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Chapitre 22

_ T-tu es sûr ? Avais demandé Jungkook.

_ Oui je suis sûr. Halmeoni s'appelait Sooyoung. Park Sooyoung. Et moi c'est Park Jimin. Halmeoni m'a déjà montré une photo de ma eomma. Ce jour là elle m'avait aussi expliqué que ça n'était pas de ma faute si elle était morte, que ça n'était pas contre moi et qu'elle aurait voulu m'aider elle même. Jungkook... On est de la même famille. Si eomma n'était pas morte quand je suis né on aurait probablement grandit ensemble.

Même famille ? Ces mots froissés Jungkook. Les pulsions qu'il peinait à contrôler envers le petit roux le prouvait qu'il se passait quelque chose dans sa tête, son coeur et son corps lorsqu'il était avec le rouquin. Seulement il avait du mal à définir quoi.

_ Oui enfin... Ta mère a été adopté... Donc théoriquement on est pas du même sang. Peut être qu'on peut en connaître l'origine de ton pouvoir à partir de là...

_ ... Tu penses ?

_ Oui... Quand on a été à l'ouverture du testament de hal-beoji, le notaire à dit qu'il avait donné ce qu'il restait sur son compte en banque à un orphelinat. Et à mon sens il y a de forte chance pour ça soit l'orphelinat de ta mère.

Jimin sourit.

_ Tu es sûr de vouloir enquêter sur ton pouvoir ? Demanda Jungkook.

_ Certain.

_ Alors on pars demain.

***

Jungkook avait fait des recherches dans les toilettes toute la soirée sur l'orphelinat le plus proche. Et avait finalement trouvé une petite maison encore un peu plus au nord. Il avait préparé un sac avec quelques provisions pour lui et pour Jimin et avait dit à ses parents qu'ils allaient en randonnée.

Il y serait bien allé en vélo, mais il l'avait laisser devant le cimetière quand il était allé chercher Jimin pour la première fois. Il doutait que l'engin soit encore là.

Au début, aucun des deux ne parlaient, préférant observer le paysage champêtre qui les entourait. Puis, Jungkook engagea la conversation pour discuter de tout et de rien et Jimin en prit part.

Au bout de quelques heures de marche, une jolie et grande batisse apparut entre les arbres.

_ C'est là ! S'exclama Jimin.

_ J'espère qu'ils nous laisseront entrer.

Ils s'approchèrent de la porte d'entrée et tirèret sur une petite chaine qui actionna une grosse cloche. Quelques minutes plus tard, un femme vint leur ouvrir.

Elle devait avoir la trentaine mais en paraissait vingt. Elle avait un carré plongeant qui bordait son visage et de grand yeux noirs.

_ Que puis-je pour vous messieurs ? Demanda-t-elle.

_ Bonjour, dit poliement Jungkook, serait-il possible d'avoir des renseignements sur une de vos anciennes pensionnaires ? Il s'agit de la défunte mère de mon ami.

_ Pourquoi ça ? Demanda-t-elle.

_ C'était Park Chaeyoung... Je ne l'ai jamais connu, et j'aimerais savoir d'où je viens ou en tout cas d'où elle vient, expliqua le rouquin.

La femme ouvrit plus largement la porte. Et les laissa entrer.

_ Suivez moi, je vais voir ce que je peux faire mais je ne vous promets rien.

Elle arpenta un long couloir assez sombre et ouvrit une grande porte qui donnait sur un grand salon bien éclairé. Des enfants d'âges différents y jouaient et s'arrêtèrent lorsqu'ils virent les deux inconnus entrer dans la pièce.

_ Yerim ! Approchez mon fauteuil !

Un vieille en fauteuil roulant se trouvait dans un coin de la pièce, une petite fille sur les genoux. La jeune femme qui leur avait ouvert se précipita vers elle, fit descendre la fillette et poussa le fauteuil jusque devant les deux jeunes hommes.

_ C'est pour une adoption ? Demanda-t-elle de but en blanc. Vous m'avez l'air bien jeunes pour vous occupez d'enfants...

_ Non, répondit Jungkook, je suis le petit-fils de Jung Jungwoo. C'est lui qui vous a légué le reste se fortune.

_ Oh oui ! Jungwoo ! Je m'en souviens bien. Il aimait beaucoup les enfants et venait souvent ici avec sa femme du temps où il pouvait encore... Qu'est ce qui vous amène ?

_ Nous aimerions avoir des informations sur Park Chaeyoung, une de vos anciennes pensionnaires. C'est la mère de mon ami, et il ne l'a jamais connu.

_ C'est vrai que maintenant que vous me le dites, vous lui ressemblez... Yerim, poussez mon fauteuil jusque dans le bureau et retournez surveiller les enfants.

La jeune femme au carré plongeant s'empara du fauteuil et le poussa jusque dans un vieux bureau poussiéreux avant de s'en aller

La pièce était vaste et les murs tapissaient de bibliothèque remplie de vieux livre. Face à eux se trouvaient deux grandes fenêtres couvertes de fins rideaux transparents aux magnifiques reflets dû à la lumière solaire qui semblait caresser le tissu.

La vieille se calla derrière son bureau et posa ses avant bras contre le bois vernis de la table avant d'entamer son récit.

_ Je me souviens de l'arrivée de Chaeyoung comme si c'était hier, souffla la vieille femme. Une nuit sans lune ni étoiles avec un ciel couvert d'épais nuages noirs. La pluie frappait les vitres et le vent gifflait la façade lorsqu'on avait sonner la cloche. Je suis donc descendu et j'ai trouvé cette petite fille en pleurs sur le pas de la porte. Elle n'était enroulée que dans un fins draps blanc et ne portait qu'autour de son cou, un long médaillon gravé d'une feuille de chaîne dans laquelle était inserré une bague.

_ Une bague ? La coupa Jimin.

_ Oui, une bague.

Jimin plongea sa main dans son pull et en sortit le fameux médaillon légué par sa grand mère plusieurs années auparavant.

_ Oui, s'était exactement le même, mais il manque la bague, elle prend place à cet endroit, dit la vieille femme en montrant le creux circulaire. Cette bague servait à ouvrir le médaillon. Mais nous n'avons rien trouvé à l'intérieur si ce n'ai cette phrase gravée à l'intérieur du couvercle : Par la peur, la tristesse et la colère subsistera, par l'amour s'effacera. Nous n'avons compris le sens de cette phrase que bien plus tard. Et je suppose que vous êtes doté du même pouvoir que votre mère...

_ Elle aussi elle... ?

_ Les objets pourrissaient lorsqu'elle les touchait.

_ Vous connaissez la solution à ce mal ? Demanda Jimin plein d'espoir.

La vieille femme soupira :

_ À vrai dire, oui et non...

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