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PART 2: ACTION-REACTION

J'avais pris la décision de ne pas publier deux parties cette semaine mais entre-temps j'ai changé d'avis. Sama rab you baxx yi nio nieuw motax quoi😇😌. Mais ne prenez pas l'habitude hein !

Bref, ramadan mubarak à tous ! Pardonnez-moi mes péchés commis, moi je vous pardonne.

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So bonne lecture

SAFIATOU SYLLA

Je sors de la douche, le corps encore ruisselant d'eau chaude. Je m'enroule dans un peignoir douillet et je noue une serviette autour de ma tête pour sécher mes cheveux frisés.

Les mots de ma sœur me hantent sans cesse. Elle a su me dire la vérité en face, sans ménagement. J'ai été naïve et aveuglée par l'amour que je portais pour Bocar. Un amour si fort que j'aurais été prête à tout pour lui plaire.

Rectification !

Je devrais dire l'amour que je lui porte toujours, car malgré tout ce qu'il m'a fait, je ne peux pas me résoudre à l'oublier. J'ai beau essayer de le haïr et de le rayer de ma vie, mais c'est peine perdue.

Il occupe encore une grande place dans mon cœur, que je le veuille ou non. Comme dit l'adage, le cœur a ses raisons que la raison ignore.

J'entends quelqu'un frapper à la porte et entrer sans attendre ma réponse.

?!: SAFIIIIIIIII !!! Crie une voix familière.

C'est ma petite sœur Korka. Elle vient de rentrer de l'école, son sac à dos sur les épaules. Elle me saute au cou avec enthousiasme et me fait basculer en arrière. Heureusement que le lit amortit ma chute.

Korka: Bilae sœurette damala namone bay dioy. Namone nala trop sakh. Naka fofou ? Néxone na ? Am ngua fa ay xarit ? (Oh ma sœurette adorée, je te jure que tu m'as trop manqué. J'avais trop ta nostalgie. Comment c'était Los Angeles ? C'était bien ? Tu t'es fait des amis là-bas ?)

Moi:...

Korka: Safiatou, parle-moi s'il te plaît. T'es muette xana ? Et pourquoi t'as les joues mouillées ? T'as pleuré ? Dafa ame loulay méti ? (Tu souffres de quelque chose ?)

Moi: Tu veux que je réponde à quelle question d'abord ?

Korka: Hahaha, très drôle tchiiip. Mane mako déf sakh ! (Moi je te fais la tête !)

Moi: Non, ne te vexe pas way. Tu m'as simplement prise au dépourvu avec ton flot de questions. Tu es devenue bavarde par rapport aux autres années où tu étais plutôt réservée. Qu'est-ce qui t'a changé entre-temps ?

Korka: Rien du tout. Je suis juste contente de te revoir, mais ce n'est pas ton cas à ce que je vois. Ironise-t-elle.

Moi: Au contraire. Laisse-moi juste le temps de m'habiller pour qu'on puisse discuter comme au bon vieux temps, tu veux bien ?

Korka: Pas de soucis.

Elle sort en dandinant de gauche à droite, un sourire malicieux aux lèvres. Je ris encore un petit moment avant de choisir des vêtements dans mon armoire.

            *   *   *

C'est avec empressement que Talla entra dans la maison en criant le nom de ses deux filles. Il les trouva toutes dans le salon, en pleine conversation.
Comme des petites filles, Safiatou et Madelaine se précipitèrent dans les bras de leur papounet en versant des larmes de joie, entraînant avec elles leur père qui ne prêtait attention à personne d'autre.

Talla: Mes deux aînées ! Quel bonheur de vous retrouver enfin. Dit-il d'une voix émue.

Les deux jumelles: Daddy, tu nous as tellement manqué ! S'écrièrent-elles en chœur.

Talla: Ne me faites pas peur nak. Arrêtez de parler en même temps.

Tout le monde éclata de rire.

Ramatoulaye: Tu ne changeras jamais dal. Comme quoi, chasse le naturel, il revient au galop.

Talla: Tu as raison chérie ! Venez, on va s'asseoir pour discuter.

Les jumelles regagnèrent leur place en se serrant chacune contre le bras de leur père.

Talla: Dites-moi, comment ça s'est passé là-bas ?

Madelaine: Eh bien, ça s'est bien passé. On a fait nos études respectives comme vous le vouliez, et on a obtenu nos diplômes aussi. Il ne nous reste plus qu'à faire notre stage, raconta-t-elle avec enthousiasme.

Talla: C'est très bien. Et du coup, quel est le domaine de prédilection que vous voulez exercer ?

Madelaine: Moi je veux être gynécologue-obstétricienne, et Safi...

Safiatou: Secrétaire pharmaceutique.

Talla: Des choix pertinents ! Je suis fier de vous mes princesses. Je vous dis juste de croire en vous et en vos capacités. Insha'Allah vous allez réussir.

Madelaine: Insha'Allah Papa.

La discussion prit une autre tournure. Ils parlèrent de tout et de rien jusqu'à ce que la bonne les appelle pour passer à table. Ils mangèrent en silence.

Après avoir fini, Talla monta dans sa chambre. N'ayant pas beaucoup dormi pendant son long voyage, Safiatou remonta également dans sa chambre pour se reposer un peu.

Dès qu'elle posa sa tête sur l'oreiller, elle se souvint qu'elle devait appeler son amie ou ex-amie plutôt, Myriam.

Elle composa son numéro et attendit qu'elle décroche. Elle entendit sa voix mielleuse au bout du fil.

Myriam: Oui... Qui est à l'appareil ? Vous n'avez pas de bouche... Pourquoi appeler les gens si vous n'avez pas le courage de vous exprimer...

Safiatou: Myriam, c'est Safia.

Myriam: Sa... beuhh... Safi... c'est toi...

Safiatou: Ouais ma belle. C'est la petite conne qui t'appelle, t'es surprise ?

Myriam: Mais... mais de quoi tu parles ?

Safiatou: Arrête de te foutre de moi, ok ? Je ne suis plus ta dupe. Myriam, comment as-tu pu me faire une chose aussi minable ? Ça ne t'a pas suffi de me piquer mon ex ? Maintenant tu veux me mettre en conflit avec ma sœur. Wayé di ngua khamni kuli athie kuli aadié ko meune.(Mais hélas c'est peine perdue). Je te considérais comme une amie mais heureusement qu'il existe un proverbe qui dit que : "Xarit deum la beuss boula diéko lék la". Aujourd'hui nak, je t'appelle et tu fais semblant d'être étonnée. Pourtant tu ne devrais pas l'être déh car avec tout ce que tu m'as fait dernièrement si je le fais ça ne doit pas te surprendre quand même. Bon pas de blabla avec toi, je veux juste te prévenir qu'à partir de demain matin tin je veux que tu dégages de mon appartement. Si tu ne le fais pas nak, sache d'avance que tout ce qui t'arrivera c'est moi. Lui dit-elle avec virulence.

Elle l'entend ricaner comme une attardée à l'autre bout du fil avant de se racler la voix.

Myriam: Yaw da ngua yakarni que mane damala falé wala damala ragual ni ba ngua may diay djiko bandit ? Yaw nakaté xamoma !! Guiss ngua beuss boula seytané diayé ba ngua sorouma, barki Rassoulillahi di ngua xamni d*moramo sakh. Beuss bobou dina sopélikou nék sa pire cauchemar. Lila méti nak mom tégoumalako ! Dama nieuw féke sa faar say loxo ma niko thiopét dawak mom. Bocar limou beug mako yorr, mane makoy teul, diko yobou Aldiana Firdawsi. Doma lathie foumou nek instant bi ? Grawoul bayil ma wakh lako rék. Fimi nék ni mi ngui si toilettes yi di sangou nguir wathié chaleur bi nék si yaramam. Mane douma sa morom diank, déf ko sa boppou bi nak !!!

(Toi tu crois que moi je me soucie de tes états d'âmes ou bien que j'ai peur de toi. Alors là tu me connais pas ! Tu vois, si tu te laisses emporter un jour par Cheytane jusqu'à ce que tu m'affrontes, je te jure que tu le regretteras. Ce jour-là, je serai ton pire cauchemar. Je ne suis pas la cause de ton malheur ma chère ! J'ai pris ton petit copain de tes mains sans que tu puisses intervenir. Ce que Bocar désire c'est moi qui le détient, c'est moi qui l'amène au paradis. Tu ne me demandes pas où est-ce qu'il se trouve en ce moment ? Lol c'est pas grave façon je vais te le dire. Présentement, il est dans les toilettes entrain de prendre sa douche pour baisser la température qui est dans son corps après un ébat sexuel bien intense, contrairement à toi qui n'oserait jamais faire ça. Moi je ne suis pas ton égale ma belle, met ça bien dans ta tête !), répliqua-t-elle d'un moqueur et insolent.

Safiatou bouillonnait de colère néanmoins elle s'est contenue et à réussi à lui répondre sereinement.

Safiatou: Guiss ngua done coincée du cul mo gueune nék thiaga bou niouy teubou waxtou bounék ! (Tu vois être une coincée du cul c'est mieux d'être une pute que l'on chevauche chaque minute). À la fin les chevaux sont mieux que toi car eux ont au moins un moment de répit. Contrairement à toi, qui n'est qu'un objet sexuel, un sac à foutre. Tu vois Bocar je te le donne entièrement tu peux lui faire tout ce que tu veux. Mais un conseil ! La prochaine avant de jouer à ton rôle d'allumeuse, je te conseillerais bien d'aller te faire dépister histoire d'être sûre que tu n'as pas attraper le SIDA ou pire l'Ébola car c'est plus fiable quand on n'est avec un don Juan comme lui. Sur ce je te répète ma phrase, tu dégages de mon appartement le plutôt possible avant que ça dégénére).

Avant que Myriam puisse placer un autre mot, elle raccrocha et la bloque. Puis, elle posa son téléphone sur la table basse en se laissant emporter par le sommeil.

ISSEU NIASS

-Je vous en supplie, commissaire, ne mettez pas mon fils derrière les barreaux. Sniff... Il est tout ce qui me reste, avec ma fille, dans cette vie cruelle. Ne me faites pas ce malheur.

-Madame, votre fils a arraché le sac de cette dame, en pleine rue. Vous réalisez la gravité de son acte ? Et ce n'est pas la première fois qu'il fait ça, d'après ce que je sais. Il me répéta, pour la énième fois, la même rengaine.

-Je sais qu'il a déjà fait ça avant, mais il n'y peut rien. Il souffre d'une maladie qui s'appelle la kleptomanie.

-Ah Maman ! S'indigna mon fils.

-Nopil yaw ! (Tais-toi !) Le rabrouai-je.

-Madame, il faut que vous fassiez soigner votre fils, pour son bien et pour celui de la société.

-Je vous ai bien entendu, et je vous promets que je vais le faire. Ne vous inquiétez pas ! Mais s'il vous plaît, épargnez-moi cette peine et laissez-le partir. Sarakh ma rék commissaire. (Ayez pitié de moi)

-Bon, je vais faire une exception pour cette fois. Mais s'il remet les pieds ici, je n'aurai aucune clémence. Me prévint-il.

-Je vous jure que ça ne se reproduira plus. Je vous remercie du fond du cœur commissaire.

Je me levai et sortis du bureau, au bord de la crise de nerfs. J'en avais plus qu'assez des frasques de mes enfants. Aujourd'hui c'était Abdoulaye, demain ce serait Coura.

C'était toujours la même chose ; dès que je pensais que tout allait bien, que tout était calme, un nouveau problème éclatait.

À peine avions-nous dépassé la boulangerie que je me mis à le gifler en hurlant comme une folle:

-DOMOU XARAM BI !!! LANE MOTAX IOW NGUA BEUG MÉTITAL SAMA DOUNDOU BI ? LOUTAX LOLOU ? LANE LA DÉF BA NGUAY DOXALÉ NI ABDOULAYE ? LO MANQUÉ ? BOUDÉ LÉKK LA YA NGUI LÉKK, BOUDÉ NANE LA TAMIT YA NGUI NANE ! DAMA LIGUÉYA LIGUÉY BA SONOU !! LÉPP NAKH YÉNE, BEUGOUMA NGUÉNE KHIFF WALA DI MARR. SAMA TAKAY YEUP DIAY NAKO NGUIR YÉNE. KHOLMA ! KHOLMA RÉK ! MA NGUI NI NOURO TOUMA SAKH AK NIIT. BEUSS BOUMA KHEUYÉ DI FEUL SI KOGN YI RÉK, POUR WOUTI LOUMA LÉNE DIOKH. LÈGUI MA NGUI NI DÉSSÉ TOUMA DARA LOUDOUL SAMA NGOOR ! SÉN PAPEU NGUI NI DÉM TAKK BANÉNE DIABAR, ABANDONNÉ LÉNE. DOU XALISS, DOU DARA LOUMOU LÉNE YONÉ. MANE RÉK MAY KEURTI KEURTI DI LÉNE DIAGUAL. Wayé yéne diarou léne défal dara dôomou xaram yi. SA RAKK COURA NAK MOM WAXOUMA AY WAXAM. MI NGUI SI MBÉDD YI DI THIAGATOU, AK DI TÉK DEAL GOOR GNI RÉK YAKARNI MOSI NÉK. Wayé beuss boufi indé eumbeu bou boba lay xamni ma matt. Bilae bou boba nako wane nane laniouy comporter wo ak thiaga yi. Sniff....sniff...iow nak mom bétt ngama basi kanamou yalla nakh dama fogone ni que bou sama rangone touro, iow ya koye fompou nakaté yoo iow yay kiye tour sama rangone yi !!!

(Fils indigne !!! POURQUOI AIMES-TU ME RENDRE LA VIE SI DIFFICILE ? POURQUOI BON SANG ? QU'EST CE QUE J'AI BIEN PU FAIRE POUR QUE TU TE COMPORTES AINSI ABDOULAYE ? QU'EST CE QUI TE MANQUE HEIN ? SI C'EST DE LA NOURRITURE, TU MANGES BIEN ET À L'HEURE. SI C'EST DE L'EAU AUSSI, TU BOIS SUFFISAMMENT. JE TRAVAILLE DUREMENT !!! RIEN QUE POUR VOUS ! CAR JE NE VOUDRAIS PAS QUE VOUS AYEZ FAIM OU SOIF. J'AI VENDU TOUS MES BIJOUX À CAUSE DE VOUS ! REGARDES MOI ! ALLEZ REGARDE MOI ! JE NE RESSEMBLE MÊME PLUS À UNE PERSONNE. À CHAQUE FOIS QUE JE ME LÈVE DU LIT LE MATIN, JE FAIS LE TOUR DU QUARTIER À LA RECHERCHE DE QUOI VOUS DONNEZ. MAINTENANT IL NE ME RESTE PLUS RIEN À PART MA DIGNITÉ. VOTRE PÈRE VOUS A ABANDONNÉ POUR ALLER ÉPOUSER UNE AUTRE FEMME. IL NE VOUS ENVOIE NI ARGENT NI RIEN DE RIEN. C'EST TOUJOURS MOI QUI ESSAIE DE VOUS METTRE DANS DE BONNES CONDITIONS. MAIS VOUS NE MÉRITEZ RIEN DE TEL ENFANTS MAUDITS. CONCERNANT TA SŒUR COURA, JE NE PARLE MÊME PAS DE SON CAS. ELLE NE SAIT RIEN FAIRE, À PART SE PAVANER DANS LES RUES POUR SE PROSTITUER OU MONTER DES COUPS FOIREUX AUX MECS, SE CROYANT BEAUCOUP PLUS MALIGNE. Mais j'attends juste le jour où elle revient dans la maison avec une grossesse. Je te jure que si ce jour venait à arriver, vous verrez mon véritable visage. Je vais lui montrer la manière qu'on adopte avec les filles  de son genre. Sniff...sniff...quant à toi, tu m'as trop déçu car je croyais que si mes larmes arrivèrent un jour à se verser sur mon visage, c'est toi qui les essuierai. Mais je n'ai jamais cru que c'est toi qui les auraient déclenchés. Dis-je sidérée.

-Mére mane li nguay wakh ni lidieunti woumako. Lou si sama yone si say problème ? Xolal iow do Oustaz do Ya seyda bamay warr. Yaye ngua yamal si plasou yaye. Sama life yonou kéne nékousi, ok ? Mane nianou maléne nguir diourma. Nianou mala tamit nguamay topoto nakh lolou meune nako déf. Bula néxé sakh ngua bagn ma lidieuntéti façon yeungalouma. Mayma diam way !!!

(Mère, tes paroles me laissent de marbre. Qu'est-ce que tu crois que ça peut me faire, tes problèmes ? Écoute-moi bien, tu n'es pas ma maîtresse ni ma sainte pour me faire la morale. Ma vie ne regarde que moi, ok ? Je ne t'ai rien demandé ni imploré pour exister. Je n'ai pas besoin de toi pour m'occuper de moi, je me débrouille très bien tout seul. Si tu veux, tu peux même m'oublier, ça ne changera rien pour moi. Lâche-moi !) Il me lança sa main au visage et s'éloigna en titubant, son pantalon tombant sur ses fesses.

Je restai pétrifiée, le regard vide. Ses mots m'avaient transpercée le cœur, me laissant sans voix. Je me traînai jusqu'à un amas de briques et je m'y affalai, les yeux baignés de larmes.

Je couvris mon visage avec un bout de mon vêtement et je pleurai à chaudes larmes. Comment mon fils avait-il pu devenir un tel démon ? On dirait qu'on me l'a substitué à la naissance. Je ne sais plus où j'en suis.

D'abord, il y a mon mari qui, sans crier gare, a pris une seconde épouse sans daigner me le dire. Non, je me trompe ! C'est elle qui l'a pris, puisqu'il vit sous son toit et qu'elle le fait vivre.

Et si je vous dis que j'ai découvert son mariage par les ragots du quartier, vous me croiriez ? Non, je ne crois pas.

C'est cette femme fortunée qui a capturé Abdel Diagne, l'homme pour qui j'ai tout abandonné, l'homme pour qui j'ai été reniée par mes propres parents. Aveuglée par mon amour pour lui, je n'ai pas vu le gouffre qui se creusait devant moi. Maintenant, il est parti et il m'a laissé tous les ennuis sur les épaules.

Ces ennuis, ce sont mes enfants que j'ai éduqués du mieux que je pouvais, en leur inculquant les bonnes valeurs. Mais ils ont choisi la mauvaise voie, tous sans exception.

Et maintenant qu'ils ont fait leur choix, pourquoi continuer à me sacrifier pour eux ?

Pourquoi gaspiller mon temps avec eux, alors qu'ils sont irrécupérables ?

Je leur ai tendu la main maintes fois, mais ils l'ont rejetée. Alors tant pis pour eux ! Qu'ils assument leur vie !






Bonsoir mes fidèles lecteurs/lectrices

Qu'avez-vous à dire sur le comportement de Myriam ?

Safiatou a-t-elle tord ou raison de la foutre dehors ?

Un mot pour Isseu

Un mot pour Abdoulaye

Un mot pour Abdel

Enfin qu'en pensez-vous de cette partie ?

Votez et commentez please

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