Tour 1-Texte de l'auteur 8
Texte de l'auteur 8 : Rosenpink62
La fin est proche
Je présente Rozen une petite fille qui a vécu des malheurs au cours de plusieurs années. En se moment elle a 29 ans mais ses problèmes ont commencé a ses 4 ans, elle a perdu son père, malheureusement personne ne sais comment il est mort.
Son père serai mort en forêt par une bête sauvage mais sa famille y croyait pas.
Jusqu'à ses 14 ans quel commença à faire son enquête. Elle demande à sa mère où il allait. Elle lui répond :
-Il partait comme tous les ans chassés.
Je crue pas ma mère mais elle avait l'air d'être sûr de se qu'elle dit.
Un soir je vois ma mère pleuré devant une lettre qui était cacher dans son armoire. J'ouvris la porte mais elle cacha la lettre et me regarda ,je lui pose une question sur quesqu'il a comme animaux dans la forêt ,elle me répondit qu'il avait des biches, des sangliers et des cerfs.
J'oublie cette lettre mais se soir je profite qu'elle soit au travail pour chercher sa lettre dessus était écrit :
Mon amour
Je vais aujourd'hui comme tous les ans chasser à la cabane prend soin de Rozen
Ton cher mari
Le lendemain j'alla a cette cabane au lieu d'aller au collège. Là-bas je trouve un livre dedans était écris se qu'il c'est réèllement passer...
C'était l'hiver dernier, dans une forêt du nord-est de la France. La nuit était sombreuse. J'avais un paysan qui marchait avec moi pour me guider à cette maison, sur un tout petit chemin, la forêt était recouverts de pleins de bruit, d'animaux, de la nature et de nos pas.
Nous devons manger et dormir chez le propriétaire de cette maison dont elle devait plus être très loin de nous . J'allais là-bas pour chasser.
Mon guide me parla des gens chez qui nous arriverons. Le père avait tué un braconnier un ans auparavant, et depuis ce temps, il paraissait inquiéter , comme hanté d'un souvenir profond. Ses deux fils, mariés, vivaient avec lui.
Enfin, j'aperçus une lumière, et bientôt mon compagnon arriva devant une porte. Des cris aigus de femmes nous répondirent. Puis, une voix d'homme, une voix étranglée, demanda : "Qui va là ?". Mon guide se nomma. Nous entrons . Ce fut un inoubliable tableau.
Un vieil homme à cheveux blancs, à l'oeil fou, le fusil chargé dans la main, nous attendait debout au milieu de la cuisine, tandis que deux hommes , armés de haches, surveiller la porte. Je distinguai dans les coins sombres de la piece deux femmes à genoux, le visage caché contre le mur.
On s' expliqua. Le vieux remit son arme contre le mur et ordonna de préparer ma chambre ; puis, comme les femmes ne bougeaient pas de peur, il me dit d'un seul coup :
-Voyez-vous, Monsieur, j'ai tué un homme, voilà un ans, cette nuit. L'autre année, il est revenu . Je l'attends ce soir.
Puis il ajouta d'un ton qui me fit sourire :
-Aussi, nous ne sommes pas tranquilles.
Je le rassurai comme je pouvais, heureux d'être venu justement ce soir-là, et d'assister au spectacle de cette horreur
Je racontai des histoires, et je parvins à calmer à peu près tout le monde.
Près du foyer, un chien, presque aveugle et moustachu, un de ces chiens qui ressemblent à des gens qu'on connaît, dormait le nez dans ses pattes.
Au-dehors, la tempête violente, battait la petite maison, et par un étroit endroit de la maison, une sorte de petit trou placé près de la porte.
Malgré mes efforts, je sentais bien qu'une angoisse profonde tenait ces gens, et chaque fois que je cessais de parler, toutes les oreilles écoutaient au loin. Fatigué d'assister à ces choses incroyables , j'allais demander à me coucher, quand le vieux tout à coup fit un bond de sa chaise, saisit de nouveau son fusil, en bégayant d'une voix égarée : "Le voilà! le voilà ! Je l'entends !". Les deux femmes retombèrent à genoux dans leur coins en se cachant le visage et les fils reprirent leurs haches. J'allais tenter encore de les calmer, mais, quand le chien endormi s' éveilla brusquement et, levant sa tête, tendant le cou, il poussa un de ces lugubres hurlements qui font tresaillir les voyageurs, le soir, dans la campagne. Tout les yeux se aller sur lui, il restait maintenant immobile, dressé sur ses pattes comme possédé d'une vision, et il se remit à hurler vers quelque chose d'invisible, d'inconnu, d'affreux sans doute, car tout son poil se hérissait. Le garde, très pâle cria : "Il le sent ! Il le sent ! Il était là quand je l'ai tué". Et les deux femmes égarées se mirent, toutes les deux, à hurler avec le chien.
Malgré moi, un grand frisson me courut entre les épaules. Cette vision de l'animal dans ce lieu, à cette heure, au milieu de ces gens éperdus, était effrayant à voir.
Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger ; il hurla comme dans l'angoisse d'un rêve ; et la peur, l'épouvantable peur entrait en moi ; la peur de quoi ? Le sais-je ? C'était la peur, voilà tout.
Nous restions immobiles, très pales, dans l'attente d'un événement affreux, l'oreille tendue, le coeur battant, bouleverses au moindre bruit. Et le chien se mit à tourner autour de la pièce, en sentant les murs et gémissant toujours. Cette bête nous rendait fous ! Alors, le paysan qui m'avait amené, se jeta sur lui, ouvrant une porte qui ramène sur une petite cour jeta l'animal dehors.
Et se tut aussitôt et nous restâmes plongés dans un silence plus terrifiant encore. Et soudain tous ensemble, nous avons eu une sorte de sursaut : un chose glissait contre le mur de dehors vers la forêt. Puis il passa contre la porte, puis on n'entendit plus rien pendant deux minutes qui firent de nous fous ; puis il revint, frôlant toujours le mur et il gratta légèrement, comme ferait un enfant avec son ongle puis soudain une tête apparut contre la vitre du petit trou, une tête blanche avec des yeux lumineux comme ceux des fauves. Et un son sortit de sa bouche, un son indistinct.
Alors un bruit formidable éclata dans la cuisine. Le vieux garde avait tiré. Et aussitôt les fils se précipitèrent, bouchèrent le petit trou en mettant la grande table qu'ils coincèdent avec le buffet.
Et je vous jure qu'au moment du coup de fusil que je n'attendais pas, j'eus une telle angoisse du coeur, de l'âme et du corps, que je me sentis perdu, prêt à mourir de peur.
Nous restâmes là jusqu'à petit matin, incapables de bouger, de dire un mot, coincée dans un affolement.
On n'osa débarricader la sorte qu'en apercevant, par la fente d'un abri, un mince rayon de jour.
Au pied du mur, contre la porte, le vieux chien était couché, la gueule brisée d'une balle.
Il était sorti de la cour en creusant un trou sous une palissade...
Le lendemain après le chien on retrouva 3 corps poignardés près d'un arbre
Bon après avoir su comment mon père est mort.
Je vais en cour j'espère qu'ils ont pas prévenu ma mère. En arrivant en cour de français une lumière arrêtée pas de clignoter donc on a éteintles lumière et ouvert les volets, à un moment on entendit des cris d'enfants personne ne savais où c'était ça semblait de venir d'un endroit au quel les professeurs aller jamais,après les cours, rentrer à la maison ma mère me demande où j'étais passer je lui explique que je sais comment mon père est mort, étonné elle me crit dessus car j'aurais pas dû y allais. Mais cette nuit je vais voir au collège d'où ça venait he suis trop curieuse pour savoir.
Arrivait au collège, je dû faire le tour du collège pour rentrer. Les porte était ouverte... je rentra dans la salle je remarque que j'aurais pas dû rentrer, j'appella la police, mais il crut que c'était un canular mais ma mère le matin me voyait pas, on me recherchait dans la ville mais aucune personne m'avait trouvé. Ma mère crut ne plus jamais me revoir. Un professeur rentra dans la salle ressortit angoissé, la police arriva mais il était trop tard pour ceux avant moi, il remarque que les personne disparus était ici. Maintenant cette pièces est rebouché mais les années futures connaîtrons pas cette endroit effrayant.
Ma mère est morte d'un accident elle était en retard pour son travail.
Maintenant il reste moi, Rozen j'ai perdu mon père et ma mère tristement maintenant c'est bientôt la fin pour moi...
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro