Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 4:

Attention dans ce chapitre une scène d'agression sexuelle à lieu et sera prévenu par ce symbole: ⚠️

Bonne lecture!

Enzo m'entraîne au centre de la pièce alors qu'une valse débute. Les notes cristallines emplissent l'air de leur douceur. Avec sa main tenant la mienne il me rapproche de lui. Mon souffle se fait plus bas tandis qu'il place sa seconde main au creux de mes reins. Son regard fixé dans le mien me trouble.

Il commence à danser. Un pas après l'autre, nos souffles s'unissent, nos pas s'assemblent, le rythme nous unit les yeux dans les yeux.

- Alors, comment va la plus froide de mes prétendantes?

Je décide de ne pas me laisser abattre par son attitude.

- Merveilleusement bien. Et elle est honorée d'être la plus froide de vos prétendantes. Comme ça vous savait que je ne compte pas devenir une potiche à vos bras.

- Je ne cherche pas une potiche mais croyait ce que vous voulez.

Nous tournoyons autour de la grande salle, étrangement nos pas se complètent parfaitement alors que nos esprits s'opposent.

- Je compte effectivement continuer encore longtemps à penser par moi-même.

- Vous avez un sacré caractère pour la potiche d'un roi de France.

- Je ne suis pas sa potiche! je proteste à mi-voix.

- Pour l'instant, rétorque t-il avec un sourire en coin aussi malicieux qu'agaçant

La musique se termine sa main reste un instant sur ma taille avant qu'il ne reparte sans un mot de plus.

Je me rends à la table du banquet légèrement énervée sans véritablement savoir pourquoi et y prends une mini pâtisserie que je déguste lentement savourant chaque explosion sucrée dans ma bouche en essayant de me redétendre.

Je lève les yeux un instant vers la piste de danse, j'y vois Enzo avec Marie Ange. Ils ne parlent pas, elle le regarde en souriant, il me regarde alors que j'ai encore la bouche pleine de dessert. Ses yeux semblent me scruter de loin.

Je dois encore délirer.

Je prends une seconde pâtisserie quand soudain la musique s'arrête. Louis est sur l'estrade, debout devant son trône il nous annonce:

- Pour que les festivités soient encore plus amusantes, un jour sur deux les fêtes seront obligatoirement masqués et déguisés, perruques et lentilles seront obligatoires si vous voulez garder secrète votre identité.

Son idée est acceuillit par des applaudissement.

- Et je tiens a rappeler que demain aura lieu un bal mais qu'après demain nous irons au Palais Garnier voir un ballet. Passer une bonne soirée, il sourit et s'assied sur son trône

Quelques minutes plus tard quelqu'un m'appelle.

- Oh, Comte Denier, comment allez-vous ?

- Bien et vous?

- Bien, bien.

J'attend en silence qu'il en vienne au fait, cependant ce moment n'arrive pas.

- Et votre femme comment va t-elle? je demande pour relancer la conversation.

- Elle est ennuyante comme d'habitude, je rêve d'une compagnie plus charmante.

Ses yeux se montrent tout à coup un peu trop insistant à mon goût, il détaille mes cheveux mes lèvres, ma nuque, mon décolleté.

- Est-ce que vous voulez danser avec moi?

- Je suis un peu fatiguée, pardonnez-moi, je tente de me faufiler mais il m'attrape le poignet.

- Allez... tu vas quand-même pas faire la difficile parce que je ne suis ni roi ni prince. Après tout on se connaît depuis longtemps toi et moi.

Les parents du Comte Denier était proche de mes parents, comme nous avons le même âge nous passions du temps ensemble lorsque nos parents se rendaient visite, mais aujourd'hui et à ce moment précis j'ai envie de courir et de m'enfuire.

Il me tire dans un coin isolé et me pousse dans un couloir vide. Il me tient contre un mur et colle son corps contre le mien. Je tourne instictivement ma tête sur le côté. Il colle ses lèvres contre ma machoire. J'essaie de me débatre mais il me dépasse de deux têtes et est musclé. Je peux à peine bouger alors me libérer c'est peine perdu.

Je ferme les yeux de toutes mes forces.

⚠️

Son souffle chaud contre moi m'écœure. Je peux sentir ses mains se poser sur mes fesses malgré l'épaisseur de mes jupons. Il halète et gémit. Ses mains remonte le long de mon buste jusqu'à caresser ma poitrine.

- La maîtresse du roi qui devient la mienne, quel rêve...

Il m'embrasse, sa langue dans ma bouche me donne envie de vomir, je sens qu'il en veut plus, beaucoup plus et cela me terrifie et me paralyse.

Il passe sa main sous mon corset et l'autre reste sur mes fesses.

J'essaie de me débattre de toutes mes forces, en vain. Il continue de gémir et de grogner comme un animal.

Sa bouche quitte enfin la mienne mais je reste pétrifiée de peur.

- Ouvre les yeux. Regarde moi. Allez regarde moi, dit-il en posant sa main sur ma gorge.

J'ouvre mes yeux complétement affolée. Il me domine par sa taille et l'air carnassier sur son visage me fait frissonner.

- Tu aimes ça ?

- Je n'ai jamais été la maîtresse de personne, dis-je avec un calme que je ne ressens pas.

- Menteuse et salope tu es le gros lot de tous les hommes, tu as de la chance d'avoir autant de jupons sinon tu serais passé sous moi.

- Tu ne peux pas me contrôler.

- Ah oui?

Il se recule, je fait immédiatement un mouvement de côté pour partir mais il me retient et m'amène contre lui.

⚠️

- Si je ne peux pas te contrôler alors que vient-il de se passer? N'étais-tu donc pas soumise à ma volonté? Alors c'était ton désir que je t'embrasse, tu en voulais peut-être plus?

- Tu m'écœure.

Il me lâche.

- Et toi tu es absolument charmante, dit-il alors que je pars déjà.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro