Je m'éloigne très vite de cette horreur et cherche la sortie mais avec cette obscurité quasi totale il m'est impossible de voir mon chemin. J'ai trouvé une vieille bougie et de vieilles allumettes qui me permettent de voir un peu mieux. C'est fou le nombre de choses qui sont tombées ici des meubles, des ...cadavre, de vieux mannequins d'entrainement et tout un tas d'autres choses. En avançant un peu plus je fini par sortir de cette décharge et passe sur un pont en bois sont les planches craquent et plient sous mon poids manquant à tout instant de se briser et de me faire subir une chute dont je ne survivrais probablement pas cette fois-ci. Un e fois le pont passé me voici face à une montagne où un passage est creusé dedans, je m'avance tranquillement quand une violente crampe à l'estomac survient, je m'agenouille et me replie sur moi-même en me tenant le ventre à cause de la douleur insupportable, la douleur se stoppe un peu et j'arrive à me calmer mais en me redressant je remarque une immense flaque rouge à mes pieds, je regarde mes bras et vois qu'ils sont également rouges ce n'est que lorsque je senti mon âme éclater une nouvelle fois que je compris ce qu'il m'est arrivé, une lance dans le dos me traversant de part en part et moi me vidant de mon sang lentement. Un nouveau réveil non loin de l'endroit de ma mort, je m'avance de nouveau vers la montagne et entends un ricanement au loin immédiatement je me met sur la défensive et essaye de trouver d'où il provient. J'avance prudemment et évite de justesse une lance qui m'égratigne e bras, prise de panique je me mets à courir aussi vite que je peux mais encore une fois, elle me rattrape petit à petit. Nous arrivons dans un lieu entouré de lave et me retrouve obligé de passer sur une corniche très friable, la femme poisson me poursuit encore même si elle n'a pas l'air d'apprécier la chaleur intense produite par la lave. j'arrive à la fin de la corniche, elle m'empoigne le bras, je commence à perdre l'équilibre et chute vers l'immense lac bouillant mais je ne sens aucune brûlure attendre ma peau,  je relève la tête en direction de celle qui me retient par le bras

"Tch. Sérieusement humain, tu as de la chance que moi, Undyne ne veut pas chair carbonisée ce soir"

Elle m'aide à remonter sans pour autant lâcher prise, un sourire en coin se dessine sur ses lèvres, je fais un pas en arrière malgré le fait que je vais mourir une nouvelle fois

"salut Undyne!

-Ugh! Tu ne vois pas que je suis occupé sac d'os!

-justement à ce sujet, cet humain m'appartient

-Hah! Tu me fais marcher la non? C'est comme ça qu'on s'occupe de sa nourriture?

-c'est juste un léger contre-temps. mais je sis content que tu l'es retrouvé merci

-Tu l'as laissé s'enfuir, il ne t'appartient plus!

-on parie?"

Sans est arrivé au bon moment,, il occupe Undyne me permettant de m'enfuir de ces deux fous dangereux commençant justement à se battre entre-eux. Je suis à présent suffisamment loin de ces deux monstres, je me met à explorer les environs il y a un grand bâtiment sur lequel un panneau "LABO" est suspendu, il me semble abandonné et vu ce qu'il s'est passé dans les différents lieux que j'ai visité je préfère ne pas m'y aventurer et continuer mon chemin vers un ascenseur qui, contre toute attente, fonctionne encore. Il s'arrête, je descends et me retrouve devant les ruines de ce qui semble être un hôtel: le toit s'est en parti effondré, les murs fissurés, au centre une fontaine dont la statue, représentant un robot, a perdu ses bras, la seule sortie est bloqué par les décombres mais j'arrive à escalader et à sortir via un trou dans la toit.

A présent une sorte de grosse installation me fait face, à l'entrée il y est écrit "CORE", c'est le seul endroit où je peux me rendre et qui ne semble pas être trop détruit. Il y a des tuyaux partout ainsi que plusieurs chemins certains menant à des cul-de-sac d'autres à des sortes d'énigmes et enfin un menant à un pont d'acier débouchant sur une grande salle, vide, puis un couloir gris où les murs sont couverts de lierres et complètement fissurés voir même tombés en partie. Une des choses qui m'étonne est le calme absolu de ce lieu, seul le bruit de ma respiration est audible je n'ai croisé personne depuis un moment je ne suis pas encore morte ce qui me rassure un minimum. Je m'arrête un instant constatant que je ne marche plus sur de la pierre mais sur des fleurs, c'est une sorte d'immense jardin dans lequel sont plantées un  nombre incalculable de fleurs dorées, au centre de ce jardin se trouve un trône dans lequel est assit un monstre, mort, semblabe à une chèvre un peu comme Toriel, habillé d'une armure et d'une grande cape ainsi que d'une couronne dorée surplombant le haut de sa t^te, il tient dans sa main un long trident rouge Juste derrière lui se trouve un autre trône recouvert d'un vieux drap qui devait être blanc autrefois, je traverse la salle du trône et fait à présenrt face à une sorte de barrière j'essaye de la traverser une fois, deux fois, trois fois, quatre, fois...mais rien ne se passe, je retourne sur mes pas pour chercher une autre issue mais il semblerait que ce ne soit la seule. Ce qui signifie que je suis piégée dans ce lieu horrible condamné à mourir tuée par un monstre ou simplement de faim soudain un bruit derrière moi m'interpelle je me retourne et voit Sans, hache à la main et affichant son éternel sourire, il me bloque dans un cul-de-sac, lève sa hache au dessus de la t^te et dit

"alors humain, tu nous quitte déjà?"

End

Voilà c'est fini, je sais ça se fini encore mal comme pour ma précédente fiction sur Gaster (même si j'ai fait un happy end après ^^) j'espère vraiment qu'elle vous aura plus :3