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Chapitre 3

Un Lycée, une cour, Manon. Manon avait peu d'ami. Mais des vrais. Amélie, Tom et Jean. Toujours avec eux du matin aux soirs. Le soleil éclairait la cour, dans cette matinée fraîche. Tom disait :

-Dis donc donc hier tu es parti vite, à croire que tu n'aimes pas le sexiste. 
-Franchement je ne sais pas s'il est sexiste ou maladroit, mais il y a des choses qu'il ne devrait pas dire. Constata Manon.
-Tu as écris de qu'elle couleur ces phrases ? Demanda Amélie.
-Je crois que c'était tellement absurde qu je l'ai écrite en rouge. Avoua Manon.
-Je crois que tu étais tellement rouge de colère, que on pouvait deviner sans regarder tes notes. Lâcha Tom.
-En tous cas tu es intelligente. Tu avais raison de montrer la vérité. Il y a tellement de gens qui manque de réflexions, que tu les éclaires. Répondit Jean. 
-En tous cas je suis née à la mauvaise époque, c'est fini les Lumière ! Se lamenta Manon.
-Ça peut réapparaître. Dis toi que c'est une chance ! Tu peux voter, écrire tes idées, te présenter aux élections. La rassura Amélie.

Le cours d'Histoire commença. Manon leva la main. Le professeur l'interrogea :

-Alors Manon tu as des nouveaux arguments pour réfuter ma thèse.
-Tenez.
-Un beau texte ! Cependant il manque les sources !
-Je m'excuse, mais je suis endormie dessus.
-Je vous donnerai plus de travail demain, car apparemment vous n'avez pas assez devoir.

La classe souffla et regarda mal Manon. Avec sa grande curiosité et ses combats sans limite, elle agaça la classe qui ne supporta aucun effort. 

Laurine bavarda en cours avec sa meilleure amie. Qui regardait son téléphone. 

-Ta sœur elle est chiante, apparemment ils ont une dissertation de plus pour demain, car madame n'a pas assez de devoir.
-C'est ta sœur qui te l'as dis ?
-Oui elle est vénère. 
-Je lui en parlerai.

Stan c'était le plus populaire des secondes, il était dans la classe de Manon. Il sortait de la classe et hurla sur Manon.

-Moi aussi je vais écrire en rouge toutes tes conneries. 

Manon prit sur elle, même si son cœur était remplie d'émotions. Le silence fut sa décision. 

Laurine rentra seule chez elle. Elle n'aimait pas ça. Elle aimait sa sœur. Elle ne savait pas que pour Manon c'était encore plus terrible.

Manon alla chez son père. Un homme faignant. Qui pour lui le goût de l'effort n'existait pas. Monsieur était au chômage et n'allait même pas au RSA. Elle n'aimait pas son attitude, mais au moins lui était là. Même si les conditions de vies ne lui correspondait pas. Elle avait un demi-frère. Julien qui avait aucun diplômes et aucun emplois, déscolarisé. Il avait seulement 17 ans. Julien voulait trouvé une formation, un emplois, mais le problème de cette société c'est qu'elle met plus de gens à terre qu'elle fait des exploits. 

Dés son arrivée son père lui sauta dessus. 

-Comment vas tu ma chérie ?
-Bien.
-Alors est ce que ta mère s'occupe de toi ?
-Ça dépend !
-Tu l'as vu au moins.
-Non.
-T'inquiète on va passer tu temps ensemble, la famille est important. Devine ? J'ai trouvé un emplois. Caissier au superu.
-Super. 
-Allez viens on va manger à Burger King. Puis après on ira fêter ça chez Jacky.

Jacky c'était le meilleur ami de monsieur. Il tenait un bar au bout de la rue. Le père de Manon père était un habitué. Il aimait la bière, surtout la brune. Il n'avait pas de problème avec la bière, il aimait juste les bonnes choses. Le problème dans cette éducation il n'y avait pas de limite, donc Julien avait pris plusieurs cuite, la dernière fois il avait cassé la vitre.

La petite famille allait au Burger King. Monsieur mangea 3 burgers et trois barquettes des frites, un fanta. Julien deux chessburger et deux frite, puis un orangina. La petite Manon prit burger et une petite barquette de frite. Elle mangea délicatement. En pensant à sa maman. Son air maussade, son regard ailleurs. Son âme pas à sa place. Sa volonté d'être ailleurs. 

Laurine s'ennuya, seule dans la maison. Elle s'ennuya de Manon, de ses déterminations, de son imagination, de ses décisions. Alors elle prit son téléphone elle lui envoya un message :

Laurine : Ca va ?
Manon : Oui et toi.
Laurine : Que s'est il passé en classe ?
Manon : Rien...

Manon mentait, car le mal la rongeait, le silence elle le gardait

Après ce repas, la petite famille alla chez Jacky. Le père avec la bière, Julien au mojito, puis Manon :

-Je te mets quoi Manon ? Demanda Jacky.
-Rien.
-Tu es sûr.
-Oui.
-Tu ne vas pas fêter mon nouveau emplois le verre vide. Hurle le père.
-Normalement on ne devrait pas le fêter, car quand on a emplois c'est pour le garder.

Sur le bar, ils étaient assis sur les chaises hautes. A gauche du père, il y avait son ami Grégory, à droite son fils, en face Jacky. A droite de Julien il y avait Manon, pour une fois elle écoutait la conversation. Jacky proclamait :

-Vous voyez la nouvelle ministre, elle veut supprimer le diesel, mais comment je vais aller au boulot. Une nouvelle caisse ça coûte cher surtout l'électrique. Elle est folle celle là !

Manon se leva, elle allait voir le jeune homme au billard, c'était le fils de Jacky. Le père de Manon dit à Jacky :

-Fais attention à ce que tu dis, c'est sa fille !
-Oh c'est très bien comme ça, elle va voir mon fils. Il pourrait former un beau couple. Atténua Jacky.
-Je n'y crois pas trop, elle ne s'intéresse pas trop aux garçons. Répondit le père de Manon.
-Elle s'intéresse au fille ? Demanda Jacky.
-Non plus, elle s'intéresse aux études ! Répondit le père de Manon.
-Ce n'est pas plus mal, pour ça elle aura un bon emplois. Ensuite elle pourra penser aux garçons. Répondit Grégory.
-Non je ne pense pas, elle est comme sa mère. Je pensais qu'après ses études on pourrait vivre ensemble. Mais elle préférait son boulot que moi. Avoua le père de Manon.

Laurine était toujours sur le canapé, sur son téléphone. Sa maman arriva :

-Bonjour maman.
-Bonjour ma chérie, alors tu as mangé ?
-Non je t'attendais.
-Ça va tu es toute pâle.
-Manon me dit par message qu'elle va bien, mais je sais qu'elle va mal. Manon dit qu'il ne s'est rien passé en classe. Alors qu'il c'est passé quelque chose en classe.
-Attends, il s'est passé quoi en cours ?
-Je ne sais pas, mais je sais qu'à cause d'elle, la classe a eu plus de devoir.
-Ne te fais pas de soucis. Elle sera assumer une plus grande quantité de travail et elle est assez forte pour supporter les remarques de ses camarade.

Madame soulagea son aînée qui était bien embêtée. Mais réellement est ce que Madame devait s'inquiéter pour Manon ?

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