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Chapitre 9 : Quidditch

A trois heures et demie, cet après-midi-là, les élèves de Gryffondor sortirent dans le parc pour serendre sur le lieu de leur première leçon de vol. Le ciel était clair et les vastes pelouses ondulaientsous une faible brise. Le terrain se trouvait du côté opposé à la Forêt interdite dont on voyait lesarbres se balancer au loin.Les Serpentard étaient déjà là, ainsi qu'une vingtaine de balais soigneusement alignés sur le sol. Harryavait entendu Fred et George se plaindre de la qualité des balais de l'école qui se mettaient à vibrerquand on volait trop haut ou qui tiraient un peu trop à gauche.Madame Bibine, le professeur de vol, arriva bientôt. Elle avait des cheveux courts et gris et des yeuxjaunes comme ceux d'un faucon. (madame bibine = MB) 

MB : Alors, qu'est-ce que vous attendez ? aboya-t-elle. Mettez-vous chacun devant un balai. Allez,dépêchez-vous !Harry jeta un coup d'oeil à son balai: il était vieux et pas en très bon état.

MB :Tendez la main droite au-dessus du balai, ordonna Madame Bibine, et dites : "Debout !" 

Debout ! crièrent les élèves à l'unisson.Le balai de Harry lui sauta aussitôt dans la main, mais ce fut un des rares à le faire. Celui d'HermioneGranger fit simplement un tour sur lui-même et celui de Neville ne bougea pas. Les balais étaientpeut-être comme les chevaux, songea Harry, quand on avait peur, ils le sentaient et le tremblementdans la voix de Neville indiquait clairement qu'il aurait préféré garder les deux pieds sur terre.Madame Bibine leur montra ensuite comment enfourcher le manche sans glisser. Elle passa devantchacun pour corriger la position et Harry et Ron furent enchantés de l'entendre dire à Malefoy qu'iltenait très mal son balai. 

MB : Et maintenant, à mon coup de sifflet, vous donnez un coup de pied par terre pourvous lancer. Frappez fort. Vous tiendrez vos balais bien droits, vous vous élèverez d'un ou deuxmètres et vous reviendrez immédiatement au sol en vous penchant légèrement en avant. Attention aucoup de sifflet. Trois, deux... 

Mais Neville était si nerveux et il avait si peur de ne pas réussir à décoller qu'il se lança avant queMadame Bibine ait eu le temps de porter le sifflet à ses lèvres. 

MB : Redescends, mon garçon ! 

Mais Neville s'éleva dans les airs comme un bouchon de champagne. Il était déjà à trois mètres. Ilmonta jusqu'à six mètres. Harry vit son visage se décomposer tandis qu'il regardait le sol s'éloigner.Il eut un haut-le-corps, glissa du balai et...BAM ! Il y eut un bruit sourd, puis un horrible craquement et Neville se retrouva face contre terre, lenez dans le gazon. Son balai continua de s'élever de plus en plus haut, puis dériva lentement vers laForêt interdite avant de disparaître à l'horizon.Madame Bibine était penchée sur Neville, le teint aussi pâle que lui. 

MB : Poignet cassé. Allez, viens mon garçon, lève-toi, ce n'est pas grave. 

Elle se tourna alors vers les autres élèves. 

MB : Personne ne bouge pendant que j'emmène ce garçon à l'infirmerie. Et vous laissez lesbalais par terre, sinon, je vous garantis que vous ne resterez pas longtemps à Poudlard. 

Neville, le visage ruisselant de larmes, la main crispée sur son poignet, clopina à côté de MadameBibine qui le tenait par l'épaule. Dès qu'ils se furent suffisamment éloignés Malefoy éclata de rire. 

Malefoy : Vous avez vu sa tête, à ce mollasson ? 

Les Serpentard éclatèrent de rire à leur tour. 

Hafsa : Tais-toi, Malefoy ! T'es qu'un gros con !

Parkinson : Tu prends la défense de Londubat, Hafsa ? (une fille de Serpentard auvisage dur) Je ne savais pas que tu aimais les gros pleurnichards.

Hafsa : Moi au moin ma cocote j'ai des vrai amies pas des petite BDH qui reste avec moi que pour le fric ! 

Malefoy : Regardez ! 

Il se précipita soudain à l'endroit où Neville était tombé et ramassa quelque chose dans l'herbe. 

Malefoy : C'est ce truc idiot que sa grand-mère lui a envoyé, dit-il en montrant le Rapeltout qui étincelait danssa main. 

Harry : Donne-moi ça, Malefoy. 

Tout le monde cessa de parler pour regarder la suite des événements. Malefoy eut un sourire mauvais. 

Malefoy : Je vais le laisser quelque part pour que ce pauvre Neville puisse le retrouver. Au sommet d'unarbre, par exemple. 

Hafsa : Donne ça ! 

Mais Malefoy avait déjà enfourché son balai et décolla aussitôt. Il n'avait pas menti en disant qu'ilsavait voler. 

Malefoy : Si tu y tiens tellement, viens le chercher, Potter

Harry empoigna son balai.

 Hermione : Non ! Madame Bibine nous a dit de ne pas bouger. Tu vas nous attirer desennuis. 

Mais Harry ne fit pas attention à elle. Il enfourcha le balai, donna un grand coup de pied par terre ets'éleva à toute vitesse. L'air lui sifflait aux oreilles et sa robe de sorcier flottait derrière lui.Il ressentit une joie intense en découvrant soudain qu'il savait faire voler un balai sans avoir eu besoind'apprendre. C'était quelque chose qui lui paraissait très naturel, très facile, et qui lui donnait unesensation merveilleuse. Lorsqu'il tira sur le manche pour monter encore un peu plus haut, il entendits'élever de la pelouse les hurlements des filles qui le suivaient des yeux et une exclamation admirativede Ron.Harry prit alors un virage serré pour faire face à Malefoy qui paraissait stupéfait. 

Harry : Donne-moi ça, s'écria Harry, ou je te fais tomber de ton balai ! 

Malefoy : Vraiment ?

Il essayait d'avoir l'air méprisant mais semblait plutôt inquiet.D'instinct, Harry savait parfaitement ce qu'il fallait faire. Il se pencha en avant, serra les mains sur lemanche et son balai fonça sur Malefoy comme un javelot. Malefoy parvint de justesse à éviter Harryqui prit un virage en épingle à cheveux et fondit à nouveau sur son adversaire. En bas, des élèvesapplaudirent. 

Hafsa *hurlant* : Alors, Malefoy ! Crabbe et Goyle ne sont plus là pour te sauver la mise ?

Il sembla que Malefoy avait eu la même pensée. Malefoy : Attrape, si tu en es capable.Et il lança la boule de verre dans un chêne. Comme dans un film au ralenti, Harry vit la boule s'élever dans les airs puis amorcer sa chute dans les feuille du chêne. Il sepencha aussitôt en avant, abaissa le manche à balai et poursuivit la boule en fonçant vers le chêne. Hafsa courût et grimpa à l'arbre à l'aide de ses griffes. Descris se mêlaient au sifflement du vent dans leurs oreilles, tandis qu'il fendait l'air. Soudain, il tendit la main et réussit à attraper la boule à une cinquantaine de mètresdu sol, juste à temps pour pouvoir redresser le manche de son balai et atterrir en douceur sur lapelouse, avec Hafsa debout sur son balais en tenant le Rapeltout au creux de leurs mains 

Mc Gonagall : HARRY ET HAFSA POTTER ! 

Cette fois, ce fut leur coeur qui sembla plonger dans sa poitrine à la même vitesse que le balai. Leprofesseur McGonagall courait vers eux. Harry et Hafsa se relevèrent, les jambes tremblantes. 

Mc gonagall : Jamais depuis que je suis à Poudlard...

Elle était dans un tel état de choc qu'elle n'arrivait presque plus à parler et ses lunettes lançaient deséclairs furieux. 

Mc Gonagall : Comment avez-vous pu oser... ? Vous auriez pu vous rompre le cou... 

Ron : Ce n'est pas leurs fautes, professeur, c'est Malefoy qui... 

Mc gonagall : Taisez-vous, Weasley. Venez avec moi, les Potter. 

Harry aperçut Malefoy, Crabbe et Goyle qui arboraient un air triomphant en les regardant partir surles talons du professeur McGonagall. Harry et Hafsa savait qu'ils allaient être renvoyés. Ils auraient voulu direquelque chose pour se défendre, mais il avait l'impression que leurs voix refusait de lui obéir. Leprofesseur McGonagall avançait à grands pas sans même le regarder et il lui fallait courir pour lasuivre. Il n'avait pas tenu deux semaines. Dans dix minutes, il devrait faire sa valise. Que diraient lesDursley/Granger quand ils le verraient sur le pas de la porte ?Il monta les marches de pierre, puis l'escalier de marbre. Le professeur McGonagall ne disaittoujours rien. Elle ouvrait les portes à la volée et arpentait les couloirs, Harry et Hafsa sur ses talons. Peut-êtreles emmenait-elle dans le bureau de Dumbledore. Ils pensèrent à Hagrid qui s'était fait renvoyer mais quiavait pu rester à Poudlard comme garde-chasse. Peut-être pourraient-ils devenir ses assistants ? Il sentirent son estomac se nouer à l'idée de voir Ron et les autres devenir sorciers tandis qu'ils seraient condamnés àsuivre Hagrid en portant son sac.Le professeur s'arrêta soudain devant une salle de classe. Elle ouvrit la porte et jeta un coup d'oeil parl'entrebâillement. 

Mc Gonagall :Excusez-moi. 

C'était Flitwick, le professeur d'enchantements. 

Mc Gonagall : Puis-je vous emprunter du bois quelques instants ? 

Harry *pense* : Du bois ? Avait-elle l'intention de lui donner des coups de bâton ? 

Mais Dubois était en fait un élève de cinquième année, un garçon solide qui avait l'air très étonnéd'être ainsi arraché à son cours. 

Mc Gonagall : Venez avec moi, tous les trois. 

Ils la suivirent le long du couloir. Dubois lançait à Harry et Hafsa des regards surpris. 

Mc Gonagall : Entrez là, ordonna le professeur. 

Elle les fit entrer dans une classe vide où Peeves était occupé à écrire des gros mots au tableau. 

Mc Gonagall : Dehors, Peeves ! 

Peeves lança la craie dans une corbeille et fila dans le couloir en poussant des jurons. Le professeurMcGonagall claqua la porte derrière lui et se planta devant les deux garçons. 

Mc Gonagall : Potter, je vous présente Olivier Dubois. Dubois, je vous ai trouvé un attrapeur et un nouvelle Cheerleading ! 

L'expression de Dubois passa de la surprise au ravissement. 

Dubois : Vous parlez sérieusement, professeur ? 

Mc Gonagall : Très sérieusement. Ce garçon a un don. Je n'aijamais rien vu de semblable. C'était la première fois que vous montiez sur un balai, Potter ? 

Harry approuva d'un signe de tête.

Mc Gonagall : Et vous ? Vous avez réussit à faire des figure de gymnastique assez compliquée ! et avec fluidité en plus !

Hafsa sourit et rougit.

Ils n'avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, maisapparemment, on n'avait pas l'intention de les exclures. 

Mc Gonagall : Il a attrapé cette boule de verre après une descente en piqué de quinze mètres et elle en grimpant à un arbre et sautant de branche en branche telles un singe ! Et ils s'en sont tirés sans la moindre égratignure. Même Charlie et Molly Weasley n'aurait pas étécapable d'en faire autant. 

Dubois avait à présent la tête de quelqu'un dont le rêve le plus cher vient de se réaliser. 

Dubois*une voix enthousiaste* : Tu as déjà assisté à un match de Quidditch, les Potter ?

Mc Gonagall : Dubois est le capitaine de l'équipe de Gryffondor

 Dubois : Il a le physique parfait pour un attrapeur et elle pour une cheerleading, Léger/e, rapide... Il va falloir lui trouver un bon balai. Peut-être un Nimbus 2000ou un Astiqueur 7.

Mc Gonagall : Je vais aller voir le professeur Dumbledore pour lui demander si on peut faire une entorse aurèglement et fournir un balai à un élève de première année. Dieu sait que nous avons besoin d'unemeilleure équipe que celle de l'année dernière. Nous avons été littéralement écrasés par lesSerpentard. Pendant des semaines, je n'ai plus osé regarder Severus Rogue en face... 

Le professeur McGonagall observa Harry d'un air grave par-dessus ses lunettes. 

Mc gonagall : Je veux que vous suiviez un entraînement intensif, les Potter. Vous avez intérêt à vous donner du mal,sinon, je pourrais revenir sur ma décision de ne pas vous punir pour ce que vous venez de faire. 

Puis elle eut soudain un sourire. 

Mc Gonagall : Votre père aurait été fier de vous. Lui aussi était un excellent joueur de Quidditch.

 Ron : Vous plaisantez ou quoi ? 

C'était l'heure du dîner ,Harry et Hafsa venait de raconter à Ron ce qui s'était passé avec le professeurMcGonagall. 

Ron : Attrapeur ? Cheerleading ? Mais les première année ne jouent et ne représente jamais... Vous allez être les plus jeunes joueurs depuis... 

Hafsa/Harry : Un siècle. C'est Dubois qui me l'a dit. 

Ron était tellement stupéfait qu'il en oublia de manger ce qu'il avait dans son assiette. 

Harry : On commence l'entraînement la semaine prochaine. Mais ne le dis à personne. Duboistient à garder le secret. 

Fred et George Weasley venaient d'entrer dans la salle. Ils se précipitèrent sur Harry. 

George : Bravo ! Dubois nous a raconté. Nous aussi, on est dans l'équipe. Commebatteurs. 

Fred : Cette année, on gagne la coupe, c'est sûr ! On n'avait plus jamais gagné depuis le départ deCharlie, mais cette fois, on a une équipe formidable. Tu dois être vraiment très bon, Harry !  

George : Il faut qu'on y aille. Il paraît que Lee Jordan a trouvé un nouveau passage secret poursortir de l'école. 

Fred : Je parie que c'est celui qui se trouve derrière la statue de Gregory le Hautain. On l'avait déjà repérédès la première semaine. A tout à l'heure. 

Fred et George étaient à peine partis que quelqu'un de beaucoup moins sympathique apparut: c'étaitMalefoy, accompagné de Crabbe et Goyle. 

Malefoy : Alors, c'est votre dernier repas, les Potter ? Quand est-ce que tu retournes chez les Moldus ? 

Hafsa : Tu faisais moins le fier quand tu n'avais pas tes petits copains avec toi !

Tout le monde éclata de rire

Salut le monde alors aujourd'hui j'ai fait 2333 mots pour ce chapitre, sur ce :

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