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Tour 1-Texte de l'auteur 2

Texte de l'auteur 2 : Alexandrexv13

Je m'appelle Daryus Fletcher. Je suis un détective privé, dont l'agence se trouve à Chicago, 9 ème rue de Walk street. Je vais vous raconter ma dernière enquête, qui a eu lieu il y a maintenant une semaine.

Je me baladais dans la rue marchande, où des centaines de magasins entassés se faisaient concurrence les uns les autres. Tout les dix magasins, se trouvaient une petite ruelle, souvent remplies de dealers et de SDF. Je les évitais le plus souvent, car je connaissais le cas des trois quarts d'entre eux. Ils avaient presque tous eu affaure à des violes, des agressions ou des fraudes de drogues, le plus souvent du cannabis au États Unis.

Mais ce jour là, il fallait faire quelque chose. Non pas que l'envie d'aider ces gens me vient souvent à la tête, mais quand vous connaissez les agressés, je les aide.

"- toi, tu touches encore une fois à ma secrétaire, je te casse la gueule.

- c'est à moi que tu parles, boudin antillais ??"

Oui, j'ai oublié de vous dire que je suis noir de peau et que je suis -un peu- enveloppé. Lui était assez poilu et manifestement très arrogant.

"- quoi, il a faim le babouin des îles !?!?

- toi, tu vas passer un mauvais quart d'heure. Meuf, à tout à l'heure quand tu sors, je vais m'occuper de lui."

Il poussa ma secrétaire au sol, avant de lui donner une claque dans la fesse gauche. C'en était assez.

Je sautai sur lui, et lui envoyai une droite en pleine figure. Il fut étourdi sur le coup, puis courra dans la direction inverse de la mienne. C'était fini pour lui.

J'aidais la secrétaire à se relever, avant de commencer à parler :

"- pas de merci !?!?

- merci, monsieur, d'avoir frappé mon cousin, qui en passant est le chef d'une organisation malsaine, et qui va vous poursuivre pour vous tuer.

- mais de ri... QUOI !?!?

- Vous avez très bien compris, alors merxi de m'avoir mise au chômage.

- euh.. j'ai essayé de vois sauver de ce pervers, vous le saviez !?!?

- ne comptez pas sur moi pour vous sauver. Sincèrement, bonne chance."

Elle était partie, sans me laisser le temps de lui répondre. Je me rendais donc à l'agence, pour m'occuper de mes affaires urgentes.

*****

Je rentrais chez moi, épuisé de ma longue journée de travail. Le gars qui m'avait menacé ne m'avait pas retrouvé, et j'avais tout aussi bien que lui passer l'éponge. Je regardais la télé, avec ma bière à la main, lorsque quelque chose se passa. Quelque chose de très grave. C'était à la télé.

" flash info !! Un homme mort dans le lac de la ville, a été éventré et a reçu des coups très graves à la tête et au ventre. Les autorités ont découvert deux des agresseurs présumés. Daryus Fletcher, un enquêteur du centre ville de Chicago, et Marina Ashford, sa secrétaire de son bureau d'investigations. Tous deux sont recherchés activement par la police. Si vous trouvez un des deux, n'hésitez pas à les dénoncer à la police au 112..."

J'éteignai la télé. J'étais troublé par l'affaire. Non seulement je n'était pas le coupable, mais en plus, qui aurait tué ce dealer très populaire de Chicago ? La question me rendais perplexe. Trop même. Je décidai d'aller mener mon enquête sur les rives du lac, certain de pouvoir trouver des preuves.

*****

Je m'étais faufilé entre les policiers sans difficulté. Le lac avait des reflets jaunes venant du lampadaire, ce qui m'aida à trouver un indice. L'eau était presque devenue transparente. Un crochet se trouvait dans l'eau, avec fu sang sur la lame. Je me mettais des gants de protection en plastique et prenais cet échantillon dans ma main, pour l'observer de plus près chez moi.
De retour dans ma maison, j'identifiais le plus de détails possibles. Aucune emprunte digitale sur le manche. Je faisais une analyse sanguine de la lame, mais encore une fois, le sang n'appartenait à personne. Ce que je vous raconte est toujours un mystère pour moi.

"- c'est quoi ce bordel ???

- étrange n'est ce pas ??"

Quelqu'un m'avait répondu. Je me retournais et identifiais avec stupeur ma secrétaire. Elle était adossée à la cage d'escalier. Je me dirigeai vers elle et lui tendai la main.

"- ne me touchez pas.

- oh commencez pas ein, on est...

- tout les deux en danger de mort et pourchassés. Ils vont bientôt venir vous chercher. Je serai vous, je me barrerai loin d'ici.

- ok. Vous avez une voiture ??

- moi, non. Mais Christy, oui. J'ai un groupe d'amis, ils pourraient nous aider.

- mais je n'ai tué personne... ils le sauront.

- non. Je suis la vraie coupable, alors arrêtez de dire que c'est vous. Je sais que c'est ma faute. Maintenant, vous êtes fugitif comme moi, car le coup de point que vous lui avait donné l'a bien marqué."

Choqué. C'est le mot qui me vient à l'esprit. Elle avoue ouvertement, comme ça, sans prévenir, qu'elle l'a tué !?!? Ces femmes des fois, vaut mieux pas les comprendre.

Je partais donc avec ses deux amis, dans la voiture de la charmante Christy. Le second s'appelait Clint. Il était le petit ami de Christy, et le frère de ma secrétaire. Je ne vous avais jamais mentionné son nom. Elle s'appelait Jill. Jill Evans. Sa chevelure brune et ses yeux gris s'harmonisaient parfaitement avec ses habits style militaire, et ses traits de son visage fins. Nous étions partis en Mars 2017, le 15 plus précisément.

* * * * *

Le 4 Juillet 2017, nous étions enfin en vacances. La fête nationale nous avait donné pour la première fois l'envie de nous balader et de sortir un peu. Mais c'était une mauvaise idée. Très maivaise.

La fête de la ville où nous nous trouvions au Texas comportait environ 2000 personnes, le plus souvent des adolescents et jeunes adultes. Nous avions fait de nouveau papiers, et bien évidemment, ils étaient frauduleux, et avions acheter une maison assez banale, pour des gens qui l'étaient moins. L'affaire s'était tassée, plus personne ne parlait du meurtre, et même nous avions oublié la raison de notre venue ici. Mais quelqu'un n'avait pas oublié. Et il nous l'a fait remarqué.

Il était 19h. La fête avait enfin commencé, et nous avions déjà trouvé quelqu'un avec qui parler. Un certain John Mayer. Il était le chef de la caserne de police de notre ville, et nous avions tissé des liens ensemble. Rien ne semblait anormal, une fête comme les autres, jusqu'à ce moment précis.

Quelqu'un venait de me taper les fesses.

NON MAIS POUR QUI IL SE PREND CELUI LÀ !?!?

Je me retournais. Personne. Pas même une personne de la fête. Le vide derrière moi. Je me touchais la fesse gauche, celle qu'IL avait touché. Un papier se trouvait dans ma poche arrière. Je lisais l'inscription qui y figurais.

"Je sais ce qu'elle a fait. Tu vas mourir avec elle, complice.

Mars 2017."

Je suis sidéré. Comment cette personne a-t-elle su pour le secret ?? Elle devait bluffer. Du moins, je ne pris pas ce papier au sérieux. Mais vu la suite de l'histoire, j'aurais dû.

Il était à présent 23h00, et presque toutes les personnes qui étaient présentes étaient éméchés. Bien évidemment, sauf moi et Christy. J'avais appris à la connaître, et j'avais même secrètement commencé à l'aimer. Mais, m'aimait elle en retour ?

"- Christy, je voulais vous dire quelque chose...

-... tu sais, maintenant, tu peux me tutoyer.

- très bien Christy, mais c'est important. Est ce que...

- ... c'est quoi ça ?!?!"

Elle se touchait la poche arrière gauche de son pantalon. Elle en sortit un morceau de papier, pas plus grand qu'un postit, puis commença à lire à haute voix son message, avant d'être prise de panique :

"- je sais ce que tu as fait. Si tu veux rester en vie, il va falloir commencer à avouer ses torts. Vois allez tous mourir. Mars DEUX MILLES DIX SEPT !!!

- au fait, j'ai déjà reçu un papier de ce même type... alors je crois que quelqu'un sait pour notre secret.

- alors toi, tu sais des trucs mais tu ne nous le dis pas ein ?!?!? Daryus, je vais te péter la gu...

- on se calme, c'est peut être un canular !!

- ou peut être pas !!!

- qu'est ce qu'il se passe vous deux ?"

Clint était arrivé lorsque Christy avait commencé à hausser le ton.

"- rien, juste, elle avait pas envie que je bois étant donné que je vais conduire.

- au fait, je voulais vous dire un truc. Jill et moi, on a tous les deux reçu un papier. Et ça a l'air grave.

- nous aussi.

- quoi nous aussi ??

- on a reçu ce même papier."

Quand Christy répondit à Clint, sa face déclina, jusqu'à ce que son menton arrive à toucher son cou. Ce n'était pas un canular. Et les fantômes du passé allaient nous hanter. Pendant que Christy et Clint se lisaient à tour de rôle leurs précieux papiers, je remarquais que de la cinquantaine de personnes qui était encore là, manquait Jill et John. Mais où étaient ils passés ? Je commençais à chercher de partout.

En tant qu'ex-détective, je savais comment procéder pour mes recherches. Je n'identifiais aucun des deux dehors. Ils devaient certainement être à l'intérieur. Mais encore une fois, que dalle. Personne dans la salle à manger, ni dans les WC, et encore moins dans les chambres. Ne manquait plus que la cuisine à inspecter.

Le moment le plus dur dans la vie d'un détective, c'est quand on retrouve le corps. Surtout celui d'une amie. Celui de Jill. La cuisine toute entière sentait la mort. Le sol était jonché de sang, qui m'emmena jusqu'à son corps, dans un des congélateurs. Un mot était inscrit sur un petut morceau de papier :

"Vous allez tous mourir"

J'inspectais plus en détail la cause de son décès. Elle avait été éventrée, exactement de la même façon qu'en Mars dernier. Cela ne pouvait pas être Christy, car elle avait été avec moi tout du long. Quelque chose me vint à l'esprit. L'arme du crime. Je cherchais dans les autres congélateurs, puis dans n'importe quel tiroir avant de réfléchir plus calmement.

Si il l'avait éventrée de la même façon que la dernière fois, le tueur devait avoir la même arme. Je me précipitait dans la voiture, emmenant dans mon sillage Clint et Christy, que je briefais sur les événements. Clint pleura tout le long du voyage, tandis que Christy regardait le paysage qui s'étendait à perte de vue, évitant à tout prix de pleurer comme son camarade.

Arrivés à la maison, je stoppais net la voiture devant la porte. Elle était entrouverte. J'entrais doucement avec Clint, tandis que Christy gardait la voiture. Des traces de boue allaient de l'entrée vers encore une fois la cuisine. Mais cette fois ci, nous étions dans le noir. Le disjoncteur avait lâché. Je me trouvais en présence d'une vraie poule mouillée. Clint criait comme un enfant à chaque bruit venant d'une autre personne que lui. La prochaine fois, je prendrais Christy avec moi. QU'EST CE QUE JE DIS ?? IL N'Y AURA PAS DE PROCHAINE FOIS !!!

Nous arrivions enfin au bout du couloir d'entrée, là où les traces s'arrêtaient net. Devant la porte de notre cuisine. Je l'ouvrais délicatement. Une faible lueur éclairait les lieux. En tout cas, elle éclairait le centre de la pièce. La lumière nous indiquait exactement un endroit dans la pièce. Un tiroir. LE tiroir. Celui où j'avais caché l'arme blanche utilisée par le tueur en Mars, et certainement aujourd'hui aussi.

"- on aurait jamais dû aller ici.

- on aurait jamais dû t'écouter Daryus. On va tous mourir."

Au moment où il prononça ces mots, le sol se mit à trembler. Le tiroir s'ouvrit, et deux mains en sortir. Pour de bon, j'auras dû les dénoncer à la police.

"- VIENS VITE ON SE BARRE !!!"

Clint ne répondit pas. Il était pétrifié par la peur et ses yeux écarquillés ne clignotaient pas moins que les phares d'une voiture. Les mains continuaient à sortir, et nous commencions à voir les cheveux crépus de notre adversaire. Je décidais de laisser Clint seul dans sa folie, et partis seul dans le couloir noir.

Je manquais à plusieurs fois de tomber, mais je tenais le coup. J'entendais les hurlements de Clint qui devait se faire dévorer par ça. Je continuais sans me retourner jusqu'à la voiture. Seulement, la voiture n'avait pas montré toutes ses surprises.

"- démarre Christy, DÉMARRE !!!"

Personne ne répondit. Elle n'était plus dans la voiture. Et cette dernière était fermée. Au risque de mourir, je cassais la vitre du passager et m'engourffais à l'intérieur du véhicule. La voiture était vide. Tant pis pour Christy. Je démarrais le moteur avec les clefs restées en contact puis détallais à toute allure.

* * * * *

Les mois qui suivirent, je suis allé voir la police pour dénoncer Christy. Ils disaient que Christy avait été retrouvée morte deux jours plus tard, noyée dans la piscine de la maison où nous avions fait la fête. La police ne retrouva pas le corps de Clint, ni celui de Jill. Me pensant fou, ils m'emprisonèrent à perpétuité.

Certains pensent que la prison EST une prison pour nous. Moi, je pense qu'elle me protège de ÇA.

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