
Participation de @UnTrans-Ftm ( nouvelle fantastique, en deux parties )
Partie 1 :
Tandis que je faisais un voyage dans le sud de la France , je fus invité par l'un de mes anciens amis partit , il y a 5 ans , en service militaire. Je le retrouvais par une chaude après-midi d'été devant ça maison , elle était somptueuse , un palais qui s'étendaient sur 3 étages , composé de 4 salons , 20 chambres , 6 salle de bain , je me trouvais en compagnie de plusieurs autres personnes et de notre hôte qui entreprit de nous faire visiter sa villa .
Une fois nos valise déposées dans notre chambre , nous fûmes conviés au souper et mon ami commença à nous présenter les uns aux autres . Certains étaient ses ancients collègues , d'autres était en déplacement pour les affaires .Pendant qu'il nous racontait ses souvenirs de son service militaire, je le détaillais de la tête aux pieds : il était fièrement assis sur sa chaise , ses cheveux soigneusement peignés étaient plaqués sur son crâne, il avait le regard dur , une cicatrice longeait sa joue droite pour aboutir au menton , son visage rectangulaire laissait apparaître des vestiges de ses victoires de guerres .
Il portait un blouson décoré de tout ses insignes reçut et un pantalon militaire achevait une description d'un homme visiblement très attaché au succès guerriers .
Après 3 entrées , 4 plats ,composés principalement de faisants que le propriétaire des lieux aimait chasser, et 5 desserts nous passons dans le salon ,tandis que que l'odeur d'alcool me devenais de plus en plus insupportable mes contemporains misaient de l'argent en sirotant de l'alcool ou jouaient en fumant des cigares , je sortais pour prendre l'air et je contemplais les beaux jardins entretenus par 4 ou 5 domestiques qui s'activaient nuit et jours . Les étoiles brillaient dans le ciel mais l'atmosphère pesante contrastait avec la légèreté de ces astres d'une beauté éclatante .
L'air chaud et lourd laissait présagé un orage pendant la nuit .
A 9h du soir je rentrais dans le salon , une odeur forte de vodka me pris à la gorge , ses effluves alcoolisées mélangées à l'odeur de tabac fini de m'étouffer et de me convaincre de monter à l'étage . Dans le couloir qui menait à la chambre ma main frôlât la robe d'une demoiselle qui se faufilât discrètement, pensait-elle, dans la chambre de mon hôte . Je m'assit finalement sur mon lit , étourdi par le bruit du salon et épuisé par le voyage . Je voulut m'allonger mais le sommeil emporta une lutte acharnée contre ma volonté et le plongeais dans les bras de Morphée .
Partie 2 :
Au petit matin je me fis réveillé par des oiseaux qui chantaient gaiment sous ma fenêtre, ils me paraissent plus enjoués que la veille, je finissais de me préparer quand une domestique toquât a ma porte , j'ouvris la porte et je la trouvais affolé et la fis rentrer .
Elle m'apprit que ce matin elle avait trouvé le cadavre de mon amis , sans vie dans ça chambre avec une vingtaines d'entailles partout sur son corp .
Je m'empressais de rejoindre la chambre de mon ami et j'y rentrais. J'y trouvais bon nombre d'invités que j'avais vu la veille .
Entre autres j'y entre-aperçu la femme que j'avais vu hier en compagnie d'autres demoiselles en pleurs , accroupis au pied du lit .
Un débat avais lieu au centre de la piece entre un grand gaillard et un notaire rabougris . Le plus grand affirmait que les femmes avait tué mon hôte pendant son sommeil avait dissimulé les preuves et volé l'argent , quand au notaire il répliquait qu'on avait pas de preuve contre elle et que les domestiques n'avaient vu personnes sortir de la chambre .
Chacune des femmes que j'avais interrogé me ressortais toujours la même version de l'histoire ; elles avaient eu besoin de s'aéré et avait ouvert la fenêtre et s'étaient couché , vers 2 heures du matin elles avaient été réveiller par des bruits semblable a des piaillement d'oiseaux et avaient découvert le corp sans vie de mon ami et quelques faisant qui s'affairaient autour , et lui arrachaient des morceaux de chairs et d'organes. Elles avaient essayés de les attrapés mais avaient échoué en les déplumants partiellement au passage , elles c'étaient aussi aperçu que l'argent du défunt avait disparu .
Cette vision invraisemblable des faits était cependant confirmé par les plumes, les morceaux de chairs retrouvé dans la chambre , il manquait par exemple un bout de fois et l'estomac percé répandait son contenu sur le parquet .
La plus part des gens s'accordais sur le fait que les plumes venaient du faisan farci qui avait été posé sur le buffet en prevision des fringales nocturnes du propriétaire cependant une intuition me soufflait que ce n'étais pas ça , enfin après une demi heure je descendis et pris mon petit déjeuné aux bout de 2 heure les domestiques nous prièrent de rentrer chez nous seul le notaire et un avocat restèrent sur place .
Je me trouvais dans mon hotel particulier à Rouen quand j'appris que le grand gaillard qui discutais avec qui discutais le notaire étais mort de la même façon que mon ami .
J'en eu la chair de poule, je tournais la tête pour regarder par la fenêtre, un oiseaux s'était posé dans un nid a coté de ma fenêtre , il lui manquait quelques plumes , il me semblait qu'il arborais un rictus, il me regardait avec ses yeux persans je remarquais alors une goutte d'eau qui roulais le long de son bec , elle s'en détacha lentement et un frisson me parcouru l'échine quand je m'aperçus que cette goute étais rouge .
Fin- 945 mots
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