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Chapitre 22: Double événements


Le lendemain de cet événement troublant, je me retrouve encore une fois à observer de loin le groupe de Ana-Lou. Les choses semblent prendre une tournure étrange. Ana-Lou, sans aucune gêne, jette sa peau de clémentine par terre, provoquant une réaction inattendue. Un garçon aux lunettes épaisses, visiblement préoccupé par l'environnement, l'interpelle en lui disant d'une voix un peu agacée : "Tu sais que c'est de la pollution, hein ?"

La réplique de Ana-Lou fuse : "C'est biodégradable, abruti." Sa réponse empreinte de colère s'accompagne d'un regard méprisant.

Sur le moment, j'ai vraiment craint le pire. Les tensions étaient palpables, et j'étais sur le banc d'à coter, prête à intervenir si nécessaire. Enzo, qui n'est jamais le dernier pour une remarque inutile, lance à voix basse : "Il va se prendre ma basket dans la gueule, celui-là. " Le garçon aux lunettes, visiblement contrarié par la réponse, finit par retirer son sac à dos avec une mine déterminée

Finalement, contre toute attente, le garçon aux lunettes engage la conversation avec Enzo. Ils parlent, discutent. Je ne peux m'empêcher de sourire face à ce revirement inattendu.

Pourtant, quelque chose me chiffonne. Le garçon aux lunettes a un comportement étrange, En partant, il me lance un "Salut" avec un air un peu idiot. Je choisis de ne pas répondre et me dirige vers ma prochaine destination, en me demandant ce qui peut bien se cacher derrière ce comportement énigmatique.

En marchant, je reçois un message inattendu. C'est Alex, et son message contient une nouvelle qui me frappe comme un coup de tonnerre. Il m'annonce qu'il déménage dès le lendemain. Un tourbillon d'émotions m'envahit, allant de la surprise à la tristesse.

Je me hâte de lui répondre, les doigts un peu tremblants sur l'écran de mon téléphone : "Oh non, Alex, je ne peux pas croire que tu déménages demain ! C'est une sacrée surprise. Mais bien sûr, nous resterons en contact, et je suis d'accord pour que nous nous voyions aussi souvent que possible. Tu es mon ami, et ça ne changera pas à cause de la distance."

Sa réponse ne se fait pas attendre : "C'est dur pour moi aussi, Cléa. J'ai passé tellement de bons moments ici, surtout avec toi. Mais parfois, la vie nous oblige à faire des choix difficiles. Je veux que tu saches à quel point tu comptes pour moi, et même si je m'en vais, notre amitié restera intacte."

La nouvelle, été connus parmi nos amis, et bientôt, tout le monde sera au courant. C'est comme si un nuage gris avait obscurci cette journée ensoleillée. Alex et moi continuons à parler, mais cette fois-ci un silence est présent, chacun perdu dans ses pensées devant nos écrans.

Après un moment, je brise le silence en disant : "Je vais m'ennuyer de toi, Alex. Tu as toujours été là pour moi, et notre amitié signifie énormément."

Il met un smiley qui sourit tristement et me répond : "Toi aussi, Cléa, tu vas me manquer. Mais tu sais, parfois, les amis qui sont éloignés finissent par se rendre compte à quel point ils tiennent les uns aux autres. Peut-être que cette distance renforcera notre amitié."

Je suis touchée par ses mots, mais la tristesse est toujours présente. Nous parlons encore un peu, partageant des souvenirs et des anecdotes de nos nombreuses aventures ensemble. C'est comme si nous voulions graver ces moments dans notre mémoire pour qu'ils restent intacts, malgré la distance qui se profile.

Finalement, Je regarde la photo de profil d'Alex, mes yeux légèrement embués de larmes. Et je dis "Je ne veux pas te dire au revoir, Alex. C'est trop dur."

Il retorque. "Je sais, Cléa, moi non plus je n'aime pas les au revoir. Mais ce n'est pas un adieu, c'est un 'à bientôt'. Je te promets que nous nous reverrons quand je serai installé, et nous aurons encore plus d'histoires à partager."

Finalement, l'heure avant. C'est le moment de nous dire au revoir pour une courte duré. Et je sens la tristesse m'envahir à nouveau.

Alors que nous nous séparons moralement, je regarde la photo d'Alex une dernière fois et lui dis : "Prends soin de toi, mon ami. Et n'oublie pas que tu as toujours une amie ici, prête à t'accueillir à bras ouverts."

Il met des bonhommes d'affection et me répond : "Toi aussi, Cléa. N'oublie pas que tu as un ami qui sera toujours là pour toi, où que la vie nous mène."

Nous partons chacun de notre côté, mais nos cœurs restent liés par une amitié sincère et profonde. La distance peut être difficile, mais je sais que nous surmonterons cet obstacle, car une amitié véritable ne s'efface jamais.

La journée au lycée devient soudainement plus sombre. Son absence se feras sentir à chaque coin de couloir, dans chaque salle de classe. Je me sens perdue, comme si une partie essentielle de ma vie scolaire avait été arrachée. J'ai perdu mon seul véritable ami au lycée, celui avec qui je partageais tant de souvenirs, de rires, et de confidences.

En marchant vers ma salle de classe, je ne peux m'empêcher de me demander comment je vais faire pour me faire de nouveaux amis. Novembre approche à grands pas, et je me rends compte que je vais devoir affronter une nouvelle réalité. Les visages familiers sont toujours là, mais sans Alex, tout semble différent.

Je me demande si je vais réussir à trouver des amis qui seront aussi proches que lui. Alex était bien plus qu'un simple camarade ou voisin. C'était un confident, un complice, quelqu'un avec qui je pouvais être moi-même sans retenue. Et maintenant, cette place vide à côté de moi me rappelle cruellement son absence.

Pendant le cours, je m'assois seule à une table, regardant autour de moi avec l'espoir de repérer un visage amical. Les autres élèves semblent si engagés dans leurs groupes d'amis que j'ai du mal à trouver ma place entre la moitié de la classe qui n'ont pas l'air très sympathique et le groupe de Paul, la solitude devient de plus en plus oppressante.

Quelque heure plus tard dans le bus, une voix familière me tire de mes pensées. C'est Arthur, Il s'assoit en face de moi et me sourit gentiment.

"Salut Cléa, comment tu vas ?" dit-il avec une sincérité qui réchauffe mon cœur.

Je lui souris en retour, reconnaissante de cette lueur d'amitié dans ma journée sombre. "Salut Arthur, ça va mieux maintenant que je te vois. Alex a déménagé, tu sais, et ça me rend un peu triste."

Arthur hoche la tête avec compréhension. "Je suis désolé d'entendre ça, Cléa. Alex était un super gars. Mais tu sais, je suis là. Et si tu veux, je peux te présenter quelques-uns de mes amis. On pourrait peut-être former notre propre petit groupe Jules, toi et moi et quelqu'un d'autre."

L'idée d'avoir de nouveaux amis et de ne pas rester seule me remplit d'espoir. Je me dis que peut-être, en octobre, je trouverai de nouveaux compagnons de route pour cette année scolaire. J'acquiesce avec gratitude. "Merci, Arthur. Ça serait super."

Nous continuons à discuter pendant tout le trajet, et peu à peu, je commence à me sentir moins perdue. La vie au lycée sans Alex sera différente, c'est certain, mais je réalise que je ne suis pas seule. Il y a encore des amitiés à créer, des aventures à vivre, et des moments précieux à partager avec de nouvelles personnes. Fin octobre sera peut-être le début d'une nouvelle étape de ma vie, avec de nouveaux amis et de nouvelles opportunités.

Alors que je descends du bus, mon téléphone vibre. C'est un message de Jules. En ouvrant le message, je lis : "Coucou mon cœur , une fille m'a ajouté sur Instagram. Elle s'appelle Sarah. Tu la connais ?"

Mon cœur se serre légèrement à la mention de ce prénom. Sarah, cette fille que j'ai du mal à appeler une amie maintenant. Je me souviens des moments où nous étions proches, mais aussi de la trahison qui a suivi. Jules ne sait pas tout, mais il est au courant de notre histoire passée.

Je réponds à Jules avec prudence : "Oui, je la connais. Fais attention, Jules. Je n'ai plus trop confiance en elle après tout ce qui s'est passé. Accepte-la si tu le souhaites, mais sois prudent. Et tu me raconteras tout, d'accord ?"

Je suis sincèrement préoccupée par cette nouvelle connexion entre Jules et Sarah. Je ne veux pas être la petite amie jalouse, mais notre histoire avec Sarah me fait peur, et je veux m'assurer que Jules ne se fasse pas avoir.

Quelques minutes plus tard, mon téléphone émet un signal sonore, indiquant la réponse de Jules. J'ouvre le message avec curiosité : "D'accord, mon cœur, je ferai attention. Je te tiendrai au courant de tout. Ne t'inquiète pas trop."

Soulagée par sa réponse, je range mon téléphone dans mon sac à dos et commence à marcher en direction de chez moi. Les préoccupations au sujet de Sarah s'estompent lentement, et je me concentre sur ma fin de journée à venir.

Cependant, alors que je m'approche de ma porte d'entrée, une silhouette familière se dessine devant chez moi. C'est Max, le meilleur ami de Sarah. Mon cœur rate un battement. Que fait-il ici ? Mon esprit se met en alerte, et je m'approche prudemment de lui.

Max s'approche de moi avec un sourire amical. "Salut, Cléa, je n'avais pas ton compte Instagram donc je préfère venir te voir " dit-il d'une voix détendue.

Je lui réponds avec un petit sourire et un "Salut, Max." Puis, il prend une légère inspiration avant de me parler. "Au fait, j'ai croisé Jules il y a quelques heures, dans le quartier. Il était avec une fille que je ne connaissais pas, je préfère te prévenir."

Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Jules était censé être au travail à cette heure-ci. Pourquoi était-il avec une fille que Max ne reconnaissait pas ? Des doutes et des inquiétudes commencent à s'installer dans mon esprit.

"Tu sais qui c'était ?" lui demandé-je, essayant de masquer mon anxiété.

Max hausse les épaules. "Non, je ne la connaissais pas. J'ai pensé que c'était peut-être une amie à toi."

Une amie à moi ? L'idée qu'il puisse s'agir d'Alice, sa meilleure amie, donc Max ne l'aurait pas reconnue. Cela expliquerait aussi pourquoi Jules était en dehors du travail.

Je respire un peu plus facilement, réalisant que je m'étais inquiétée pour rien. "Oh, je vois. Merci d'avoir vérifié. C'était probablement juste une amie. Je vais lui demander quand je le verrai," répondis-je avec un sourire plus confiant.

Max acquiesce. "Pas de problème, Cléa. Je voulais juste te le faire savoir. À plus tard ! »

Alors que Max s'éloigne, je rentre chez moi avec un sentiment de soulagement. Il est parfois si facile de laisser son imagination prendre le dessus. Je décide de ne pas sauter aux conclusions et d'attendre que Jules rentre pour lui poser des questions.

Après avoir terminé mes devoirs d'anglais, qui portaient sur les étudiants australiens et leur mode de vie, je me sentais épuisée. La journée avait été longue, et j'avais vraiment besoin de faire une pause. J'avais prévu de préparer un dîner simple, du riz avec de la langue de bœuf, pour reprendre des forces.

Alors que je commençais à préparer le repas, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir doucement. Mon cœur bondit de joie en reconnaissant les pas familiers. C'était Jules, qui était venu dormir à la maison. Il savait que j'avais eu une journée chargée et décida de passer un peu de temps avec moi.

Jules entra dans la cuisine avec un sourire radieux. "Salut, mon cœur," dit-il en s'approchant de moi et m'embrassant doucement sur la joue.

"Salut, toi," répondis-je en lui rendant son baiser. "Tu tombes à pic. J'ai presque fini de préparer le dîner."

Il hocha la tête, ravi. "Ça sent bon ici. Tu veux de l'aide ?"

Je secouai la tête tout en remuant le riz dans la casserole. "Non, ça va aller. Installe-toi, je m'occupe de tout."

Jules obéit volontiers et s'assit à la table de la cuisine. Il se mit à l'aise, posant ses coudes sur la table, observant avec admiration la façon dont je cuisinais. Nous étions si à l'aise l'un avec l'autre que le simple fait de partager un repas tranquille était un moment précieux.

Pendant que le riz mijotait, je me tournai vers Jules et lui demandai : "Comment s'est passée ta journée, mon chéri ?"

Il sourit. "Pas mal du tout. Le travail était gérable, et j'ai eu la chance de sortir un peu plus tôt. Alors j'ai pensé que ce serait bien de passer du temps avec toi."

Je ne pus m'empêcher de sourire. "C'est gentil à toi. Ma journée a été un peu chargée avec les devoirs, mais ça va mieux maintenant. Et dit moi tu as quitté à quelle heure ?"

Jules prend une tête abasourdie de la question.

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