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•𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 𝟏𝟎•

Ça, pour ne pas nous avoir épargné, Papyrus ne nous avait pas épargné. Red et moi avions chacun des tâches ménagères à faire en guise de punition. Pendant que je récurais les toilettes, une étrange musique se faisait entendre à travers les murs. Papyrus était parti nous laisser travailler, et je n'avais pas encore entendu les voisins, à croire que les parois étaient suffisamment épaisses pour étouffer leurs bruits. Mais alors qu'entendais-je ? Ce n'était pas loin, voire la pièce d'à côté. Curieuse, j'abandonnai mes gants et la brosse, et traversai le couloir. Je me cachais contre le mur et guignais de l'autre côté pour voir Sans passait la serpillère. En chantant. Le casque descendu au cou et suffisamment fort pour que j'entende. Sa voix grave sonnait vraiment bien, peut-être même qu'elle était faite pour cette chanson.

Merde. Il chante bien.

Et c'était marrant.

Je devrais le filmer, mais avec quoi ?

Il finit par me remarquer et, rouge vif, il lâcha la serpillère. Je devais tirer une tête stupide parce qu'il détourna le regard en jetant son portable derrière le canapé.

- T'AS RIEN ENTENDU !!

- Non non ! ~ ronronnai-je en partant à toute allure.

Il ne me poursuivait pas, préférant me hurler de ne plus jamais l'écouter comme ça. Lorsque je revins quelques minutes plus tard pour poursuivre ma liste, je retrouvai le squelette rouge en train de chercher son cellulaire derrière le canapé. Mais il semblait avoir les bras trop courts pour. Alors, à bout de patience, il recula et fit léviter le canapé. Mais il ne semblait pas pouvoir utiliser sa magie sur une chose aussi lourde trop longtemps, alors il n'osait pas se mettre à quatre pattes pour ramper jusqu'à son bien, de peur de se faire écraser. Il laissa retomber le meuble et râla.

- Besoin d'aide ?

- Non !

- Okay, je vais laver les vitres alors.

- ... En fait si, j'ai b'soin d'aide, maugréa-t-il.

Je ricanai et bondis sur le canapé. Je tentai la même tactique que lui la première fois, mais je n'étais pas plus grande que lui.

- Tu n'as qu'à faire léviter le canapé et me laisser glisser dessous.

Il semblait réticent, vue qu'il avait déjà testé cette idée.

- Ou alors on le déplace ?

Red leva les pupilles au ciel et, à deux nous tirâmes le meuble vers nous, avec peine je l'avoue, à cause du tapis. Mais il finit par avoir la possibilité d'atteindre le portable avec sa magie, et le fit léviter jusqu'à lui en prenant soin de l'éteindre pour que la musique ne se remette pas en marche en ma présence. Je souris en l'aidant à remettre le sofa à sa place. Il m'ignorait.

- Tu chantes comme une merde, mentis-je.

- Ta gueule.

- Il te reste beaucoup à faire ?

Il me tira une grimace et sortit la liste que lui avait donné Papyrus en punition.

- Je dois sortir les poubelles.

- Je fais les vitres et on va manger ? Je commence à avoir faim...

- Est-ce que tu mérites de manger ?

- Non, et toi ?

Il rebaissa les pupilles sur la liste avant de ricaner.

- Non plus. On ira au Grillby's, le patron me connait bien.

Il partit chercher le sac poubelle. Moi, je savais que je ne pourrais plus jamais le regarder de la même manière après ce magnifique spectacle...

En fait, Red est comme moi. Il vie dans un monde qui ne lui convient pas, et si ma faiblesse est physique, la sienne est surtout psychologique.

[...]

De loin, je pouvais apercevoir l'endroit où je dormais dans un carton. Aujourd'hui, il ne restait que la casserole sans manche qui servait à récolter l'eau de pluie pour m'hydrater. Sans me rappela à l'ordre et je le suivis jusque dans le bar en face de mon ancien chez moi.

Le Grillby's était un endroit normal, avec des monstres qui picolaient et qui mettaient tout sens-dessus-dessous. Normal. Le barman, un homme de feu violet, menaçait deux clients en pleine bagarre avec un fusil.

- Sup Gril, dit-il en prenant place derrière le comptoir, tachant d'ignorer les clients qui lui jetaient des regards étrangement mauvais.

- Pourquoi tu ne m'amènes que dans les endroits où il n'y a que des monstres ?! lui chuchotai-je avec colère.

- Peut-être parce que j'en suis un ? Arrête de m'emmerder avec ç... Hé ! gémit-il en se tenant le haut du crâne qu'avait cogné le barman avec une serviette humide. J'ai fait quoi encore ! Aïe ! Oui oui je payerai ma note cette fois ! Calme-toi ! J'ai ramené une nouvelle camarade, on ne cogne pas devant les invités, huh ??

Grillby posa son regard sur moi et laissa entrevoir des dents de flemmes pointues. Il était muet mais Sans semblait le comprendre. Étrange. Mais bon, c'étaient des monstres, ça devait être logique !

- Qui c'est ? Uh... Juste une gamine errante qui meurt de faim.

Je donnai un coup de coude au squelette à ma droite. Il gémit mais n'en fit rien.

- Je suis une amie, on travaille ensemble.

L'homme embrasé me dévisagea, pensif. Avant de sourire, mais sans être très rassurant.

- Ouais, voilà, on est collègues dans ce bar, tu sais, le Light Mushroom à quatre rues d'ici. Oui, je sais que tu connais ! Je disais juste !!

- On peut passer commande..? demandai-je, trop affamée pour attendre la fin de leur dispute.

- Euh, ouais. Donc. Pour moi comme d'hab', et pour la petite...

- Vous avez du sirop à la fraise ?

- Et tu veux manger quoi ? Frites, burger...

- Frites ça va très bien.

La torche humaine soupira silencieusement et partit à l'arrière.

- Hé, tu sais pourquoi la petite fille tombe de la balançoire ?

Je le fixai avec surprise. Je savais qu'il adorait les blagues, mais il les faisait... plutôt noirs.

- Parce qu'elle n'a pas de bras ! ria-il, fier.

- Red, je ne suis pas fan de ton humour...

- Oh, tu veux dire qu'il est tellement noir qu'il vole des motos ??

Nouvel éclat de rire. Les monstres lui jetèrent des regards aussi sombres que ses blagues. Je me fis toute petite.

- Ah, enfin nos commandes !

Je soupirai de soulagement lorsque je coinçai entre les lèvres la paille de ma boisson sucrée. Et je n'ai jamais rien bu d'aussi bon de toute ma misérable vie. Sans, lui, buvait au goulot une bouteille jaune qui dégageait une forte odeur. Je connaissais maintenant sa passion pour la moutarde...

- Hé Straw, relaxe, t'as l'air stressée.

- Je ne suis pas à l'aise avec des monstres, surtout que j'ai comme l'impression qu'ils ne t'aiment pas, ici...

Ses pupilles balayèrent la pièce, avant qu'il ne hausse les épaules.

- Ce n'est pas inhabituel.

Il mangea une poignée de frites.

- Red, pourquoi me caches-tu des choses ?

- Je ne vois pas de quoi tu parles.

- Je suis sérieuse. Je n'ai pas envie de vivre avec des personnes que je ne connais que sur les grandes lignes. Raconte-moi ton histoire, je t'en prie...

Il but une gorgée de moutarde.

- Ok. Je vais te raconter une histoire.

- Yeees !

Il s'étira et s'accouda à la table, les pupilles posées sur une frite qu'il tenait entre deux phalanges.

- Tu connais l'histoire d'Underfell ? C'est le nom qu'on donne à notre ère. Tu as fait de l'Histoire ? Nous avons l'Antiquité avec l'apparition de l'écriture ; le Moyen-Âge à qui nous devons notre monnaie, le Gold ; l'époque moderne qui prend fin en 1792 lors de la Révolution française et enfin ; l'époque technologique. La première Guerre mondiale s'étend de 1914 à 1918, la seconde de 1939 à 1945 et enfin, la troisième, de 2002 à 2005. Chaque fois, des guerres humains contre monstres. Chaque fois, on se bat pour savoir qui régnerait ici. Et chaque fois, aucun de nous est fichu de gagner. Mais notre dernier affrontement a été le plus violent. Des bombes plus puissantes, des armes plus perfectionnées, la magie des monstres plus aiguisée, les âmes des humains plus fortes... Tout a été détruit ces trois ans. Durant les deux cents ans suivantes, nous avons dû repeupler la majeur partie de la Terre. Reconstruire des villes entières. Revenir à des méthodes traditionnelles. Et tout ça pour quoi ?

Il attendait visiblement une réponse qui n'arriva jamais.

- Tout ça pour la puissance. Tuer ou être tué. C'est comme ça que ça marche.

Il but une gorgée de moutarde.

- 2005, l'époque de l'Underfell marque la fin de l'ère technologique. Comme si elle n'avait jamais existé, car tout a été détourné pour fabriquer des machines de guerre. Pendant deux cents ans, il y a toujours eu cette jalousie entre les deux peuples. Mais les hommes étaient plus nombreux, bien que moins puissants. Mais plus nombreux quand même. Nous sommes constamment rabaissés et considérés comme des moins que rien. Quand un monstre tue un humain, c'est la prison. Dans le cas contraire, sa sentence est allégée. Tu peux me dire pourquoi ? Parce que moi pas. Tu te plains sans cesse que les monstres pourrissent ta vie. Mais toi, tu t'es déjà mis à notre place ?

- ... Et toi dans tout ça ? demandai-je pour faire avancer la discussion.

- Moi ? Moi... Je suis né. Mon frère aussi, quelques années après. On ne se souvient pas de nos parents. Enfin, lui en tout cas rien du tout. Moi, je savais juste qu'ils ne nous aimaient pas. Nous avons vécu seuls dans la rues pendant longtemps. Jusqu'à mon adolescence, en fait. J'ai réussi à entrer dans une école de laborantin qui n'avait rien à perdre en me prenant, j'y ai rencontré Alphys, et nous avons été engagés dans le même laboratoire. J'ai eu assez d'argent pour me payer avec Paps un petit studio dans le centre, et lorsque notre patron a arrêté toutes ses recherches, j'ai été mis à la porte. Bien que l'arrêt définitif de ses sujets d'expérience était un soulagement monumental, tout le monde a perdu quelque chose pour cette connerie.

Il fit une pause dans son récit, semblant avoir du mal à raconter cette histoire. Ses pupilles avaient disparu, et son sourire n'était plus. Je me demandais à quoi il faisait allusion...

- Et ensuite ?

- Ensuite ? Ensuite... Tout s'est enchaîné très vite. J'ai perdu mon emploie, mon frère s'est mis en tête que me détester était la meilleure des choses à faire dans son quotidien de jeune ado, j'ai trouvé un boulot dans une brasserie, je me suis fait virer, et j'ai trouvé ce bar qui cherchait un barman autonome qui pouvait se déplacer rapidement. Et voilà.

- Donc... Tu es scientifique et tu bosses dans un bar à regarder des gens boires et danser au pole dance ?

- Tch. J'étais pris sur un coup de chance, au labo, ils avaient besoin de jeunes qui avaient du temps à perdre. J'étais plus utile avec un balais, crois-moi.

- Et pourquoi Papyrus s'est mis à te haïr ?

Il tarda à me répondre.

- Je... ne veux pas en parler pour l'instant.

Je hochai la tête.

- Comme tu veux. Merci pour ça, déjà.

Il finit sa boisson. J'en fis de même, et nous terminâmes notre barquette de frites respective dans un silence pesant.

[...]

- Kotik, kotik, kotik, kotik... fredonnai-je en mangeant les restes de Chicken Pie de ce midi. Qu'est-ce que ça veut dire ?

Tandis que mon tuteur numéro un légèrement flippant mangeait silencieusement son assiette, et que mon tuteur numéro deux un peu grognon s'était enfermé dans sa chambre pour éviter son frère, moi, j'essayais de retrouver les paroles de la chanson de Red. Je ne me rappelle que d'un mot répété plusieurs fois. Je ne vais pas aller bien loin avec ça...

Urg.

Je me forçai à finir mon assiette et, ceci fait, je quittai la table.

- Tu n'aurais pas oublié quelque chose ? me demanda calmement Papyrus sans lever les orbites de son assiette.

Je soupirai et nettoyai mes couverts et tout ce que j'avais utilisé ce soir pour manger.

- Voilà, je peux m'en aller maintenant ?!

Il regarda l'heure et fit un signe de tête en direction de la chambre de Red.

- Dis-lui d'être au travail pour vingt heures.

Je profitai qu'il se désintéresse de moi pour lui tirer la langue, et sortis de la cuisine comme si de rien n'était.

Il me fallut trois secondes pour traverser le salon, cinq pour longer le couloir, j'ignorai la porte qui se dressait en premier, tournai à droit, fis trois pas supplémentaire, et toquai à la chambre de Red.

Aucune réponse.

« Je toquai, mais aucune réaction, aucune réponse. À mes risques et périls, j'ouvris l'ouverture de bois et passai ma tête par l'entrebâillement.

Un corps. Un corps inanimé gisait sur le parquet dur et froid de la pièce, derrière le lit. »

Je demeurais les bras ballant, incapable d'effectuer le moindre mouvement. Une seconde passa. Je pris une profonde inspiration. À la septième, je retoquai, mais plus fort. J'entendis enfin une réponse sous forme de grognement d'insatisfaction. Soulagée au plus haut point, j'entrai dans la chambre mal rangée et aperçus bien vite le corps du squelette sur son matelas à même le sol, dos à moi. Une forte odeur de cigarette me ralentit. Diable ce que j'avais horreur de cette odeur. Je me bouchai le nez pour ne pas me laisser affecter par cette délicate senteur des enfers lorsque j'aperçus le cendrier près de la fenêtre fermée. Je pris la sage décision de l'ouvrir pour aérer la pièce. D'après le réveille-matin qu'il avait préalablement désactivé, je pus savoir qu'il était sept heures et quart. Sachant qu'il devait travailler cette nuit, je me devais de le réveiller. C'est avec un peu de réticence que je m'agenouillai près de lui et lui secouai l'épaule.

- Red, Papyrus dit que tu dois aller au travail, lui murmurai-je en priant pour qu'il se réveille.

- Hmmm... marmonna-t-il à travers son sommeil.

Je jetai une seconde fois un regard sur le cadran de la petite horloge, avant de, vaincue, m'assoir au bord du matelas. Il pouvait se téléporter et il lui restait une trentaine de minutes pour se préparer. Je peux bien lui accorder ces minutes, n'est-ce pas ?

Je le regardai dormir. Pour une fois qu'il ne faisait pas sa gueule de con, c'en était presque mignon.

Sauf pour la bave.

Mais avouons-le, qui dans notre monde ne serait pas attendri par cette guimauve rouge ? Bon, mise à part que ladite guimauve a des tendances suicidaires en provoquant le sadique de service... Et qu'il écoute de la musique que personne d'autres n'écouterait... En se déhanchant comme une gonzesse... Avec le sourire.

J'aperçus son téléphone portable. Je le pris et le déverrouillai.
Il faut que j'apprenne à ces vieux comment mettre un mot de passe.
Il n'était pas bien compliqué de trouver sa playlist. Il y avait plusieurs titres, mais celui qui m'intéressait portait le même nom que le seul passage que j'avais retenu.

Ok, ça, c'est fait.

Je redéposai son téléphone sans risquer de chercher quoique ce soit d'autre. Bah, s'il n'a pas mis de mot de passe, il me serait facile d'aller le refouiller un autre jour ! En tout cas, c'était ce que je me disais en sortant de la pièce qui sentait trop fort la nicotine. Bien que je me sois habituée à l'odeur, rejoindre le couloir était une renaissance.

Il me fallait un ordinateur et je savais qui en avait un dans cette foutue baraque. Papyrus. Je l'entendais faire la vaisselle, vue la consistance de son plat, il en aura pour un moment pour tout nettoyer. C'est rapidement que je m'enfermai dans sa chambre. Contrairement à celle de son frère... Elle était mieux rangée, et l'odeur d'orange surpassait celle de la lessive. Ce n'était un secret pour personne, c'était un maniaque du ménage et de la propreté.

J'allumai l'ordinateur et ouvris une nouvelle page Undernet. Je tapai le nom de la musique et décryptais chaque suggestion, perplexe. Bon, ce n'était clairement pas dans notre langue. Il ne me fallut pas plus de temps pour trouver une traduction valable.

- "J'avais décidé depuis longtemps de ne plus jamais tomber amoureux, et voilà que tu es apparue, mon chaton, chaton, chaton, chaton"... lis-je avec un large sourire. Oh bordel.

Oh bordel.

Oh bordel.

C'est une chanson niaise.

Oh bordel.

Qui parle de...

Oh.

Bordel.

De.

Urg.

RED EST AMOUREUX !!!

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Y'hellow ! Comment allez-vous ? Moi ça va super !
Today un chapitre plutôt basé sur Red. Et je me devais de raconter l'histoire de cet Underfell ^^ Qui est... Un univers alternatif de cet AU-la ._.

AUception

XD

Donc voilà, j'ai réécrit l'Histoire (j'espère avoir mis les dates juste en tout cas, si j'ai fait une faute, prévenez-moi, ça serait gentil .n.)

Anoway

OH ET MERCI POUR LES 1K VUES ! Je sais que ce n'est pas autant que Timetale avec ses 90k, mais honnêtement, je suis trop heureuse ! :3

Du coup je me suis amusée à faire leur maison dans les Sims 4 :3 Ça vous donnera une petite idée de comment est leur appartement dans la fic x) Référez-vous à l'emplacement des pièces, la déco n'est pas forcément juste :p


Ils n'arrêtent pas de se fâcher et se taper dessus TuT xD Et quand ils sont trop énervés, ils vont gueuler sur le lapin dans la chambre de Papyrus

Alors je vous fais visiter ~ Nous avons le salon au centre, la cuisine à sa droite, un couloir en L, une petite salle de bain au Sud-Est, la chambre de Papyrus en face et celle de Sans au bout du couloir paumée au Nord-Ouest.

Et une dernière chose... Si vous voulez une petite idée de la musique (référence à un comic Kustard qui m'a fait pleurer de rire xD) il s'agit d'une chanson russe absolument magnifique xDDDD mais la version daycore (bien que je n'aime pas l'anti-nightcore, cette musique fait exception !) colle teeeeellement bien avec Red
Bref je vous file le titre si ça vous intéresse : Котик (ou Kotik, vous trouverez aussi) de Alexander Rybak
Mais bon, comme j'imagine que personne ne comprend, vous allez chercher une traduction comme tout le monde xD (Ou alors je trouve moi une traduction mdr).

Bbbbbbbbbref ^^ Ciao tout l'monde, PEACE !

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