FLASH BACK

- Tu peux aller dans ta chambre ou faire quelque chose d'autre, il ne reste plus que sa cuise. S'exclame une mère à son fils.

- D'accord, je vais dans ma chambre. Appelle moi si tu as besoin d'aide. Répond son fils.

Elle hoche la tête en offrant un petit sourire à son fils qu'elle aime plus que tout. Le basané donne un bisou sur le front de sa mère avant de gravir les escaliers et d'atteindre sa chambre. Là où il s'y sent un minimum en sécurité.C'est son seul endroit où il s'y sent bien si on peut dire. Il aime être seul où il réfléchit, pense, dessine. Personne ne peut le voir, il laisse ses émotions sortir. Là où il laisse des fois ses larmes couler. Il souffre, il en avait marre comme toujours de cette situation, de ce qu'il se passe dans cette maison tous les jours, de ce qu'il endure avec sa mère.

Il se laisse tomber dans son lit en position allongée sur le dos après avoir fermé soigneusement sa porte de chambre à clef comme à son habitude dès qu'il entre dans sa chambre. Il y a peu il a installé un verrou à sa porte pour ne pas être dérangé par son père. Enfin père est un grand mot pour lui. Il en a jamais eu, pour lui l'homme qui «vit» sous ce toit n'est qu'autre qu'un homme dégueulasse et répugnant qu'il déteste plus que tout.

Il laisse un long soupire sortir d'entre ses lèvres. Il pense à ce qu'il va se passer quand cet homme ignoble rentrera. Va t-il s'attaquer directement à sa pauvre mère par des coups ou par des insultes tous horribles les unes que les autres? Va t-il plutôt appelé son fils et lui faire des choses affreuse? Cet ivrogne a tout fait voir à son fils depuis sa plus tendre enfance.

Son plus vieux souvenir avec son «père»c'est à l'âge de presque quatre ans. Il avait joué avec lui au ballon. Comme un vrai père ferait avec son père. Il n'y a pas de soucis alors? Non sauf quand le père claque son enfant dans une petite cage de football et qu'il prend un ballon. Un ballon très duret très bien gonflé et qu'il tire sur son propre petit. Encore et encore.

FLASH BACK

Le grand homme imposant tira une fois de plus dans la petite cage de football où se trouve son fils âgé de quelques petites années seulement, recroquevillé sur lui même,sa tête entouré de ses petits bras couvert de bleus. Il pleurait et suppliait son père d'arrêter. Il lâche un cri quand il reçu le ballon dans son épaule avec une force incroyable.

- Zayn voyons arrête de pleurer! Rit son géniteur. Petit PD, c'est ça que tu es à pleuré petite tarlouze! Lui cri t-il dessus.

Le prénommé petit Zayn n'ose pas répondre ni bougé. La peur monte encore quand il entend Yaser s'approcher. Ce petit enfant est à bout de force après avoir reçu des dizaines de coup de ballons sur lui.

Une horrible douleur se fait sentir dans son épaule, l'adulte venait de lui donner un coup de pied dans l'épaule encore..

Il se met à pleurer encore plus malgré qu'il essayait de se retenir, il espérait que sa mère aille bien et qu'elle viendrait le sauver mais hélas le monstre l'avait enfermé tantôt dans la cave après l'avoir encore battu sous les pauvres yeux du petit brun effrayé.

FIN DE FLASH BACK

Assit dans son lit il fait un tague pour essayer de se vider la tête et ne plus penser à rien même si c'est que de courtes minutes mais hélas il n'y arrive pas, il n'y arrive jamais.

Il a peur, toujours, pour sa mère qui subît chaque jours les coups et insultes de son mari. Elle aimerait tellement se sauver avec son fils mais elle ne peut pas. Elle a essayé une fois et elle la regretté. Zayn était alors âgé de huit ans. Elle l'avait prit et c'était sauvé, elle n'était pas loin du poste de police lorsqu'une voiture est arrivé, en son bord Yaser qui les a ramenés de force chez eux. La punition était terrible, ils sont tous les deux restés dans la cave une semaine juste avec un peu d'eau. Tous les jours Yaser venait les voir, il violé devant son propre fils sa mère et quand il en avait finit il la tapé puis c'était au tour de son fils de se faire frappé, un vrai cauchemar.

Mais plus que Zayn grandissait plus il apprenait à se défendre et avoir plus de force, il s'opposait à son père et faisait tout pour protéger sa mère. Yaser tapait donc beaucoup moins Zayn, voir presque plus ce qui soulagé profondément Trisha. Elle qui a tout fait pour que son fils ait une belle vie,elle a essayé de le faire partir mais sa échoué toujours a son plus grand malheur..

Son cœur s'arrête quand il entend la porte d'entré s'ouvrir puis se refermer, des pas lourd qui marche jusqu'au salon.

- Elle est où ma salope? Cri Yaser a l'intention de Trisha.

Zayn lâche tout, il se lève et ouvre sa porte. Il ne supporte plus que Yaser fasse souffrir sa mère, il ne veut plus regarder ça, maintenant qu'il se fait presque plu battre et qu'il apprend à se défendre lui même il veut aider sa mère et il est déterminé et près à tout. Il pensait à ça depuis un petit moment, il est tend de passer à l'action et éloigner du mieux qu'il peut ce monstre de sa mère sans défense même si c'est lui qui doit se prendre tous les coups.

Tandis qu'il descend doucement les escaliers essayant de ne pas faire de bruit, Yaser lui entre dans la cuisine où se trouve Trisha, elle a peur mais elle essaye de ne pas le montrer. Elle reste forte pour son fils. Elle sait ce qui lui attend, c'est toujours comme ça.. L'horrible homme s'approche d'elle avant de lui donner un puissant coup de point qui atterrit sur sa joue. Elle se rattrape à la table derrière elle.

Alors qu'il allait lui remettre un coup Zayn entre dans la cuisine énervé et à bout. Il saisit le bras de son géniteur afin de le retourner vers lui. La colère monte en cet adolescent. Son point atterrit d'une grande force dans le ventre de Yaser qui se plie de douleur mais son fils en a pas finit, il enchaîne en lui redonnant un coup dans le visage. Il ne se contrôle plus, toute sa colère sort contre son «père». Yaser essaye de riposter, de le taper et de se défendre mais en vain.

-Trisha reste là à regarder la scène impossible de bouger, elle est paralysé.

Alors que Zayn s'arrête et reprend son souffle après les nombreux coups qu'il a donné il ne voit pas que Yaser se relève et qu'il prend le couteau prêt à planter son propre fils.

- ZZAAYNNN!! Cri Trisha paniqué.

Le brun regarde son père qui était entrain de diriger son couteau vers Zayn mais il réussit à l'intercepter et de prendre le couteau. Il ne contrôlé plus ses gestes, le couteau de cuisine rentra dans le corps de Yaser,profondément. Le jeune basané recula, et l'homme face à lui tomba au sol.

Sa mère se mit à pleurer, elle se précipita vers son fils qui la prit dans ses bras et la serra fort contre lui.

FIN DU FLASH BACK

POINT DE VUE D'ANASTASIA

Je regardais mon copain qui me racontait son enfance, ce qu'il a vécu pendant des années, c'est tellement horrible. Je le vois souffrir en se rappelant ses souvenirs horribles, je déteste le voir ainsi, il ne mérite pas ça. Pas tout ce qu'il a subît par ce connard! Ses larmes sont présentes dans ses yeux mais elles ne coulent pas, il fait tout pour les retenir. Moi même j'ai les larmes aux yeux, savoir ce qu'il a vécu, voir souffrir sa propre mère et le dernier jour de son.. bâtard de père..

Je le prends dans mes bras et le sert contre moi. J'ai besoin de le savoir contre moi. Il enroule ses bras autour de moi, un long soupire sort d'entre ses lèvres. Je caresse du bout des doigts le haut de sa nuque. Je l'aime et je suis là pour lui, je suis prêt à tout pour ce grand brun aux allures de bad boy,fort qui peut être méchant mais au fond il est quelqu'un de bien.Avec moi il se livre et enlève sa carapace. Je suis contente qu'il le fait, je serais toujours là pour lui et je ne le juge pas, jamais.

- Il a fallu des longs procès, passer pleins de fois devant le juge pour ne pas aller en prison. Dit-il d'une voix basse.

- C'était de la légitime défense encore heureux que tu n'as pas été en prison ou autre. Tu as pu aider ta mère qui maintenant vie bien, elle est heureuse grâce à toi. Sois fière de toi pour ça Zayn. Regarde toi le bel homme que tu es devenu, fort, gentil malgré ce que tu as vécu et ton côté très bad boy. Tu n'ai pas du tout comme ton père, tu ne lui ressemble pas, tu ne seras jamais comme ça. Je lui dis sincèrement.

- Pourtant je t'ai fait du mal, j'ai été un bâtard avec toi, je t'ai frappé aussi..

- Mais c'est du passé, tu allais mal et avec ce que tu as vécu c'est normal que tu as des pars violent mais maintenant je sais que tu me fera plus rien, j'ai confiance en toi et je sais que tu ne feras rien.

- Tu as confiance en moi? C'est bien la première fois qu'on me le dit.. Me répond-il.

- Bien sûr que j'ai confiance en toi, une confiance aveugle Zayn. Tes quatre meilleurs amis aussi sauf qu'ils ne te le disent pas, toi aussi tu as confiance en eux mais tu ne leur dis pas non plus.

Il plonge sa tête dans mon coup et respire mon odeur, j'aime être comme ça contre lui. Lover tous les deux, un vrai couple qui s'aime en plus.. Je suis heureuse et chanceuse d'avoir Zayn.

- Maintenant on ne parlent plus de ton connard de père! C'est du passé tu ne peux plus le changer et il ne reviendra jamais dans ton présent. Si tu veux en parler des autres fois je suis là. Mais sinon oublie cet partie de ta vie, sois heureux.

- J'ai une putain de chance de t'avoir, je ne sais pas si je te mérite. Dit-il.

- Zayn si tu continue tu n'aura rien pendant plusieurs jours. Je dis.

- De quoi?

Il retire sa tête de mon coup pour me regarder les sourcils froncés ne comprenant pas de quoi je parles.Je lui fais un sourire en coin, son expression change. Il vient sûrement de comprendre ce qui me fait rire. Il a une tête de petit enfant à qui on lui retire son jouer.

- Tu serais trop malheureuse sans ma bite. Sort-il en souriant.

- Tu es direct toi dis donc et non je ne serais pas malheureuse! Je réponds.

- Tu ne sais pas mentir bébé.

- Je ne mens pas. Là je ne suis pas malheureuse, ni depuis qu'on s'est rencontré puisque tu en a jamais eu ça ne me ferai rien.

Ses yeux s'agrandissent, légèrement choqués par ce que je viens de dire. Bien sûr c'est pour rigoler,j'espère qu'il le sait aussi, je peux m'attendre à tout avec Zayn.Cela dépend de son humeur. Je commence à m'y habituer,heureusement!

- Tu vas voir si j'en est pas!

A peine finit sa phrase qu'il me fait tombé dans le canapé sur le dos. Il se retrouve au dessus de moi,le sourire aux lèvres tout comme moi.

- Dommage chéri, j'ai des devoirs à faire moi! Je m'exclame.

Est oui j'ai repris l'école, ma nouvelle rentré c'est faite il y a deux semaines et on est vendredi soir. Ma rentré c'est faite deux jours après m'être mise en couple avec mon brun. C'était très dur la reprise, surtout que je vois un peu moins mon copain. Il vient me conduire au matin à part si il travail mais si non il passe juste avant de pouvoir travailler. Lundi et Jeudi il a mangé avec moi au midi au nando's. Il ne peut pas savoir à l'avance si il peut manger avec moi au midi ou pas, cela dépend des clients qu'il a ou si il doit faire des choses. J'ai la surprise quand je sors de mon lycée, sois je vois sa voiture noire ou sois je ne la vois pas. Au soir quand je finis les cours il vient me chercher si il peut.

- Oh non tu les fera plus tard, je m'en balle les couilles de tes devoirs je te veux maintenant. Souffle t-il.

- C'est que le petit Malik fait des caprices. Je souris encore plus. Je les faits maintenant comme ça je suis tranquille tout le week-end et on aura le temps pour pleins de choses.

- Dépêche toi alors, je vais t'aider.

- Oh non non et non, tu ne m'aide pas! Tu vas tout bâclé et mettre n'importe quoi pour que tout soit vite terminé.

- Démasqué. Il lâche un petit rire.

Je ris et le pousse. Il se redresse, je peux donc me mettre de façon assise. J'attrape mon sac de cour où j'ai mis les devoirs que j'ai à faire. J'en est pas mal, deuxième année de lycée, vivement que tout sois finit. Vivement les vacances surtout! Je sors mes cahiers, ma trousse et ma règle. Tout est encore neuf.. Pour l'instant.

- C'est quand tes prochaine vacances? Me demande le métis assit à côté de moi.

- On est vendredi seize septembre, mes vacances sont à partir du vendredi soir vingt quatre octobre, pour Halloween jusqu'au deux novembre. Je répond ouvrant mon cahier d'exercice de maths.

- Putain c'est long. Et après?

- En décembre, le vendredi soir du dix-neuf jusqu'au quatre janvier.

- Putain.. Râle t-il. Et après?

- Bon Zayn laisse moi travailler, si tu veux parler c'est pas pour dire et après et après et après. On en est encore loin, sa sera l'année prochaine je sais plus quand, contente toi des deux que je t'ai donné.

- Suce moi. Lâche t-il.

- Et des choses intelligente aussi! Je souffle, je ne peux me retenir de sourire.

- Tu savais que la chatte a une odeur. Continu t-il. Tu n'as rien à dire, c'est assez intelligent et ça n'a pas de rapport avec tes vacances.

- Et tu savais qu'après la sortie de cinquante nuances de Grey la vente de jouer sexuel à augmenter.

Il rit. Il me déconcentre et m'empêche de faire mes devoirs, il est pas croyable. Je prend un stylo et commence mon exercice de maths qui pour moi ressemble plus à du chinois croisé avec du Japonais et recoller avec de l'Allemand.

- Exercice un finit! Encore deux puis ensuite répondre aux douze questions en Anglais. Super!

- Oh c'est mignon. Zayn écrit dans un cœur et écrit forever. Rit-il.

Je tourne d'un coup ma tête vers lui.Il tient mon agenda dans ses main où j'ai écrit Zayn en grand. Je me sens rougir ou plutôt devenir une tomate.

- C'est trop mignon. Sourit-il.

- Je m'ennuyais en cour alors j'ai fais un petit dessin. Maintenant pose ça! Je lui dit.

Il ne me répond pas et prend un stylo qui se trouve dans ma trousse. Je souffle lourdement pour lui faire comprendre que sa m'agace même si cela n'est pas vrai mais il continu son action. Il écrit quelque chose dessus avant de fermer mon agenda et remettre le stylo où il l'a eu. Je saisis l'agenda et l'ouvre pour voir ce qu'il a marqué.

Mon petit ange rien qu'à moi, je t'aime. Ton Zayn xx

Waou c'est trop mignon, c'est la deuxième fois que Zayn me dit je t'aime même si là c'est à l'écrit, ça me fait le même effet.Son petit ange. Mon Zayn. Oui il est à moi, rien qu'à moi et je suis à lui, rien qu'à lui. Dès que je verrais ce petit mot ça me redonnera le sourire et je pourrais toujours pensé à lui en cour.Un petit bout de lui sera avec moi d'une certaine manière.

Je lève les yeux vers lui avant de lui donne un bisou sur la joue.

- Je t'aime aussi mon Zayn. Je dis.

Il me fait un clin d'oeil avant de venir plaquer ses lèvres aux miennes. Nos langues se rejoignent vite. Nous nous rapprochons,l'envie et la chaleur montent d'un cran. Mes mains viennent se mettre dans ses cheveux et les tirer un peu sans lui faire mal ce qui vaut un grognement sexy de sa pars. Ses mains se places sur ma taille.

- Oh puis brun les devoirs, je ferais ça demain. Je dis contre ses lèvres.

 Je ne lui laisse pas le temps de répondre que je le fais tombé en arrière sur le dos et de venir sur lui en l'embrassant encore et encore. Cette sensation dans mon ventre et entre mes jambes apparaît. Finalement ce soir ça va être une soirée très mouvementé à notre grand bonheur.