :

-Maintenant que tout est clair, commençons. Vous ne l'avez pas encore découvert mais il existe d'autres planètes habitables. Et les habitants de ses autres mondes font la conquête de l'espace. Cela ressemble peut-être à Star Wars, mais c'est vrai. Nous avons les moyens technologiques de protéger la Terre. Ce que nous vous proposons est un échange commercial : des armes contre des hommes. Nous inventerons des établissements spéciaux pour entrainer la population...

-Attendez, vous croyez vraiment que nous allons croire à vos sornettes ? Une guerre des étoiles, des extraterrestres, des armes utilisées seulement par la mafia ? Vous vous croyez dans un livre de science-fiction ? Le coupa le président chinois

-La première des politesses et de laisser les gens s'exprimer. Votre pays ne connaît peut-être pas la liberté d'expression, mais ce n'est pas une raison. Dit alors le boss d'Afrique. Pour vous prouver que notre technologie est beaucoup plus évoluée, demandez à un de vos meilleurs spécialistes de venir et d'examiner ceci.

Le mafieux fit signe à son bras droit d'apporter son arme. Elle ressemblait à un fusil mais ne contenait pas de chargeur. Un scientifique de renom sortit des spectateurs et s'approcha de l'homme. Il lui prit l'arme des mains et la posa sur la table. Bien que légèrement différente des armes conventionnelles, elle ne semblait pourtant pas être d'une technologie supérieur. Il allait faire un signe de la tête aux présidents quand le Vongola decimo s'adressa à eux :

-Il est vrai que sur la forme, elles sont presque identiques. Cependant, c'est le seul point commun. Elle est beaucoup plus puissante, précise, a une cadence inférieur à une seconde. Mes chercheurs ont estimé que nous avons environ 50 à 150 ans d'avance sur votre technologie...

-Gamin, ne nous dis pas des salades. Tu ne sais même pas encore être propre et tu parles de chose que tu ne connais même pas. Tu as fait ton petit discours et nous t'acceptons, très bien. Maintenant, laisse les grands parler entre eux et ...

L'homme se tue quand il sentit le canon de plusieurs pistolets pointé dans sa direction. Il leva les yeux de son interlocuteur et remarqua alors les postures des mafieux. Tous s'étaient redressés en entendant ses commentaires acerbes. Derrière le Vongola, l'homme au caméléon vert avait maintenant un pistolet vert pointé vers le président, comme l'homme au masque qui avait un pistolet noir. L'homme à la faux avait sortie des chaines, où l'on voyait encore des traces de rouilles, brunâtres et ayant un cliquettement inquiétant, perturbant. Le président chinois se retourna et croisa le regard noir d'un homme. Il avait des tonfas où sortaient des épines. Contrairement à la vidéo, il était entouré cette fois ci totalement de son aura bleu, qui tendait sensiblement vers le noir. Il semblait prêt à l'attaquer. Tous les gardiens du Vongola étaient dans le même état d'esprit. Comme tous les autres mafieux d'ailleurs. Ils avaient tous tiré leurs armes, près à venger le boss pour cette affront. Le président chinois déglutit et se tourna vers l'adolescent. Sa flamme frontal brulait avec force et l'homme sentit la chaleur venir jusqu'à lui. Il comprit que le jeune homme pratiquait une espèce de magie, et que cette flamme était bien réelle, et bien plus dangereuse qu'un simple feu. Mais la flamme était tellement intense que le président ne voyait presque plus le jeune homme, le visage baigné dans la pénombre.

Lorsque l'éphèbe se leva, il dégluti une nouvelle fois. Il sentait sa dernière heure arrivée. Bien que petit, Tsuna s'imposait et surplombait tous les autres. Tous ceux qui ne l'avaient jamais rencontré comprirent pourquoi il ne fallait jamais s'en prendre aux Vongola. Et surtout, que la rumeur comme laquelle le decimo avait détruit à lui tout seule l'une des plus grandes familles mafieuse était vraie.

Tsuna leva alors les yeux vers son détracteur qui se figea sur place. Ils étaient orange pur. La couleur la plus pur jamais vu. Certains scientifiques qui virent ce jour-là les yeux du decimo remirent en cause l'annonce que le blanc était la couleur qui était composé du plus de couleur. Ils affirmèrent qu'une couleur contenait toutes les autres, les existantes et les irréels, ils l'appelèrent alors l'orange Vongola. Mais cette conférence se déroulera quelques années après le jour présent. Pour le moment, le président chinois avait peur pour sa vie. Il avait compris que sur le moindre signe du Vongola, tous les mafieux le tueraient. Le decimo était peut-être jeune, mais il avait ce truc, ce charisme qui faisait que tout le monde le suivait, et s'il le souhaitait, mourais pour lui.

Ce fut alors d'une voix grave mais néanmoins douce qu'il s'adressa au monde entier :

-Rangez vos armes. Il n'est pas notre ennemi. Il a simplement exprimé son opinion. Presque tous les mafieux lui obéir sauf sa famille proche. Cette demande vaut aussi pour vous.

-Omnivore, il n'a pas le droit de te traiter ainsi.

-Certes, mais si vous le tuer, ou même le toucher, tout accord tombera à l'eau. Je pense cependant qu'il a compris et qu'il ne recommencera plus. Sinon, il épuisera sa seconde chance. Dans ce cas, je vous promets que vous aurez le droit d'en faire ce que vous voulez.

L'échange se fit rapidement et la terreur surgitau fond des cœurs de nombreuses personnes. Le président marchait maintenant surla ligne rouge et au moindre faux pas, les mafieux les plus horribles du mondese feront une joie de s'exercer sur lui. Tout ça avec l'assentiment de leurboss. Nombreux frissonnèrent quand la famille proche du decimo rangèrent leursarmes. Un adolescent de moins de 18 ans était capable de faire obéir les plusgrands tueurs à gages, il y avait de quoi avoir peur. Les autres présidentscomprirent alors l'importance du decimo. Sans lui, les monstres seraientlibérés dans la nature, sans contrôle. Les présidents se promirentintérieurement de ne plus douter des mafieux assis en face d'eux, sûr désormaisqu'ils disaient la vérité, sur tout.

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