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Séparation ?

- Bonsoir à toutes et à tous, déclara une journaliste aux yeux bridés et aux courts cheveux noirs. L'édition Spéciale Attentats Paris continue. Et pour vous qui venez d'arriver, nous résumons les nouvelles informations reçues depuis environ deux heures : alors que nous pensions Malia Muson coupable, il s'est avéré qu'elle n'ait été rien d'autre que le bouc émissaire de deux de ses anciens camarades d'école durant sa formation d'Agent
de l'AMM. En effet, les véritables coupables sont Flynn Mike et la fille du couple d'anciens Agents d'AMM le
plus célèbre de l'institution : Nelly Fionel. Terrible coup de tonnerre. En
effet, selon les informations recueillies auprès d'Agents de l'AMM
les plans des deux attentats auraient été rodés 8 années auparavant. . C'est tout ce que nous savons pour le moment. Nous pouvons simplement ajouter que Nelly Fionel s'est faite arrêtée dans sa propriété de luxe avant même que l'information nous soit communiquée, il y a 2h30 soit pendant qu'une opération des Agents de l'AMM se déroulait pour retrouver Flynn Mike. Mais avant cela, il vous faut savoir : Qui, est Malia Muson ?

  Mes yeux s'étaient entr'ouverts à sa dernière question..
Bruno Mars, When I Was Your Man
- Malia Muson, sœur de Daya Muson que vous voyez sur cette photo avec
le visage et le corps jonchés de blessures..

Côme changea de chaîne télé à ce moment-là.. Mes yeux étaient pourtant mi-clos, et il avait remarqué mon réveil.. De toute façon, il était trop tard. Je clignai des yeux puis tournai sur moi-même pour me mettre sur mon côté droit, le visage enfoui dans les vêtements de Côme, ma tête sur ses genoux.  J'avais déjà vu mon visage..mais surtout celui de ma sœur. . . Étonnement, les larmes ne vinrent pas à mes yeux.. Mes tremblements ne reprirent pas..et je restai calme.. Calme. . . Je ne réagis même pas au fait qu'il ait déposé mon visage sur ses genoux comme si que j'étais une enfant..et de surcroît..sans mon autorisation..
Laissé le Dimanche 22 Janvier 2017
Repris le Lundi 23 Janvier 2017 matin ( pas cours matin car je fais pas sport )
Je ne réagis pas non plus quand il glissa sa main dans mes cheveux longs.. Il les caressa doucement, de sa main gauche, devinai-je. Je crois que je me perdais..sous ses caresses répétées si doucement.. Si.. Doucement. . . .
Un soupir m'échappa..
Je crois que j'étais bien..là..

- Côme... ?

Je sentis un léger trésaillement de sa part, moi qui étais sur ses genoux..

- Oui, Mlle Daya ? Me répondit-il en arrangeant les cheveux qui me couvraient le visage ( c'était volontaire de ma part pourtant.. )

Tiens.. Il ne m'avait jamais appelée comme cela . . . Remarquai-je en refermant mes yeux.

- Vous me..promettez..de ne plus..me livrer à qui que ce soit.. ? Susurrai-je.

Ses caresses s'accentuèrent et des tremblements le prirent, comme si qu'il attendait ce moment depuis toujours et que maintenant qu'il était arrivé.. Il appréhendait..
Sia, Angel By The Wings
- Je vous le jure! S'empresse-t-il de répondre, presqu'en tremblant. Je ne vous ferai plus de mal, je ne vous
livrerai plus à personne.. Vous ne serez qu'avec ( italique ) moi.. Me promet-il.

  Un sourire se dessine sur mes lèvres à sa dernière phrase..touchante..

- Vous serez..toujours..avec moi.. ? Répétai-je en cachant mes larmes qui coulaient, me mettant sur le
dos sur ses genoux, la main droite sur mes yeux.
- Oui. Je vous le jure.. S'exclama-t-il presque en se mettant à caresser
mon front et jouant avec mes mèches.

  J'appuyai ma main sur mes yeux encore plus fort tandis que je sanglotais encore plus.

- C'eest vrai ? Susurrai-je, des larmes dans la voix.
- Je n'ai jamais été aussi sincère de toute(italique) ma vie, Mlle Daya! M'assure-t-il d'une voix elle aussi émue..

Je souriai tristement, mes pleurs me secouant maintenant violemment par moments..

- C'est..bien.. Murmurai-je avec peine, rassurée.

Je l'entendis prendre une inspiration soudain, comme incrédule, et choqué à la fois.
Je crois qu'il ne réalisait pas..que.. J'avais fait ce qu'il attendait maintenant..depuis si longtemps.. Je crois..que..je l'avais pardonné. . .?

- C'est..bien..! Terminai-je, tandis que ma voix se brisait.

Ses yeux se brouillèrent et il se mit soudain à pleurer comme un enfant.

- O-ouii.. Murmurait-il incessam-ment. Oouii...!

Mon sang se glaça de plus bel tandis
que déjà, mon visage n'était plus que minoritairement couvert par mes pansemants...

Quelques pas se firent entendre et très vite, il répéta :

- Mlle Daya ? Vous êtes là..?

Sa dernière phrase traduisait une pointe d'inquiétude grandissante.
Il devait sûrement s'être rendu compte que je n'étais pas sur le canapé comme il m'avait laissée tout-à-l'heure.
Je ne daignai toujours pas répondre
, partagée entre appréhension et agacement.
Quand enfin, il ouvrit la porte de la salle-de-bain, le visage dégoulinant de sueur - à cause d'une certaine angoisse ou d'un effort physique ? Sa chemise bleue, en-dessous de son gilet par-balles de l'AMM, était auréolée - et empli d'inquiétude, ses yeux s'arrondirent à la vue du sang qui dévalait mes joues. Puis, pour une raison inexpliquée ses yeux se plissèrent de tristesse et se remplirent de larmes. Moi, la peur et l'appréhension passées, je restai immobile et silencieuse, les yeux dans le vague.

Je ne comprenais même pas pourquoi il continuait à éprouver des sentiments pour moi.

- Mlle Daya, qu'est-ce que vous.. Se réveille-t-il dans un sursaut en s'approchant de moi, affligé.
- Je me débarasse de mes chaînes. Lui répondis-je le plus simplement et le plus sincèrement possible.
- D'accord, je veux bien mais.. Il chercha ses mots puis une lingette et du désinfectant. Il se mit à essuyer le sang qui souillait mon visage, de la peine dans les yeux. ..si
vous pouviez le faire de manière pacifique.. Ce serait bien.. Chuchote-t-il en cherchant pansements et bandages maintenant qu'il avait terminé de désinfecter tout cela.

Mais je ne voulais pas..être de nouveau dissimulée derrière ces bandes blanches.. Je me dissimulais déjà bien assez derrière mes sentiments..!
Alors, je changeai de sujet sans plus réfléchir :
Ellie Goulding, Still Falling For You
- Vous n'étiez pas là ce matin... ?Commencé-je doucement. Vous n'étiez pas là.. à mon réveil.. Murmuré-je tout bas tandis que Côme s'arrêtait soudain de chercher les bandages partout, comme frappé par la foudre, pour se relever, lentement, précautionneusement, et se dresser vers moi, une peine encore plus grande que la précédente dans les yeux.

Mes sourcils étaient légèrement haussés vers le haut lorsque j'avais dit cela. Mais mes yeux restaient les
mêmes qu'à l'accoutumée ces temps-ci, c'est-à-dire insensibles et aussi froids que la glace.

Je vis les lèvres de Côme se séparer pour me dire quelque chose. Mais finalement, ses sourcils se froncè-rent de douleur et il m'entoura les épaules de ses bras avec force et tendresse à la fois.

- Je ne vous quitterai plus..! S'exclame-t-il d'une voix brisée. J'aimerais tant ne plus vous quitter, Daya.. Susurre-t-il dans un souffle ; mes yeux s'agrandir à l'entente de mon prénom prononcé pour la première fois de toute notre rencontre par ses soins. J'aimerais tant ne pas être incessamment convoqué par mes supérieurs pour répondre d'une enquête sur moi.. Ajoute-t-il doucement. J'aimerais tant.. Sa voix se brisa en un sanglot tandis que j'ouvrais encore plus grands les yeux à l'entente de sa révélation : .. ne pas avoir été viré et ainsi destitué de toutes fonctions par rapport à vous.
Hoquète-t-il douloureusement. Mais
je me dis que partir avec eux.. vous offrira un avenir meilleur..et sûre-ment plus glorieux que tout ce que je pourrais vous offrir avec ma peur,
ma faiblesse et ma.. lâcheté.. Souffla-t-il d'une voix grave et pleine de larmes.

Mes yeux s'arrondirent d'autant plus lorsque j'entendis la porte de l'appartement de Côme se faire défoncer brutalement.

Mes lèvres se séparèrent en voyant arriver des hommes dotés du même gilet par-balles de Côme entrer avec fracas dans la salle-de-bain dans laquelle nous étions pour pousser sans ménagement Côme, m'otant ainsi de ses bras sous mes yeux horrifiés et ceux larmoyants de mon.. ami.. ? de mon.. protecteur.. ?

Des larmes me montèrent aux yeux.

N'était-ce déjà plus le cas.. ? M'interrogé-je alors que j'étais trainée de force en-dehors de sa salle-de-bain sous ses sanglots..

Ses derniers mots trottèrent dans ma tête tandis que j'étais dirigée dangereusement vers la porte de son appartement :

" partir avec eux.. vous offrira un avenir meilleur.. et plus glorieux.. "

Un avenir meilleur et plus glorieux ? Me répété-je alors que déjà, nous avions franchi sa porte.

Une vive douleur me prit au ventre tandis qu'enfin, mes larmes se libéraient et s'échappaient de mes yeux verts particulier .

Je n'ai pas besoin de leur avenir glorieux !!! M'exclamé-je intérieure-ment en commençant soudain à me
débattre. Je n'ai pas besoin de vivre
avec les assassins de ma grande-sœur adorée !! Je n'ai pas besoin de traiter avec ces enfo*rés qui virent sans ménagement un homme au bon cœur qui est devenue un auto-mate, ou plutôt une machine de guerre à cause d'eux !! Continué-je intérieurement en donnant des coups-de-pied et de poings à droite à gauche en hurlant ma colère :

- Je n'aime pas ce petit c*n mais je REFUSE de vivre loin de lui !! Vous entendez ?!! Lâchez-moi!!! Je ne vois
pas mon avenir sans LUI !! Hurlé-je encore plus fort, aussi fort que mes cordes vocales, pourtant bien éprouvées depuis hier, le pouvaient.

Et je peux vous dire qu'elles pouvaient plutôt bien !

De l'autre côté, le chef que tout le monde avait abandonné et laissé pleurer seul sur le sol, complètement effondré, leva la tête et ouvrit la bouche, grandement étonné, et reprit espoir en un rien de temps ou plutôt en quelques cris.
Aussi, à l'entente de hurlements et de bruits de lutte, il n'hésita pas à se précipiter vers la sortie de son appartement pour, avec stupeur, voir le magnifique corps de sa cliente s'agiter avec une force puissante et désespérée, une vigueur incroyable et insoupçonnée,
une colère effrayante et terrifiante,et ce, pour la simple raison, pour la simple volonté (2 derniers mots ital) de vouloir rester avec lui.. ( lui en ital )

* yeux attendris * fond * Et il ne put que tomber encore plus amoureux d'elle..

Mais, se réveillant soudain, pris d'un
éclair de lucidité, il bondit en-dehors de son appartement, se jetant sur l'enflure qui osait tenir sa douce par les épaules et l'écartant ainsi de celle-ci avec force
Aussitôt, les autres agents se jetèrent sur lui mais avant qu'ils ne puissent l'atteindre, le dénommé Côme s'écria d'une voix forte :

- Arrêtez !!!

Là, un silence pesant s'installa durant lequel les hommes casqués et cagoulés s'échangeaient des regards interrogatifs et emplis de doutes.

Moi, j'étais certes libérée de l'autre idiot qui me tenait les épaules mais j'en avais maintenant deux autres sur moi qui me ceinturaint ferme-ment comme au basket.
Cependant, je cessai de me débattre dès qu'il haussa la voix, laissant présager un grand discours.


Nous passâmes la nuit ainsi, moi, endormie sur son épaule et lui, droit
comme un " i " .



Le Lendemain :      Triste désillusion,
( Chapitre 3 )

Laissé le 02 Avril 2017 & Repris le Samedi 18 Juin 2017 

Angel By The Wings, Sia

   Je me réveillai lentement, engourdie, perdue.
   Mais où étais-je ? Me demandai-je aussitôt en regardant à droite et à gauche furtivement, paniquée.

Soudain, je me rappelai tout.

Tout ( italique ) . . .

Je baissai la tête et fermis les yeux, ceux-ci s'embuant déjà de larmes..

Je fronçai les sourcils en faisant non de la tête, des larmes roulant sur mes joues.

Était-ce à cause de notre réconcilia-tion à moi et Côme, ou à cause de la disparition de ma famille toute entière que mon cœur me brûlait si
intensément ?

Je fis un triste et effrayant sourire tandis que des soubresauts me prenaient et que je rouvrais les yeux.

En tout cas, ce qui était sûr c'est que ce n'était pas à cause de mes multiples blessures.. Non.. Je n'en avais plus rien à faire, maintenant..
maintenant que j'avais tout perdu...au sens propre..
Je me redressai, moi qui m'étais allongée sur le canapé de Côme sans le savoir. . .. * se souvient de ce dernier sur lequel elle avait eu
la tête reposée ( sur ses cuisses précisément ) hier soir * À moins que ce soit lui qui m'ait déposée ainsi. . C'est plus probable me dis-je en étirant mon corps meurtri par coups et brûlures.
J'aperçus alors une lettre, à l'autre bout du canapé..une feuille blanche sur laquelle étaient écrits des mots à la va-vite..
Dans un sens, ça m'effrayait  ..de me dire..que j'allais faire face..à quelque chose d'autre qui pouvait encore m'arriver..

Je m'avançai donc à quatre pattes sur le canapé, méfiante, hésitante, pour finalement, l'attraper.

" Mlle Daya, "

Je m'arrêtai de lire en fronçant les sourcils, sentant déjà la tempête arriver.
Je la relève après avoir pris une inspiration, me disant que, de toute façon, j'avais déjà tout perdu.

" Mlle Daya, "

* soupir *

" Je m'excuse de ne pas être là à votre réveil, et de ne pas vous avoir réveillé avant mon départ. Vous dormiez si bien...
Excusez-moi.
Une urgence m'a prise.
J'espère être de retour très vite.
Puis-je vous dire ' bisous ' ?
PS : Le petit-déjeuner est sur le plan de travail de la cuisine.               "

Je froissai la lettre inconsciemment,
les yeux vidés de toutes émotions, tremblante.

   Et dire que la dernière personne à être là pour moi s'était enfuie.. ! Me dis-je avec amertume.

Lorsque je me rendis compte des affreuses et stupides pensées qui m'avaient prise..je lâchai la lettre qui tombit sur le canapé avant de me relever, pentelante et démoti-vée, pour me diriger au hasard vers une salle de son petit appartement.
J'attéris dans la salle-de-bain, et aperçus mon reflet.. Une expression
de dégoût se lut sur mon visage.

    Je me détestais..
Autant mes innombrables bandages que mes pensées néfastes.. ..

Laissé le 18 Juin 2017

   Alors pourquoi pas les enlever ?

* soupir *

Non, triples imbéciles, pas mes pensées mais mes bandages ! Me dis-je en regardant à nouveau mon reflet.
C'est vrai, quoi! À quoi me servaient-ils, au juste, à part à me sentir encore plus affreuse ?
Allez, ni une, ni deux, je défaisais mes pansements d'une main habile.
Enfin, si vous appelez habile une main qui enlève tout avec force et fureur.. C'est vous qui voyez.

Soudain,
Alors que je me délivrais de ma cage faite de bandages maintenant ensanglantés, la porte de l'entrée de l'appartement grinça
en un assourdissant fracas. Je sursautai. Oui, je sursautai, comme prise en flagrant délit, alors que je me délivrais. .. .

Une voix retentit à l'entrée :

- Mlle Daya ?

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