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Jonathan Jones (fin N*1)

L'inspecteur Jones referma le carnet en un grand boum, et pris une grande inspiration.
C'était du grand n'importe quoi. On lui avait confié cette affaire louche car c'était le petit nouveau des bas-quartiers, et à cause de sa coupe de cheveux qui lui donnait un air de grizzly renfrogné.

Il ouvrit son tiroir « à affaire spéciales » comme il aimait le nommer, déposa le carnet sans le préserver, et se leva, il avait besoin de café.
-Jones, cette affaire est pour toi. Elle est importante, je sais que tu prendras la meilleure décision possible.
-Oui, Patron !! Je serais la hauteur de vos attentes !!!
Le capitaine avait rit doucement dans sa grosse moustache touffue, ce qui avait étonné le jeune homme. Maintenant, il comprenait pouruqoi.

C'était juste quelques gamins qui poursuivaient un rêve d'horreur, ou bien qui avait un sérieux problème mental. Les rature, la crasse et des petits autocollants d'étoiles sur la couverture d'un cahier de Lidl estimé à moins de 5 euros en était la preuve.

Et puis, cette Petra Vetra... du grand n'importe quoi.
-Tu es trop jeune pour boire de la caféine, ça va t'empêcher de dormir....
Victoria se trouvais à l'embrasure de la porte, ses yeux souligné de khôl mélangé à un gris verdâtre qui semblait être des cernes. Elle souriait, amusée par l'incapacité de Jonathan à réussir à comprendre le mécanisme de la machine à expressodu commissariat.
-Ferme la, Vic.
-Comme tu veux...
Elle fit mine de partir, mais Jonathan la rattrapa, il ne voulait pas rester seul.
-Dis... t'étais dans le coup ?
-De quoi tu me parle ?
-L'affaire... tu sais, les gamins coincés pendant toute une nuit dans la médiathèque de leur école primaire...
-Collège.
-Oui, c'est ça. Alors, tu savais ?
-Savais quoi ?
-Que le patron m'avait collé ce truc pour m'humilier encore une fois ?
-Aaaah.... Écoute, Jonathan.
-...
-Cette affaire, c'est du sérieux. Tout le monde crois ces trucs, les gosses on été retrouvés blessés et traumatisés. La moitié est encore incapable de marcher, dont un qui a des jambes qui deviennent de plus en plus poilues au fil des pleine lune !!!
-C'est vrai ?
-L'histoire des poils, oui. Le fait que l'affaire soit du sérieux, non.
-Va te faire foutre.
-Attend, t'avais vraiment cru à ce tissu de mensonge ? Les loups-garous, ça-n'existe-pas. On te l'a jamais appris ? C'est comme le Père Noël...
Elle plaqua sa main sur sa bouche.
-On non !! Je te l'ai dis !!! Ta maman va me tirer par les oreilles....
-Je me répète, vas te faire foutre.
Elle leva les yeux au ciel et quitta la salle, ignorant les demandes suppliantes de son associé, qui voulait à tout pris rentrer chez lui, mais ne pouvait pas, à cause du petit carnet brun déposé dans son tiroir gauche, toujours ouvert.

Après avoir passé une demi-heure devant la machine à café, Jonathan finit par abandonner et se dirigea vers les toilettes.

Il se vida la vessie en sifflotant et claqua la porte de manière joviale, sûrement pour s'auto-convaincre.

Il s'approcha de son bureau, avant d'entendre de drôles de bruits, comme si quelqu'un fouillait dans ses affaires. Des bruits de pas, d'objets cassés et jetés sur le sol sans vergogne, et du papier froissé.

Il se plaqua contre le mur et regarda discrètement par la serrure, se rappelant à peine à quoi pouvait bien ressembler les consignes de sécurités après un braquage qu'il avait pourtant apprises en école de police.

Dans le minuscule trou, il n'apercevait qu'un bout de mur sale, sur lequel une araignée-faucheuse tissait un fil blanc.

Il se décida à fracasser la porte, malgré le fait qu'elle soit ouverte, il ne s'en rappelait plus. Enfin, il s'y décida mentalement.

Quand les bruit cessèrent, il finit par entrer.

Le bureau était sans dessus-dessous. Des feuilles de papier volaient encore dans les airs, les meubles étaient renversés, les tiroirs ouverts en grand, ses pots de stylo et les photos de sa famille déchirées. La personne qui avait fait ça semblait vraiment vouloir le nuire.
Il se maudit de ne pas être entre plus tôt, mais son sourire revint quand il aperçut la machine à café détruite en mille morceaux sur le sol.
-Aha... alors toi, t'as de la veine de finir comme ça... sinon, ça aurai été moi qui t'aurai trucidé, et j'aurai été moins sympa.

Jonathan se mit à ranger machinalement. De toute façon, le coupable était sûrement hors de vue, à l'heure qu'il était. Il avait attendu trop longtemps.
La fatigue le rattrapait, il mourrait d'envie de rentrer chez lui en passant par le bureau de Victoria, sûrement pour l'étrangler.

Soudain, quelque chose attira son attention.

Tout les tiroirs étaient ouverts en grand, ou bien fracassés en deux, sauf un. Intact, le bois était encore brillant. Pas une seule rayures, pas un seul jeton.

Le tiroir du cahier. Le tiroir aux « affaires spéciales ».

Par réflexe, il l'ouvrit doucement, inquiet de ce qu'il pourrait y trouver.

Rien. Le carnet avait disparut.
Il courra à toute vitesse dans les bureaux de ses collège, alarmant tout le commissariat déjà épuisé de sa journée.
-Jones !!! Qu'est ce que c'est que ce raffut !!!???
-Patron, je ne veux pas pour offenser, mais ça relève de la plus haute importance !!!
-Fermez, la Jones, vous êtes un gamin...
-Ouais, c'est vrai, ca !!! Jones ne nous cause que des malheurs !!

Personne ne le prenait au sérieux. Comme d'habitude.

À cause de ce temps perdu, 6 enfants diparurent étrangement de leur domicile, sans raison apparente, sans nouvelle, et en même temps.

Le pauvre Jonathan ne remarqua que quelques heures plus tard le plus important....

Les deux lettre gravées à la hâte en rouge sang, dans le fond du tiroir.

P.V.

Fin.

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