Chapitre 19
Salut, salut! Encore un autre chapitre! ;) Eh oui, ça ne m'a pas pris beaucoup de temps, car j'ai eu de l'inspiration....et du temps. :p J'espère que ce chapitre va vous plaire autant que j'ai aimé l'écrire. Le vocabulaire est très riche et je me suis donné encore plus à fond pour le rédiger. :)
Dîtes-moi ce que vous en pensez à la fin du chapitre.... Laissez-moi vos commentaires et vos votes, j'en ai besoin! :')
Bonne lecture!
Bisous, Xox
PS: Je vous adore!
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Chapitre 19
Deux jours plus tard, plus je réfléchissais, plus je m'enfonçais dans un trou noir sans sortie. Plus je réfléchissais, plus je me disais que ma vie n'avait aucun sens. Mes actions n'avaient aucun sens. J'étais tombé dans un énorme piège: celui de l'amour. J'étais menotté au cœur de Clara, impossible de me libérer et accroché à elle comme si elle était ma bouée de sauvetage me permettant de garder la tête hors de l'eau qui menaçait de m'emporter à tout moment dans ses vagues et mouvements. En parlant de liquide transparent, présentement, il pleuvait de fines gouttelettes sur la ville de Londres. Le ciel avait enfin décidé de fondre en larmes sur mon sort et je m'en plaignais point. Être totalement trempé de la tête aux pieds me donnait l'impression d'encore posséder un brin de vivant en moi. Quelque part. D'une certaine manière. L'eau froide d'octobre contenue dans les nuages depuis des jours ruisselait mon visage affaibli par le désespoir et la tristesse et mes vêtements. J'ignorais pourquoi ni comment je me retrouvais encore à cet endroit. Dans ce parc. Sur ce banc. Entouré de centaines de feuilles toutes aussi éclatantes les une que les autres. Certaines étaient rouges et d'autres démontraient une étrange, mais tout de même jolie teinte orangée. Ce changement soudain et si incroyable que produisait le nature m'avait toujours fasciné par sa beauté, son originalité et sa justesse, mais depuis que j'avais frôlé la mort, ce petit détail, ainsi que bien d'autres, me faisait encore plus d'effet. J'étais plus observateur et j'appréciais davantage ce que le cours de la vie m'offrait sur son passage.
Ma tête entre mes mains gelées, je pensais à toutes mes erreurs que j'avais pu commettre pour que le destin m'emmène à ce stade. En effet, comme tout le monde (j'imagine), j'en gardais des tonnes encaissées dans ma banque et je n'avais pas peur ni peur de les assumer. Parce qu'avoir des maladresses et des envies était tout ce qu'il y avait de plus normal et sensé dans ce monde. Se tromper, commettre une erreur et apprendre de celle-ci afin de progresser et changer uniquement pour le meilleur: voilà ce que ma mère m'avait toujours enseigné. Par contre, l'erreur (ou plutôt la stupidité) d'ouvrir mon fichu cellulaire en conduisant restait la pire de toutes. Placée désormais en première position sur ma longue liste, elle était la seule que je regrettais chaque jour, chaque nuit. Chaque heure, chaque minute de mon existence. Elle m'avait peut-être permis de rencontrer des personnes extraordinaires comme Clara et Mackenzie, mais elle m'avait également fait perdre ce qui me restait de mon humanité et de ma foie. Lorsque vous ne possédez plus ces deux éléments crucials, seul Dieu sait ce pour quoi on vit par la suite...
-Niall?
Louis posa doucement sa main sur mon épaule frêle et je ravalai mon émotion qui m'avait totalement envahie quelques minutes plus tôt. Je ne voulais pas savoir d'ù elle venait exactement, car elle restait encore un mystère pour moi. Mon cœur ne battait même pas, aucune vie ne sortait de mon corps froid et surnaturel. Alors, comme cela se faisait-il qu'il me fasse aussi mal constamment? Pourquoi je ressentais toute cette douleur comme si elle était réellement en dedans de moi? Pourquoi avais-je l'impression de carrément mourir à vouloir sans arrêt la supporter?
-Regarde-moi.
Simplement avec son ton de voix, je pouvais déceler une assurance absolue, mais aussi un étrange sentiment de compassion.
-Je ne sais pas quoi faire, Louis, sanglotai-je en relevant de façon ardue ma tête vers lui.
Mon guide, qui était aussi l'ex-petit copain de la femme dont je m'étais épreigné, me regardais avec pitié. De la pitié pure et sincère. Je détestais ça au plus haut point. Son devoir était de m'aider, donc pourquoi ne le faisait-il pas?
-J-je suis perdu, admis-je plus clairement.
-Trouve-toi une boussole.
Une larme traça son chemin sur ma joue glacée alors que j'inspirai lourdement. Aussi bien que j'aurais quasiment pu aspirer Louis d'un coup sans aucune difficulté.
-S'il te plaît, arrête de sortir tes stupides métaphores sans queue ni tête et aide-moi un peu!
-C'est ce que je fais, crois-moi.
-Non, ce n'est pas ce que tu fais, crachai-je désespérément. Tout ce que tu fais est de m'enfoncer encore plus dans mes réflexions et je n'y trouve aucune solution valide.
-Niall, soupira-t-il. Si tu cherchais un peu plus, tu la trouverais, cette solution, mais tu es trop aveugle pour comprendre des choses plus simples qu'elles n'y paraissent.
-C'est tout ce que je fais depuis des semaines, Louis!, criai-je finalement à son intention. C'est impossible, je ne me réveillerai jamais.
-Tu vois ce que tu viens de me dire, Niall? C'est la raison pour laquelle tu ne résolues pas ton problème comme il le faudrait.
-Qu'est-ce que j'ai dis au juste?
Louis prit une -trop- grande respiration et se pencha vers moi.
-Le mot ''impossible''.
-Parce que c'est vrai... C'est vraiment impossible.
-Non, ce mot est simplement dans ta tête. Ta conscience te convainc de le penser stupidement et tu le fais! Il faut que tu crois au mot ''possible'', voilà la clé de l'énigme.
-Je ne comprends pas..., lâchai-je.
J'étais confus et out se mélangeait une fois de plus dans ma tête. Quand allais-je finir par comprendre les moindres mots prononcés par Louis?
-Je vais t'expliquer et te dire la vérité en face. Toute ta vie, tu n'as cru en rien, Niall. Absolument en rien, je me trompe?
-Oui, j'ai cru à beaucoup de choses, Louis. Tu serais surpris au nombre de croyances auxquelles les autres m'ont fait croire...
-Mais tu as été déçu lorsque tu as su la vérité, n'est-ce pas?
Je réfléchis quelques instants à ces paroles.
-Eh bien, oui. Qui n'a jamais été déçu après avoir découvert que le Père Noël n'est qu'une fantaisie ou que la fée des dents n'est qu'une vulgaire histoire inventée de toutes pièces? Ou quand nos parents nous disent que jamais rien ne peut nous arriver alors qu'une semaine plus tard, ils se séparent? Ou bien que notre copine à l'adolescence nous disait qu'elle nous aimait alors qu'en fait, elle nous jouait dans le dos et qu'elle couchait secrètement avec notre meilleur ami? Hein? Qui?
Je n'avais pas remarqué à quel point je m'étais laissé emporté par la rage et l'émotion. J'avais révélé un secret à Louis dont je gardais précieusement au fond de ma poitrine durant toutes ces années. J'abaissai alors le regard, honteux de ma révélation soudaine. Je sentais celui de Louis qui me fixait comme si j'avais annoncé la fin du monde.
-Ni-Niall? (Il se racla la gorge.) Ce que tu viens de me dire est vrai? Tu...ton ex-copine t'a déjà trompé a-avec ton meilleur ami?
-Ex-meilleur ami, que je repris sérieusement.
Un petit moment de silence s'installa entre nous avant que Louis ne le bise avec ses excuses:
-Je suis vraiment désolé, je...je ne savais pas, avoua-t-il honnêtement.
-Je pensais que tu savais tout, lui dis-je.
-Eh bien, pas ça...
-Ressource-toi plus la prochaine fois que tu auras une victime.
Il gloussa.
-Attends... Est-ce vraiment de cette manière que tu te vois? Comme une victime?
Je plantai mes yeux bleus dans les siens, vidé de toute mon énergie.
-Je vais mourir, Louis... Et il n'y aura rien ni personne pour l'en empêcher, donc oui. (Je me mordis la lèvre inférieure pour ne pas pleurer.) Je me considère comme une victime...
Ma voix était de plus en plus étouffée et j'avais finis ma phrase avec un souffle tellement aigu que je me demandais si c'était vraiment moi qui avais parlé.
-Tu peux y arriver, Niall...
-Non, je n'y arriverai pas parce que je n'ai aucune idée comment faire! L'infirmière à l'hôpital m'a avoué que ce serait à moi de faire les efforts pour me réveiller, mais même si j'en fais, ça ne sert à rien.
Mon guide secoua la tête avant de soupirer encore.
-Niall, écoute-moi. Tu veux que je sois honnête avec toi? Tu n'y arriveras pas si tu penses de cette façon...
-Mais comment veux-tu que je pense exactement?, protestai-je. Tout cela est insensé! Comment puis-je dire que me réveiller est possible?
-En croyant en toi, me coupa-t-il.
Je bloquai quelques instants.
-Qu-quoi?
-En toi, Niall. Tu n'as jamais cru en toi. Voilà ton plus gros fardeau.
Louis m'avait carrément claqué en pleine figure avec son affirmation-choc.
-Tu ne t'es jamais accepté tel que tu étais et aimé malgré tout. Ai-je raison?
J'hochai la tête, semblant hypnotisé par ses paroles remplies d'explications. Puis, il continua:
-La croyance en toi-même, voilà ce que tu cherches désespérément, pas depuis des semaines, mais depuis que tu as été mis au monde. Tout le long de ton existence, ce manque de confiance t'a empêché de croire totalement en toi...et en tes capacités. Et ça te hante aujourd'hui. Tu ne le vois pas?
Un second filet de larme jaillit de mon œil et je reniflai.
-Tu veux savoir un truc, mon gars? Cet aspect de ta personnalité te nuit. Tu l'as trouvé, ta fameuse boussole, Niall.
-Quoi exactement?, que je demandai, tremblant.
-Toi-même. Tout ce temps, tu recherchais désespérément, alors qu'il a toujours été là. Sous tes yeux...et en toi. La seule chose qui pourra t'aider à te sortir de là, c'est ton estime de soi. Parce que l'estime de soi-même, c'est l'amour qu'on se porte à soi-même et comment on s'accepte. C'est pareil en amour... Tu apprends à aimer la personne et à l'accepter comme elle est.
-Pourquoi me parles-tu de l'amour?
Il cligna des yeux en cachant un de ses fameux sourires en coin.
-Parce que l'amour ne se définit pas et qu'il va t'aider dans ton cheminement... Parfois, on croit qu'il est impossible, alors qu'en fait, il vit toujours. Même si on le croit mort...
Je n'arrivais pas à bien saisir ce que mon guide me racontait encore.
-D-donc, pour me réveiller, j-je dois croire en moi et aimer?
Il haussa les épaules.
-Seul ton cœur le sait, le débutant.
Je fermai les yeux, essayant de remettre en perspective toutes les informations et lorsque mes paupières se décollèrent, Louis avait encore disparu. J'étais venu à me demander si sa présence était bel et bien réelle et si...je devenais fou.
-Louis...?, l'appelai-je. Louis!
-Réfléchis-y, Niall.
Je me levai d'un bond tellement rapidement que je manquai de tomber.
-Louis! Louis, dis-moi comment je fais... Je t'en supplie.
-Laisse ton cœur te guider...
Je soupirai. Ça ne donnait rien d'argumenter avec Louis, il ne m'en dirait pas plus. C'était peine perdue d'avance. Tout ce qui me fallait faire, c'était me laisser aller...
-Dans ce cas, je vais partir... À la fin de la semaine, si je ne vois aucun changement, je me laisserai mourir...et tu auras à faire quelque chose pour me sauver, car je n'ai plus de force à continuer à me battre, affirmai-je, ébranlé.
-Tu sais quoi, Niall? Tu es stupide!, me cria-t-il dessus. Tu es un ange complètement stupide et irréfléchi.
-Merci, acquis-je. Je le pensais, mais je n'en étais pas sûr. Merci de me l'avoir confirmé, Louis.
-Oh! Et un dernier conseil: on revient seulement à la vie quand les personnes que nous aimons y reviennent aussi.
*************
Lorsque je revins au restaurant, je passai par l'arrière. J'avais demandé à Clara environ trois heures pour aller faire des courses, mais en fait, j'avais juste été me recueillir au parc pour réfléchir plus. Donc, j'entrai dans le bâtiment trempé de la tête aux pieds à cause de la pluie qui s'était intensifiée depuis et je perçu une conversation entre deux personnes.
-J'ai pris un rendez-vous avec une décoratrice d'intérieur lundi...
-Tu veux réaménager ton salon?
-Non, la salle à manger du restaurant. Je me suis dit qu'il est temps de changer un peu de décor depuis... Depuis enfin... Tu sais, le départ de mes parents.
-Ouais...
Nul doute là-dessus, c'était Clara et Harry. Je décidai de m'accoter sur le mur en tendant une oreille à ce qu'ils disaient.
-Il faut que j'avertisse Niall lorsqu'il va revenir, dit la brune.
-Niall? Je ne sais pas pourquoi, mais je ne le sens pas, celui-là...
-Arrête un peu.
-Je te le dis, Clara... Niall n'est pas net, j'ai un sentiment étrange à son propos.
-Harry, pourquoi ne lui fais-tu pas confiance comme moi?
-Parce que je ne lui fais pas confiance, c'est tout.
-Niall est gentil comme tout et adorable, bon sang! Qu'est-ce que vous avez tous à le détester?, s'écria Clara.
-Je ne le déteste pas, loin de là. Je ne sais pas... Il est juste bizarre.
-Bizarre? (Elle étouffa un rire sarcastique.) Bizarre? Non... Moi, je le trouve juste original. Tu ne sais pas par tout ce qu'il a passé avant d'arriver ici, donc ne le juge pas.
-Et toi non plus, je te signale. Tu n'as pas vu ses yeux?
-Ouais, et ils sont absolument magnifiques, acquit ensuite Clara, me faisait sourire en silence.
-Je suis sûr qu'il met des lentilles.
-Il m'a affirmé que non.
-Mais il a l'air d'un sorcier, putain! Il est si pâle que ça en fait peur!
-Ne recommence pas avec tes conneries. Déjà que Mackenzie me répète sans cesse qu'il est un ange!
-Pff, il est loin d'être un ange.
-Écoute, je ne suis pas d'humeur à me disputer avec toi à ce sujet, expira-t-elle. Donc, pour l'instant, on va juste...aller travailler, d'accord?
-Tu l'aimes, c'est ça?
-Quoi?, s'époustoufla-t-elle et je sentis mes jambes faiblir.
-Oui, tu es amoureuse de lui. C'est pour ça que tu es si gentille avec lui... Il te fait ressentir ce que Louis te faisait ressentir avant.
-Non... Ne parle pas de Louis, il n'a rien à voir là-dedans.
-Mais sache que Niall ne le remplacera jamais.
-Tu es en train de devenir complètement cinglé, Harold Styles! Il n'est pas question de remplacer qui que ce soit. Je sais que Louis était ton meilleur ami, mais tu dois passer à autre chose... Tout comme moi.
-Toi? Tu as passé à autre chose? Tu crois sincèrement ça? Tu refuses de chanter et jouer encore de la guitare à cause de lui. Parce que ça te le rappelle trop...
-Ce n'est pas vrai!, s'exclama-t-elle. Tu dis n'importe quoi!
-Je ne suis pas con, Clara... De la manière dont tu le regardes, ça crève les yeux que tu ressens quelque chose de fort pour Niall.
-Et ça te dérange?
J'entendis Harry soupirer et je savais que Clara, elle, retenait ses sanglots.
-Non... Pas du tout. Que tu tombes amoureuse d'un autre homme démontre que tu as fait ton deuil en quelques sortes, mais le problème, c'est que je ne suis pas certain s'il est le bon gars pour toi.
-Oh et toi, tu es en mesure de me dire qui est fait pour moi, c'est ça? Cause toujours.
-Oui... Moi. Moi, je suis fait pour toi. Pas Niall.
La rage de Clara parvint à mes fines oreilles.
-On en a déjà discuter souvent, Harry. Ne reviens pas là-dessus, s'il te plaît.
Revenir sur quoi exactement?, pensai-je.
-Je t'aime, Clara Evans! Je t'aime depuis tellement de temps et tu ne le remarque même pas!
C'était donc ça, le problème. Harry aimait aussi Clara...
-Arrêtes. Tu sais que je te considère comme mon propre frère et que je ne ressens aucun amour pour toi. Du moins, pas comme tu l'espères.
-Clara... Laisse-moi une chance de te séduire.
-Tu n'y arriveras pas, car mon idée est fondée.
Je serrai fortement les paupières pour tenter de digérer tout ça. Seuls le silence ainsi qu'un léger bruit de bouche m'achevèrent pou de bon. Harry s'était avancé vers Clara pour l'embrasser et une seconde fois, mes jambes manquèrent de ne plus me supporter, donc je dus m'accrocher au mur pour éviter de tomber. Harry avait raison depuis le début: je n'étais pas fait pour Clara. Je ne méritais pas son attention et encore moins son amour, car j'étais incapable de lui en livrer. Au contraire, Harry, lui, pouvait le faire à sa guise et ne plus jamais arrêter.
Un SLAP résonnant retentit, puis plus rien.
-Ne t'avise plus jamais de me toucher de cette façon, Styles. Tu m'entends?
Avais-je rêvé ou mon amie l'avait vraiment giflé?
-Clara... Laisse-moi une chance, le supplia-t-il d'une faible voix.
-Non, j-je suis désolée...
Harry inspira, puis expira, toujours au même rythme.
-D'accord...
La voix se rapprochait de plus en plus de l'endroit où je me trouvais, caché et lorsque j'ouvris les yeux, Harry se tenait devant moi, les deux bras croisés sur sa poitrine. Corps taillé et découpé au couteau, grand, forte musculature, tatouages magnifiques, yeux verts éclatants, cheveux bruns chocolats bouclés aux reflets de doré... Ouais, ce gars avait tout pour plaire. Au total opposé de moi... Je ne comprenais absolument pas pourquoi Clara m'aimait moi et pas lui.
-Alors, comme ça, on s'amuse à écouter aux portes?, me lança-t-il, un léger sourire aux lèvres.
-Euh...
Ça y est. J'étais dans la merde. Encore... Mais cette fois-ci, je ne savais pas si j'allais survivre.
-Niall?, s'exclama Clara de l'autre côté du mur, pétrifiée. C'est toi?
-Ouais, c'est bien le petit blondinet, lui répondit-il en continuant de me fixer comme si j'étais un ovni.
Ouais, j'étais complètement dans la merde.
-J-je viens d'arriver, mentis-je et le bouclé essaya de réprimer un faux rire alors que Clara avança vers nous.
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