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10 : Désillusions (1/3)

Les deux berserkers avançaient en protégeant l'énorme camion de Oneshot au milieu des bois. Fernand devant à droite, Manuel sur l'arrière à gauche. Dans son véhicule, le pilote de l'armure blanche ne parvenait pas à en vouloir à son subconscient. Ce faisant, son regard glissa dans la remorque, sur les deux nouvelles armures bâchées. Deux modèles Geronimo, celles des ex-capitaines Aquil et Jugo. Les deux combattants s'étaient installés dans le camion, avec le reste de la petite équipe. Seule Salida, montée à l'arrière par une trappe, et regardait le paysage. Parfois, elle s'attardait un peu sur la machine de Manuel, mais elle reprenait sa contemplation assez rapidement. La route, ancienne, n'avait pas été entretenue depuis très longtemps. Sa largeur prévue pour des normes à ce jour plus d'actualité la rendait à peine assez large pour le camion, et fréquemment, les branches des arbres tapaient contre la carrosserie. Les feuilles frottaient la carrosserie jaune mais ne parvenaient pas à rayer la couleur. Haut dans le ciel, le soleil envoyait ses premières chaleurs d'été.

Manuel restait insensible à la beauté du paysage qui se dévoilait sous ses yeux : il s'interrogeait sur ses décisions. Celle d'aller chez les chimères pour commencer. En dépit des paroles rassurantes de la tigresse et de la guerrière, il sentait qu'il y avait quelque chose clochait. Ensuite, celle de prendre avec eux les deux soldats rencontrés à la zone dévastée de Lyon. Les ex-capitaines Aquil et Jugo leurs avaient raconté leurs désertion, jugeant qu'ils étaient en danger aux côtés du professeur Belamour. Ils s'étaient donc enfuis, et avaient trouvé refuge à Lyon. Ils ne s'y sentaient pourtant pas en sécurité : la possibilité d'être retrouvé ne leurs convenaient pas. Ils savaient se battre, et les deux combattants cherchaient un groupe qui se dirigerait vers la zone de front en Afrique. Après en avoir longuement discuté avec le reste de l'équipe de la Fantasy Circus. Il accepta que les deux soldats expérimentés les rejoignent. Mais, intérieurement, il changea d'avis en voyant les machines des ex-officiers. Des Geronimos, de véritables antiquités, crées lors d'une guerre précédente, elles n'avaient rien à voir avec les équipements standards distribués actuellement.

Seules les troupes d'élites avaient accès à ce matériel.

Si les deux soldats visaient un autre but que celui de vouloir rejoindre le front, celui-ci était très bien caché et ils s'intégraient bien au reste du groupe.

« - Tu es toujours inquiet ? Demanda Fernand à qui il avait fait part de ses doutes.

- Ouais. Depuis notre départ de Lyon, je ne les sens pas du tout.

- Manu, pour le moment, ils sont avec nous. Même si l'on a deux fantastiques machines de guerre, avoir des vétérans avec moi me rassure un peu. Oublie pas que l'on a pas le droit à l'erreur : si on se rate, c'est la mort.

- Ouais, justement, a ce sujet, merci de de me remettre la pression. »

Le jeune homme repensa à Alfa, l'équivalent d'Ego chez Fernand. Comme Ego, il s'agissait d'un subconscient personnifié : un ours caparaçonné fait d'un cristal rouge-orangé. L'armure couvrait tout le corps de la créature sauf la gueule, tout comme la machine de Fernand. Sur le coup, cela avait paru bizarre à Manuel qu'Alfa soit minéral, mais, maintenant, plus rien ne l'étonnait vraiment.

En fait, c'est Fernand tout craché. L'environnement l'atteint peu. Aussi fort dans sa tête que dans son corps, peut-être est-ce la raison pour laquelle son monde est fait de lave et de feu...

Sans le vouloir, Manuel réfléchit sur lui-même, et aux changements qui avaient eu lieu dans son propre monde.

« - Tu en as mis du temps pour te rendre compte de la corrélation. » Fit Ego en s'invitant dans ses réflexions.

Ha ? Donc, si tu as des ailes, et que je suis dans un château volant, c'est que je suis souvent en train de planer ?

« - Oui, j'attire d'ailleurs ton attention sur la dizaine d'échos radar qui arrivent face à nous.

- Twister ? Est-ce que... ?

- Oui, ce sont des chimères. Tégos, est-ce que c'est notre escorte ?

- Oui, ce sont eux. Mais c'est bizarre : ils ne sont pas très loquaces.

- Qu'est-ce qui ne va pas précisément ?

- Depuis qu'ils savent que Salida est là, ils ne cherchent plus à s'assurer de ce qui nous entoure. Ha ? Attends... si, c'est bon, ils veulent savoir combien nous sommes. Ça va, tout est normal. »

Manuel comprit immédiatement que quelque chose ne tournait pas avec les chimères. Il prit immédiatement les dispositions nécessaires :

« - Arlequin ! Cerbère ! Rejoignez vos machines. Dit-il en s'adressant aux deux commandos Ne démarrez pas. C'est sans doute de la paranoïa, mais je crois qu'elles ne viennent pas discuter.

- Doux-dingue, c'est Oneshot, Salida viens de rentrer dans l'habitacle, elle me dit que tout va bien. Elle ne veut pas que ça tourne au vinaigre...

- Je me doute ! Mais deux précautions valent mieux qu'une ! Et qu'elle ne dise rien dans la mémoire ! »

Les chimères surgirent devant le camion tandis que les machines des deux vétérans se refermaient. Fernand, a l'avant droite du convoi, comprit lui aussi que quelque chose clochait lorsque son regard croisa celui des créatures.

Mais qu'est-ce qui se passe ? Se demanda Manuel face à la créature verte et jaune fluo face à lui qui le regardait comme un prédateur. Un mélange entre un fennec et un chacal vert, avec des lignes jaunes qui s'entrelaçaient un peu partout.

« - A droite. » Fit Ego.

Le jeune pilote vit qu'une autre chimère, grise, qui ne ressemblait à rien en particulier, si ce n'était qu'elle était haute sur pattes, musclée et avait une tête de fauve. Là encore, la créature semblait prête à bondir sur tout ce qui se présenterait devant elle. Certaines cherchaient quelque chose des yeux dans l'habitacle.

Elles n'ont ni tiare, ni collier : elles ne sont pas là pour discuter... que veulent-t-elles ?

« - Tégos, combien de fois dans l'histoire des chimères y'a-t-il eut cette situation dans la monarchie ?

- Quelle situation ?

- Deux monarques, dont un déchu de son titre.

- Jamais. Attends, tu ne sous-entendrais quand même pas que... »

Tégos n'eut pas le temps de finir sa phrase. Dans les yeux des chimères qu'ils avait face à lui, Manuel vit qu'il avait vu juste ; Et surtout, la chimère sentit qu'il avait deviné. Une autre croisa le regard de la princesse et la reconnut.

« - C'est un piège ! Hurla-t-il tandis que la créature se jetait sur lui.

« - Merde ! » Cria Fernand dans la même situation.

Ego ne trouva rien de mieux à faire que de démarrer une musique.

https://youtu.be/Yry2X-oObds

Sous le poids de la chimère, sa machine tomba au sol, le monstre sur lui. Il se débattit tant bien que mal, sa position n'était pas la plus avantageuse. Comme un animal sauvage, le fennec vert cherchait à mordre la gorge de l'armure, mais il ne trouvait que le bras gauche du jeune homme. Manuel cru que leur bagarre dura une éternité. Elle s'acheva par une rafale de détonations, et le corps inerte de son adversaire. L'une des machines dans le camion changea de cible.

« - D'autres chimères en approche. Connexion satellite en cours. » énonça simplement Ego

Rhaaa ! Putain, la situation est en train de merder complètement !

« - Sincèrement, tu t'attendais à quoi ? Répondit le loup

- Oneshot ! Roule ! Roule ! Roule ! T'arrête pas ! » Cria Manuel en se relevant. Ne répondant pas à son subconscient.

L'énorme camion avait lui aussi été attaqué, deux chimères y étaient accrochées. Une troisième se préparait à déclencher son pouvoir. Avec un soulagement non feint, Le jeune homme vit les roues du camion commencer à tourner. Dans la remorque, les deux vétérans se débarrassaient des chimères qui ne s'étaient pas attendu à plus d'armures que les deux Berserkers.

Manuel se jeta sur la créature qui allait déchaîner son pouvoir, il la bouscula violemment juste avant que son pouvoir ne se répande. Ce dernier frappa les arbres qui entouraient le camion. Avec une horreur non masquée, Manuel vit les végétaux dépérir à vue d'œil. Les branches se recroquevillèrent et toutes les feuilles tombèrent comme en automne. Son attention se reporta alors sur la chimère haute sur pattes.

Ego, j'ai besoin d'une arme blanche ! À main nues, cela ne va pas du tout.

« - Requête lancée. Système Noral en fonctionnement. »

Un coup de feu fit éclater le crâne de son adversaire, l'un des deux vétérans venait de tirer. L'engagement était terminé. L'effet de surprise des deux Capitaines à l'arrière du camion avait été un facteur décisif de leur survie. Mais Manuel voyait les points rouges se rapprocher d'eux sur la carte.

« - A tout le monde ! Ici Doux-dingue ! Rapport de situation.

- Ici Oneshot ! On a de la tôle froissée, une grosse frayeur, et deux chimères en état de choc. Daniela s'occupe d'elles.

- Ici Arlequin, je suis avec Cerbère. R.A.S.

- Ici Twister ! Je vais bien ! Mais tout part en sucette : Les chimères ont attaqué sans sommations et on est en plein dans leur territoire ! »

Ego ! La carte !

« - Tout de suite ! »

Devant les yeux de Manuel apparu la carte de la zone. A son grand désespoir, il n'y avait aucune possibilité pour se sortir de ce mauvais pas : la fuite vers le nord, pour rejoindre Lyon était barré par une trentaine de chimères, et, éparpillés tout autour, des groupes entiers tenaient leurs positions ; enfin, au sud, une autre troupe de chimère faisait route vers eux.

On est vraiment dans la merde !

« - Comme tu le dis. » Commenta le loup.

On verra... Pour le moment, faut sortir de là,pensa Manuel en s'interrogeant sur ses chances de survies.

« - Doux-dingue, c'est Tégos. Je suis en contact avec une chimère qui se déclare toujours fidèle à Salida, il a une solution : y'a un ravin à trois kilomètres devant nous. D'après lui, il est praticable et il peut se charger de nos poursuivants.

- Il est fiable ? Demanda l'un des commando.

- Aucune idée.

- De toutes façons, ce n'est pas comme si l'on avait le choix. Arlequin, Cerbère, défendez le camion, Tégos, si tu t'en sens capable, tu fais pareil. Oneshot ! Plein pot vers le passage !...

- Génial ! On engage les chimères maintenant... commenta Fernand dans sa machine.

- Twister, tu es avec moi, on dégage le passage.

- Doux-dingue, c'est Salida, essaie de ne pas les tuer si tu peux : Hillgearim m'impute leurs morts. Fit la princesse en pleurant.

- Je vais faire ce que je peux. Mais s'ils ne veulent pas de bobos, qu'ils libèrent le passage. Twister, t'as entendu la dame ?

- Ouais, mais je promet rien non plus. »

Il y a deux groupes qui nous barrent la route, si je prends celui de droite, Fernand prendra l'autre tandis que le camion passera... Oui, cela devrait fonctionner.

Le pilote déploya les ailes de l'armure blanche, et la fit décoller en direction de ses prochains adversaires.

« - Attention Manuel, le Berserker n'a pas été conçu pour blesser les chimères, mais pour les massacrer. Si tu veux seulement les neutraliser tu vas vraiment devoir faire attention. Et maîtriser tes mouvements. »

Je vais que c'est pas gagné : cet engin réagit au quart de tour !

« - C'est sûr : elle est telle que tu l'as conçue. A ce sujet, ton épée est disponible sur le rack dorsal, poignée vers le haut ! »

Ok.

Il ne fallut pas longtemps à la machine de guerre pour trouver ses adversaires : Les chimères avançaient en direction du camion sans se cacher, parmi les arbustes et les fourrés qui recouvraient maintenant ce qui avait dû être un champ. Le jeune homme aurait pu les attaquer du ciel, ou engager le combat au milieu de leurs groupe pour maximiser les dégâts. Mais il préféra se poser face à elles, à bonne distance pour leur barrer le passage. Sa main trouva sans difficultés la poignée de l'épée, et il sentit des mords s'ouvrir pour libérer la lame qu'il ramena devant lui au niveau des jambes, sans prendre de positions particulières de combat.

Une magnifique épée droite, avec le style de l'épée vénitienne qui lui avait été confié par le maître d'armes de Clermont-Ferrand.

Ouais.. on fera avec.

« - Sachant que c'est avec cette arme que tu as appris l'escrime, autant en profiter pleinement non ? »

Si tu le dis, mais ce qu'est-ce qu'elle font ?

Devant le jeune homme, les chimères se mirent en arc de cercle. Certaines ne cachaient pas leurs intentions : elles grognaient, montraient des dents, se recroquevillaient. Mais toutes restaient à bonne distance.

Manuel voulu activer le bouclier sur son bras gauche. Mais en dehors d'un petit grésillement et quelques étincelles, il ne se passa rien. Le bouclier ne s'allumait pas.

« - Minute, laisse-moi le temps de le réparer. » expliqua le loup blanc.

Grouille ! Ça urge là ! Je ne sais pas quand elles ont l'attention d'attaquer, mais ça va chauffer dans pas longtemps.

Une chimère apparut au centre du demi-cercle. Elle retomba sur ses pattes comme après un gracieux saut. Immédiatement, les autres créatures prirent leurs distances. Un pégase, avec un pelage gris, et des yeux blancs. Dans sa tenue, il n'y avait aucune agressivité, contrairement à ses congénères.

Manuel garda sa position neutre.

Le cheval ailé s'ébroua, et les éléments nécessaires à une communication inter-espèce se coulèrent sur le pelage de l'animal avant de prendre leur forme définitive aux bons endroits, le dessus du crâne en le cou.

« - Enchanté de vous rencontrer Doux-dingue, ou plutôt devrais-je dire : Manuel Ferreira.

- Dans votre cas, c'est Monsieur Ferreira. Corrigea Manuel en s'interrogeant sur la manière dont la créature connaissait son nom. A qui ai-je l'honneur ?

- Je me nomme Hillgearim, je suis le roi des chimères...

- Ha merde ! C'est lui ? Laissa filtrer Ego.

Ego ! C'est pas le moment !

- ... j'aimerais m'entretenir avec vous sur une ingérence qui me chagrine profondément.

- Je vous écoute.

- Je ne comprends pas les raisons qui motivent votre engagement aux côtés d'une paria de mon peuple, en effet, c'est une affaire interne qui ne regarde absolument pas les Humains. Aussi, j'aimerais que vous me livriez la fautive sans plus d'effusions de sang. Il serait dommage de relancer une guerre meurtrière pour protéger une fugitive n'est-ce pas ? »

Manuel était ébranlé : en clair, ou il livrait Salida, ou la guerre avec les chimères reprendrait.

« - Reprends-toi Manuel. Il cherche à te déstabiliser. Murmura Ego.

Oui, je sais, il y arrive plutôt bien. Mais en y réfléchissant bien, il n'a aucune raison de relancer le conflit si ce n'est accumuler les victimes. Alors il ira ce faire foutre.

« - Vu que vous êtes le nouveau roi, je veux bien vous éclairer : Salida est sous ma protection.

- Vraiment ? Et au nom de qui ?

- Le roi Shershen.

- Shershen est mort.

- Oui, mais ce sont ses dernières volontés, et j'ai accepté de les respecter.

- Le roi à changé,si vous avez accepté les directives d'un précédent roi, veuillez accéder aux miennes.

- J'ai accepté les dernières volonté d'une personne que je connaissait mal, mais que je respectais. En dépit de toute considération d'espèce ou de statut. Maintenant, si le problème est que je suis les désirs du défunt roi, sachez que je suis celles d'une autre personne.

- Qui donc ?

- Moi-même. Et c'est une décision que j'assume complètement. Sachez que je n'ai aucun ordre à recevoir d'un intendant arriviste. Pour finir, nous nous défendrons à chaque fois que cela sera nécessaire pour voir la fin de cette fichue guerre. Même si les agresseurs sont manipulés par je ne sais quel marionnettiste. »

Autour de Manuel, le demi-cercle de chimère se resserra, visiblement, ses paroles avaient blessé comme il fallait. Hillgearim secoua la tête avec une mine de dépit.

« - Je pensais pouvoir arriver à un accord, quel dommage d'en arriver à une telle extrémité. Tout ceci aurait pu être éviter.

- Ça le peux toujours, déclara Manuel en prenant une position de combat, retirez vos troupes, laissez-nous tranquille.

- Cela ne sera pas possible, je le regrette. »

*

Le camion du sniper allait aussi vite qu'il le pouvait au travers des champs. Mais il restait un camion de transport de matériel lourd, par conséquent, sa vitesse ne dépassait pas les cinquante kilomètres par heures. Les deux commandos savaient que leur effet de surprise ne fonctionnerait qu'une seule fois, ils avaient donc sauté en marche du véhicule, avec une aisance qui impressionna le sniper. Maximilien et Frantz avançaient ainsi comme les pas d'un géant de part et d'autre du camion qui ne s'arrêterait pas avant d'avoir atteint son objectif : l'entrée du col qui serait leur sauf-conduit dans cette zone devenue dangereuse.

Salida ne cessait de pleurer les morts, recroquevillée dans un des coins de la cabine. A coté d'elle, la serrant dans ses bras, les larmes aux yeux et le visage de la colère, Tégos tentait de la rassurer. Mais les invectives dans la mémoires étaient virulentes, et particulièrement blessantes. Elles avaient bien tenté de se défendre, mais Hillgearim les avait accablées de tout les maux, et le peuple chimère l'avait cru. Maintenant, cela s'apparentait à une exécution verbale sur la place publique. Un véritable supplice pour la princesse.

« - Ici Twister, j'ai rencontré Hillgearim mais il s'est barré. J'ai du me défendre, désolé, cracha la radio

- Si tu as fini, rejoins-nous à l'entrée du col. Ça risque de barder !

- Non, corrigea la guerrière à l'arrière, ceux qui sont là-bas sont avec nous.

- Changement de programme Twister, faudrait que tu assures nos arrières.

- Ou est Doux-dingue ? Demanda le pilote de l'armure rouge.

- Je ne sais pas, sur la carte, il est en plein combat. »

Soudain, Salida s'arrêta de pleurer, et releva légèrement la tête en murmurant :

« - Manuel.

- Sors de là ! Rajouta Tégos, il va te massacrer... Et merde !

- Qu'est-ce qui se passe ? Demanda Daniela avec un verre d'eau entre les mains.

- Manuel affronte Hillgearim, et ça se passe mal pour lui.

- Je m'en occupe ! » Déclara Oneshot en prenant de nouveau la radio.

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