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Chapitre IV

(PDV Narrateur)

Lena continua sa visite avec Thomas et Newt. Elle les trouvait si gentils, que cela l'étonnait beaucoup. Lorsqu'elle passait, elle semblait décrypter les pensées des jeunes autour d'elle qui la regardaient. Leur visage traduisait une très forte attirance pour elle. Pourvu qu'ils ne s'approchent pas plus. En revanche, une chose différente se produisait pour Thomas : elle parvenait à lire ses pensées. Elle n'en était pas sûre, mais elle entendait sa voix dans sa tête, comme si il se parlait à lui-même. Il parlait de souvenirs, Lena entrevit plusieurs images, un peu comme des souvenirs.

Les seuls que Thomas possédait étaient le jour où il était arrivé au Bloc. La peur de sa vie. Et le deuxième était la fois où il s'était battu avec un gars, un grand blond bien taillé que Lena n'avait pas encore vu, puis s'était souvenu de son prénom suite à une chute. Lena lisait en lui comme dans un livre ouvert. Par moments, elle avait l'impression de le connaître depuis toujours.

En attendant, Newt, dans son coin, était très inquiet. Minho et Alby. Tous deux étaient partis dans le Labyrinthe après le réveil de Lena. A entendre Chuck, un autre Blocard plus jeune, ils auraient déjà dû revenir. 

Quelques minutes après, tous les Blocards s'étaient réunis devant l'entrée du Labyrinthe pour attendre Minho et Alby, toujours portés disparus dans le Labyrinthe. Lena se fraya un passage à travers la foule, suivie par Thomas et Newt. Un assourdissant crissement de portes métalliques se fit entendre. En effet, les deux portes géantes commençaient à se refermer sous leurs yeux, et pas de Coureurs en vue. Les Blocards commençaient à perdre espoir de revoir leurs amis. Lena regarda les portes qui commençaient à coulisser vers le milieu pour se rejoindre, lentement. Elle scruta les visages de chacun des Blocards, comme pour tenter de comprendre ce qu'il se passait. Puis elle reporta son regard dans le long couloir du Labyrinthe. Où étaient Monho et Alby ? 

Soudain, Chuck cria :

- Regardez !!

Tous les regards se braquèrent sur le couloir du Labyrinthe ; Minho et Alby arrivaient !

- Attendez, il se passe quelque chose ! s'exclama Thomas.

En effet, Minho portait sur son dos le corps inconscient de Alby. Les portes se refermaient de plus en plus, et les deux adolescents n'y arriveraient pas. Minho tirait Alby comme il pouvait, refusant de le lâcher malgré les conseils stressants des autres Blocards. Lena regarda la scène avec apurement. Qu'allait-il se passé pour eux s'ils ne parvenaient pas à sortir de là ? Lena voulait les aider, à tout prix.

Alors qu'elle commençait à stresser de plus en plus, Lena ne se contrôla plus. Prise d'un élan d'adrénaline, elle sauta dans le Labyrinthe et courue entre les deux portes étroites, sous les cris des Blocards qui lui criaient de ne pas y aller. Thomas tenta de la rattraper pour l'empêcher de partir, mais elle lui échappa, alors il sauta à son tour dans le piège, et les deux portes se refermèrent derrière eux, sous les cris de Newt et de tous les autres. Lena et Thomas s'écroulèrent l'un sur l'autre, en tas, juste devant les portes qui venaient de se refermer complètement. Ils reprirent leur souffle, se relevèrent rapidement, et regardèrent Minho, genoux au sol, qui haletait. Il avait l'air épuisé et complètement désespéré.

- C'est...du suicide... Vous venez de signer votre arrêt de mort les gars...

Lena et Thomas se regardèrent, avec air stressé. Alby était étendu au sol, inconscient.

- Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda Thomas,

- Il s'est fait piqué, répondit Minho.

- Piqué ? Par quoi ? demanda Lena sans comprendre.

- Les Griffeurs... Et cette nuit, ils vont nous trouver..., expliqua gravement l'asiatique qui savait que sa dernière heure était arrivée.

- Il faut le cacher, coupa Thomas en parlant d'Alby.

- Et nous par la même occasion, dit Lena en se relevant.

- Mais où ? Vous ne comprenez pas ? On ne peut pas se cacher ! Ils nous trouveront ! On est déjà morts !! s'écria Minho.

Lena jeta un coup d'œil inquiet à Thomas. Voyant sa détresse, le garçon hocha d'un petit signe de tête avant de déclarer :

- Peut-être, mais ça vaut la peine d'essayer, insista Thomas en regardant Lena.

Celle-ci le soutint d'un regard qui voulait dire "je suis prête à tout". Minho ne comprenait pas leur réaction.

- J'ignore si vous êtes stupides, complètement inconscients ou suicidaires, mais dans tous les cas, c'est foutu..., recommença Minho en se relevant.

Thomas fit signe à celui-ci de l'aider à porter Alby. Lena passa devant, en éclaireuse et scruta les couloirs. Elle espérait trouver un endroit qu'elle était sûr de ne pas trouver ici. Mais la curiosité (ou peut-être la peur) s'emparait d'elle progressivement et l'envahissait tel un feu ardent qui dévorait tout son être. Elle était stressée. Peut-être même plus que Minho et Thomas réunis. 
Ils marchèrent un long moment à travers le sombre labyrinthe. 

- Minho, tu connais le Labyrinthe par coeur, à ce qu'on m'a dit, demanda Lena en scrutant les couloirs un par un.

- C'est exact, répondit Minho avec une toute petite pointe de fierté.

- Dans ce cas, tu dois bien connaître un endroit où l'on peut se cacher ?

- Lena, combien de fois il va falloir que je le répète ? On est foutu ! On ne peut PAS se cacher dans le Labyrinthe !

Lena s'arrêta brusquement devant un mur recouvert de lierre épais. Thomas et Minho la regardèrent sans comprendre.

- On va le hisser là-haut, comme ça, les Griffeurs ne le trouveront pas, expliqua la jeune femme en pointant le mur du doigt.

- Oui, mais vite alors, coupa Minho en regardant les alentours, tandis qu'un cri strident au loin se faisait entendre.

Tous trois créèrent un système de poulie avec les branche de lierre, et montèrent Alby le long du mur. Avec le peu de force qu'il leur restait, ils parvinrent à l'accrocher en haut du mur recouvert par les feuilles et les branches. Ils le tenaient encore quand soudain, Lena faillit hurler en voyant la créature qui se dessinait dans l'ombre, à quelques centaines de mètres d'eux, laissant s'échapper un cri strident.


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