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Chapitre IV : Celui où je rencontre des personnes ...



Conformément au souhait qu'elle avait exprimé, on retourna voir la fée deux jours plus tard. Suivant les conseils de Kaïa, j'avais attendu avant d'y retourner. Et le jour-même, j'avais attendu un long moment, Nicolas m'ayant supplié de ne pas y aller sans lui, après tout on n'avait pas souvent l'occasion de faire amis-amis avec la personnalité la plus influente au monde. Mais il avait son entraînement et cette fois il n'y eut pas de blessé.

La pluie tombant à verse, nous nous étions réfugiés dans les gradins du gymnase. Je discutais avec Kaïa, pendant que Camille jouait le thème principal des films de Sabrina Caldera à la musette, en plus lent. Elle s'était mise en tête, il y a quelques années, qu'en tant que future actrice, elle devrait savoir jouer d'au moins un instrument. Je ne sais pas d'où cette conception du métier venait. Katérina Mills, l'actrice kalienne qui à l'époque nous faisait fantasmer Nicolas et moi et dont j'avais vu tous les films, n'y apparaissait jamais avec un instrument en main.

Enfin, Nicolas nous rejoignit, les joues rouges, les cheveux ébouriffés, sa mèche à sa place naturelle, autrement dit devant ses yeux, à cause de l'exercice et nous pûmes nous rendre chez Kamélia.

Quand nous arrivâmes, elle lisait une occasionnelle.

Il faut que vous sachiez que nos journaux sont différents des vôtres. Chaque journal est spécialisé dans un type de presse. De plus, ils ont aussi un aspect différent. C'est plus des parchemins et certains sont même encore écrits, agrafé les uns aux autres. Il y a rarement une illustration. Si c'est le cas, c'est une photographie en couleur. Et chaque article est prédécoupé et écrit anonymement. De plus, il y a six genres de journaux. Une occasionnelle, l'un d'entre eux, est un journal qui ne contient que des faits divers, écrits sous forme de récits. Nina n'aime pas les colporteurs (c'est le nom des journalistes qui les écrivent) car leur seul but est de vendre. Ils exagèrent donc bien souvent les faits, pour les rendre plus violents ou sanglants.

Toujours est-il qu'en arrivant Kamélia lisait une occasionnelle et elle la serrait tellement fort, qu'elle était déchirée par endroits. À notre entrée, elle reposa le parchemin et découpa l'article. Je me demandais bien ce qu'elle pouvait trouver de si important dans ce genre de journaux. Les Cadowell lisaient plutôt les gazettes pour se tenir au courant, malgré la main que le gouvernement avait dessus.

La fée nous invita à prendre le thé dans son bureau.

C'était un endroit saugrenu pour boire et grignoter, mais elle devait avoir l'habitude d'éviter de quitter cette pièce. À moins qu'elle soit très désordonnée et ne veuille pas nous montrer l'état de son salon. Ou elle y cachait son amant, ou...., bref je pouvais faire des tas de suppositions je n'aurais en tout cas jamais la réponse.

Elle discuta avec Kaïa, dont le père venait d'arriver à Firento. La fée semblait bien le connaître et cela depuis l'enfance. Elle nous raconta même quelques anecdotes croustillantes sur son adolescence.

Par respect pour monsieur Blanktest, qui est m'est très précieux, je n'en dirai pas plus, ne voulant ternir sa réputation qu'il a eu tant de mal à bâtir, il faut dire que sa femme et sa fille ne sont pas d'un grand secours pour cela.

Elle posa quelques questions à Nicolas sur ses parents, le retour prochain de son père et les ennuis que sa mère avait avec je ne sais quel groupe de militants, pour je ne sais quelle cause absurde.

Enfin, à ma sœur et moi, elle posa quelques questions sur notre vie avec notre oncle, dont elle n'écoutait même pas la réponse. Puis elle glissa habilement sur ce qu'on savait de notre père, en nous prêtant bien plus d'attention. Comme nous ne savions rien, mon oncle détestant parler de lui, nous ne lui cachâmes pas la vérité. Même si j'avoue que son expression me mis mal à l'aise.

- Depuis notre dernière rencontre, j'ai fait des recherches sur lui, précisa la fée. Il n'était pas connu avant son arrivée à Firento et il avait une immense fortune. Par contre, personne ne connaît son vrai nom. Mais il a fait de nombreux scandales, qui font qu'on se souvient encore de lui. Puisqu'il a écrit de nombreux pamphlets contre certains privilèges, de certains politicien, ou dénonçant des affaires que personne n'aurait dû connaître. Et surtout, il a toujours décliné les invitations des hautes personnalités politiques y compris celles de leur majesté.

- J'adore votre père ! nous déclara Kaïa.

- Il était surtout connu comme écrivain, continua la fée comme si de rien était, mais n'a en réalité écrit qu'un recueil de poésie et quelques pièces de théâtres inspirées de la Grèce antique. J'ai réussi à me procurer son recueil ainsi qu'une photo. Vous voulez les voir ?

Évidemment, on ne put qu'accepter.

Elle sortit dans la pièce à côtés les chercher et je me glissai derrière le bureau. Camille allait parler, pour râler sans doute, pendant que je parcourais l'article que la fée avait mis de côtés. Mais Kaïa eut l'intelligence de lui faire signe de se taire, en indiquant la porte par laquelle Kamélia venait de passer. Elle devait penser que la fée pourrait entendre ce que nous disions. C'était raisonnable de le croire. Mais Nicolas, qui jamais ne se méfierait d'une fée, me demanda, à voix basse néanmoins, de quoi parlait l'article :

- Un groupe de terroriste. Les sans-visages, lus-je.

Camille pâlît, Nicolas sembla intrigué et Kaïa allait ouvrir la bouche.

Mais j'entendis le pas de la fée. J'eus à peine le temps de regagner ma place, qu'elle entrait.

Elle me tendit un livre assez petit. Je le passai à Camille, détestant lire contrairement à elle. De la poésie en plus, ce n'était même pas la peine d'y penser.

Par contre, je pris la photographie le cœur battant. Je n'avais jamais vu le moindre portrait de lui et mes souvenirs ne remontaient malheureusement pas aussi loin pour que je puisse me souvenir de son apparence.

Mon père avait des cheveux bruns mi-long, portait des lunettes devant ses yeux bleu perçant, qui tombaient sur un nez cassé. Sinon, il avait un visage assez long, aux pommettes saillantes, marqué par une cicatrice, allant de sous sa lèvre inférieur à son menton en galoche. Il était très fin, et avait le teint très pâle. Pourtant, malgré son air maladif, il avait quelque chose de charmant.

Je me sentis mélancolique devant ce portrait. Je ne retrouvais rien de moi dans ce visage. Pourtant, c'était mon père, dont je n'avais aucun souvenir, et que je ne verrais jamais de mes propres yeux. Je savais que je ressemblais beaucoup à ma mère, on me l'avait souvent fait remarqué, mais j'espérais quand même avoir récupéré quelques traits à lui, autre que mon nez.

- J'ai interrogé tous ceux qui se souvenaient de lui, sur ses pouvoirs, intervint Kamélia. Personne ne l'a jamais vu faire de magie. Et, il était toujours très gêné sur ce sujet.

- Vous pensez qu'il a pu ne pas être magicien ? interrogeais-je incrédule.

Considérant mes pouvoirs et ceux de ma sœur, cela m'étonnait. Surtout, que nous savions que cela ne venait pas du côté de notre mère, grâce aux remarques de Xavier.

- Mes parents l'auraient su ! déclara Nicolas.

- Il le cachait peut-être bien, supposa Kaïa. Ce n'est pas difficile de cacher des choses à ses proches quand on a l'habitude, surtout sur un détail comme ça, auquel personne ne fait attention.

- Tes parents l'ont-ils déjà vu faire de la magie ? demanda sournoisement la fée.

Mon ami l'ignorait. Chez nous, la magie était tellement banale, que nous n'y faisions plus attention. Les non-magiciens chez nous étaient quasi inexistants. En général, ceux qui ne pouvaient pas faire de magie étaient victime d'un sort, mais c'était donc réversible. À une époque, certaines personnes pouvaient ne manifester aucun don, alors qu'ils venaient d'une famille de magicien. Mais on a découvert qu'en réalité, la magie était là, sans s'être développé et depuis, on a réussi à soigner cela. Il y a aussi certaines personnes qui ne parviennent plus à faire de magie après un choc. Mais cela finit par revenir. La plupart de la population faisait donc, au moins, un peu de magie.

La seule autre explication, serait que ce soit quelqu'un de l'extérieur, quelqu'un ne venant pas des citées, quelqu'un comme vous mes chers lecteurs. Mais il est bien difficile pour quelqu'un de l'extérieur d'entrer dans un de nos lieux magiques. Il y a des barrières et des gardiens.

- C'est impossible qu'il ne soit pas magicien ! affirma néanmoins mon ami. Théophile et Camille sont bien trop puissants ! À moins d'être manipulé génétiquement, on ne peut pas avoir des pouvoirs immenses sortis de nulle part. Et s'ils étaient manipulés génétiquement, ils seraient très suivis par des guérisseurs. Ce qui n'est pas le cas.

Je souris à mon ami, rassuré. J'avais toujours imaginé mon père comme un très grand magicien, sans doute à cause de mes pouvoirs. Et sans ses pouvoirs, je me sentais moins fier de lui, bien qu'il n'ait rien fait qui puisse justifier ce désamour, peut-être à cause de tout ce que mon oncle disait sur lui.

Je me tournai vers la fée. Celle-ci semblait pensive. Le mot de manipulation génétique semblait l'avoir fait douter.

- Ta grand-mère était encore dans son état normal, je pense, quand ta mère et ton père ont commencé à se voir. Elle en sait bien plus sans doute, finit-elle par dire. Je suppose que vous ne la voyez pas souvent ?

Je la regardais comme si elle m'avait déclaré qu'elle allait se reconvertir en chanteuse de métal et dominer le monde de la musique. Je ne voyais absolument pas de quoi elle parlait. Je ne connaissais pas d'autre famille que mon oncle. Quand on l'interrogeait sur ses parents, il se contentait de nous dire que son père était mort ou que ma mère détestait leur propre mère. Il nous parlait surtout de notre mère.

- On n'a pas de grand-mère ! certifia Camille.

- Mais si ! Je l'ai vue il n'y a pas trois jours de cela ! attesta Kamélia. Elle vit à la cour. Vous ne la connaissez pas ?

Devant nos airs incrédules, la fée soupira en prononçant le nom de mon oncle tout en secouant la tête.

Je me tournai vers Camille. Elle était aussi abasourdie que moi par cette nouvelle. Nicolas sut répondre pour nous, qu'il était évident que non.

- Ta grand-mère et son frère étaient de grands chimistes. Ils sont très renommés. Mais ils ont toujours voulu trouver une potion qui rend immortel. Et au cours de leurs recherche, ils ont eu quelques ....problèmes. C'est sans doute la raison pour laquelle vous avez été confiés à votre oncle. Puisque à part eux, il n'y avait que le fils de votre grand-oncle qui aurait pu vous prendre. Surtout que Charlotte et lui avaient de bonnes relations, et qu'il était plus âgé que Xavier. Mais, il a repris les affaires de ta grand-mère et de son père. Il doit donc voyager souvent et passe sa vie entourée de potion.

On devait encore digérer la nouvelle avant de pouvoir commenter ou réfléchir à tout cela. J'avais de la famille encore vivante et qui habitait à proximité. De plus, leurs vies avaient l'air tellement cool. Je me voyais déjà partir de chez mon oncle pour les rejoindre.

- Vous voulez leur rendre visite ? interrogea Kamélia.

Bien sûr qu'on le voulait.

Tout cela me parut d'un coup absolument irréel. Je ne pouvais pas avoir d'autre famille que Xavier. Ils seraient venus de temps en temps, ou auraient écrit. C'était notre propre sang quand même ! Et on en aurait entendu parler. Nina était maire et connaissait bien notre famille, elle devait savoir, pourtant elle n'en a jamais rien laissé entendre. La fée devait être folle. On venait de la rencontrer ! Comment pouvait-elle en savoir plus que nous sur nos origines ?

Je demandai donc, d'une petite voix, si mon oncle était au courant. La fée m'apprit qu'il était non seulement au courant, mais qu'en plus, il leur rendait régulièrement visite.Je ne savais plus où j'en étais, ni ce que je pouvais encore croire. Mais je savais qu'en rentrant, on aurait une grande discussion avec lui.

On dût parcourir une bonne partie du château, pour arriver dans une aile que je ne connaissais pas. Elle était du même style romain que le reste, bien que les décorations fussent plus sobres, mais toujours très précieuses.

Quand la fée s'arrêta devant une porte, je me sentis faible. Machinalement, je passai ma main dans mes boucles brunes, pour tenter de les recoiffer. Bien que finalement, je devais ressembler encore plus à un mouton noir. Je me mis à m'attaquer à mes ongles, comme toujours quand j'étais nerveux, en regrettant de ne pas m'être mieux préparé ce matin.

Kamélia frappa à la porte. Dans ma poitrine, mon cœur cognait fort.

La fée ouvrit la porte sans attendre de réponse et je dus prendre une grande bouffée d'air. Nous entrâmes à sa suite. Je tentai de prendre une expression froide, mais vu le sourire en coin et le regard de Nicolas, je devais surtout avoir l'air stupide. Ma sœur éclata de rire quand je passai devant elle. Je rougis de honte. Kaïa, elle ne se moqua pas. Elle me lança un regard de soutien, comme si elle savait ce que je ressentais, ce qui me fit chaud au cœur.

La pièce dans laquelle nous pénétrâmes était immense, très lumineuse et il y régnait une chaleur suffocante. Cela ressemblait en tous points à un laboratoire scientifique, tel que l'on pouvait se l'imaginer, excepté le fait qu'il y avait une cheminée, avec au-dessus un chaudron qui flottait et seulement trois personnes en blouse blanche.

J'examinai les trois scientifiques avec appréhension. Mon oncle avait une sainte horreur des sciences et affligeait ceux qui les pratiquaient de tous les maux. J'avais toujours entendu dire, par tout le monde, qu'ils étaient dans un monde un peu à part. Mais les trois personnes que j'avais devant moi, étaient bien loin de l'image des scientifiques que je m'étais fait. Et croyez-moi, c'était bien plus inquiétant.

Sur une fiole, à l'écart du chaudron était penchée une fillette aux cheveux roux, qui semblait ne pas avoir plus de sept ans. Pourtant elle avait une blouse et des gants en latex sur mesure, des lunettes de protections qui lui allaient très bien, et elle semblait bien sérieuse avec sa pipette à la main.

À côtés du chaudron, se trouvait un vieillard. Il était assis sur une chaise et semblait avoir une soixantaine d'année. Il paraissait très négligé, et fixait l'horizon en marmonnant. Il semblait vraiment très las.

Enfin, s'agitant un peu partout, se trouvait un homme qui devait avoir plus ou moins l'âge de Nina, la trentaine donc. Je ne pouvais distinguer aucun de ses traits puisqu'il portait une charlotte, d'immenses lunettes de protection, des gants de latex et un masque de papier devant la bouche. C'est lui qui leva vers nous une tête surprise à notre arrivée. Il nous dévisagea de ses yeux bleus cobalts, identiques à ceux de Xavier, avec l'air de se demander si notre estomac était en train de tourner ou si nos globules rouges se chargeaient bien d'oxygène. Il s'avança vers nous et nous serra à tous la main machinalement. Son gant était couvert de substances étranges, non identifiable pour des esprits non-scientifiques, qui picotèrent ma peau.

- Qui sont tous ces jeunes gens que tu m'amènes Kamélia ? demanda-t-il. Des futurs collègues ? Des punis ?

Je frissonnais à l'idée qu'on puisse être envoyé en laboratoire en guise de punition. Pour faire quoi ? Le cobaye ? Et dire que je pensais avoir eu toutes les punitions possibles et imaginables. Peut-être que je me tiendrais à carreaux maintenant. Évidemment, je ne me tins que deux heures à cette résolution et encore !

L'homme enleva son masque, montrant un visage impeccablement rasé et un nez aquilin.

- Pas du tout, répondit Kamélia. Les enfants, voici Bruno Gardnère ! Bruno je te présente Kaïa Blanktest, Nicolas Cadowell, et Théophile et Camille !

Elle ne précisa pas notre nom et il ne le demanda pas.

Au contraire, en entendant nos prénoms, son sourire tomba et il nous examina froidement. Derrière lui, la fillette arrêta son mouvement pour transférer une fiole dans un verre doseur. Elle nous examina d'un regard froid et sévère, absolument adulte. Le vieil homme fit tomber sa canne. Bruno jeta un coup d'œil à l'enfant. Passa sa main sur son visage, qui se couvrit de cendre au contact des substances étranges. Il nous fit un sourire timide en s'essuyant le visage et les mains.

Visiblement pour les grandes étreintes et les hurlements de joie, il faudrait repasser un autre jour. L'atmosphère devint immédiatement tendue. Pourquoi étais-je surpris ? Voir déçu ou triste ? C'était la famille de Xavier. Il fallait s'y attendre après tout. Mais non. Je me sentais maudit ! Pourquoi ne pouvais-je avoir une famille aimante et normale ? Quand je pensais à la chance qu'avait Nicolas, avec sa grand-mère géniale, ses tantes certes un peu folles, mais soudées, son cousin qui nous apprenait la vie et ses parents aimants, je me sentais plus jaloux de sa vie que je ne l'avais jamais été.

- Tu te souviens à quel point ta cousine et toi vous étiez proche ? insista Kamélia auprès de Bruno.

Il semblait gêné et hésitant. Il se dandina tout en continuant à nous faire un sourire crispé.

- Oui. Évidement.

- Eh bien, voici ses deux enfants. Comment penses-tu que Charlotte aurait aimé que tu te comportes avec eux d'après toi ?

Il ne répondit pas, mais fut plus chaleureux. Tout en se montrant assez hésitant.

En nous serrant dans ses bras, il bafouilla qu'on n'allait pas s'embarrasser de grand cousin ou petit cousin et qu'on se contenterait du oncle et neveu. Surtout que ma mère et lui avait été si proche.

Quand il nous lâcha, il enleva ses lunettes de protections, pour mettre des lunettes rondes et retira sa charlotte, dévoilant de courts cheveux bruns décoiffés. Il ne cessait de regarder la petite fille avec son sourire crispé.

Pendant ce temps, Kamélia nous désigna le vieillard. Il semblait plus âgé que tout à l'heure. Mais je me figurais que c'était une illusion.

- Voici Jérôme, le père de Bruno ! nous présenta-t-elle.

Jérôme nous regarda quelques secondes, déclara qu'on avait bien grandi et fixa de nouveau l'horizon en marmonnant. Nous nous regardâmes ne sachant que penser. Bruno se tourna vers nous en soupirant. Il semblait trouver tout cela très inconfortable.

Puis on observa la fillette, qui nous jaugeait sévèrement.

- Et voici Jeanne, votre grand-mère !


A partir de cette semaine vous aurez un chapitre entier par semaine (une moitié le lundi et l'autre la jeudi/vendredi), je pense que ce sera plus facile à suivre. Ca vous va ?

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