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𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟓 - 𝐒𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐠 𝐝𝐞𝐬 𝐓𝐬𝐯𝐞𝐭𝐤𝐨𝐯𝐚

J'espère que vous allez bien aujourd'hui ! Nous avançons petit à petit dans le calendrier de l'avent... Pour le cinquième jour, retrouvez un extrait bonus de l'œuvre de moi-même @writewithmenow :

★ 𝐒𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐠 𝐝𝐞𝐬 𝐓𝐬𝐯𝐞𝐭𝐤𝐨𝐯𝐚 ★

Je suis désolée, ce n'était pas prévu, j'ai fait face à un désistement d'une personne qui arrête Wattpad et je devais remplacer au plus vite l'extrait de la personne. J'espère tout de même que celui-ci va vous plaire !

𝐌𝐮𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝é𝐞 : Lord Knows (feat Tory Lanez)

Bonne lecture !

𝐑 𝐀 𝐃 𝐇 𝐀 𝐍   𝐊 𝐇 𝐀 𝐓 𝐑 𝐈

𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐢𝐬 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐝'ê𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐚𝐩𝐭𝐢𝐟

❝ La lumière crue des néons envahit ma loge. Assis sur le banc en bois, je bande mes mains avec une concentration méticuleuse, enroulant la gaze sur mes phalanges comme si ma vie en dépendait. Parce que, ce soir, c'est un peu le cas. Le silence dans la pièce est trompeur, chargé d'une tension électrique que personne n'ose briser. Mes poings sont déjà lourds de cette soif de vaincre, une rage froide que j'ai apprise à canaliser.

— T'es prêt, Rad ? demande Zion en s'adossant au mur, son sourire taquin cherchant à alléger l'atmosphère.

Je ne réponds pas tout de suite. Je fixe mes mains, vérifiant chaque repli de bande, avant de lever les yeux vers lui. Un de mes chers et tendres amis.

— Plus que jamais.

Echo est là, debout près de moi, son regard plus nerveux qu'elle ne voudrait le montrer. Sa queue de cheval blonde danse derrière elle tandis qu'elle trie méthodiquement les petits tubes et compresses dans sa trousse médicale.

— Tu sais, Rad, tu n'es pas obligé de le tuer. Juste un petit KO suffira, elle essaie de plaisanter, mais sa voix tremble légèrement.

Je lui lance un sourire en coin.

— T'inquiète pas, je ferai en sorte qu'il puisse encore marcher... peut-être ?

— Ah oui, j'ai un cadeau pour toi, dit-elle en me tendant une boîte bien emballée. Joyeux Noël !

Je déchire l'emballage d'un geste précis, curieux malgré moi. Il est vrai que je n'ai jamais fêté Noël, ce n'était pas dans les coutumes de l'orphelinat. Je suis comme un gamin à qui on offre une pile de cadeaux.

À l'intérieur, une chaîne en argent repose sur un coussin de velours noir, le pendentif en forme de gant de boxe accrochant la lumière froide des néons. Je retourne le pendentif et lis l'inscription gravée au dos : "Pour ton combat le plus important : reste toi-même".

Mon regard croise le sien, un mélange de gratitude et d'émotion me traverse.

— Merci, Echo, dis-je simplement, en serrant la chaîne dans ma main, comme si c'était une amulette destinée à me porter chance.

Dane, mon coach, entre dans la pièce en claquant des mains, brisant ce moment d'émotion. Je laisse le cadeau de côté, étant donné que je ne peux pas le porter dans le ring.

— Allez les gars, c'est le moment. Tout le monde dehors. On va faire un dernier briefing.

Zion et Aspen obéissent à contrecœur, lançant des clins d'œil et des blagues nerveuses en sortant. Echo hésite avant de me tapoter l'épaule.

— Fais pas de conneries, d'accord ?

— Toujours pas, je réponds, l'assurance dans ma voix masquant mon cœur qui bat à cent à l'heure.

Dane ferme la porte et me fixe.

— Koda est une putain de machine, Rad. Il n'a pas perdu une seule fois pour une raison. Il frappe comme un marteau. Mais toi, tu réfléchis. Tu utilises ton cerveau, pas juste tes poings. Ce soir, c'est ta stratégie qui va le briser. Ne te laisse pas emporter par sa puissance, tu comprends ?

Je hoche la tête. Mon esprit est déjà dans la cage.

— Je sais. Il va falloir que je le fatigue. Je le laisse venir, j'encaisse, puis je riposte.

— Exactement. Et surtout, reste calme. C'est toi le champion !

Les lumières s'éteignent soudain sur les écrans de la loge, plongeant l'arène dans une obscurité totale. Je sens le sol vibrer sous mes pieds, le rugissement de la foule filtrant à travers les murs de ma loge. Mon nom est scandé, encore et encore.

— Radhan ! Radhan ! Radhan !

Quand la porte s'ouvre, la clameur explose. Je sors dans le couloir, entouré de mon équipe. Zion porte fièrement ma serviette sur son épaule, Aspen filme en souriant, tandis que Dane me guide d'un geste ferme vers la rampe qui mène à l'arène.

La musique que j'ai choisie commence. Mon cœur martèle contre mes côtes, mais mes pas sont assurés. Chaque mouvement est précis, réfléchi. Je porte mon short noir, simple mais agressif. Mon torse est nu, ce qui laisse entrevoir mes épaules sculptées. Mon regard lui, reste fixé sur l'horizon, sur cette lumière aveuglante qui m'attend au bout du chemin.

Une fois sur le ring, je grimpe entre les cordes avec une fluidité mécanique, jetant un regard à la foule. Ils sont là, des centaines de visages, mais je ne vois qu'un flou indistinct.

Puis, Koda fait son entrée. La foule s'enflamme à nouveau. Il est massif, bien plus grand que moi, son torse tatoué scintillant sous les projecteurs. Ses cheveux châtains sont tirés en arrière, et sa barbe est mal entretenue. Son regard glacial me transperce, mais je ne suis pas prêt à me laisser vaincre.

L'arbitre annonce le combat, et nous propose que l'on se tape dans la main avant de le début des coups. C'est ce que nous faisons, lorsque la cloche retentit. Le silence pesant qui s'était installé entre les battements de cœur se brise aussitôt sous les hurlements de la foule. Koda bondit en avant comme une bête furieuse. Son ombre gigantesque se projette sur le ring, et je sens son premier coup venir avant même qu'il ne le lance.

Un crochet droit, rapide, puissant. Je bloque juste à temps, mais l'impact me traverse comme un coup de marteau. Ma garde tient, mais mes bras vibrent sous la force brute. Il ne me laisse aucun répit : un uppercut monte aussitôt, visant mon menton. J'esquive d'un mouvement sec, le gant effleurant ma mâchoire.

Je recule, léger sur mes pieds, mes jambes travaillant instinctivement pour rester hors de sa portée. Mais Koda ne lâche pas prise. Son style est un mélange de brutalité et de pression constante. Chaque pas qu'il fait semble réduire la taille du ring.

Il avance, il frappe, et moi, je tiens. Ses gants sifflent dans l'air en ratant ma tête de quelques centimètres. L'adrénaline coule dans mes veines comme un torrent, mais je ne me laisse pas submerger.

J'observe, j'apprends. Ses attaques sont rapides, mais prévisibles. Il cherche toujours à écraser, à détruire. Un jab puissant fend l'air et me heurte l'épaule, mais je pivote et me repositionne immédiatement.

Ma riposte vient enfin. Mon premier jab, vif et précis, trouve son arcade. Un bruit sourd résonne, et je vois un éclat de surprise dans ses yeux. Le coup n'est pas assez puissant pour le ralentir, mais c'est un début.

La foule derrière-moi hurle chaque fois qu'un gant touche un corps. Mon nom résonne par-dessus le chaos :

— Radhan ! Radhan ! Radhan !

Koda, imperturbable, revient avec une série de crochets. Je bloque le premier, esquive le second, et recule à nouveau. Ses coups manquent de finesse, mais pas de puissance. Chaque impact sur ma garde m'enfonce un peu plus dans le sol.

La cloche retentit, marquant la fin du round. Je retourne dans mon coin, le souffle court, les muscles tendus. Echo s'approche immédiatement pour nettoyer une coupure légère au-dessus de mon sourcil. Dane se penche vers moi, sa voix ferme couvrant le vacarme de l'arène.

— Il frappe fort, mais il se fatigue vite. Continue de bouger, continue de l'user. Il va s'effondrer avant toi, je te le garantis.

Je hoche la tête. Mon cœur bat toujours à un rythme fou, mais je sens la chaleur de la rage monter. Mon équipe doit descendre après quelques minutes de répit, annonçant le deuxième round.

La cloche sonne à nouveau, et je m'élance hors de mon coin avec un plan en tête. Cette fois, je vais jouer sur ma vitesse.

Koda arrive, toujours aussi agressif, mais je le sens légèrement plus lent. Ses attaques sont sauvages, mais elles manquent de précision. Il balance un énorme crochet droit, mais je l'esquive d'un pas rapide, tournant autour de lui.

C'est mon tour. Un jab précis touche son nez, un deuxième frappe sa tempe. Il grogne, un son rauque qui témoigne de sa frustration. Je reste mobile, mes pieds glissant sur le tapis avec fluidité.

Il tente de me coincer dans un coin, mais je pivote et lui envoie un crochet au corps. Le gant s'enfonce dans ses côtes, et je sens son souffle se couper brièvement.

Le public rugit à chaque échange. Leurs cris se mêlent aux coups, créant une cacophonie qui me pousse à aller encore plus vite.

Koda recule légèrement, mais je vois la colère dans ses yeux. Il balance un enchaînement, et je bloque puis contre avec un uppercut. Son menton claque en arrière, et je vois sa tête vaciller. Je ne relâche pas la pression. Un jab, un crochet, encore un direct. Il vacille, mais il reste debout. Ses coups deviennent plus lents, plus désordonnés. Je commence à sentir l'ascendant psychologique.

Mais il est résilient. Un direct puissant heurte ma garde, et je sens mes jambes trembler sous l'impact. La cloche retentit à nouveau, mettant fin au round avant que l'un de nous puisse porter le coup décisif.

Je retourne dans mon coin, le souffle rauque. Echo essuie rapidement la sueur de mon front, tandis que Dane se penche vers moi.

— Il est à toi, Rad. Il est fini. Mets-lui tout ce que t'as au prochain round.

Le dernier round commence, et cette fois, je sais que tout se joue maintenant. Mes jambes sont lourdes, mes bras brûlent, mais je refuse de m'arrêter. Cette douleur, je l'aime.

Koda avance, toujours aussi imposant, mais son souffle est saccadé. Son visage est marqué de coups, une fine traînée de sang coule de son arcade ouverte. Il balance un crochet désespéré, mais je l'esquive avec facilité. C'est ma chance. Mon jab frappe son visage, suivi d'un direct qui claque contre sa mâchoire. Je suis dans un état second, chaque coup venant naturellement, comme une machine bien huilée.

Le public est en délire. Les cris, les lumières, le bruit sourd des gants qui frappent, tout devient un brouillard dans mon esprit. Je n'ai qu'un seul objectif : le finir.

Il tente un dernier assaut, mais son crochet manque de puissance. Je le contre avec un crochet parfait, mon poing frappant sa mâchoire avec une force qui semble résonner dans tout le ring. Il s'effondre lourdement au sol, sa tête heurtant le tapis. L'arbitre commence à compter, mais je sais qu'il ne se relèvera pas.

La cloche retentit, et cette fois, elle marque la fin. Mon bras est levé, et la foule explose en acclamations. J'ai gagné. Je suis invaincu. Putain j'ai réussi !

Je touche bientôt à mon but, la finale du championnat est à portée de mes poings... Mais ce rêve, je ne le savais pas encore, allait s'effondrer avant même d'être réalisé, brisé par les chaînes invisibles 𝐝𝐞𝐬 𝐣𝐮𝐦𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐓𝐬𝐯𝐞𝐭𝐤𝐨𝐯𝐚. ❞

𝐍𝐃𝐀 : Voici un extrait bonus de mon histoire, qui se déroule avant le début de ma romance ! J'ai décidé d'écrire sur une scène de boxe, car après tout, c'est le sujet principal de mon histoire. Je vous souhaite de merveilleuses fêtes, prenez soin de vous 🎁

Si vous êtes un/e lecteur/rice de cette histoire, n'hésitez pas à donner votre avis pour les lecteurs du calendrier de l'avent 🎄

Qu'avez-vous pensé de ce bonus ?🎁

À demain à 18h pour découvrir qui se cache derrière la case numéro six

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