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Retrouvailles !

Mon sang se glaça de plus bel tandis

que déjà, mon visage n'était plus que minoritairement couvert par mes pansemants...

Quelques pas se firent entendre et très vite, il répéta :

- Mlle Daya ? Vous êtes là..?

Sa dernière phrase traduisait une pointe d'inquiétude grandissante.

Il devait sûrement s'être rendu compte que je n'étais pas sur le canapé comme il m'avait laissée tout-à-l'heure.

Je ne daignai toujours pas répondre

, partagée entre appréhension et agacement.

Quand enfin, il ouvrit la porte de la salle-de-bain, le visage dégoulinant de sueur - à cause d'une certaine angoisse ou d'un effort physique ? Sa chemise bleue, en-dessous de son gilet par-balles de l'AMM, était auréolée - et empli d'inquiétude,

{Laissé le 23 Juin 2017 & Repris le Mercredi 31 Octobre 2018 à 13h47 LE JOUR DE HALLOWEEN !!!!!!! Et dire que j'ai kiné à 14h30 et que je suis même pas lavée --'' x') }{Ed Sheeran,

Perfect } ses yeux s'arrondirent à la vue du sang qui dévalait mes joues. Puis, pour une raison inexpliquée ses yeux se plissèrent de tristesse et se remplirent de larmes. Moi, la peur et l'appréhension passées, je restai immobile et silencieuse, les yeux dans le vague. 

Je ne comprenais même pas pourquoi il continuait à éprouver des sentiments pour moi.

- Mlle Daya, qu'est-ce que vous.. Se réveille-t-il dans un sursaut en s'approchant de moi, affligé.

- Je me débarasse de mes chaînes. Lui répondis-je le plus simplement et le plus sincèrement possible.

- D'accord, je veux bien mais.. Il chercha ses mots puis une lingette et du désinfectant. Il se mit à essuyer le sang qui souillait mon visage, de la peine dans les yeux. ..si

vous pouviez le faire de manière pacifique.. Ce serait bien.. Chuchote-t-il en cherchant pansements et bandages maintenant qu'il avait terminé de désinfecter tout cela.

Mais je ne voulais pas..être de nouveau dissimulée derrière ces bandes blanches.. Je me dissimulais déjà bien assez derrière mes sentiments..!

Alors, je changeai de sujet sans plus réfléchir :

Ellie Goulding, Still Falling For You

- Vous n'étiez pas là ce matin... ?Commencé-je doucement. Vous n'étiez pas là.. à mon réveil.. Murmuré-je tout bas tandis que Côme s'arrêtait soudain de chercher les bandages partout, comme frappé par la foudre, pour se relever, lentement, précautionneusement, et se dresser vers moi, une peine encore plus grande que la précédente dans les yeux.

Mes sourcils étaient légèrement haussés vers le haut lorsque j'avais dit cela. Mais mes yeux restaient les

mêmes qu'à l'accoutumée ces temps-ci, c'est-à-dire insensibles et aussi froids que la glace.

Je vis les lèvres de Côme se séparer pour me dire quelque chose. Mais finalement, ses sourcils se froncè-rent de douleur et il m'entoura les épaules de ses bras avec force et tendresse à la fois.

- Je ne vous quitterai plus..! S'exclame-t-il d'une voix brisée. J'aimerais tant ne plus vous quitter, Daya.. Susurre-t-il dans un souffle ; mes yeux s'agrandir à l'entente de mon prénom prononcé pour la première fois de toute notre rencontre par ses soins. J'aimerais tant ne pas être incessamment convoqué par mes supérieurs pour répondre d'une enquête sur moi.. Ajoute-t-il doucement. J'aimerais tant.. Sa voix se brisa en un sanglot tandis que j'ouvrais encore plus grands les yeux à l'entente de sa révélation : .. ne pas avoir été viré et ainsi destitué de toutes fonctions par rapport à vous.

Hoquète-t-il douloureusement. Mais

je me dis que partir avec eux.. vous offrira un avenir meilleur..et sûre-ment plus glorieux que tout ce que je pourrais vous offrir avec ma peur,

ma faiblesse et ma.. lâcheté.. Souffla-t-il d'une voix grave et pleine de larmes.

James Arthur, Say You Won't Let Go

Mes yeux s'arrondirent d'autant plus lorsque j'entendis la porte de l'appartement de Côme se faire défoncer brutalement.

Mes lèvres se séparèrent en voyant arriver des hommes dotés du même gilet par-balles de Côme entrer avec fracas dans la salle-de-bain dans laquelle nous étions pour pousser sans ménagement Côme, m'otant ainsi de ses bras sous mes yeux horrifiés et ceux larmoyants de mon.. ami.. ? de mon.. protecteur.. ?

Des larmes me montèrent aux yeux.

Meghan Trainor, John Legend, Like I'm Gonna Loose You ou Gloria des Kalafin ( chanson ajoutée le Jeudi 04 Avril 2019 car j'ai terminé à 11h35 eh ouais en 1ère S pourtant !

;)

N'était-ce déjà plus le cas.. ? M'interrogé-je alors que j'étais trainée de force en-dehors de sa salle-de-bain sous ses sanglots..

Ses derniers mots trottèrent dans ma tête tandis que j'étais dirigée dangereusement vers la porte de son appartement :

" partir avec eux.. vous offrira un avenir meilleur.. et plus glorieux.. "

Un avenir meilleur et plus glorieux ? Me répété-je alors que déjà, nous avions franchi sa porte.

Une vive douleur me prit au ventre tandis qu'enfin, mes larmes se libéraient et s'échappaient de mes yeux verts particulier ( je préfère dorés mtn qu'en penses-tu? ^*^ : 04/04/2019).

Je n'ai pas besoin de leur avenir glorieux !!! M'exclamé-je intérieure-ment en commençant soudain à me

débattre. Je n'ai pas besoin de vivre

avec les assassins de ma grande-sœur adorée !! Je n'ai pas besoin de traiter avec ces enfo*rés qui virent sans ménagement un homme au bon cœur qui est devenue un auto-mate, ou plutôt une machine de guerre à cause d'eux !! Continué-je intérieurement en donnant des coups-de-pied et de poings à droite à gauche en hurlant ma colère :

- Je n'aime pas ce petit c*n mais je REFUSE de vivre loin de lui !! Vous entendez ?!! Lâchez-moi!!! Je ne vois

pas mon avenir sans LUI !! Hurlé-je encore plus fort, aussi fort que mes cordes vocales, pourtant bien éprouvées depuis hier, le pouvaient.

Et je peux vous dire qu'elles pouvaient plutôt bien !

De l'autre côté, le chef que tout le monde avait abandonné et laissé pleurer seul sur le sol, complètement effondré, leva la tête et ouvrit la bouche, grandement étonné, et reprit espoir en un rien de temps ou plutôt en quelques cris.

Aussi, à l'entente de hurlements et de bruits de lutte, il n'hésita pas à se précipiter vers la sortie de son appartement pour, avec stupeur, voir le magnifique corps de sa cliente s'agiter avec une force puissante et désespérée, une vigueur incroyable et insoupçonnée,

une colère effrayante et terrifiante,et ce, pour la simple raison, pour la simple volonté (2 derniers mots ital) de vouloir rester avec lui.. ( lui en ital )

* yeux attendris * fond * Et il ne put que tomber encore plus amoureux d'elle..

Mais, se réveillant soudain, pris d'un

éclair de lucidité, il bondit en-dehors de son appartement, se jetant sur l'enflure qui osait tenir sa douce par les épaules et l'écartant ainsi de celle-ci avec force

Aussitôt, les autres agents se jetèrent sur lui mais avant qu'ils ne puissent l'atteindre, le dénommé Côme s'écria d'une voix forte :

- Arrêtez !!!

Là, un silence pesant s'installa durant lequel les hommes casqués et cagoulés s'échangeaient des regards interrogatifs et emplis de doutes.

Moi, j'étais certes libérée de l'autre idiot qui me tenait les épaules mais j'en avais maintenant deux autres sur moi qui me ceinturaint ferme-ment comme au basket.

Cependant, je cessai de me débattre dès qu'il (ital il) haussa la voix, laissant présager un grand discours.

- Arrêtez-moi ce carnage, et TOUT DE SUITE !! S'écrie Côme d'une voix forte et autoritaire, les sourcils froncés au plus haut point ; il attendit encore un instant avant de reprendre d'une voix ferme : Ce n'est pas parce que je ne suis plus Chef dans cette organisation que vous pouvez nier tout le travail que j'ai réalisé toutes ces années ! Toutes les bonnes choses que j'ai faites, autant pour vous que pour les habitants de ce pays ! Alors je vous ordonne de vous arrêtez et de m'écouter !! Ajoute-t-il avec encore plus de force et colère.

Je pouvais sentir dans ses yeux un mélange de tant d'émotions et parmi celles-ci j'y voyais enfin du ressentiment vis-à-vis de cette organisation qui lui avait en quelque sorte volé sa vie..

Puis, tandis que le silence était de nouveau roi, on entendit un petit sanglot s'échapper des lèvres tremblantes de Côme alors qu'il murmurait, les sourcils froncés mais vers le haut cette fois-ci :

- Regardez-vous, tous.. (ital " tous " )

Les soldats s'échangèrent malgré eux quelques regards, comme si l'autorité qu'avait Côme sur eux était encore irréfutable et indéfectible, ce qui me fit un peu du baume au cœur, et ce, à mon plus grand étonnement.

Un triste rire me sortit de mes pensées. Il venait de lui. (ital " lui " )

- Ne voyez-vous pas que vous ressemblez à des bêtes.. ? Leur fit-il remarquer tristement. Vous en prendre à une femme, jeune, menue, blessée, dans son âme comme au plus profond de sa chair.. Et à pas moins de quinze, de surcroît..Quinze (ital) personnes à se déchaîner sur une innocente à qui la République toute entière devrait s'excuser de lui avoir volé sa famille entière..

Un autre rire, encore plus affligé, le prit.

- Mais pourquoi (ital) faîtes-vous cela ? Les interroge-t-il en levant les bras, déconcerté. Une fois ne suffit pas ? Reprend-il devant le silence coupable des soldats. Car oui, ne vous souvenez-vous pas l'avoir agressée similairement 

hier matin alors même que je 

vous avais donné pour instructions d'y aller doucement ? Hein ? Mais n'avez-vous pas honte de vous-mêmes ?! Explose-t-il finalement en redevenant rouge de colère. Ça vire le Chef de l'AMM et dès qu'il n'est plus là, on s'attaque aux personnes qu'on devrait protéger comme si c'était des lapins et nous des chasseurs !! Continue-t-il en se rapprochant dangereusement de moi, ou plutôt de nous..

Je me sentis reculer de force, emportée par la forte poigne du soldat mais plus pour très longtemps car, surprise et effrayée à la fois, j'avais tendu la main dans un dernier espoir vers celui qui m'avait fait tant de mal mais aussi sauvée tant de fois et qui étais sû-rement en train de me sauver d'un autre lieu de torture.. Et lui, fou de rage, l'avait attrapée pour m'attirer

à lui. Sans prévenir, je volai jusque son torse sur lequel j'attéris non pas

sans sursaut. 

Je le sentis m'entourer de ses mains

tandis qu'il criait :

- Vous n'avez pas compris ?! Mlle Daya Muson est à MOI !! Alors Partez !!! ET QUE ÇA SAUTE !!!! Hurla-t-il, me faisant sursauter puis frissonner de peur.. 

J'avais resserré inconsciemment mes mains autour de son gilet par-balles, effrayée. 

Je retins mon souffle en sentant les soldats me frôler, par peur d'être de nouveau emportée.

Ed Sheeran, Perfect en boucle

- Ne vous en faîtes pas.. Me sortit de

mes pensées Côme en resserrant son étreinte autour de mes hanches, me faisant relever mon visage vers lui, perdue. Il me sourit tendrement en m'entraînant dans une danse timide et naissante. Je ne suis pas prêt de vous lâcher..! Me 

chuchote-t-il dans un souffle en approchant son front du mien pour frotter délicatement son nez au mien et sourire deux fois plus en fermant les yeux.

Je l'observai avec ébahissement, les

lèvres entr'ouvertes..

Il avait fait fuir des soldats armés et

déterminés pour me garder sous son toit ? Malgré toutes les remon-trances, toutes les injures, tous les coups dont il avait été victime par ma faute ? Il..

Tandis que je pensais cela, des larmes roulèrent sur mes joues.

Il avait fait tout cela pour.. Moi.. ? (ital " moi " )

Alors, n'y tenant plus, je me jetai dans ses bras en entourant fermement ses épaules, sur la pointe des pieds et en pleurs.

Celui-ci, surpris, rouvrit ses yeux en un sursaut mais me rattrapa bien vite.

Tremblante comme une feuille, émue aux larmes, je ne cessai de resserrer mes bras autour de lui.

Je voulais(ital "voulais") lui dire quelque chose mais.. C'était si difficile de ravaler ma fierté, mes sanglots aussi, que je mis beaucoup de temps à enfin le murmurer.. dans un souffle, tout bas, et tout timide... Je lui chuchotai un :

- Mercii. . .

...teinté de larmes et d'émotions.

Les yeux de Côme s'agrandirent, et il cessa un instant de caresser mes cheveux pour observer le ciel, surpris et touché au plus profond de son cœur, comme touché par la flèche d'un certain Cupidon, vous connaissez ?

Puis, se ressaisissant, non sans un sourire béat et heureux sur les lèvres, il reprit ses caresses et murmura :

- Ne serait-ce pas un slow que j'entends là ?

Trop préoccupée par mes pleurs dans son cou, j'entendis à peine ses mots.. 

- Mais oui, c'est lui.. Reprend-il tout doucement. Le fameux chanteur aux boucles rousses..

Un petit sourire se dessina sur mes lèvres.

Il l'avait dit avec une telle simplicité que ça le rendait simplet..

- Oh voici mon passage préféré..! S'exclame-t-il à voix basse. Pourquoi ne pas dansez avec moi ? M'invite-t-il tandis que je levai mes yeux inondés de larmes vers lui.

Je lui offris un sourire larmoyant avant de hausser les épaules tout en hochant la tête.

Ce devait être drôle à voir..D'ailleurs, son sourire redoubla et quelques rires heureux lui échappè-rent.

{Le moment est à partir de 3'43 mais mette un peu avant style 3'25}

Puis il redescendit ses mains au creux de mes hanches et  me pressa

un peu plus contre lui que je ne l'étais déjà. Il se pencha un peu plus vers moi afin de déposer ses lèvres dans mes cheveux. Moi, je restais tout simplement collée à lui, au comble de l'apaisement et du bonheur. 

Je me sentais bercée par cette musique qui venait de l'étage, et par ses mains douces et fortes à la fois qui me menaient à droite puis à

gauche avec une tendresse inexpli-cable, une délicatesse incroyable et une attention inébranlable.. 

Je me sentis à peine emportée à l'intérieur de son appartement puis être tournée sur moi-même pour finalement attérir dans ses bras, portée comme une princesse assise

dans ses bras, comme une princesse mais portée sur le côté. 

À ce moment, je croisai enfin son regard, et je peux vous dire qu'il était tout pleins d'étoiles et de cœur pleins d'amour à la fois. Remarqué-je en resserrant mon étreinte autour de ses épaules, un sourire aux lèvres qui n'avait pu s'empêcher de naître au coin de celles-ci. Pensé-je tandis qu'il me déposait maintenant avec la plus grande des tendresse sur le canapé de son salon et que la musique continuait.

Je le regardai interrogativement malgré moi. Et lui, qui était concentré sur mes larmes encore présentes sur mes joues jusque-là, releva soudain son visage vers moi, aux anges, en déclarant, tout feu tout joie :

- Vous avez raison, vous serez plus à

l'aise dans ma chambre!

Là, du rouge teinta(?) mes joues tandis qu'il me portait de nouveau comme une princesse, comme si j'avais une magnifique robe blanche

et bouffante. C'en était gênant ! Me dis-je, alors que mon cerveau fonctionnait de nouveau normalement.

- En plus, vous avez dû attraper froid avec ces vêtements, reprit-il en se dirigeant au plus vite vers sa chambre. Pauvre de vous.. Murmura-t-il en caressant délicate-ment mes cheveux tandis que je cachais mon visage dans son gilet par-balles, gênée au plus haut point.

Je ne vis donc pas venir son geste lorsqu'il me déposa tendrement sur son lit. À cet instant, j'étais tellement paniquée que je ne remarquai même pas les détails ni le décor de sa chambre. Non. J'étais juste une fille, tremblante de peur comme de froid, sur le lit d'un homme, peut-être pas le plus gentil,

peut-être pas le plus dangereux non plus, mais bel et bien celui qui m'avait le plus protégée dans ma misérable vie ces temps-ci, ou du moins en partie, et tout cela sur un fond de musique adorable..

Je fermai les yeux un instant et lorsque je les rouvris, j'avais un gilet en laine adorable et réchauffant..

{James Arthur, Say You Won't Let Go

 Ça me fit du bien.. M'avoué-je en m'emmitouflant dans celui-ci en refermant les yeux de bonheur.

Comme quoi, il en faut peu pour être heureux..! Pensé-je avec un sourire et en retenant difficilement mes rires.

Je sentis alors que l'on s'asseyait sur le lit..

- Qu'est-ce qui vous rend si heureuse ? M'interrogea Côme tandis que je relevai mes yeux vers lui, comme sortant d'un rêve.

Je vis ses prunelles se dilater tandis que des tremblements le prenaient.

"Il faut être un démon pour être aussi belle malgré tous ces bandages... " Se dit-il tandis qu'il secouait sa tête de droite à gauche avant de me prendre par les épaules et me serrer contre lui avec

force et tendresse à la fois, ça me surprit.

" Cette fille est une Déesse.. " Pensa-t-il en caressant mes cheveux pour déclarer :

- Comme cela, est-ce que ça va mieux ?

Mon absence de réponse lui fit comprendre que je m'étais endormie en un instant de douceur. . .

Il recula un instant mon visage de son torse pour m'observer assoupie

avant de sourire affectueusement et d'embrasser mon front tendre-ment.

Il me pressa de nouveau contre lui en fermant les yeux et en embrassant mon cou de baisers papillon.

Il me berça tendrement comme chantant une berceuse.. avant de finalement s'allonger confortablement sur son lit, moi dans ses bras. .

" Sa porte ouverte attendrait ! " 

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