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Chapitre 30 : les fiançailles de Pansy Parkinson

-Drago, chéri, tu comptes mettre quel costume pour Halloween ?
Drago retira ses écouteurs de ses oreilles et il regarda sa femme sur le départ. Il avait été courir tôt ce matin là. Il ne s’attendait pas du tout à ce qu’elle soit déjà prête. Il essuya la sueur sur son front avec une serviette tendu par son elfe.
-Je ne sais pas. Je vais m’habiller en moldu sûrement.
Astoria cessa de sourire et elle fronça des sourcils. Il leva les sourcils. Il ne comprenait pas sa femme qui était plus stressée pour la fête dans 3 jours que pour leurs propres fiançailles.
-Je plaisante Astoria, je vais y réfléchir pendant mes étirements. J’enverrais un message au costumier, ne t’inquiète donc pas.. tu comptes t’habiller comment toi ?
-En vampire. J’ai un ami qui peut me fournir du sang humain. Ce sera épique.

Drago perdit son sourire et ouvrit grands ses yeux.
-Moi aussi je sais plaisanter, ironisa-t-elle. J’ai cru comprendre que Daphné voulait se mettre en harpie.
-Ça lui ira très bien, murmura Drago en allant dans le jardin finir ses étirements.
-Je t’ai entendu Drago Malefoy ! lui cria dessus sa femme. Et ce n’est pas gentil.
-Non, ce qui aurait été méchant, c’est de dire que je m’habillerais en Daphné pour Halloween.
Il s’éloigna encore plus rapidement, avant qu’elle ne réplique de manière cinglante ou qu’elle lui lance quelque chose à la tête et il finit ses étirements. Alors qu’il travaillait dans son bureau, sa secrétaire arriva.
-Drago, je suis désolée de vous déranger mais j’ai un souci.
Drago cessa de lire son dossier et releva les yeux vers sa secrétaire, elle paraissait excédée. Elle portait une jupe crayon et un chemisier bleu clair.
-Votre femme n’arrête pas de m’envoyer des courriers pour la fête de samedi pendant mes heures de travail. Pourriez-vous lui expliquer que je ne peux pas me dédoubler ? Et que je suis votre secrétaire et pas la sienne ? Elle ne semble pas vouloir le comprendre quand moi je lui dis.
-Vous n’aviez qu’à ne pas accepter d’être son assistante alors que vous étiez la mienne.
-Vous alliez lui proposer mes services si je ne m’abuse, alors s’il vous plaît Drago, vous pourriez faire quelque chose ? Vous êtes ma priorité vous le savez bien.
-Je vais lui dire d’arrêter et lui donner vos heures de pause déjeuner.
-Merci Drago. J’ai reçu une lettre de Mme Granger Weasley pour vous à l’instant, je ne l’ai pas ouverte. C’est une ancienne camarade de classe, non ? Je me suis dit que c’était privé.
-Merci. Je vous donne votre après-midi demain, Astoria me l’a demandé et elle est tellement excitée à l’idée de sa petite fête que je ne peux pas lui refuser ce plaisir. C’est le premier Halloween sans Scorpius, ajouta-t-il en se demandant pourquoi il lui racontait tout ça.
-Très bien. Elle me rappelle aussi que vous devez choisir votre costume pour samedi.
-Vous pouvez retourner à votre travail Mariam.
Il décacheta la lettre d’Hermione Granger et soif de passion l’envahit. Comment arrivait-elle à imprégner de cette odeur ses lettres ? Il vit sa petite écriture fine et il s’installa sur son canapé en cuir pour la lire. 

Drago, 
Je voulais te prévenir de l’avancement de nos recherches sur Arzock. Il ne faut pas que tu t’inquiètes, j’ai moi-même ensorcelé ce courrier et tu étais le seul à pouvoir lire son véritable contenu. Nous avons vu plus de la moitié de nos camarades et il est certain qu’il n’a possédé aucun d’entre eux. Je me demande si il ne faut pas restreindre la recherche aux personnes qui sont sorties de la salle de réception pendant que toi tu étais entrain d’affronter Arzock. Il se trouve que toutes les personnes que j’ai vu n’avait pas quitté la salle et je me demande si il n’y a pas une corrélation entre les deux… Qu’en penses-tu ? Il me semble que nous devrions en parler de vive voix. Si tu veux me joindre ma cheminée au ministère est parfaitement sécurisée et je présume que la tienne aussi. Je suis libre vers 17h30  et j’aimerais avoir ton avis sur la question.
Affectueusement, Hermione. 

Affectueusement, Hermione. Il relut ces mots encore et encore. Il n’arrivait pas à s’en détacher. Il finit par prendre sa plus belle plume. « Hermione, RDV à au Cristol à 17h30, sois à l’heure. PS : et non, Potter ou Weasley ne sont pas conviés. »

Il ne savait pas si elle viendrait ou pas. Il demanda à Mariam d’envoyer sa réponse à Hermione Granger et il reprit l’étude du dossier Glassrow Chand Industries. Il devait partir le semaine d’après et très clairement, il ne le faisait que pour Carl Greengrass et son père. Il n’en avait pas la moindre envie. Le rendez-vous avec Glassrow à Pékin avait été repoussé jusqu’au début du mois de novembre. Comme le week-end à Paris avec Enguerran. Astoria avait refusé qu’il parte loin d’elle quelques semaines seulement après son coma. Le médicomage lui avait déconseillé. Si elle avait accepté à Pékin, c’est uniquement parce que son père lui avait ordonné de laisser tomber sa  stupide rebellion et que Lucius avait insisté à son tour de l’importance de la venue de Drago. Il devait ingurgité une somme folle d’information sur la société que devait acquérir son beau-père et cela l’énervait au plus au point. Il appela Mariam qui arriva dans la minute alors qu’il s’affalait sur son canapé.

-Vous faites quoi mardi prochain ?
Elle sourit exagérément et elle lui répondit en mandarin sous le regard médusé de Drago. Elle rit légèrement.
-Je viens avec vous. Pour deux raisons, j’ai appris le mandarin parce que ma belle-mère est chinoise et que mon père vit à Pékin, et aussi parce que votre femme a toute confiance en moi et m’a dit de vous surveiller.
-Elle vous fait confiance ? Vous lui avez dit que vous étiez homosexuelle ?
-Je lui ai dit que j’étais heureuse en ménage et que j’espérais que mon petit ami me demande en mariage. Et puis, vous n’avez jamais eu de comportements déplacés avec qui que ce soit, vous aimez votre femme, ça se voit.
-Vous n’aurez qu’à partir à Pékin dès lundi pour préparer notre venue. Vous paierez votre voyage avec le compte de la société bien sûr. Et.. vous enverrez un message au directeur de Drascom pour qu’il vous envoie des potions anti-jetlag, et..
-Drago ? Je m’en occupe c’est mon travail. Ne vous inquiétez pas, j’ai déjà fait tout ça. Vous voulez une tasse de thé ?
Il leva les yeux. Il était 17h. Il n’avait pas eu l’impression d’avoir passé autant de temps devant son dossier mais il l’avait pratiquement fini.
-Non merci Mariam. En fait, vous n’avez pas de petit ami, vous comptez venir avec qui samedi?
-Mon meilleur ami sur cette terre. Il me connaît par cœur. Pas de souci, votre femme ne vous fera pas de crise de jalousie. Pas à cause de moi en tout cas.
-Nom de famille  ?
-McAllister.
-Comme le clan McAllister ? La vieille famille McAllister des Highlands ? se redressa Drago Malefoy. Celle qui a des alliances avec la famille…
-Absolument, l’interrompit sa secrétaire. C’est Aymeric McAllister et il est Auror en devenir. Il lui reste une année d’étude.
-Vous avez ma permission pour sortir avec lui si vous le voulez. Ma bénédiction, même.
-C’est mon meilleur ami, pratiquement mon frère, Drago ! rit sa secrétaire.
-Si vous le dîtes… Attendez, une dernière question. Vous n’avez pas vraiment besoin de travailler pour vivre, n’est-ce pas ?
Elle eut un sourire énigmatique et elle hocha les épaules avant de quitter la pièce avec élégance. Drago regarda ses fesses hautes et fermes et il sourit. Elle était à l’image même du groupe pour laquelle elle travaillait, jeune et dynamique. À 17h15, il passa sa tête en dehors de son bureau.
-Je vais à un rendez-vous imprévu, je ne suis donc pas là. Je reviendrais au bureau plus tard, vous laisserez le dossier que je vous ai demandé sur mon bureau ? Il est probable que je le ramène avec moi.
Il était sympathique avec sa secrétaire, il le savait mais il la trouvait belle et tordante. Elle lui rappelait lui au même âge. Et ça, il appréciait. Il se rendit dans sa salle de bain et il se recoiffa avec son peigne. Il observa ses traits, se dit qu’il avait l’air fatigué mais que cela rajoutait un peu de virilité à sa personne. Non pas qu’il en avait besoin, mais il avait l’air plus sage. Il sourit. Il pouvait aller voir Granger. Il transplana jusqu’au Cristol et il s’installa sur un fauteuil dans le petit salon face à l’entrée. Il la vit arriver avant qu’elle ne le voie. Elle portait une robe au dessus du genou verte émeraude de la même couleur que sa robe, un collant fin noir, des escarpins hauts perchés noir et une petite cape noire. Il arriva derrière elle et posa une main sur sa hanche.

-Enlève ta main tout de suite Malefoy, lui dit-elle en guise de bonjour.
-Toujours aussi sympathique Granger.
-Je peux savoir ce que nous faisons dans un hôtel ?
-À ton avis ? Qu’est-ce qu’on fait dans un hôtel 5* ? Je me le demande..
Son visage se durcit et elle allait l’envoyer balader mais il sourit et interpella quelqu’un dans l’hôtel.
-Notre table est-elle prête ?
-Absolument Monsieur Malefoy, veuillez nous suivre.
La personne les mena jusqu’à l’un des restaurants de l’hôtel, le Jardin Anglais. Ils étaient à peine assis qu’on leur proposa une carte avec le menu pour l’heure du Thé et qu’on les laissa.
-C’est une blague Drago ?
-Non, c’est Tea-Time en décalage. Et j’adore cet endroit, c’est juste.. fabuleux.
-À quoi tu joues ? Tu m’invites aux Trois Cristaux pour déjeuner, au Jardin Anglais pour Tea-Time ?
-Il y a une chose que je sais sur cet endroit Granger. Ils font les meilleurs millefeuilles vanille, caramels beurre salés de Londres. Et je sais qu’ici ton mari ne viendra pas nous déranger.
On leur apportera leurs pâtisseries et Drago servit le thé. Il ne l’aurait pas fait d’ordinaire mais avec Granger, c’était différent.
-Pose-moi autant de questions que tu veux sur Arzock, j’essaierais de te répondre. Uniquement parce que c’est toi, lui dit-il en lui tendant une tasse.
-Merci. Que penses-tu de mon idée de limiter les recherches ? Je n’en ai pas encore parler à Harry ou à Neville.
-C’est plutôt intelligent. Arzock a possédé une personne qui a transplané avant que vous arriviez tous les trois. C’est une personne qui s’est fait prendre au piège. Crivey n’en a aucune idée ?
-Dennis a plus été touché que toi. Il y a des pans entier de sa mémoire qu’il n’a plus. Dès que Arzock prenait totalement le contrôle notamment. Il ne les retrouvera jamais en plus. Ce n’était pas lui qui était aux commandes. C’est..affreux quand on y pense. Je ne sais pas comment il s’est retrouvé dans cette situation là.
-Potter le sait. Et Shackelbot aussi.
-Ce sont des Aurors, je n’ai pas à savoir certaines choses, même si ça me rend folle. J’aime tout savoir comme tu le sais.
-Hum.. Granger. C’est mon assiette. 

Hermione Granger releva les yeux vers lui, ses yeux étaient un peu humides. Il en fut bouleversé et il espérait que son trouble ne se lisait pas sur son visage.
-Et alors ? Tu as essayé de.. Non, Tu m’as volée ma dernière bouchée d’Ispahan, je peux te piquer de la tarte au citron. C’est.. une tuerie. Mais pas aussi bon que mon mi-cuit au chocolat. Tiens goûte.
-Tu sais que je ne partage jamais d’ordinaire. Tu mériterais qu’on te mette aux fers pour ça. Et oui tu as raison. C’est terrifiant de penser qu’on n’a plus la maîtrise de son propre corps, confirma-t-il en prenant une bouchée de mi-cuit de Granger.
-Est-ce que tu as des souvenirs de ton coma ?
-Non. Pas un seul. Et encore moins de ce qu’il se passait autour.
Elle parut.. soulagée et Drago ne put s’empêcher de plisser légèrement les yeux. Il tourna la tête vers le jardin qu’ils voyaient depuis leur table. Il était magnifique. Quand il reporta son attention sur la table, Hermione le regardait les sourcils un peu froncés, avec une pointe d’inquiétude.
-Pour en revenir à Arzock, il faut que tu saches une chose Granger. Nous sommes de niveaux à peu près équivalent en sorcellerie, aussi je peux te le dire. Si tu te retrouves en face d’Arzock et que tu vois que tu ne peux pas avoir l’avantage sur lui pour sauver son hôte… Ne t’embarrasse pas et tue le. Ce démon va petit à petit prendre le pas sur la personnalité de son hôte, jusqu’à l’annihiler. C’est en partie pour ça qu’il faut le retrouver rapidement.
-Tu ne nous avais pas parlé de ça.
-J’y pense à l’instant. Je l’avais oublié.
-Oublié ou volontairement omis ?
-Granger. Arrête de toujours me.. suspecter de faire un mauvais coup. C’est lassant à la longue. N’oublie pas que j’ai essayé de me débarasser de lui. Je ne sais pas ce dont il se rappelle de ses vies antérieures mais si il se souvient que j’ai essayé de le tuer, je ne suis pas bien loti personnellement. Alors, non, je l’ai oublié et non omis. J’ai fait cette réunion avec vous le lendemain de mon réveil et je n’étais pas dans mon état normal. Alors excuse-moi d’oublier des choses que j’ai lu une nuit il y a 20 ans.
-Je ne voulais pas te mettre en colère mais avoue que tu as plus souvent dans ta vie essayer de nous mettre des bâtons dans les roues que nous aider.
-En fait j’ai passé la majorité de ma vie à ne pas penser à vous trois. Tu es entrain de me juger sur ce que tu as vu de moi pendant 7 ans entre deux cours il y a plus de 20 ans. On était loin d’être des amis Granger. Très loin même. Alors, non, je ne vous aurais pas aidé et…

Il émit un petit rire dédaigneux.
-Si je n’avais pas été mis directement en contact avec Arzock, tu m’aurais mis au courant de cette histoire ? Non, tu ne l’aurais pas fait
-Je ne vois pas le rapport…
Drago allait répliquer mais il eut un blocage. Il se passa une main sur le visage et il se leva brusquement. Il chercha les toilettes les plus proches et il se passa de l’eau sur le visage. Que lui arrivait-il ? Il ressortit aussi vite.
-De quoi parlions nous ?
-Tu es très pâle Drago. Tu vas bien ?
Il ne répondit pas et avala son thé avant de s’en servir une autre tasse. Il finit sa pâtisserie et vit que Granger avait terminé les siennes. Elle finissait sa tasse.
-Ah oui. tu ne me connais pas si bien que tu le prétends Granger. C’est un fait. Par exemple tu trouves étrange que je t’invite à prendre un thé, mais si tu me connaissais tu saurais que je n’aime pas voir les femmes manipuler de l’argent quand je suis avec elles. Je n’ai jamais fait payer une femme qui déjeunait, ou buvait un thé en ma compagnie.
-Non en effet, je l’ignorais mais tu te dépeins comme un gentleman, aussi je ne suis pas vraiment étonnée que ce soit le cas, je suis sûre que tes parents t’ont élevé à la galanterie. Tu n’en faisais pas preuve à Poudlard mais je suis sûre qu’il existait déjà, ton côté bien élevé.
Elle se leva suivie de Drago.
-Il faut que j’y aille. Je suis ravie que tu sois d’accord avec moi à propos de Arzock et je te remercie encore pour ton aide et pour le thé.
Elle posa une main sur son bras qu’elle serra légèrement. Drago la suivit du regard et quand elle se retourna, une mèche de cheveux se détacha et vint se poser sur ses yeux.
-Tu avais raison en fait. Tu es un citoyen modèle et le département de la justice s’en souviendra Drago Malefoy. Et moi aussi.

Il paya et transplana devant chez Tanya. Il avait accumulé trop de pressions ces derniers temps, il devait se libérer. Tanya ouvrit la porte. Elle avait les cheveux plus long que la dernière fois qu’il l’avait vu avant le week-end à Poudlard.
-Mon jardin a désespérement besoin de nouveaux specimens, fut la première chose qu’elle dit en le voyant.
Il plongea sur ses lèvres et n’aurait pas été contre une partie de jambes en l’air dans le salon mais il ne savait pas si il y avait d’autres clients à cette heure ci. Il la mena vers sa chambre à l’étage. Il avait envie de réconfort. D’un exécutoire. Il avait plus vu Hermione Granger depuis le mois de septembre qu’en 18 ans. Il se sentait étrange en sa compagnie, comme si.. il n’arrivait pas à être lui-même. Il fit taire la voix dans sa tête quand il l’entendit protester.
-Déshabille-toi, ordonna-t-il à la prostituée en déboutonnant sa propre robe de sorcier. Je n’ai pas beaucoup de temps. Il faut que je repasse au bureau.
-On peut faire la version rapide Drago.
Elle saisit sa baguette et ils furent nus tous les deux. Tanya avait un corps splendide. C’est ce qui lui avait plut la première fois, et la seconde fois aussi.. Il la détaillait des yeux.
-Je pensais que tu n’avais pas le temps…
-Allonge-toi.
Elle s’exécuta d’un air taquin et comme il ne bougea pas d’un millimètre, elle commença à se caresser du bout des doigts et glissa une main dans son entrejambe. Drago, Drago. Elle murmurait son nom et s’en fit trop pour lui, il se dirigea vers le lit, la tira par les pieds à son niveau et la pénétra vigoureusement alors qu’il était debout. Elle se caressait les seins et il trouvait cela tellement sensuel. Il ferma les yeux et rejeta sa tête en arrière. Il repensa à ce moment là aux regards humides d’Hermione Granger, à sa main posé sur son bras et à ses lèvres. Oui, il pensait à ses lèvres, à sa cuisse. Oui, il avait posé un baiser à l’intérieur de sa cuisse dans le confessionnal… Il se dégagea et mit Tanya à genou avant de se réintroduire en elle et de reprendre son rythme. Affectueusement, Hermione. Affectueusement. À quoi jouait-elle ? Elle lui faisait du charme et la minute d’après lui reprochait de.. que lui reprochait-elle au juste ? De ne pas lui faire confiance à Poudlard ? Il augmenta le rythme et entendit Tanya haleter. Il raffermit la position de ses mains autour de ses hanches. Non, Hermione Granger ne pouvait pas agir comme ça par ignorance.  

Que lui avait dit son père jadis ? Que les femmes étaient perfides ? En voyant la double personnalité de Granger, lui qui avait toujours douté de cette expression, commençait à le croire. Elle ne pouvait pas ne pas voir l’effet qu’elle lui faisait, elle ne pouvait pas ne pas ressentir le frisson qui le parcourait à chaque fois qu’elle entrait en contact avec lui. À moins qu’elle ne soit complètement idiote et cela, il refusait de le croire. Ou alors.. elle ne voulait pas le voir.. ah moins qu’elle ne s’imagine pas deux secondes que l’attention qu’il lui portait était dû à un attrait pour son physique, sa gorge, ses seins. Oh oui ses seins volumineux. Quel décolleté cela lui faisait… son regard était immanquablement attiré vers lui, comme il l’était par ses cuisses dégagées quand elle portait une petite robe. Sa robe prune.. il y repensait encore parfois le soir, quand il était au lit avec Astoria. Il sentait encore l’odeur de Granger et son regard qui lui disait de venir..

Il ralentissait son rythme et quand il ouvrit les yeux, il se rendit compte que Tanya se cambrait comme elle ne l’avait jamais fait dans sa vie. Il accéléra le rythme et une fois qu’il eut terminé, il retourna Tanya et s’allongea sur elle.
-Je suis désolé de ne pas rester plus longtemps.
-Surtout que tu n’étais pas venu depuis des semaines..
-J’ai.; eu un accident, je ne pouvais pas venir. Rien de grave mais Astoria était toujours sur mon dos. Tu auras ta plante la semaine prochaine.

Il se releva et il se rhabilla. Il allait partir mais il se détourna, l’attira à lui et il l’embrassa une dernière fois. Il récupéra son dossier et rentra auprès d’Astoria qui était dans le salon avec Mariam sur le départ. Il monta dans sa chambre, lança le dossier sur son lit et prit une douche brûlante. Il en ressortit la peau rougie. Il essuya la buée sur le miroir et regarda son bras tatoué. Il la voyait toujours et encore. Il passa une main dessus et il frissonna. Il releva la tête. Il savait comment il allait se déguiser pour Halloween.

-C’est hors de question.
Astoria se beurrait une tartine quand il lui annonça son choix de costume pour le lendemain au petit déjeuner. Elle avait ouvert les yeux en grand avant de répondre en croquant dans son pain grillé.
-Je ne vois pas pourquoi..
-Tu plaisantes ou quoi ? Tu veux t’habiller en Mangemort pour Halloween ?
-Écoute, je ressemblerais juste à mon père, je vais prendre une potion pour me faire pousser les cheveux.. et je vais demander à ma mère de m’envoyer une de ses cannes…
-Je croyais que les histoires avec ton père étaient terminées ! rétorqua Astoria sèchement.
-C’est un déguisement, Astoria. Et puis j’ai déjà la Marque des Ténèbres, j’ai juste à mettre..
-Si tu fais ça Drago, tu as intérêt à être en bon terme avec le directeur du Hilton parce que tu vas y passer pas mal de temps..
-Ria..
-Il n’y a pas de Ria, ou de ma chérie qui compte. Il est hors de question que tu viennes habiller en Mangemort. Je te rappelle que c’est une fête de fiançailles. Tu le fais exprès pour m’énerver dès le matin.
-Tu es toujours énervée en ce moment, constata-t-il
-La faute à qui ?
-Hum.. Ce n’était pas mon idée d’organiser des fiançailles pour mon ex.
-Je te rappelle que si tu m’avais écouté et que tu ne t’étais pas battu en duel avec Arzock, on ne serait pas contraint d’organiser les fiançailles de mon ex. 

-C’est donc ça le problème. Malcom Baddock et le fait qu’il se marie.
-Absolument pas. Je pensais qu’il était marié depuis très longtemps, c’est le fait que..
-Que ?
-C’est à cause d’Arzock. Imagine qu’il soit dans notre maison et que.. je n’arriverais pas à le supporter si il t’arrivait encore quoi que ce soit. Je ne pourrais pas.
-Astoria, il ne m’arrivera rien, et à toi non plus d’ailleurs. Tu sais très bien que nous serons entourés de sorciers très qualifiés. D’ailleurs en parlant de ça.. Blaise va arriver ce soir.
-Il faudrait vraiment qu’il s’achète un chez lui.. non pas que je n’aime pas avoir Blaise à la maison mais quelle idée il a eu de vendre sa maison de Londres pour en acheter une à Galway !
-Son activité principale est là-bas mais avec sa petite amie qui travaille ici, ça risque de changer.
-Ce serait bien. Excuse-moi, j’ai encore à faire. Tu choisis ton costume aujourd’hui mais il est hors de question que tu t’habilles en Mangemort. Je suis ferme là-dessus.

La veille des fiançailles de Pansy passa sans vraiment que Drago s’en rende compte. Il avait pourtant travailler sur le dossier de son beau-père, sur les siens; Il avait fait de multiples réunions, signer des contrats mais il n’y était pas vraiment. Il regardait ses collaborateurs parler, arrivait à répondre mais il n’aurait pas pu refaire la discussion comme parfois. Il avait l’impression d’être en dehors de son corps et en plus de se sentir en décalage avec lui-même, il commença à avoir mal à la tête aux alentours de midi. Il s’était assis sur son canapé avec un dossier comme il le faisait parfois, il avait fermé les yeux et quand il les rouvrit, il était tout engourdi et il était près de 15h. Il s’était endormi. Ça ne lui était jamais arrivé auparavant, de faire une sieste en pleine journée. Il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Il appela sa secrétaire qui arriva avec un plateau en argent avec du thé et du fromage.
-Vous n’avez rien mangé ce midi et il vous reste encore quelques heures de réunion.
-Résumé de la situation ?
-Harry Potter est venu mais je lui ai affirmé que vous n’étiez pas là, et il n’a pas laissé de messages. Il n’a pas tenté d’ouvrir la porte de votre bureau si c’est ce que vous voulez savoir et personne n’a vu que vous vous reposiez. Moi je ne compte pas, je fais presque partie des meubles de toute manière.
-Vous ne deviez pas prendre votre après-midi ?
-Comme je vous l’ai dit, hier il me semble, mon travail ici est ma priorité.
-Et l’une de mes priorités est de ne pas contrarier ma femme plus que de mesure. Allez-y Mariam. Je peux me débrouiller sans vous une demi-journée.
-J’ai volé la secrétaire du chef du service juridique, pour la demi-journée et j’ai classé l’intégralité des dossiers sur mon bureau dans l’ordre des priorités. Elle n’est pas moi mais je pense qu’elle fera l’affaire. Appelez là Mariam 2 et elle viendra.
Drago apprécia l’initiative mais il détesta Mariam 2. Il ne la trouvait pas assez belle pour le tenter et il ne voyait pas l’intérêt d’avoir une femme à ses côtes qui ne le tentait pas un minimum. Pour voir un sourire chez une belle femme, il était prêt à beaucoup et il se dépassait. C’est en partie pour ça qu’il avait engagé Mariam.. elle avait un beau sourire. 

Sa seule satisfaction de la journée fut de voir Blaise chez lui en arrivant.
-Un coma ? Sérieusement Drago ?
Les deux hommes étaient dans le bureau de Drago et une fois que ce dernier ait vérifié qu’il n’était pas possédé, il parla d’Arzock avec lui. Il savait que Granger serait furieuse mais dans le fond, il aimait bien cette idée, de la voir en colère.
-J’ai entendu dire en plus que la Résistance Mangemort s’était plus ou moins reformée, tu penses qu’il y a un lien entre le retour de cette créature et elle ? lui demanda Blaise en posant son verre de cognac.
-Je n’avais pas vu les choses sous cet angle, murmura Drago en se levant. Comment tu sais pour..
-La Résistance Mangemort ? Ma petite amie travaille à la Gazette. Il y a des rumeurs. Mais je vois à ta tête que ce ne sont pas que des rumeurs, n’est-ce pas Drago ?
-Pas vraiment non. Enfin.. ton point de vue est intéressant. J’en ferais part à Granger.
-Hermione Granger. Qu’est-ce qu’elle a changé n’empêche. Elle est devenue plus affirmée tu ne trouves pas ? Elle a prit de l’assurance, rien à voir avec son arrogance de collégienne et sa paire de seins.. elle n’a rien à envier à personne sur ce point de vue là.
-Si tu le dis. Je n’ai pas vraiment regardé les seins de Granger alors que ma femme était à mon bras. Je ne veux pas de problèmes de couples. D’ailleurs, superbe la petite Marissa.
Il changeait de conversation avant que Blaise ne commence à se douter de ses interrogations à propos d’Hermione Granger ou qu’il continue de discourir sur la grosseur, très appréciable, de ses seins et de leur impact sur l’harmonie évidente de sa silhouette. 

-En parlant de Marissa, tu n’aurais pas eu vent d’une vente de manoir dans les environs de chez toi ? ou du moins du côté de Londres ?
Drago plissa des yeux et il réfléchit en se passant une main dans les cheveux. Il voulait emménager avec Marissa Gonzales, voir peut-être..
-Non ? Ne me dis pas que..
Blaise eut un sourire en coin. Drago avait rarement vu un tel sourire sur le visage de Blaise. Il semblait rayonner de bonheur.
-Quand ?
-La semaine prochaine.
-Tu penses qu’elle acceptera ?
-Oui bien sûr. Et encore, tu n’as pas vu le solitaire que je vais lui offrir. Aucune femme ne peut refuser une telle bague.
Il plongea sa main dans sa poche et sortit un écrin noir qu’il ouvrit. En effet, un diamant noir d’une taille exceptionnelle était enchassé dans de l’or rose. Drago savait qu’Astoria aurait de quoi s’extasier pendant au moins une demi-journée sur la rareté et la magnificience de l’objet.
-Des félicitations sont de rigueur j’imagine. Je vais me renseigner pour le manoir mais j’ai une petite idée derrière la tête. Il me semble que les Ferrats sont plus ou moins en faillite. Je vais voir ce que je peux faire pour toi… pour vous deux, se reprit-il.
-Bien sûr je compte sur toi pour être mon témoin.
-Ce sera beaucoup moins fun qu’à mon propre enterrement de vie de garçon mais j’essaierai de faire de mon mieux pour que tu t’amuses.. même si tu dois rester fidèle à ta future femme. Et sache que ça fait au moins 15 ans que je connais les éléments de mon discours de témoin.

Ils éclatèrent de rire et passèrent une agréable soirée. Avant de plonger dans les bras de Morphée, Drago se demanda ce que Granger porterait comme costume le lendemain au bal masqué.

Et il ne fut absolument pas déçu en voyant le résultat. La fête battait son plein, Astoria était enfin détendue et Drago avait engagé Blaise pour la surveilller au cas où Arzock serait dans les parages. Sa femme était habillée en succube et elle était splendide. Drago, lui, avait décidé finalement de se teindre les cheveux d’un noir corbeau. Ils étaient plus longs que d’habitude et il paraissait encore plus pâle. Son costume de Dracula lui allait à la perfection. Il avait réussi à faire peur à Pansy Parkinson. Il avait poussé le vice à changer magiquement la couleur de ses yeux en un rouge bordeaux, et en se faisant pousser deux canines. Il avait décidé qu’il ne boirait que des bloody mary et ses variantes pendant cette soirée. Alors qu’il sirotait une Bloody Death en compagnie d’un ancien camarade, il la vit arriver aux bras d’un brun qu’il identifia comme Harry Potter même si ce n’était pas évident avec la fourrure qui lui recouvrait le visage. Il se dirigea vers eux. Granger sourit, dévoilant des canines couvertes de sang. Il les avait attendu pour commencer sa prospection. Il les prévint seulement que Blaise Zabini n’était pas possédé comme il aurait pu le penser. Au bout d’une demi-heure Drago dut se rendre à l’évidence, ce serait très difficile de réussir à prospecter tout le monde. Granger le rejoignit dans sa robe moulante noire de vampire.
-On va mettre des heures, Harry est d’accord avec moi, il faut que tu fasses diversion, je ne sais pas, fais un discours ou ce que tu veux..
Il capta le regard de sa femme et hocha la tête. Elle demanda alors à prendre la parole. Elle remercia tout le monde d’être là. Harry Potter n’était pas très loin derrière elle et parlait avec quelqu’un. Drago le vit prendre sa baguette mais personne ne le remarquait car Astoria avait capté l’attention de tout le monde. 

-Suis-moi j’ai un truc pour toi. Potter gère et c’est le chef des Aurors, non ?
Il glissa sa main dans celle de Granger et ils transplanèrent dans le bureau de Drago. Ils pouvaient voir la réception depuis sa fenêtre de chambre, Astoria ayant insisté pour qu’elle se fasse en partie dans le jardin.
-Qu’est-ce que tu me veux ?
Il saisit un dossier et l’agita.
-Et c’est ?
-Tout ce que j’ai pu apprendre sur la Résistance Mangemort par disons… d’anciennes connaissances. Des informations que nul ne peut avoir parce que ces personnes n’existent pas pour vous.
Hermione Granger blêmit et allait saisir le dossier mais il recula.
-Je pense que contre son dossier, tu vas me devoir quelque chose en retour.
-Pourquoi cela ne m’étonne pas ? Qu’est-ce que tu veux ?
-Je te veux toi.
Il ne voulait pas répondre ça. Il ne le voulait pas. C’était sûrement l’effet du mélange Whisky,   Tequila, Vodka, Rhum, Gin, sirop de grenadine de son Bloody Death. Hermione Granger ouvrit les yeux et sa bouche bordeaux s’ouvrit. Elle était stupéfaite.
-Je veux dire que je te veux toi, dînant avec moi la semaine prochaine, et lors de ce dîner, tu me parleras de la Résistance Mangemort et tu m’en donneras tous les détails.
-C’est hors de question que je te parle de dossiers confidentiels.
-Mais à partir du moment où le ministre lui-même m’en a parlé, tu pourrais le faire.
Hermione Granger le regardait intensément.
-Non. C’est hors de question. 

Drago se rapprocha d’Hermione et elle ne recula pas.
-Mais tu acceptes un dîner ?
-Pourquoi tu ne peux pas t’empêcher de faire du chantage pour obtenir quelque chose ?
-Ce n’est pas ce que je fais d’ordinaire. Mais ça tu ne peux pas le savoir, parce que nous ne sommes pas amis Granger. Nous avons des intérêts en commun. Voilà ce que nous avons. Tu ne me considéreras jamais autrement que le gosse que j’étais à Poudlard, n’est-ce pas ? Pour toi je suis et je resterais toujours un adolescent. C’est navrant.
Drago était plus amer que ce qu’il croyait. Elle parut choquée par ce qu’il venait de dire et elle posa son verre sans dire un mot sur le rebord de la fenêtre.
-Je sais que tu n’es plus un adolescent Drago. Moi non plus je ne suis plus une adolescente. J’en ai pour preuve qu’il y a 20 ans, nous n’aurions jamais déjeuné et pris le thé ensemble. Jamais. Alors je veux bien un dîner mais..

Elle posa ses mains sur son torse, comme pour l’empêcher d’avancer plus en avant et leva les yeux vers lui.
-Ce qu’il s’est passé dans le Sussex restera dans le Sussex Drago. Mon amitié, c’est tout ce que j’ai à t’offirir. Rien de plus, rien de moins. Et si tu n’en veux pas..
-Tu penses vraiment qu’on pourrait devenir ami Hermione Granger ? l’interrompit-il en plissant des yeux et en approchant son visage de celui de Granger. 

-Je l’espère peut-être, souffla-t-elle.
-Je n’ai jamais été ton ami, je ne suis et je ne serais jamais ton ami. Pas après.. pas après avoir goûté la douceur de tes lèvres ou touché au grain de ta peau, ajouta-t-il en caressant sa joue. Ce n’était pas rien ce qu’il s’est passé dans le confessionnal. Tu le sais aussi bien que moi. Je ne vois pas pourquoi tu refuses de l’admettre.
-Parce que ce n’était rien..commença-t-elle à se braquer.
-Je peux donc aller le dire à ton mari. Si ce n’est rien. Et à ma femme.
-Ne fais pas ça, s’écria-t-elle en le retenant par le bras alors qu’il faisait mine de partir. Je t’en prie.
-Tu as trompé Weasley en ayant une relation intime avec moi. Il faut voir les choses en face et comme tu continues à me parler, ou.. à accepter de te retrouver seule en ma présence, ça veut dire que ce n’est pas rien. Ne minimise pas ce qu’on a fait. 

-Je ne minimise absolument pas ce qui restera probablement la pire erreur de ma vie et qui pourrait me coûter mon mariage, le respect de mes enfants et de mes pairs. Je veux l’oublier.
-Alors prends une potion d’oubli. Moi je ne le ferais pas en tout cas. Tu sais pourquoi ? Les potions d’oubli ne sont pas infaillibles Hermione Granger. Ta tête oubliera mais ton corps continuera à être attiré par le mien. Tu le sais très bien. Tu frissonneras dès que je te frôlerais la main.
Il frôla la main de Granger et elle en eut la chair de poule. Il la saisit par la hanche et la colla contre lui et il recula jusqu’à ce qu’elle soit collée au mur mettant un terme à sa protestation.
-Ton cœur battra plus vite dès que tu sentiras mon parfum..
Il sentait de manière exacerbée les seins de Granger contre son torse et son parfum enivrant lui montait à la tête. Il sentait son souffle court.
-Et dans le meilleur de tes rêves, tu sentiras mes lèvres contre les tiennes, mes mains sur tes hanches et tu te diras que c’était presque du vécu. Parce que ça l’était Hermione.
Il posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa comme il pouvait alors que leurs canines de vampires se frôlaient. Il sentait le cœur de Granger faire des dératés.. à moins que ce soit le sien. 

Il sentait du sang dans sa bouche, là où les crocs acérés de Granger l’avait touché mais il n’en avait cure. Elle répondait bien malgré elle à son baiser, jusqu’à mettre ses bras autour de son cou. Drago se fit la réflexion qu’elle avait l’alcool amoureux et qu’il ne comprenait pas pourquoi Weasley ne la faisait pas picoler pour baiser de temps à autres. Il se dégagea de ses lèvres et lui embrassa le cou qu’elle lui offrait. Elle leva sa cuisse qu’il saisit et il releva sa robe comme dans le confessionnal. Il venait de l’érafler avec ses crocs et elle avait une microcoupure et elle émit une légère protestation.
Drago ferma les yeux et bientôt il sentit une force le pousser et Granger le regarder avec un chagrin infini. Elle posa une main sur sa bouche, honteuse.
Il s’écarta, remit de l’ordre dans sa tenue et il lui tendit le dossier. Il espérait qu’elle ne le regarderait jamais plus avec cet air rempli de culpabilité. Elle le saisit en veillant à ne pas le toucher et elle se dégagea de son étreinte.
-Ne mèle pas ma famille à la Résistance Mangemort et quand tu auras imprimé ce dossier dans ton crâne, brûle-le. C’est tout ce que je te demande. Respecte cela veux-tu..

Il ne s’était pas retourné et il regardait toujours la place qui avait été celle de Granger avant qu’elle ne s’éclipse. Il entendit la porte s’ouvrir, puis se refermer avant qu’il n’ait fait un geste pour la retenir. Était-ce ça la lâcheté ? Il se retourna. Elle n’était plus là. À cette pensée, son cœur battait mais pas d’excitation ou de plaisir comme il en avait l’habitude. Il battait lentement, comme pour sonner le glas. Il avait l’impression qu’il ne la reverrait jamais plus. 

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