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Simthé, les peines & le monde

Alors, après une heure supplémentaire à échanger relire, encore une fois, les feuilles, débattre sur les sanctions et prononcer les verdicts. L'un des avocats, le roux, est parti ouvrir la porte. Les visages de tous étaient plus ou moins tendus quand il a ouvert la porte. Mais maintenant ils ne semblent pas ce détendre davantage, au contraire, on peut voir le stresse et l'angoisse s'y dessiner. Ils s'assoient à leur place, fatigués, épuisés par ce procès interminable et atypique. Les plus jeunes sont à deux doigts de s'endormir sur place, les deux adultes tentent de rester imperturbable attendant la fin du procès. Une fois tous assis, Simthé après les avoir observé derrière les deux tables ce dirige vers sa place initiale. Il y'a une atmosphère plus ou moins théâtrale qui envahie alors la pièce. Le juge s'assoit à son tour. Il dépose les feuilles qu'il tient dans ses mains et puis mes ses mains derrière sa tête. Simthé dénoue alors le voile qui recouvre ses yeux. Médusés, tous observe le voile qui tombe. Le fin tissue noire qui touche le sol. Le noiraude ouvre lentement ses yeux, ils sont grands, munit de longs cils courbés, comportant deux iris bleue. Simthé dégage un sentiment de pureté. Il sourit malicieusement et prend en main les feuilles.

— Je suis désolé que le procès ait durée en longueur. À l'issue de ces une heure trente d'échange nous vous annonçant que sur ces sept personne présentent, six seront condamnés.

Un brouhaha inaudible ce fait entendre, c'est l'incompréhension totale. Tout le monde ce regarde mais personne ne comprends. Il est impossible d'inculper six personnes, si ? Et pourtant, six c'est beaucoup. Il y'a tellement de reproche que ça ? Le stresse s'empare de chacun, pour d'autre c'est la colère qui les guident. Ils tremblent ils ont peur, cependant, Simthé ne s'en soucie pas et continue son monologue.

— S'il vous plaît, quand je vous appellerais venez derrière la table sans broncher.

Personne ne répond, ils ont tous le ventre lourd. Ils ont peur. Alors le juge regarde encore une fois une des feuilles et il reprend.

— Mais sachez que vous n'êtes pas dans un tribunal classique, les sanctions que vous recevrez peuvent ne pas exister et, ou votre peine peut être plus ou moins longue que la vrai peine. Nous jugeons à partir de vos actions et vos sentiments.

Son regard perçant balaye les divers personnes puis s'attarde sur les membres de la famille Bloomberg. La jeune rousse hoquette et s'enfonce dans son siège. Elle plie légèrement ses jambes avant de cacher son visage derrière ses bras. Elle devient alors de plus en plus rouge, a le ventre noué et commence à lentement trembler. Mais le juge détourne son regard et observe par la suite sa mère. Il lui demande alors de venir, l'observe de haut en bas. Comme la plupart du temps, madame Bloomberg est droite, fière, les sourcils froncés et les lèvres pincés. Ses mains sont jointes au niveau de son ventre.

— Pour harcèlement morale, baisse d'estime de la personne envers votre progéniture, madame Bloomberg, je vous condamne à cent sept heure de travaux d'intêrets généraux et deux semaines de prison ferme avec souvenir de votre fils, madame Bloomberg. À compter de la date d'anniversaire de votre fils, ce jour là, un policier viendra vous cherchez il vous emmènera dans l'une des prison affilé à notre tribunal et avec d'autres mères comme vous, vous apprendrez à connaître vos enfants déjà mort.

Madame Bloomberg lâche simplement un « bien » et ne bouge pas. Elle blanchit encore plus, reste toujours droite et a la tête basse. Elle demande alors au juge si elle peut retourner à sa place. Il acquiesce et la laisse. Pour la deuxième fois, le regard du juge balaye la foule. Son regard ce pose sur le mari de la première inculpée, monsieur Bloomberg. Il lui fait signe de venir. Toujours affaiblie, il s'avance ce tenant aux bancs ou encore à la table.

— Vous êtes bien faible, constate-t-il.

L'homme ne répond pas, il acquiesce juste difficilement. Toujours rongé par la culpabilité.

— Pour non assistance pour personne en danger et déni de danger – tout en tenant compte de votre niveau de santé fragile je vous condamne juste à cent heure de travaux d'intêret généraux.

Monsieur Bloomberg est pris d'une quinte violente, puis ensuite ce dirige lentement vers sa place. Il est en pleure, il pleure longuement. Il hurle jusqu'à s'en éclater les poumons. L'homme ne cesse de hurler le nom de son fils tout en ce tenant la poitrine.

De son côté, le juge observe rapidement autour de lui, furtivement. Il montre alors du doigt l'adolescente qui commence déjà à éclater en sanglot. Elle essaie d'implorer le pardon, elle tente de ce mettre à genoux. Mais sa génitrice lui tient le bras et la pousse à partir de la rangé afin de ce tenir devant le juge. C'est une Bloomberg, qu'elle reste digne. Une fois devant le juge, derrière la table. Cécilia implore, joint ses mains et sautille légèrement et ce trémousse. Elle ne veut pas être punit, elle est jeune, elle ne savait pas. Ses larmes ne veulent pas cesser. Ses lèvres ne cessent d'implorer, en vain. Le choix a déjà été pris et rien ne va y changer quelque chose.

— Mademoiselle Bloomberg pour ; baisse d'estime de la personne envers un membre de la fratrie je vous condamne à cinquante heures de travaux d'intêrets généraux dans une maison de retraite. Puis, dès vos dix-huit ans à une peine de stage. C'est une punition bien clémente.

L'adolescente ce laisse alors tomber, le visage toujours imbibé de larme, de la morve qui coule de son nez. Elle commence à avoir mal au crâne. En la voyant, Ben éprouve un vif sentiment de dégoût. Le mexicain détourne rapidement son regard toujours répugné.

— C'est injuste ! C'est pas de ma faute si il était faible, chouine-t-elle de plus belle.



LAISSEZ
LES
MOURIR

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