Chapitre 3 : Nouvelle Vie
Maintenant, je suis heureuse.
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« Bonjour Madame, vous avez bien pris vos médicaments ? »
- Oui ma petite, C'est gentil de t'inquiéter.
- Ça me fait plaisir. J'imagine que vous voulez des hortensias ?
- Oui, s'il te plaît. Tu es devenu une vrai fleuriste maintenant !
- Haha, je ne dirais pas ça, j'ai encore beaucoup de chose à apprendre !
- Je suis sûre que tu réussiras.
- Merci. Cinq euros et vingt-cinq centimes, s'il vous plaît.
- Tiens ma chérie, garde la
monnaie.
- Merci vous êtes très gentille.
- Al', ton service est finie. Me prevint Daniel, mon chef.
- D'accord, merci, bye. »
Je pars en courant me changer puis je sors dans la rue.
« Trois pommes s'il vous plaît monsieur Martin ! Demandais-je.
- Salut Al'! Je te fais une réduction !
- Merci vous êtes gentil.
- Hé mais c'est la petite Al'! Tu veux m'acheter des épices ? S'te plaît, sinon mon Daron va encore me casser la tête. Me demanda Nicolas.
- De la cannelle, de la noix de muscade et du curcuma alors. Et une réduction steuplait.
- Non.
- Je suis une cliente régulière en plus je te rends service là.
- Bon ok. Tiens et au revoir.
- Merci, au revoir et arrête de fumer tu t'abimes la santé ! » criais-je en lui volant sa cigarette.
Je me suis habitué à habiter ici. Ça fait un mois et demi. J'ai pu me louer un petit appart' et je connais tout le monde dans ce petit village ! Daniel mon chef, est un homme très gentil qui m'a directement recruté dans sa boutique de fleuriste. Madame Bernard est une vieille femme assez sympa qui vient tout les jours acheter des fleurs pour la Tombe de son mari, je la considère un peu comme ma grand mère, Monsieur Dubois, le marchand de fruit, je le soupçonne d'être tombé amoureux de Madame Bernard mais il sait qu'elle ne pourra jamais oublie son mari. Et pour finir Leo qui s'occupe souvent de l'épicerie de son père, il a 25 ans.
Je me baladais tranquillement pour rentrer chez moi et j'alla sur mon ordinateur.
Je tapa dans la barre de recherche :
'' Ally Wilson disparition ''
En découvrant les résultats, je sursauta.
Apparemment, il y a une récompense à la clé pour me rechercher et j'ai été vu aux alentours d'Ornes. Oh, non! Ils vont me retrouver !
Des larmes tombèrent s'ils me retrouvent, c'en ait fini de moi ! Je me referai harcelé, mon père me punira et al police m'aura à l'œil !
Je ne peux pas me faire attraper, sinon... Non, je ne peux pas. Je n'ai pas le droit.
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Je crois bien que c'est la fin de ma vie de rêve.
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