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9 : Les oubliés (1/3)

Maximilien et Oneshot jouaient aux échecs dans une arrière salle du centre de commandes de l'arche. Une brève trêve dans un monde en guerre. La pièce aurait dû être un bureau pour le chef de quart où un individu du même genre, au lieu de cela, il servait de lieu de détente. Les murs, fait d'un béton peint n'avait rien de très joyeux, même chose pour le bureau en inox. Les spots au plafond éclairaient la scène d'une lueur vive et uniforme. Seul le feutre des pièces glissant sur la surface métallique émettait un bruit étouffé.

Quelqu'un frappa à la porte.

« - Entrez, fit Maximilien

- C'est ouvert ! » Ajouta le sniper.

Une chimère à la tête de lapin bélier ouvrit la porte et resta dans l'embrasure. Sur son front, brillait l'éternel pièce de métal permettant de converser avec les autres espèces.

« - On a de multiples contacts sur le radar. Ils sont inconnus et ils viennent sur nous. Ils prétendent être l'escadron papillon.

- Et ? Interrogea Oneshot.

- Il déclarent avoir déserté, et être en contact avec un certain Happy Summer. Ils demandent à intégrer nos forces.

-C'est une bonne nouvelle, fit l'ex-commando. Qu'en dit Mylène ?

- Mademoiselle Ferreira a déjà confirmé.

- Où est le problème alors ?

- C'est la troupe qui les suit le problème : ils sont très nombreux et ne répondent pas à nos appels. »

Lentement Maximilien reposa la pièce de métal qu'il venait de prendre à sa place : « Il fallait s'en douter : à force de mettre le bazar, on attire l'attention, commenta-t-il.

- Allons-y. »

Les deux Humains se levèrent et quittèrent la pièce à la suite de la chimère. Ils rejoignirent Friedrich devant un écran géant sur lequel le commandant Higas était représenté.

« ... Ah, Capitaine Aquil, heureux de vous revoir. J'espère qu'avec vous au moins je pourrais avoir une conversation sensée et constructive.

- Qu'est-ce que tu lui as dit ? Demanda l'intéresse à l'opérateur radar.

- D'aller se faire foutre, répondit le rasta.

- Mais je n'avais pas commencé à parler, la conversation vient de débuter intervint Higas

- Je gagne du temps, s'expliqua Friedrich.

- Qu'est-ce que vous voulez ? Demanda l'ex-commando à l'adresse de son interlocuteur tandis que le rasta allait s'asseoir un peu plus loin.

- Je veux l'Arche et Mylène Ferreira. En échange, le gouvernement est prêt à intégrer les chimères qui le désirent aux processus de défenses. De plus, les autres déserteurs seront réhabilités et réintégrés dans des régiments non combattants. Aucune poursuite d'aucune sorte. L'échange me paraît honnête.

- Merci, mais non. Nous déclinons l'offre.

- S'il m'avait écouté, on aurait gagné du temps, commenta le rasta dans son coin.

- Écoutez, je vais être franc. Vous mettez le bazar sur le réseau et vous montez les hommes les uns contre les autres. Le gouvernement a lancé un avis de recherche sur le nom de Mylène Ferreira. Si vous ne faites pas un geste minimum, ils vont lancer l'assaut.

- Lancer l'assaut sur une arche ? Vous plaisantez ?

- Je crains que non. Cela m'énerve autant que vous, mais je dois suivre mes ordres. La livraison de Mylène Ferreira est le minimum acceptable.

- On refuse.

- Tu voulais un geste, intervint Oneshot en faisant un doigt d'honneur. En voilà un.

- Coupez la transmission. Élevez le niveau d'alerte au niveau trois. Prévenez tout le monde que l'on a de la visite en approche. Ils seront là dans... trois jours. » fini Maximilien à l'adresse des chimères présentes dans la pièce.

*

* *

*

Dans sa chambre, Nemaya pleurait. La guerrière s'était assise contre un des murs de béton de sa chambre. Les bras croisés sur ses genoux et la tête posée sur le tout. La douleur qui enserrait son cœur était terrible. Rald s'occupait d'une autre femme qu'elle, sa confiance dans la partie masculine de son espèce prenait un nouveau coup.

La sensation d'un contact sur son bras gauche la surpris. Elle releva lentement la tête, pour voir qu'une petite chimère posait sa main dessus. D'un rapide regard de gauche à droite, Nemaya constata que la pièce était remplie de ces petites créatures de tout âges et de toutes les couleurs. La plupart portaient des combinaisons parfois trop grandes, elles étaient montées sur les lits superposés, assises sur des commodes ou des montant de lit, et toutes l'observaient. La tutrice des enfants s'était adossée au mur du fond et attendait patiemment la suite des événements les bras croisés. Les unes après les autres, les petits lui parlèrent.

« - Hertalam nous a dit, fit l'une d'entre-elles.

- Ce qui s'est passé s'est déroulé devant témoin.

- L'autre femelle est allé le voir suite à ta visite.

- Mais il a fait son sac et est parti sans se retourner.

- Celui que tu convoites arrive. Il veut se battre à tes côtés.

- Tu as une seconde chance, si c'est là ce que tu désires.

- Ne la gâche pas.

- Reprends-toi. Voudrait-il te voir pleurer ? »

Par l'intermédiaire de la mémoire, les petits se rendirent compte que leurs encouragements n'avaient pas d'effets. Leur protectrice prit alors sur elle et les aida un peu à trouver les mots.

« - Ton cœur et ton esprit sont remplis de haine et de tristesse.

- Nous connaissons ton histoire.

- Pourtant tu n'as pas hésité un seul instant à nous protéger ce jour-là.

- Il est temps que tu laisses entrer un peu de bonheur dans ta vie.

- Fait-le pour nous.

- Nul ne survit longtemps lorsque la haine le brûle.

- Et nous aimerions te voir sourire.

- Laisse ton cœur te guider. Lui, sait ce qu'il te manque. »

Une petite chimère se colla à elle et l'enlaça. Bientôt suivie par une autre, et une autre. Rapidement, la terrible guerrière russe, fut enlacée par une douzaine de boules de poils et de plumes. Lentement, les pleurs cessèrent. Lorsqu'ils eurent totalement disparus, les chimères s'écartèrent et laissèrent la combattante se relever. Les plus craintives reculèrent, d'autres se cachèrent sous des lits ou derrière des armoires. La plus courageuse, celle qui l'avait prise dans ses petits bras en première, lui prit doucement la main.

« - Viens. Nous t'emmenons à lui. »

*

* *

*

La clef dynamométrique entre les mains, Manuel s'était installé dans le hangar principal de la base. L'endroit ressemblait à toutes les zones de maintenances du monde. Une allée centrale, trente-quatre emplacements de maintenance pour AMC, et autant pour des véhicules divers. Éclairés par des néons, le sol et les murs n'en restaient pas moins terriblement moches. L'architecture des installations était du même acabit : des assemblages mécano-soudés peints en jaune rayés de noir et numérotés en rouge. Les chimères allaient et venaient dans cet environnement technologique comme si de rien n'était. Une grande partie d'entre-elles cherchaient à l'apercevoir, ou voir ce qu'il faisait. Mais le jeune homme, concentré à son habitude, ne voyait rien. L'arrière de la future machine de Salida était ouvert et il avait déjà retiré quelques pièces en prenant bien soin de ne toucher que ce qu'il arrivait à identifier.

« - Excusez-moi, fit une chimère en s'approchant sur le caillebotis.

- Mais bordel de merde, où est-ce qu'ils ont foutu cette putain de cale de réglage ! Pesta-t-il dans la machine.

- Je vous dérange peut-être ?

- Hein ? Pardon ? Demanda Manuel en sortant la tête de la mécanique, en tee-shirt, avec du cambouis jusqu'au coude. Il identifia une femelle en tenue de treillis militaire. Le visage se rapprochait beaucoup du raton-laveur, même si le pelage ce dernier était d'un joli jaune et partait vers l'orange au niveau du cou.

- Désolé de vous déranger, mais...Qu'est-ce que vous faites sur cet engin ? N'est-il pas neuf ?

- Si, confirma Manuel. Mais ce truc est trop neuf, et mal réglé.

- Je ne comprends pas.

- Je l'ai testé tout à l'heure... et, à vide, je tape les cales de fin de courses des vérins de puissance. Donc, si je me met à porter un truc lourd parce que c'est nécessaire, et que je pilote un peu brutalement, j'arrache tout. Alors je raidis un peu plus les suspensions pour qu'elles encaissent mieux. Vous vouliez quoi ? Demanda Manuel en s'allongeant de nouveau dans la carlingue.

- Je... où est-ce que je pourrais trouver un Humain comme vous ?

- On doit être trois milliards encore vivants, répondit Manuel et regardant vers le haut. Ha ! Je te tiens enfoiré... cracha-t-il en trouvant l'écrou de réglage. Si on considère que la moitié sont des femmes... Je dirais : un peu partout... »

Le pilote, leva les mains et, à l'aide de la clé dynamométrique, commença à visser.

« ... pourquoi ? Râla-t-il, les bras tendus, sous la difficulté de la réparation.

- Non, comme vous.

- Un pilote d'AMC ? De Berserker ?

- Non, répondit la chimère en se baissant pour voir son visage. Une personne capable d'aimer une chimère

- Là, ça va être compliqué... répondit-il en se stoppant pour croiser son regard. Mais pourquoi chercher un Humain capable d'aimer une chimère ?... Je ne comprends pas. »

Visiblement gênée, la chimère regarda ailleurs.

« - Et comment vous vous appelez ? Redemanda Manuel en forçant de nouveau sur la clé.

- Djiza, sire. »

Sous la surprise, la clé dynamométrique ripa et lui échappa des mains. Il cracha un juron peu recommandable lorsqu'elle lui tomba sur le visage.

« - Vous allez bien monsieur Ferreira ? Demanda Djiza inquiète.

- Comment m'as-tu appelé ? Grogna Manuel.

- Euh... Monsieur Ferreira ?

- Non, avant !, fit le pilote en s'extirpant de la machine et en plantant ses yeux recouvert par les lunettes dans ceux de feu de la créature.

- Euh... ?

- J'ai pas rêvé... tu m'as appelé ''sire'', c'est ça ? »

Quasiment immédiatement, Djiza détourna le regard, encore une fois gênée mais d'avoir gaffé cette fois. Autour d'eux, les chimères se stoppèrent pour observer la scène.

« - Vous êtes le mari de ma Reine... Comment aurais-je dû vous appeler ?

- Djiza, fit Manuel en attrapant la chimère par les épaules avec une voix qu'il forçait excessivement posée et un sourire grimaçant. Tu es très gentille, mais... Où est Salida ? J'ai deux-trois trucs à mettre au point. »

*

* *

*

Mylène attendait patiemment l'arrivée de l'escadron de Berserker Papillon. A l'entrée de la base, elle savait que ces derniers arriveraient avant les troupes de Higas.

Quel con celui-là... Pensa-t-elle.

Pourtant, ce ne fut pas eux qui arrivèrent en premier. Mais un jeune homme aux cheveux très courts avec un sac sur le dos. Un jean, des chaussures de marche et un tee-shirt sale habillaient l'individu au visage décidé. Juste derrière lui, une chimère semblable à un daim turquoise dans une combinaison russe. Les deux s'arrêtèrent à l'entrée. En face d'eux, la combattante russe sortit, guidée par un groupe de petites chimères de tous âges. Ils restèrent ainsi quelques instants, la glissière de la porte de la base entre-eux et les chimères en retrait, curieuses de ce qui allait se passer. Nemaya n'osait regarder le jeune homme tandis que celui-ci parlait doucement.

Mylène n'avait pas besoin de connaître le russe pour comprendre ce qu'il disait. Le ton et le regard en disait parfois plus long que les propos dans une discussion. Et là, c'était aisément déchiffrable.

Soudain, le sol trembla. Paniqué le nouveau venu se retourna pour voir les machines de l'escadron Papillon se relever, les visages inexpressifs toujours posées sur leurs machines.

« - Non, fit Mylène aux quelques chimères présentes. Ça, c'est pour moi. »

*

* *

*

Myanate s'installa dans la banquette en s'y laissant tomber. Dehors, les combats avaient cessés. Les Silridriss étaient vainqueurs, et ils tenaient à le faire savoir. Sur différentes places publiques, des prisonniers étaient sommairement exécutés pour l'exemple. Essentiellement, des Humains qui cherchaient à continuer le combat. Mais la favorite avait décidé de laisser cette besogne aux armées de la Déesse-Impératrice, pour le moment, elle souhaitait se restaurer. Comme une ultime insulte, elle se décida pour un petit commerce de nourriture asiatique. Le commerce avait eu beaucoup de mal à s'installer, et en dehors des quelques lampions, de l'aquarium, des baguettes et de l'odeur, il n'y avait pas d'ambiance chinoise. Les murs restaient de pierre recouvertes d'enduit ocre, les bancs, de simples emplacements taillés près des murs et le mobilier en bois tout aussi sommaire. Au vu du massacre qu'elle avait perpétré, elle généra forcément un sentiment de malaise en entrant. Cela se traduisit par un silence complet. Considérant que ce n'était pas assez, elle assassina froidement les membres de la première table à sa portée. Cette action provoqua un mouvement de panique vers la sortie.

Un serveur resta seul, tétanisé, au milieu de la pièce dévastée.

« - Viens ici ! » Siffla Myanate en utilisant de l'Erapha pour se faire comprendre de l'asiatique encore là.

Avec une terreur compréhensible, l'homme s'approcha lentement.

« - Encore, jusqu'ici. » continua-t-elle en montrant l'emplacement juste devant la banquette.

A petit pas, il s'approcha jusqu'à l'endroit indiqué :

« - Que... que puis-je pour vous ?

Après lui avoir attrapé le cou sans ménagement, la favorite le força à s'agenouiller.

- Commence par témoigner le respect qui est dû à une représentante de la Déesse-Impératrice. A genoux ! Appelle-moi par mon titre de Favorite ! Et ne me regarde jamais dans les yeux.

- Que puis-je pour vous Favorite ? Demanda l'homme en baissant le regard.

- Tu vas me servir ce que vous faîtes de meilleurs ici. Mais gare : si cela ne me conviens pas, le cuisinier et toi serez mon plat ce soir. »

De surprise, le serveur releva les yeux, et cela fut immédiatement sanctionné. La baffe qu'elle lui asséna lui déchira en partie la joue et le projeta au sol en direction de la cuisine.

Il ne prit pas la peine de se relever avant de se précipiter dans la cuisine pour mettre le cuisinier au courant du risque qu'ils couraient. Les plats des précédents clients, désormais partis lui furent immédiatement apportés tandis que le chef en réalisait d'autres.

Un autre Silridriss entra dans la pièce. Si Myanate était vêtue d'une toge légère, celui-ci était paré de lourds tissus richement décorés. De manière calme, il se dirigea vers la Favorite.

« - Ô Favorite, mes cales sont pleines je viens payer mon dû.

- Que diriez-vous de vous restaurer en ma compagnie.

- Bien volontiers. Vous vous essayez à leurs plats ?

- Juste une curiosité, prenez place. Quand repartez-vous ? Demanda Myanate tandis que l'esclavagiste s'installait.

- Ce soir. Les Forges attendent des forces vives, et de ce que j'ai pu constater, ils en ont à revendre. La production de Sarback doit suivre nos pertes, répondit-il en approchant un plat de son museau. Il huma quelques instants, interloqué par l'étrange nourriture, avant de reposer l'assiette pour en tester une autre.

- Comment cela ?

- Quoi donc ?

- Notre production de matériels ne suit pas nos pertes ?

- Non, confirma Chacalash. Les esclaves Humains ne maîtrisent pas l'Erapha, mais il est clair qu'ils connaissent la guerre sous toutes ses formes. Nos pertes sont énormes. Ragoune, le maître des forges, a du mal à suivre. Dernièrement, il a ouvert une nouvelle unité de production, mais il manque encore de main d'œuvre pour la faire tourner. A ce sujet, je me suis permis de prendre quelque membres de leur hiérarchie : ce sera plus simple de se faire obéir de la masse par leur intermédiaire le temps que notre supériorité soit assimilée.

- Hum... fit la Favorite, mécontente en reposant un plat sur la table.

- Rassurez-vous, Ô Favorite. Je n'ai pas touché au noyau de commandement Humain. Je m'étais laissé dire que vous aviez des questions à leur poser. Précisa l'esclavagiste en mangeant dans l'un des plats avec les mains, ignorant les baguettes et les couverts.

- Sage décision.

- J'ai laissé le paiement à bord de votre navire, avec un petit bonus pour le spectacle auquel j'ai pu assister. Une représentante de la Déesse-impératrice en action, voilà une chose que je n'oublierai jamais, termina Chakalash en reposant l'assiette sur la table.

- Ravie que cela vous ait plus.

- Bien, je vais repartir, ... je dois avouer que ces plats ne me conviennent pas : il y a tellement d'épices que cela dénature complètement les produits qui sont dedans.

- C'est ce que je me disais également. Je vais finir mon repas ailleurs. »

L'esclavagiste se leva, suivie par la favorite. Ensemble, ils se dirigèrent vers la sortie. A l'entrée, Chakalash se retourna vers Myanate.

« - Dites-moi, Ô Favorite, où comptez-vous aller maintenant ? J'aimerais pouvoir vous suivre pour ma fourniture. »

Les yeux fixés sur l'aquarium dans l'entrée, la Silridriss n'écoutait pas. Le riche Silridriss allait s'enquérir de ce qui se passait, mais la colère qui courait sur le visage de la Favorite lui imposa le silence. D'un simple mouvement de la main, elle tira sans ménagements le serveur des cuisines jusqu'à elle. Myanate l'attrapa par la nuque et lui colla la tête contre la vitre du bassin rempli d'eau.

« - Qu'est-ce que c'est que ça ? Demanda-t-elle, mauvaise.

- Un aquarium... murmura l'homme, terrifié.

- Non ! Au fond !

- Un château englouti...

- A droite de la bâtisse !

- Un... Un scaphandrier.

- A quoi ça sert ?

- Ça sert à aller sous l'eau.

- Vous pouvez respirer sous l'eau avec ça ?

- Oui. »

Sans ménagement, elle jeta le serveur contre un mur, le tuant sur le coup. D'un coup de poing, elle brisa l'épaisse vitre de l'aquarium avant de récupérer la figurine. Elle sorti du bâtiment et se retrouva parmi les murs bruns de la ville, sous un soleil éclatant. Elle leva le petit scaphandrier sous la lumière pour mieux l'observer.

« - Que se passe-t-il Ô Favorite ? Demanda Chakalash juste derrière elle

- Si les Humains savent se déplacer sous l'eau, ils ont tout à fait pu bâtir des villes sous les océans. Ce qui expliquerait la difficulté que nous avons pour trouver les lieux de production de leurs machines. Le repas attendra, je dois parler à la Déesse-impératrice, faîtes ce que vous avez à faire. » Grogna-t-elle.

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