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Simthé, madame Bloomberg & le frêle jeune homme

Le regard du juge ce pose encore une fois sur l'assemblée. Madame Bloomberg échange un long moment de regard avec le juge. Elle pince davantage ses lèvres puis fronce sévèrement des sourcils, de ses fins sourcils roux. Madame Bloomberg comprend aussitôt. Un long soupire lui échappe et elle ce dresse en un bond. Elle ce dirige rapidement vers les deux tables des avocats. Elle prend rapidement l'une des chaises et s'assoit rapidement dessus. Des voix s'élèvent dans la salle, le bruit devient de plus en plus insoutenable. Simthé tape du marteau pour calmer toute cette tension.

— ça ne me dérange pas que Madame Bloomberg s'assoit aux côté des avocats. Au contraire, je la vois mieux.

Les bruits disparaissent et tous observent la femme mûr. Elle a les jambes croisés, les mains qui ce tiennent. Les sourcils froncés, les lèvres pincés et la respiration plus ou moins stable. Elle pose alors son coude sur la table et ce penche légèrement vers l'avant un sourire malicieux aux lèvres.

— Vous aviez dit que le principal suspect était Tristan, non ? En dirait bien que vous aviez menti.

— Oui.

Simthé prend son marteau mais s'arrête alors. Le procès va prendre fin, bientôt. Il doit juste travailler la mère du défunt et puis, ce sera finit. Plus personne ne sera là. Il prend à son tour une grande inspiration. Et sort alors, son habituelle question.

— Comment allez-vous, madame ?

Madame Bloomberg sourit de plus belle, elle devient alors hilare. Personne dans cette pièce ni même monsieur Bloomberg n'a jamais vu cette femme rire de cette façon. En balançant les bras, ce tenant le ventre et à deux doigt de tomber au sol. Elle répond alors à l'homme qu'elle va drôlement bien. La femme d'âge mûr tente tant bien que mal de ce calmer sous les regards, choqués, outrés de l'assemblé. Comment peut-on perdre son fils, venir au procès pour déterminer qui sont les fautifs et finir à moins d'une heure de la fin, hilare, morte de rire à deux doigts de s'évanouir. Le mexicain grince difficilement des dents, le père du défunt fronce rapidement des sourcils, celle qui l'aimait ne peut s'empêcher de murmurer des messes basses, Adam prit intérieurement tandis que son ex meilleur ami reste stoïque. L'ambiance devient de plus en plus lourde. Personne n'arrive à supporter. Deux heures de procès, dans une pièce démuni de lumière, avec une forte odeur de transpiration. Tous le monde s'observent, souvent avec des arrières pensés. Personne n'est à l'aise, hormis le juge, les avocats et madame Bloomberg.

Le juge ne cesse de lui poser des questions. Tout d'abord sous le plan personnel, rien qui ne touche de près ou de loin à son fils, sa fille ou son mari. Juste elle, sa jeunesse, ses convictions, aux choses auquel elle croit, ce qu'elle a toujours voulu être. C'est peut-être la première fois que quelqu'un entend ce qu'aurait voulu être la femme rousse. Elle a grandi dans une famille suivant tout à la lettre, dès l'adolescence, on lui a dit qu'elle serait promise à un Bloomberg. Lequel ? Elle ne savait pas, mais un Bloomberg. Une adolescente d'une ancienne petite famille de la noblesse écossaise promise à cette illustre famille des pays-bas. Après, elle n'a pas été particulièrement déçu quand elle la rencontré. Mais ça a été la désillusion, elle s'attendait à quelqu'un qui sentait la noblesse et la loyauté et non à quelqu'un de plus ou moins rustique et ce laissant aller. Mais elle n'a rien dit, après tout, c'était un Bloomberg. L'assemblé est médusée par ces propos parlant d'un système presque moyenâgeux, datant d'encore plus loin. L'autre protagoniste de l'histoire semble à son tour mal à l'aise. En effet, la manière dont il est dépeint ne lui fait pas honneur. La façon dont il est décrit le montre comme un sorte d'échec. Il balaye directement ses pensés et écoute alors le procès. Il veut des réponses par rapport à son fils, Ethan Bloomberg.

— Vous savez, je ne penses pas l'avoir aimé à un moment de ma vie. Je n'ai jamais rit, ni sourit au cours de mon mariage. Sauf aujourd'hui, au procès essayant de rendre justice à mon fils.

Elle souffle, une mèche s'échappe de sa chevelure et tombe sur son font bombé. Elle sort alors une épingle d'une de ses poches et elle arrange tout de suite sa chevelure. Elle croise alors des bras, resserre ses jambes. Madame Bloomberg semble chercher les mots juste dans cette situation délicate.

— J'ai beau dénigrer mainte et mainte fois mon fils, elle pince de plus belle ses lèvres puis les dé-serre, je l'aimais. C'était mon fils.

— Vous l'aimiez tellement que vous le torturiez psychologiquement, vous ne le saviez pas ?

— Si, je le savais. Mais c'était l'aîné, il devait être fort, il devait protéger son père et sa sœur par la suite.

— Comment le saviez-vous, madame Bloomberg ?

Elle ouvre sa bouche, la referme et baisse lentement de la tête. Il y'a quelques minutes, elle semblait pourtant si fière au début de son passage. Cependant, maintenant c'est le contraire, elle s'est affaiblie.

— Il arrivait des fois, que je passes devant sa chambre. Je m'arrêtais et entendait des sanglots étouffé, et donc, à mon tour je m'effondrait en larme.

Alors, Simthé a demandé à la femme dans la quarantaine si, ça lui arrivait de ce sentir trop dur avec son garçon. Elle a alors bougé sa tête de gauche à droite en désignant que lorsqu'il était plus petit oui mais que maintenant non, car il avait grandi et mûri.

— Et pourquoi tant de pression sur les frêles épaules d'un enfant de dix-sept ans ?

Alors, madame Bloomberg a répondu que son jeune fils devait être fort. Bien tôt lui et sa sœur étaient déjà les risés de leur famille donc, ils devaient tous les deux être fort. Cependant, émotionnellement, la cadette s'en sortait mieux que son grand frère. Qui, dans un geste désespéré a mis fin à ses jours. En y repensant, madame Bloomberg ce ratatine dans son siège, rongé de remord.

— Je voulais qu'il soit scientifique. Pour qu'il réussisse dans la vie. Pas sportif, ni littéraire mais scientifique ou du moins qu'il soit bon à l'école. Mais non, mon fils n'était ni très intelligent et n'aimait ni la science, ni la physique et encore moins les mathématique. Il n'y comprenait rien. Mais Cécilia...








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