Chapitre 1
"La guerre ne devrait pas existé, mais l'égoïsme des hommes est plus fort que la vie des autres on dirait."
Je m'appelle Océane, j'ai un petit garçon âgé de 4 ans, la guerre vient de prendre fin, elle a durée un deux ans.
Devant la gare, mon fils dans mes bras, endormie contre ma poitrine, j'attend silencieusement avec les autres femmes et familles le retour des soldats.
Le train viens d'arriver, mon coeur bat a mille à l'heure, je regarde les hommes qui descendent du train et retrouver leurs familles.
Après quelques minutes le train est sur le point de repartir, mon mari n'est pas descendu, c'était le dernier train qui ramenait les soldats survivants.
Je m'approche d'un pas pressé vers le train, il ne peux pas être allé dans l'au delà, ce-ce n'est tout simplement pas possible !!!
D'un coup je sens un bras m'attraper l'épaule, je me retourne en vitesse, mais se n'était que le conducteur du train...
Homme: Vous ne pouvez pas rentrer mademoiselle.
- Mais je dois retrouver mon mari !! Je suis sur qu'il sait juste endormi !!
Je me dépêche de rentrer dans le train en faisant le tour de celui ci, mais rien...l'homme me rattrape et me fais sortir du train, je fond en sanglots en serrant mon fils contre mon coeur, je me retourne et regarde le conducteur de train dans les yeux.
- Rendez moi mon mari, RENDEZ LE MOI !!!
Je lui cris dessus en pleure, les personne autour de moi me regarde avec pitié, je n'en veux pas, tous se que je veux c'est mon mari !!
"La guerre n'existe que pour arraché la vie de nos hommes, juste pour un simple territoires...ça en vaut vraiment le coup ?"
Je m'accroupis en regardant mon fils qui commence à se réveiller, je lui caresse les cheveux avec douceur, mes larmes coulant sur son visage, je me lève et commence à marcher vers chez moi.
Arrivé chez moi, je pose mon fils dans le salon en lui donnant des jouets, puis je m'assois sur le canapé et pose les mains contre mon front.
Je commence à me poser plein de questions, comme: Comment je vais faire pour m'occuper de notre enfant toute seule, comment je vais pouvoir payé les impôts et tout se genre de chose.
J'ai peur, je tremble puis une douce petite voix me sort de mes pensés.
Je regarde mon fils en lui souriant pour le rassuré.
- Qu'y a t'il Édouard ?
Édouard: Pourquoi tu pleure mama ?
Je m'approche de lui et le prend dans mes bras.
- Parce que Papa...papa est...parti...
Édouard: Et il revient ?
Je senti mon coeur se brisait.
- Non...
Édouard: Pourquoi ?
- Parce que Papa...est parti dans le ciel...
Édouard: Et tu crois que il nous vois toujours ?
Je le regarde surprise puis lui sourit en lui embrassant le front.
- Oui, il nous vois toujours.
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