Gray: *arrive devant la porte de la chambre d'Epon, et frappe* Ep? Tu es là? x)

Rutella: C'est toi, Gray? :o

Gray: Hum...? *ouvre doucement la porte, et remarque que Rutella est présente dans la chambre* Dame Rutella?

Rutella: *souriant légèrement* Entre. :)

Gray: *un peu surpris, il entre dans la chambre, et remarque Epon allongé sur son lit, recouverte par un drap, semblant dormir... en souffrant. Il se rapproche alors rapidement d'elle* Epon? Qu'est-ce que...? o_o

Rutella: *pousse un soupir en regardant sa fille d'un air inquiet* Je l'ai retrouvée dans cet état ce matin. Elle est brûlante de fièvre, et semble agitée.

Gray: Mais... comment? Pas plus tard que hier soir, elle allait bien pourtant!

Rutella: J'ai déjà fais venir différents docteurs, Zoras et humains, mais aucun n'a pu diagnostiquer ce qu'elle a.

Gray: Merde... *pose sa main sur le front d'Epon, et constate effectivement qu'il est brûlant. Il observe ensuite en direction du couffin de Norell, non loin du lit, mais remarque qu'il n'y a personne dedans* Où est Norell?

Rutella: J'ai demandée à deux de mes servantes de s'occuper de lui. J'ai déjà ma fille qui est malade, je ne souhaite pas que mon petit-fils le soit tout autant.

Gray: Je vois. *observe de nouveau Epon pendant quelques instants, avant de tourner ses yeux vers Rutella, qui semblait épuisée* Vous devriez aller vous reposer. Vous avez l'air d'en avoir besoin. Je vais rester ici avec elle pendant ce temps.

Rutella: *regarde Gray, puis sa fille d'un air inquiet. Elle n'était pas enchantée de la laissée dans un tel état.* Tu as raison. Je vais me reposer, et essayer d'être plus optimiste. Merci d'être là pour elle, Gray.

Gray: Pas besoin de me remercier pour ça, c'est normal. :)

Rutella: *adresse un léger sourire au jeune homme, avant de quitter la chambre, laissant sa fille avec Gray*

Gray: *se lève ensuite, attrape un morceau de tissu qui se trouvait sur le bureau d'Epon, le trempe dans l'eau de la fontaine qui se trouve à proximité, et revient vers la demi-Zora pour lui poser le vêtement humide sur le front, espérant que cela fasse baiser sa fièvre. Il soulève ensuite doucement une partie du drap pour observer au niveau de la cuisse gauche d'Epon. Comme il pouvait le soupçonner, la marque divine de Nayru de la jeune fille luisait. Etait-elle dans une psysalis? Non. Une psysalis ne pouvait pas durer aussi longtemps, et encore moins provoquer une telle fièvre chez une personne. Etait-ce alors lié au phénix bleu en elle? Est-ce que tout cela était lié à ses humeurs un peu changeantes ces derniers jours? Il y avait des chances, mais rien n'était sûr. Il remet alors le drap en place, s'assied sur le bord du lit, et saisit une main d'Epon, avant de soupirer, l'air un peu attristé.*