Heyyy
Petit bonus que j'avais proposé
Bref vous me direz si c'est aussi mignon que l'histoire😁

Ah et j'ai surnommé ce bonus: Ma drogue

Personnellement j'ai vraiment adoré écrire ce bonus et je suis très fière de lui.
N'hésitez pas à commenter, voter ou à me donner des conseils ou même remarques tant qu'elles ne sont pas rabaissante.

Bref

Je vous laisse avec le bonus

✨ I LOVE YOU ✨

🎶🎶🎶🎶🎶🎶🎶🎶🎶💖💖💖💖💖💖💖💖

🐾PDV Lucas🐾

On était juste amis

Même pas meilleur ami, cette place étant déjà prise par Lock et Doig.

Nous on était juste deux amis qui s'entendaient bien et qui faisaient des projets en commun.

On se voyait parfois hors caméra mais c'était rare.
On se voyait parfois bourré mais c'était rare.
On se voyait parfois triste mais ça aussi c'était rare, on était pas du genre à montrer nos émotions.
On les gardaient au fond de nous puis elles explosaient, mais quand ça arrivait on était seul. Alors on hurlait, on pleurait, on extériorisait.

Je crois que c'est arrivé qu'une seule fois.

Ma copine m'avait quitté la veille et j'avais réussi à tenir bon toute la journée.
Faux sourire sur faux sourire qui bernaient chaque fois tous le monde sauf évidemment Lock mais il ne disait rien.
Et puis je suis enfin rentré. Les larmes au bord des yeux, des reniflements incessant...
J'avançais en tanguant et une fois dans mon salon il était là.
J'ai voulu retenir mes larmes mais ça faisait déjà tellement longtemps que je les gardaient. Je me souviens que dès qu'il m'a aperçu il s'est levé et a foncé sur moi.

Je me souviens que c'est ce jour là, quand il m'a prit dans ses bras, alors que je savais très bien qu'il n'était pas tactile, quand il m'a consolé comme il a pu et que le sourire m'est tout de suite revenu que je m'en suis rendu compte.
Que je me suis rendu compte à quel point il m'était précieux.
C'est ce jour là, quand il a dormi avec moi et que je me suis réveillé la tête sur son torse, son bras autour de ma taille que j'y est pensé.

Que j'ai pensé qu'on ressemblait à un couple.

On m'avait toujours fait la remarque qu'avec Lock on ressemblait à un vieux couple à se taquiner toutes les secondes mais ce jour là encore je me suis rendu compte que ce n'est pas avec Lock que je voulais être un vieux couple.

C'était avec lui. Avec lui que je voulais passer le matin, le midi et le soir.
Avec qui je voulais passer l'après midi et la nuit.
Celui avec qui je voulais me réveiller et avec qui je voulais me coucher

Au début j'ai nier. Je me suis dis que je devais juste être en manque d'affection et puisque ce n'est plus arrivé j'ai laissé tomber.
Je n'y est plus pensé et on a continué à être amis. Je me souviens qu'après ce soir là une gêne s'est créer  dans le groupe mais on a oublié. Oublié comme un amour d'un soir, oublié comme on oublie notre enfance.

En tout cas c'est ce que j'essayais de me faire croire.
Moi je ne l'avais pas oublié et je n'aurais jamais réussi.
Comment réussir alors que chaque fois que quelqu'un me parle j'espère que c'est lui, que chaque fois que quelqu'un me touche j'aimerais que ce soit lui, que chaque fois que quelqu'un s'approche j'aimerais encore et toujours que ce soit lui.

Et ça Lock l'avait bien remarqué, ce n'était pas mon meilleur ami pour rien et sous ses remarques et ses blagues se cachait une compréhension incommensurable.

Il ne ratait rien.

Du plus grand soupir au plus petit regard.

Il m'observait comme je l'observait et voyait mon mal être comme je voyais le sien et comme on les vois toujours aujourd'hui.

Alors je me souviens encore et toujours de ce jour.

Ce jour où il est venu chez moi, sa casquette ratatouille encore et toujours sur sa tête. Ce jour où il s'est assit sur mon canapé et où il m'a sortit la phrase que chaque être humain redoute.

-Faut qu'on parle Lucas.

C'était rare qu'il m'appelle par mon prénom alors je me suis assis devant lui et j'ai attendu qu'il prenne la parole.

-Tu l'aimes non?

J'étais surpris, je m'attendais pas à une question aussi franche et ma gène dû lui être évidente puisqu'il eu un rictus amusé.
J'avais détourné la tête sous son regard, j'avais l'impression qu'il fouillait mon être et que si je le regardais chacune de mes pensées lui seraient avoué.
Il souffla un bon coup avant de se relever et de me chuchoter:

-Si besoin vient me voir

Puis le temps à passer, à passer et à encore passer pour qu'un an soit finalement écoulé.
Lock avait laissé tomber au bout de quelques mois et l'anniversaire de Gota était arrivé.
J'avais mis plusieurs mois à faire mon cadeau, ses sentiments ne me quittant plus, me rongeant de l'intérieur tel un mal enraciné au plus profond de mon corps.

Dès que je le voyais je souffrais et en même temps je vivais.
Dès qu'il me regardait je souriais et dès qu'il me tournait le dos je déprimais.

Alors à cet anniversaire, celui que j'attendais depuis plusieurs mois déjà, je me suis approché, lui ais tendu mon cadeau avec un sourire puis lui ait prit la main et l'ai traîné à l'abri des regards.

Il était surpris mais m'a suivit.

On aurait dit un rendez vous secret.

Je courrais devant et lui derrière, main dans la main, ricanant comme deux gamins ayant fait une bêtise.

Je l'ai traîné encore et encore jusqu'à cet endroit, celui de notre premier baiser, celui de notre premier vrai contact.

Celui où je lui ais dis, où je lui ais dis je t'aime.

Je l'avais lâché, le souffle court, m'étais assis sur le petit banc au fond de son jardin, Corentin s'asseyant à côté de moi.

Le silence dura quelques minutes, le temps qu'on se remette de notre course effrénée, le temps que je trouves mes mots. Puis j'ais ouvert la bouche mais rien n'ai sortit. J'avais beau essayé, aucun mots, aucun sons ne voulait passer. J'essayais encore et encore mais rien.

À côté de moi je voyais Corentin, silencieux et patient, comprenant que ce que je voulais dire était important.

Alors il attendit, minutes sur minutes puis heures sur heures et quand la nuit commença vraiment à tomber il se leva, prêt à partir mais je l'arrêta.

Je les avais trouvé, ces mots que je cherchais pour m'exprimer s'étaient enfin montré à moi et j'étais prêt à lui sortir.

Alors il se tourna vers moi, surpris, mais se rassit tout de même, comprenant mon appel silencieux.

Je me suis levé, encore et toujours stressé, puis ais ouvert la bouche et les mots sont sortis en cascade, ne s'arrêtant plus; ils s'écoulaient de ma bouche comme s'écoule l'eau d'un bain.

Je n'avais même plus conscience de ce que je disais, seul ses expressions faciales me guidait dans la compréhension de mes propos.

Ses yeux commencèrent à briller, sa bouche à s'entrouvrir, il semblait à son tour chercher ses mots pour me répondre.
Alors après ma cascade de mots je me rassis, attendant sa réponse.

Les étoiles commençaient à apparaître et la lune à briller, illuminant notre endroit, quand Corentin se leva finalement à son tour et me regarda avec un sourire qui me fit fondre, un sourire que je n'avais encore jamais vu, un sourire que personne n'avait encore jamais vu, un sourire qu'il semblait avoir créer juste pour ce moment, un sourire qu'il semblait m'avoir réservé.

Il ouvrit la bouche, sortant mots sur mots, me touchant au plus au point chaque fois.

Mon coeur battait la chamade et mes lèvres ne demandait qu'à toucher les siennes.

Il parlait, encore et encore mais je n'en avais que faire.

Je voulais simplement qu'il se taise et m'embrasse.

Il continuait et continuait et j'attendais encore.

Quand enfin il finit de parler, refermant sa bouche, attirant mon regard sur ses lèvres, je me leva et l'embrassa.

Il se joignit à mon baiser et tout l'amour qu'on ressentait pour l'autre était transmis dans ce simple toucher.

On se relâcha, à bout de souffle, mais j'en voulais plus, il en voulait plus, on en voulait toujours plus.

Il me sauta alors dessus mais je ne dis rien.

À peine avais je touché à ses lèvres, à lui, que je ne pouvais déjà plus m'en passer.

J'étais tel un drogué en manque.
J'étais le drogué et il était ma drogue.
J'étais le drogué et il était mon manque.
Tel une drogue il était dur de s'y mettre mais quand on avait commencé on ne pouvait plus s'arrêter.

Malgré les heures qui s'écoulaient et le soleil qui se levait je ne pouvais pas le lâcher.
Mes pensées défilaient les unes après les autres, perturbé par ses lèvres, par son corps qui se collait de plus en plus au mien.
Ses mains étaient maintenant au tour de mes hanche et les miennes autour de son cou.

Le banc tanguait face à nos gesticulations et nos baisers passionnés mais ne se renversait jamais.  Il était comme le témoin muet de notre échange. Ne pouvant parler mais ne pouvant partir, il nous soutenait et nos rires résonnaient à travers le ciel.

J'étais toujours allongé sur lui, observant son visage, aussi parfait que celui d'un dieu, lorsqu'il se releva doucement, me tenant fermement pour ne pas que je tombes.

-Qu'est-ce qu'il y a? Lui avais je demandé

-Tu sens pas?

Son visage s'était tourné vers le ciel et en suivant son regard je pus observer une multitude de fine gouttelettes s'écraser une à une sur le sol, nos visages, le banc, et enfin, nos corps.

J'aurais voulu le serrer encore plus fort contre moi, me coller encore plus à lui pour nous réchauffer... mais il se leva en me souriant et, tout en me prenant fermement la main, se mit à courir direction la maison.

Les rires passaient la barrière de nos lèvres et nos sourires grandissaient à chaque seconde.

Enfin arrivé il déverrouillait doucement la porte et j'entrai à sa suite, faisant tout deux le moins de bruits possible de peur de réveiller les invités rester ici.

On marchait pas à pas vers sa chambre, lorsqu'un de nous deux posa son pied sur un jouet en plastique qu'un invité avait dû ramener, faisant retentir un horrible son de couinement.

On arrêtait tout mouvements pendant quelques secondes, avant de nous regarder et d'exploser de rire, continuant notre course effrénée vers sa chambre.

Croisant un Locklear endormi sur le sol, un Doigby dans la baignoire, la salle de bain étant resté ouverte, un Mickalow marmonnant des mots incompréhensible et autres personnes dormant, on ouvrit doucement la porte de sa chambre et nous écroulâmes sur le lit qu'il contenait.

Épuisée, on ne prit même pas le temps de nous changer, nous endormant tout deux dans les bras l'un de l'autre.

Le lendemain je me souviens clairement m'être réveillé dans ses bras, me rappelant un soir datant d'environ 1 ans, et de m'être levé, posant un chaste baiser sur ses lèvres de peur de le réveiller, ce qui arriva justement puisqu'il ouvrit les yeux et sourit en voyant mon visage.

Je le lui rendis puis me leva et m'habilla d'un sweet ample ainsi que d'un short bleu turquoise. ( Toujours pas d'idée mdr)

Je me souviens de ces journées qui se sont écoulés sans que je ne les voient passer. Les mois sont passés jusqu'à devenir un peu plus  d'une année, Corentin évoquant l'idée de vivre ensemble.

Alors oui j'ai accepté, alors oui je l'aimais, alors oui je l'aime encore aujourd'hui, alors oui je l'aimerais jusqu'à ce qu'il en ait marre.

Parce qu' il est la drogue et que je suis le drogué.
Parce qu'il est l'or et que je suis le radin.
Parce qu'il est la couverture et que je trembles de froid.
Parce que je suis l'enfant et qu'il est le doudou.

Et parce que je l'aimes comme un fou, et parce que je suis dingue de lui, je ne comptes pas le quitter jusqu'à ce qu'il en ait marre. Jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.
Jusqu'à ce qu'il me rejette...

Et on sera chaque jour ensemble,
quand ça n'iras pas on s'enlacera,
quand on sera en mauvaise posture on s'aidera,
Quand on nous diras que nous deux ça marchera pas on leur prouveras le contraires...

Parce que je l'aime et qu'il m'aime
Parce que nous deux c'est à la vie à la mort
Parce que lui et moi c'est comme la drogue
Parce qu'on s'aime et puis c'est tous.

Et parce que l'amour peut nous combler comme nous détruire...

On profitera chaque jour de ses sentiments présent dans nos êtres.

Merci d'avoir suivis notre histoire, notre amour

Cette histoire vous a été présenté par Lucas Hauchard et Corentin Houssein plus connu sous le nom de Gotaga et Squeezie ou encore le french Monster et Skuiiizi

Ce bonus vous a été présenté par Lulu le lutin mais a également eu les conseils avisés de Coco le coconut

En espérant que ça vous ais plus

Je vous dis...

À plussssss 🌸🍫💙