Je vous jure que je ne me suis jamais battu à main nue. J'ai toujours frappé avec des mots, même si c'était pas souvent, vous comprenez, je suis un mec, pas une peste de fille. Mon père disait toujours que les femme, c'est un virus avec lequel on se drogue. Quel grand charmeur. En tout cas, les insultes, c'est un truc de fille. Chez les hommes, on se bat en se fracassant, comme des vrais.
Je tient à te rappelez que tu joue du criquet....
Vous comprenez, c'est moi qui garde le livre chez moi, alors je me doit de faire quelque petites corrections anonyme....
Max, t'es cramé, ton écriture est trop reconnaissable. Et le criquet, c'est un sport hyper intensif !!!

J'ai tellement frappé ces folles que mes poignet saignaient abondamment. Même Robert avait l'air de se sentir mal de frapper une vieille.
-CA SERT À RIEN, ELLE SE RÉGÉNÈRENT!!!
Bon, j'avoue que sur le moment, je n'écoutait pas, trop occupé a frappé l'agresseuse de la belle Tess, qui dormait paisiblement sur le sol. C'était la première fois que je la voyait dormir. J'espère que ce ne sera pas la dernière... enfin bref, revenons aux sujet.

J'ai été séparé des autre, bailloné, frappé, et surtout, controlé par une voix à qui je devais obéir. Le singe avait pris possession de mon corps avec sa voix.... Une voix si grave, si puissante....d'habitude, il ressemblait plutôt à un clown qui sourit comme un débile a n'importe quelle occasion. Mais la... il ne riait plus. Il avait le visage crispé. Bizarre, j'ai pensé, avant de m'enfermer moi même dans ma prison.
Je suis resté dans ces barreaux froid pendant quelque longues minute, avec en supplément les sanglots de Robert à cause de ses poignet et Deva qui regardait le vide infini, bien qu'elle soit collée à l'autre chanceux.
Moi, j'étais seul, et je regardait le sol, en tentant d'arrêter de m'étouffer avec mon propre souffle.

-Vous croyez qu'il vont bien, les autres?
-...
-Baptiste, tu crois que Babylone va bien ?
-...
-Tu crois que Tess va bien ?

J'ai toujours été le plus rationnel du groupe, quand on avait une question, c'était à moi qu'on venait gratter la réponse. Pour une fois, j'étais bien incapable d'accomplir mon rôle.
C'était la première fois que je voyait Deva pleurer. Elle sanglotait comme une petite fille, doucement puis de plus en plus fort.
Robert s'est approché d'elle et l'a serrée dans ces bras, ce qui l'a un peu calmée, même si ses larmes coulaient encore abondamment.
-Baptiste, je sais pas ce qu'on fiche ici, mais ils nous faut un plan. On doit s'enfuir.
-Je... je sais. Faut... faut que je réfléchisse. Max ? Tu vas bien ?
En effet, Maximilian s'était retiré au fond de la cage, traumatisé.
-Max ?
-Elle's se régénéraient.... Murmuraient t'il. Elles ne sentaient pas la douleur....
-Ouhou.... Tu va bien ?
-Ca va, j'ai juste mal à la tête.
Un bruit de vomit inonda mes oreille.
-MAX !!!
Le pauvre gisait dans sa propre gerbe et.... Son sang ?
-Tu saigne ?
-Jai juste mal ratteri....
En effet, sa tête était rouge, teintant cheveux comme les punk du bahut. C'était assez comique, même si sur le moment, c'était plutôt inquiétant. J'ai arraché un bout de mon t shirt pour éponger sa blessure, mais vu que sa saignait vraiment beaucoup... j'ai laissé ce rôle à Deva, qui s'était reprise et éloignée brusquement de Robert, qui  semblait déçu. Je me foutais de lui discrètement, mais l'autre a une vision de lynx, elle m'a attrapé le col en me menaçant de mort, puis a repris son air normal, presque d'ange.
-Comment on va faire pour s'enfuir..... on a aucune chance...
-Calme toi. Déjà, a par max et tes poignet, tout le monde a l'air en forme. Les jambe sont pas blessées, ont pourras toujours courir.
-Euh.....
Deva tient son pied dans sa main, la douleur qui se sent sur son visage.
-Ta fait quoi ?!
-Le bord de la table, à côté de la prof.... C'est dangereux, surtout pour les orteils....
Je soupire. Elle commence à ressembler à Babylone, l'autre débile...
Elle a surtout l'air d'avoir lu dans mes pensée et celle de Robert, qui somme sûrement les meme, et nous plaque le visag contre les barreaux en grognant.
Max l'interrompt en gémissant. Il saignait beaucoup, c'était impressionnant. Je suis suppose qu'il a emcore des cicatrice, bien qu'il ne l'admette pas.
Et puis, cette vision de mes amis, tous ensemble, bien qu'il manque deux imbécile, ca me semblait possible de s'échapper. On avait Deva, c'était presque déjà réglé, ce qui me rassuraient.

La cage s'est ouverte sur un flo de lumière, et une vieille surveillante de la médiathèque a attrapé facilement Deva, Robert, qui s'était à nouveau rapprochés involontairement, et Max, avec un peu plus de douceur, bien que celui ci poussa un cri de douleur.
-Toi, tu reste ici.
Deva se débattait à fond, mais la surveillante semblait être de même constitution que les autres, elle ne ressentait rien.
Un gaz s'est échappé des petit trou dans les barreaux que j'avais remarqué tout à l'heure à l'instant ou les autre était parti.

Je tient quelque secondes, et senti mon cœur ralentir.
J'étais seul. Et j'allais perdre connaissance d'ici quelque secondes.

Plus tard, je me suis retrouvé avec Tess, dans une nouvelle cellule.
La voix avait commencer à nous piéger.