Après-propos
Pour les courageux qui auront tout lu : merci ! Vraiment, je vous félicite et vous invite à vous placer en PLS sur ces délicats matelas. Car m'est avis que vous aurez pesté contre l'incongruité des personnages, leur nombre (si ma mémoire est bonne il y en a 33 en tout, y compris ceux qui n'ont qu'une réplique), le fait qu'ils parlent tous de la même manière, les dialogues pourris et peut-être un tas d'autres choses qu'il ne faut pas hésiter à détailler dans les commentaires, le cas échéant, c'est valable comme extériorisation des peines.
Comme le synopsis l'indique, cette pièce date et elle a subi un processus d'écriture particulier. Un dimanche de février 2012, j'ai rédigé dans l'après-midi le premier acte. Pour moi alors, la pièce était terminée. Mais sept ou huit mois plus tard, une drôle d'illumination m'a touchée : la poursuivre. Et je dois reconnaître que j'ai bien rigolé en l'écrivant. À l'origine, la pièce du Palais était publiée sur un forum, si bien que j'y avais adjoint des liens cachés afin d'augmenter le cachet humoristique ; en outre, la plateforme permettant une mise en page plus souple que je puis faire avec la version ordinateur de WP, les flashbacks de l'acte IV étaient par conséquent bien intégrés au reste.
129.521 caractères espaces comprises, un gros bébé tout moche. Doté d'un esprit un peu con – moi, pas mon bébé –, je me suis dit que j'allais poursuivre, que j'avais des idées pour faire une pièce... non ! deux pièces supplémentaires ! Ainsi naquit le Triptyque d'une vie publique décomplexée, comprenant trois pièces : la pièce du Palais, la pièce de l'Institut et la pièce Royale. Si les deux premières sont terminées, la dernière est en cours de rédaction.
Mais parlons plutôt de la deuxième. J'ai essayé dans celle-ci d'être moins brouillon et d'individualiser chaque personnage, leur apporter une psychologie et un panel de réactions propres. En sus, vous aurez peut-être remarqué que dans la pièce que vous venez de terminer tous les personnages sont des hommes. N'étant tout de même pas un butor de la pire espèce, j'ai pris le parti dans l'Institut de ne mettre que des personnages féminins. Et qu'il fut bon d'écrire quelque chose de subtil ! La première scène sera postée dans les jours à venir, si cela vous dit.
Merci encore.
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