Babylone
Plus jamais, plus jamais je prend l'ascenseur.
Quand mes amis se sont fait attraper par les autres fous, j'étais à moitié endormie, attachée sur une table d'hôpital avec des ceinture de pantalon. Il aurait pas pu prendre des cordes, sérieux ? Ça fait mal, les ceintures, perso, j'en porte jamais.
ET C'EST AINSI QUE VOTRE CÉLÉBRITÉ FAVORITE REFAIT SON ENTRÉE POUR UN 3 EME CHAPITRE !!! DU BRUIT POUR BABYLONE !!!
Mais arrêtes d'écrire en majuscule, tu prend toute la place !!
Et toi, arrêtes de souligner tes phrase comme si elles étaient plus importantes que les miennes.
J'ai été transportée dans une espèce de caisse en carton plutôt résistante à mes coup de pied, qui sentait la cave. Vous savez, cette odeur de renfermé.... Enfin bref. J'ai eu de la chance, je n'était pas toute seule. J'aurais préféré me retrouver avec les autres, mais ils faut croire qu'il n'en avait pas trop envie. Mes amis comme nos kidnappeur. Snif.
-T'es..... t'es qui ?
-OH !!! Il y a quelqu'un !!! YOUPI JE SUIS PAS SEULE !!!
-Ah....
-Comment tu t'appelle ?
-..... Louis. Et toi ?
-Babylone. Bon, ta pas une idée de comment on pourrais.... EH, POURQUOI TU RIGOLE ??
-Ton prénom est hilarant....ahahah....pour un mec, c'est pas génial.
Je n'en revenait pas. Cet abruti était en train de rire de mon prénom. J'ai essayé de le frapper, mais je m'appelle pas Deva, moi, donc je l'ai raté comme une merde.
J'ai faillit lui préciser que j'étais une fille, mais j'ai abandonné, ça prendrait trop de temps, et on n'en avais pas, justement.
-Comment tu t'es retrouvée ici ?
-On ma attachée sur un siège de médecin avec des ceinture, pis j'ai atterri là dedans. Et toi ?
-Bah.... Tout pareil. On m'a mis une seringue dans la jambe, pis j'ai vu tout noir. Ça fait environ deux heure que je suis là. On m'a volé toute mes affaires, regarde !!
Il me montrais son poignet nu, et je ne compris pas tout de suite. Enfaite, on l'avais dépouillé de ses bracelets et de sa montre à 500 balles. Moi, on ne m'a rien volé, je me demande pourquoi.
C'est parce que t'a rien.
-Oui, mon amie aussi a eu ça, ça a du être violent. Ça fait mal, l'aiguille ?
-On est juste surpris. C'est pas génial, la sensation d'une piqûre, mais il y a pire.
-J'y crois pas, t'as peur des piqûres ?
Il a viré au cramoisi.
-Non, pas du tout !!! Je suis sûr que c'est toi, qui en a peur !!!
-Tu veux rire !? Quamd j'étais gamine, le médecin s'est trompé de seringue, et il m'a injecté le remède contre le cancer !!
-Mais ça existe pas, ça !!!
-Bah... qu'est ce qu'il m'a mis dans le bras alors ?
-MAIS COMMENT TU PEUT ÊTRE AUSSI RASSURÉE ????
La boîte à bougé, quelqu'un s'amusait à donner des coups de pieds dedans.
-LA FERME!!!
Quelqu'un semblait nous surveiller pour éviter notre évasion. Ingénieux. Très ingénieux.
Finalement, on a obéit, puis je me suis mise à chuchoter.
-Bon.... Il nous faut un plan. Comment on fait ?
-Faut faire rouler la boîte.... Penches toi de ce côté...
C'est ce que fait, et ça a fonctionné, sauf que ça à fait un grand bruit et notre gardien nous a chopé.
-PAS BOUGER, OU JE VOUS TUE MAINTENANT !!
C'était tellement sincère qu'on a stoppé. Il fallait un autre plan.
-Eh, le gosse de riche, t'aurais pas des outils comme inspecteur gadget, ou des trucs qui nous permettrai de survivre ?
-Tu regarde encore inspecteur gadget ?
-Euh.... Non non. C'est pas le moment. Il faut trouver un moyen de se casser d'ici.
-Je sais, merci, mais j'ai pas trop d'idée la.
Et je me suis souvenue d'un truc. Au bahut, tout le monde fume, c'est genre une mega mode. Certain punk fument de vraies cigarettes, donc il on besoin d'un briquet. Puisque Louis est un riche, il devait bien évidement fumer la pipe, la classe !!! Il a sûrement du feu, ducoup.
Je me suis mise à fouiller dans ses poches, et il s'est énervé. Je lui ai dis de se taire et j'ai trouvé ce que je cherchait, un paquet d'allumettes.
-PARFAIT!
J'avais oublié le gardien, qui nous a poussé un peu fort, on a fait un tonneau. J'ai paumé les allumettes et je me suis retrouvée en dessous de Louis, qui cherchait notre arme ultime lui aussi.
Pour finir, j'ai trouvé un de ces bâtonnet magique, mais pas la boîte pour l'allumer, alors je l'ai frottée sur la veste en cuir de mon camarade de cellule, ce qui l'a fait encore plus bouillir de colère.
Bon, j'ai foutu le feu la boîte, mais au moins, ça nous a permi de sortir, vu que le surveillant nous a aspergé avec un extincteur.
On en a profiter pour commencer une bastonnade, contre.... Notre prof de français, qui était déjà croulant, mais sacrément rapide. Il m'a frappée en pleine tempe, c'était douloureux.
Quand il était enfin K-O, surtout grâce à Louis, on a pu s'enfuir.
J'ai donné un coup de pied dans la porte qui était verrouillée, et on s'est retrouvé dans une sacrée merdasse.
Max et Robert était scotchés ensembles en pleurnichant, et en suppliant de les laisser s'enfuir, (oui, bon, pas Deva, bien évidemment) et autour d'eux, une masse de prof avec des grosses dents.
-À la revoyure, mon nouveau poto !!
Ce lâche de Louis tentait déjà de s'enfuir. Je l'a attrapé par le t-shirt, et j'ai dis une réplique digne d'un film de qualité:
-Qu'Est ce que c'est que ce bordel ?
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