Le poing zéro
LES BD COMMENCENT A LA TROISIEME PAGE, LIEES PAR LE TEXTE ENTRE ELLES.
(Cette histoire n'est pas constituée de Memes agressifs envers le lecteur, mais elle est jonchée d'appartés en vieille BD de l'auteur et en MEME qui illustrent la descente dans la folie d'un narrateur parfois un peu acide, parfois très acidulé et dont il ne faut surtout pas avoir peur!)
"Mercedes, j'aimerai te conduire là où la lune éclairera tes jambes chromées...
Merde..."
Orène a un problème avec lui-même, comme beaucoup d'entre nous. Du moins, tous les gens qui se battent contre leur ego mais qui ont besoin de le faire sortir quelques fois. Comme on promène le chien pour qu'il évacue ses défections, ou qu'on permet une grève aux ouvriers pour qu'ils évacuent leurs déceptions; en fait: pour qu'on garde le chien, les ouvriers ou la santé mentale sous contrôle. Orène avait besoin d'une soupape et avait donc un problème avec lui-même, c'est pour ça qu'il parlait de lui à la troisième personne.
Et au passé, d'un seul coup, parce qu'il croyait qu'il avait tourné la page.
"Vas y c'est derrière. Loin, moi je suis au max! Je vois toute la forêt! Je remonte en haut dernier level!
Super sayan demain...
Je fais pitié...
Mercedes Agotado me voit à peine!"
Pourtant, prononçant ces mots plein d'assurance et de certitude, il pensait à son point le plus bas...
Le poing zéro, où sa tension était montée à son maximum.
Certains médecins craignaient que son coeur ne franchisse la limite.
D'autres craignaient qu'il ne fût plus juste border-line, que la frontière eut été franchie et que jamais plus il n'utiliserait de référence pour QI de cucurbacé comme "supersayan" et "wesh gros on est là".
Ce qu'ils ignoraient c'est qu'il les avait évités toute sa vie jusque là et feignait toute cette attitude lambda ces derniers jours, pour passer entre les mailles et se libérer. Pas de "Sisi" Pas de "Carrééément", jamais de "azzy sérieux j't'kif Merco de l'hosto" ou de compliments mythos genre "woah t es un génie, ton histoire est trop bien, viens lire la mienne". Un humain numérique non n'humanisé. Oui, son cas était grave.
En tout cas, c'est parce qu'il avait franchi physiquement et une fois de trop de véritables frontières, à l'autre bout du monde... Bien plus imperceptibles que celles des pays, et même des faux guettos de banlieue à BM-clio-Q7 ou à Jeep-rover-marteen qu'il en était arrivé là!
Et ce fut à ce moment précis, quand il se remettait de son dernier -et non ultime- voyage mouvementé, en jetant ses cachets dans le bois de l'hôpital psychiatrique -qui ne tarderait à le libérer- qu'il prit la droite de sa vie. Une qu'il ne révéla à personne jusque aujourd'hui.
Orène a vraiment fait cette plongée au plus bas, rencontrant dans ses abimes celui qu'il a toujours voulu rencontrer: la maladie, le virus. Il vint comme « Muqus » entre les fourrées: le poil enflammé. Et se présenta comme un gardien contre la forêt, pour lui déclarer officiellement sa folie:
« J'y suis arrivé! MAaaw! Cachets ou non tu me voawww! Clairement hein?
-Qu'est-ce' tu veux? Chat noir d' Songoku!
Le chat grandit d'un seul coup de la taille d'un arbre, sa patte -aux coussinets si moelleux et strrrrresssaannnt!- se transforma soudain en poing de géant cerf-dragon noir qui éclata sa-mère -la-face- à- Orène...
Hmm pardon.
...
C'était le poing zéro.
...
Il était sorti.
Sans prévenir. Ca on s'y attend moyen... C'est vrai, avouez...
Il tomba net, séché le pauvre bestiaux, en entendant au loin l'écho de la forêt qui criait "arrête la drogue!" Et c'est tout ce qu'il demandait! Lui qui n'en avait jamais pris de son plein gré! Sauf une fois, -allez!- comme tous ses grands homologues dirigeants du monde!
Est-ce que c'était vraiment la drogue?
"C'est mawl le cownnaitre! J'vous l'diw!"
Il était sorti. Ce poing zero, sans prévenir! Dans sa g...
Azzzy mets des étoiles et follow! HEUUUSSSHHH quand les BD vont arriver tu vas pleurer:
"mais je te jure des le début j't'aimais!"
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