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L'arrivée des Vongola




La jeune femme retourna son attention vers l'avion. La première chose qu'elle vit, c'est un énorme lion faisant au moins un mètre au garrot. Il avait un pelage mi- blond mi- roux. Sa crinière était faite de flamme orangé. Sa queue brillait aussi comme un flambeau. Il avait des grands yeux grenat Hessonite. Tout comme son maître d'ailleurs. La jeune femme en resta bouche-bée. Sa première impression fut de se dire qu'elle l'imaginait plus vieux, plus grand. Sa deuxième impression, qu'il était encore plus classe que sur la vidéo. Elle le détailla du regard de haut en bas.

La première chose que l'on remarquait, c'était la superbe flamme que s'étalait sur son front. D'un orange pur, elle était de la même couleur que ses yeux. La seconde chose que l'on apercevait, c'était ses cheveux bruns. Des mèches courtes défiaient la gravité tandis que d'autres tombaient joliment en cascade sur son épaule droite. Sa chevelure était illuminée à certains endroits par de minuscules flammèches. Ses grands yeux étaient sérieux, conscient de la gravité de l'instant. Cette vidéo était retransmise en directe et la première impression était toujours celle qui restait. Le jeune homme portait une grande cape noire. Tout le pourtour était en hermine ayant une légère teinte orangé. La cape était posée sur une chemise orangée dont le col était légèrement ouvert. Son pantalon était noir, dans une sorte de jeans treillis mais qui devait tout de même être fait sur mesure par un grand couturier. Il portait une ceinture fait d'une association de maillon en argent. Accroché à celle-ci se trouvait deux boîtes orangés. Ses chaussures étaient des bottes noires faites pour courir et se battre, tout en restant sobre et ne jurant pas avec l'ensemble. Elles étaient soulignées de la même fourrure que celle sur sa cape.

La dernière chose que remarqua la jeune caméraman fut ses mains quand il remit son col. Il portait des mitaines noires. Ses doigts étaient recouverts de ce qui semblait être du tissu d'argent. La même matière resserrait les gants au niveau des poignets. Griffé sur le dos de ses gants, deux magnifiques saphirs. Sur le pourtour des pierres se trouvaient une inscription, mais la journaliste était trop loin pour la déchiffrer. Les mains du boss étaient recouvertes de bagues. Chaque doigt en portait au moins une, sauf l'annulaire gauche. La bague Vongola quant à elle se trouvait sur le majeur droit. La chevalière avait un anneau qui semblait être de l'onyx. En son centre se trouvait un saphir bleu ayant exactement la même teinte que celle de ses gants. Sur son index droit se trouvait un simple anneau en acier sur chaque phalange. Sur le pouce droit, au plus proche du métacarpien, deux anneaux étaient entrelacés. L'un était taillé dans un onyx tandis que l'autre dans un saphir. Sur l'annuaire droit, un serpent en onyx était enroulé sur lui-même, l'un de ses yeux était un petit rubis tandis que l'autre était un petit saphir. Sur l'auriculaire, la bague des arcobaléno. Elle avait la forme d'une griffe et passait par toutes les teintes de l'arc-en-ciel.

Sur le pouce gauche, un anneau en acier dont le centre était un anneau d'onyx. Un anneau autour d'un anneau en somme. Beaucoup d'onyx, d'argent et de saphir remarqua la jeune femme. Chaque bague, si on ne prenait pas en compte sa valeur sentimentale, devait coûter aux bas mots 100 000 $ chacune. Sur l'index gauche, au niveau de la seconde phalange, un aimata, c'est à dire un anneau en plusieurs parties. Sur le majeur gauche, l'anneau des Millefieurs. Il ressemble à une griffe composé de deux ailes blanches en diamants. Comme dit précédemment, rien sur l'annulaire gauche. Enfin, sur l'auriculaire gauche, une bague en argent surplombé d'un mince saphir.

La caméraman le regarda dans son ensemble. Il était jeune, certes, mais il avait vraiment l'apparence attendu du plus grand boss de la mafia. Après lui, vient ses gardiens. Le premier à le suivre fut un jeune homme d'environ 18 ans, aux cheveux argenté. Habillé d'un costume comme tous les autres gardiens, il portait une chemise rouge. A sa ceinture, une chaine en argent comme son boss et une boîte rouge. En allumant sa cigarette, la femme vit à sa main droite sa bague Vongola. Sur les autres doigts, des anneaux en argents relié entre eux par des chaînes comme un poing américain. Il n'avait pas d'armes sur lui a par un bâton de dynamite...

Le suivant fut un homme avec un grand sourire et avec une chemise bleue. Il avait un katana accroché dans son dos. Puis, un homme avec des cheveux blanc et une chemise jaune. Après, un enfant ne devant pas avoir plus de 10 ans. Il avait une coupe afro, deux cornes de taureaux sur le front et une chemise verte. Il semblait décalé par rapport aux autres, pourtant, il était très sérieux et très calme, totalement opposé à l'attitude d'un jeune homme de son âge.

Ensuite vient l'homme aux yeux vairons et à la coupe ananas. Sa chemise était violette. Il tendit la main à l'intérieur du jet. Une jeune et jolie femme la saisie. Elle portait un tailleur strict noir et une chemise violette. Elle avait des cheveux bleus et une coupe ananas comme son homologue. Son œil droit était recouvert d'un bandeau de pirate et son œil gauche était violet. La caméraman remarqua alors que les deux personnages portaient ostensiblement un trident dans leur main libre.

Enfin le tout dernier homme à descendre était l'homme de la première vidéo. Son costume noir était coloré par une chemise bleue. Cette fois-ci, ses tonfas n'étaient pas visible mais la jeune femme se doutait qu'ils étaient à porter de main.

Une fois que tous les proches du decimo furent descendus de l'avion l'eurent encadré, les hommes assurant la sécurité du boss créèrent une allée allant directement à des limousines stationnées un peu plus loin. Le boss des Calvone s'approcha alors du decimo et les deux hommes se saluèrent. La caméraman était trop loin pour entendre leurs paroles mais ils semblaient être de très bons amis. Cette hypothèse fut d'ailleurs confirmée lorsque le Calvone passa son bras autour des épaules du jeune homme et l'emmena vers les limousines.

Quand le boss passa près d'elle, elle remarqua alors combien il était petit. Il ne devait pas faire plus d'un mètre 70. A peine cette pensée lut-elle effleuré que l'adolescent tourna son visage en sa direction. Lorsque son regard croisa le sein et qu'elle vit le léger sourire flotter sur ses lèvres, elle comprit que s'il lui demandait, elle le suivrait jusqu'au bout du monde.

Le jeune homme se détourna et entra dans la limousine, accompagné du boss des Calvone, de l'homme au caméléon et de celui au masque. L'homme à la faux entra avec les jumeaux et l'homme au tonfas. Les derniers gardiens entrèrent dans la dernière voiture.

Au lieu de la réunion, un brouhaha c'était installé. Les spectateurs discutaient entre eux et les 4 bosses mafieux faisaient de même. Tous discutaient comme des vieux amis. En même temps, ils se connaissaient depuis longtemps. La boss de la plus grande famille asiatique devait avoir au moins 60 ans. Elle ne devait pas mesurer plus d'un mètre 30 et avait une frange noire. Elle était en grande discussion avec le parrain de la mafia russe. Lui, il devait à peu près avoir le même âge mais faisait un bond mètre 80 et avait des yeux bleus et des cheveux blonds. Leur discussion portait sur les nouveaux bazookas tendance. Les journalistes ne s'intéressaient tout de fois pas aux discussions car ils ne comprenaient rien. En effet, pour pouvoir adresser la parole à un boss mafieux, il faut la première fois s'exprimer dans la langue maternelle de son interlocuteur. Et se sera seulement lui qui décidera dans quelle langue se fera la discussion. Tous les bosses parlaient donc au moins une dizaine de langues. Mais revenons-en aux journalistes. Ils ne comprenaient rien car si la discussion avait commencé en chinois, elle avait dévié en russe, puis en italien quand ils ont parlé du Vongola, puis en latin et en allemand... Finalement, maintenant c'était un mélange de mot de plusieurs langues... Impossible à comprendre pour quelqu'un ne parlant pas couramment le chinois, japonais, russe, anglais et italien dans le domaines des armes explosives...

Le boss d'Amérique du sud discutait avec d'autres membres de sa triade. En effet, comme Tsuna, les autres bosses avaient invité les dirigeants des grandes familles à venir assister à la réunion. Le dernier homme était le boss de la mafia d'Afrique. Il avait de nombreuses cicatrices sur le visage et donnait ses ordres à ses hommes de main pour s'occuper d'une famille ennemie. Si certains avaient écouté le début de la discussion, le boss avait fait fuir les oreilles indiscrètes. Après tout, rien de mieux que de parler de décapitation à la machette, ou de torture, ou de...

Enfin, les présidents des pays ayant de droit de véto étaient aussi présents. Ils se donnaient des grands airs et parlaient devant les caméras, disant qu'ils ne se laisseraient pas impressionner par ses hommes... Pourtant, les journalistes ne pouvaient s'empêcher de filmer les expressions nerveuses, les tremblements incontrôlables, les mains moites des cinq hommes.

Soudain, le silence se fit. On entendit alors le bruit d'un moteur. C'était le boss des Vongola qui arrivait. Sur l'écran géant avait été retransmise son arrivée. Si certains s'étaient exclamé au vue de son jeune âge, d'autres avaient craint le pire. Si lui, en ayant moins de 20 ans, dépassait déjà tous les plus puissants du monde (ne pas oublier que c'est Tsuna qui a ordonné la venue de seulement certains mafieux, ordonné le date, l'heure et le lieu), alors qu'elle était donc sa puissance ?

Le premier à descendre de la voiture fut l'homme au caméléon, puis celui au masque. Après, à moitié caché par les deux autres, le boss des Vongola, accompagné par son fidèle lion. Derrière, l'homme à la faux. En tout dernier descendit le boss des Calvone. Les trois tueurs à gages se mirent en formation triangle autour de lui, à environ 2 mètres de distance, assez éloigné pour que tout le monde le voit et assez proche pour que tout le monde les voient. Les trois hommes commencèrent leur foulé lorsque le pas félin de leur boss s'avança. Le jeune homme marcha tranquillement jusqu'à la table et s'arrêta du côté des mafieux. Il se tourna vers eux, et contre toute attente, il s'exprima en italien :

-Bonjour à tous, merci d'avoir répondu présent à ma convocation.

Le jeune homme sourit en remarquant le visage intrigué des journalistes. On leurs avaient expliqué précédemment que le premier qui parlait s'adressait dans la langue du destinataire ou s'il y a plusieurs personnes de nationalité différentes, de l'hôte. Mais, les mafieux avaient oublié de préciser, puisque cela leur semblait évident, si le premier à parler était le dirigeant et le plus puissant du monde, alors sa langue dominait toutes les autres. Et bien entendu, Tsuna était l'homme le plus puissant du monde et mêmes des mondes.

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