https://youtu.be/hEDBZtmKPmg

Nineteen but you act twenty-five now
Knees weak, but you talk pretty proud, wow
Ripped jeans and a cup that you just downed
Take me where the music ain't too loud
Trade drinks, but you don't even know her
Save me 'till the party is over
Kiss me in the seat of your Rover
Real sweet, but I wish you were sober

Les médecins remarquèrent que son rythme cardiaque était de plus en plus rapide. Sa température corporelle augmentait de manière rapide et étrange. Elle se mit à trembler et à gigoter comme si elle faisait une crise convulsive. Et là, elle se réveilla en sueur.

Médecin : Mademoiselle Hall, calmez-vous, on va vous soigner.

Meghan : Il faut que je l'arrête.

Elle voulut retirer tous les fils qui avaient été branché sur elle. Les médecins essayaient de la maîtriser.

Meghan : Je dois l'arrêter ! Elle a mes pouvoirs, il faut que je l'arrête !

Médecin : Mademoiselle, il faut que vous vous reposiez. S'il vous plaît, passez-moi un calmant.

Meghan : Non, pas de calmant !

D'un coup, elle provoqua une onde de choc et tous les médecins tombèrent au sol et perdirent connaissance. Elle en profita pour s'en aller.

3 jours plus tôt :

9 septembre 2029 :

Le cerveau de Meghan se remettait en marche à cause des rayons du soleil qui frappaient progressivement son visage. Elle ouvrit tranquillement les yeux et se les frotta quelques instants avant de voir que Barry avait dormi avec elle. Il était affalé sur le seul fauteuil de la chambre. Elle restait sans rien dire pendant de bonnes minutes ne sachant si elle devait le réveiller ou continuer à le laisser dormir. Elle se leva doucement et alla aux toilettes. Meghan s'assit sur la cuvette et se mit à sourire.

Meghan : Il est resté dormir avec moi... Ça voudrait dire qu'il ne me déteste pas tant que ça ?

Elle tira la chasse d'eau et sortit se laver les mains. Ensuite, elle commença à se brosser les dents. Pour réveiller Barry en douceur, elle prit son téléphone discrètement et voulut l'allumer pour mettre sa chanson préférée. Par chance, elle se rappelait encore de son code. Quand elle dévérouilla, elle n'en revenait pas, Barry était en train de composer une chanson ! Il se réveilla.

Barry : Qu'est-ce que tu fais ?

Elle l'éteignit directement.

Meghan : Moi, rien. J'étais juste en train de regarder l'heure.

Barry : Il y a deux horloges dans cette pièce et tu as encore ton téléphone.

Meghan : C'est vrai, j'avais pas vu...haha !

Barry : Meghan, qu'est-ce que tu faisais avec mon téléphone ?

Meghan : J-je ne savais pas que tu savais composer.

Elle lui tendit son téléphone.

Barry : Tu as fouillé dans mon téléphone ?

Meghan : Non, pas du tout, c'était la première page.

Barry : Mais tu as lu ce que j'ai écrit ?

Meghan : J'ai juste lu quelques paroles, c'est très beau.

Barry : Je l'ai écrite pour toi.

Meghan : Pour moi ?

Barry : J'ai commencé à l'écrire après que tu sois partie du motel.

Meghan : Je peux la lire ?

Barry : Non, elle n'a plus d'importance maintenant.

Meghan : Si elle n'a plus d'importance, pourquoi continues-tu à l'écrire ?

Barry : Parce que je me dois de la terminer, pour moi. Elle reflète les sentiments que j'avais pour toi ces trois dernières années.

Meghan : Alors, tu ne ressens plus rien pour moi ?

Barry : J'ai pas dit ça. Contrairement à toi je ne refoule pas mes sentiments.

Meghan : Tu as dit que cette chanson reflétait les sentiments que tu avais pour moi.

Barry : Oui parce qu'ils ont changé.

Meghan : Écoute Barry, je crois que c'est le moment qu'on ait une réelle discussion.

Barry : Meghan je n'ai rien à te dire.

Meghan : Alors pourquoi es-tu restée dormir avec moi ?!

Barry : Parce que je t'aime ! Je t'aimerai jusqu'à la fin. Mais j'en ai marre de souffrir alors cet amour va devoir se glacer pour qu'un autre émerge.

Meghan : Et si je te disais que je voulais être avec toi.

Barry : D'accord Meghan, le problème c'est que là c'est moi qui ne veut pas être avec toi. Quand je suis avec toi, je souffre plus qu'autre chose. T'es toxique et égoïste. Tu ne te rends même pas compte du mal que tu me fais.

Meghan avait les yeux qui brillaient.

Meghan : Barry j'ai jamais voulu te faire souffrir. Mon comportement peut paraître toxique et égoïste mais sache que j'essaie juste de ne pas souffrir à nouveau. J'en ai marre de m'attacher et d'être déçue par la suite.

Barry : Tu vois, t'es incapable de te mettre à ma place. Dans ta bouche il n'y a que "moi je moi je", cette fois j'm'en vais.

Meghan : Attends !

Barry : Meghan arrête, fait ta vie, j'fais la mienne.

Cette fois, Barry était parti pour toujours.

Ce matin, Steve avait décidé de passer la journée avec Louis, qui avait sombré dans une profonde amertume après sa rupture avec Cher. Le futur papa avait besoin d'énormément de soutien.

Louis : J'arrive pas à croire que je l'ai quitté.

Steve : Attends, tu n'es pas satisfait de ton choix ?

Louis : Bien sûr que non, si je l'ai quitté c'est parce que notre relation devenait encombrante et toxique. J'me dit que c'est peut-être à cause de la grossesse.

Steve : Si votre couple bat de l'aile c'est sûrement pas à cause de ça.

Louis : Pourquoi j'ai l'impression qu'on a déjà eu cette discussion mais d'une façon différente ?

Steve : Ouais moi aussi j'ai cette impression. Mais bref, si t'es pas heureux, va la voir.

Louis : Non, pas pour l'instant.

Steve : Elle encombre ma vie depuis que tu l'as quitté. Elle monopolise Daniella tous les jours et toutes les nuits !

Louis : J'peux pas nier que l'avoir quitté alors qu'elle va accoucher dans quelques semaines n'a pas été l'idée la plus intelligente que j'ai eu.

Steve : Tu sais quoi, avant d'aller la voir, réfléchis à ce qui t'a poussé à la quitter.

Louis : C'est pas compliqué, son comportement désagréable, agressif, sa froideur et sa distance envers moi m'ont poussé à la quitter.

Steve : Et toutes ces choses, à quoi sont-elles dues selon toi ?

Louis : Je ne sais pas. Pour moi, c'est la grossesse. Notre activité sexuelle s'est arrêtée d'un coup alors qu'elle était très présente.

Steve : Vous auriez dû aller consulter un thérapeute de couple.

Louis : Cher n'aime pas tout ça. Je lui ai proposé mais elle a toujours refusé. Regarde, elle n'est jamais allée aux séances pour préparer l'arrivée du bébé avec moi.

Steve : C'est clair qu'il y a un gros manque d'investissement de sa part.

Louis : Tu comprends pourquoi ce n'était plus possible de rester avec elle tant qu'elle est comme ça. Tout ce que j'espère c'est qu'à la naissance de notre fille, tout redeviendra comme avant. Sinon, ça avance ta demande en mariage ?

Steve : J'ai décidé d'attendre le bon moment.

Louis : Tu veux encore attendre ?!

Steve : Non, quand je dis attendre, c'est dans les prochains jours. Je ne sais pas, quand Meghan ira mieux, ou même quand Cher ira mieux aussi. Je veux que Daniella soit tranquille et qu'elle ne pense pas à aller aider qui que ce soit quand je lui aurais fait ma demande. Je veux faire quelque chose de romantique cette fois-ci. Je veux qu'elle s'en souvienne.

Louis : Compte sur moi pour t'aider.

Steve : Merci.

Vers midi, la résistance avait décidé de se déployer dans les rues pour chercher des informations sur la disparition de Flora et son frère. Carola et Jason avaient été mis ensemble. L'ambiance était assez, électrique.

Carola : Où est-ce que tu vas ?

Jason : Je tourne à gauche.

Carola : On doit chercher à droite.

Jason : Bah moi j'ai envie de chercher à gauche.

Carola : Par là-bas c'est les Ehpad, les crèches et les orphelinats, qui aurait pu la croiser ?

Jason : Pour ta gouverne là-bas se situe l'église de Winterville, s'il y a bien une personne qui aurait pu la croiser même dans ses rêves, c'est le père Gabriel.

Carola : Très bien, t'as intérêt à ce qu'il ait des informations sinon je te plante un pieux dans le cœur.

Quelques minutes plus tard, ils sortirent de l'église sans aucune nouvelle info.

Carola : Résultat, rien du tout ! Perte de temps !

Jason : T'as une meilleure idée peut-être ?

Carola : Oui, allons se renseigner vers la droite.

Jason : À droite il n'y a que des bourges.

Carola : C'est pas comme si on ne vivait pas tous dans un quartier de bourge.

Jason : Très bien, allons-y alors.

Ils sonnèrent chez Mme Brown, une sexagénaire vivant avec Philip, son fils de 32 ans.

Carola : Bonjour Philip, comment ça va ?

Philip : Bien et toi ? Salut Jason, ça va ?

Jason : Ça va merci.

Philip : Qu'est-ce que j'peux faire pour vous ?

Jason : On se demandait si tu n'avais pas vu Flora ces derniers jours. Elle a disparu.

Philip : Hum, je ne sais pas. Je ne crois pas l'avoir vu par contre, hier je regardais par la fenêtre et j'ai vu son frère qui conduisait sa voiture en direction de la mairie. Ça m'a interpellé parce que son frère est sûrement le seul dans cette ville à ne pas conduire de voiture de luxe. Après ça j'ai voulu l'attendre pour lui parler mais il n'est jamais revenu.

Carola : Merci Philip.

Philip : Voilà, j'espère que ça va vous aidez à les retrouver, prévenez-moi en cas de besoin.

Carola : D'accord, pas de souci, passe une bonne journée.

Philip : À vous aussi, bye.

Jason : Bye.

Carola : T'as compris où on doit aller maintenant.

Jason : J'suis pas sûr que ce soit une bonne idée.

Carola : C'est l'explication la plus évidente, Hyacinth a compris qu'on savait comment la vaincre du coup elle séquestre Flora et son frère.

Jason : Et si on la retrouve, tu voudras la tuer ?

Carola : C'est une décision qu'on prendra tous ensemble.

Jason : Jamais je ne serai d'accord pour ça !

Carola : C'est pour ça qu'il y aura un vote.

Jason : Carola, si la décision que vous prendrez est de la tuer, je te jure que je ne te le pardonnerai jamais.

Carola : Tu l'aimes à ce point ?

Jason : Ce n'est pas une question d'amour. Pour qui tu te prends pour décider de qui vie ou meurs ?! Dieu peut-être ? Tu n'es que Carola Cerf, une fille pourrie gâtée à qui la vie a été trop facile !

Carola : C'est vraiment ce que tu penses de moi ?

Jason : Oui.

Carola : Jason, comprends que Meghan est ma meilleure amie et que le seul moyen de la libérer de Hyacinth est de tuer Flora.

Jason : Je crois que tu es un peu trop plongée dans le passé. Meghan n'est plus ta meilleure amie depuis longtemps.

Carola : Bien sûr que si.

Jason : Réfléchis deux secondes, elle ne t'appelle jamais, elle ne te parle jamais, elle ne se soucie jamais de toi et tu oses encore me dire que vous êtes meilleure amie ? Une meilleure amie c'est quelqu'un qui est là pour toi, qui répond à tes appels le jour comme la nuit et qui ne t'ignore chaque jour que Dieu fait ! Désolé d'être si cash mais c'est la vérité, vous avez grandi et ce contexte de meilleure amie est révolue. Il n'y a que toi qui ne veut pas l'accepter. Allez viens, on va à la mairie confronter celle qui pourrait nous tuer d'un claquement de doigt.

Carola était en plein travail de réflexion sur elle-même et sur son amitié avec Meghan. Jason avait-il raison ? Elle décida de confronter ses doutes.

Carola : On doit d'abord prévenir les sorcières. Il ne vaut mieux pas aller à la mairie seuls.

Jason : Tu as raison. On retourne chez toi, on prévient tout le monde et on y va tous.

Carola : D'accord. Vas-y, je te rejoins plus tard.

Jason : Tu vas où ?

Carola : Je vais confronter la réalité.

Barry sonna chez Meghan. Cher ouvrit la porte.

Cher : Barry, ça va ?

Le jeune homme était en pleurs.

Barry : T'es seul ?

Cher : Euh oui, Daniella est partie aider les autres à retrouver Flora.

D'un coup, il l'embrassa.

Cher : Qu'est-ce que tu fais ?

Barry : Je sais pas, embrasse-moi.

Ils s'embrassèrent sauvagement. Ils entrèrent dans la maison. Carola était allée voir Meghan à l'hôpital. La jeune femme allait confronter celle qu'elle considèrait, ou pas, comme sa meilleure amie. Elle toqua puis ouvrit la porte.

Carola : Je peux entrer ?

Meghan : Oui, bien sûr.

Carola : Comment tu te sens ?

Meghan : Mal, tout va mal. J'en ai marre de ma vie.

Carola : Tu ne me demandes pas comment moi je me sens ?

Meghan : Euh, si bien sûr. Ça va toi ?

Carola : Non, ça ne va pas.

Meghan : Qu'est-ce qu'il y a ?

Carola : Meghan j'en ai marre.

Meghan : Marre de quoi ?

Carola : Marre de toi et ton égoïsme !

Meghan : Okay, c'est la deuxième fois qu'on me traite d'égoïste, j'vais finir par y croire.

Carola : Bah c'est un peu ce que t'es. Je ne te demande pas de m'appeler tous les jours de la semaine, tout ce que je veux c'est que les choses redeviennent comme avant.

Meghan : Mais de quoi tu parles ?

Carola : Qu'est-ce que je suis pour toi ?

Meghan : Carola, c'est vraiment une question ?

Carola : Meghan, j'suis très sérieuse ! Est-ce que j'ai encore ma place dans ta vie ? Est-ce que je suis encore ta meilleure amie ?

Meghan : Bien sûr que tu l'es.

Carola : Alors pourquoi tu ne veux jamais me voir ?

Meghan : Carola, je ne peux pas me consacrer exclusivement à toi. J'ai des problèmes que je n'arrive pas à résoudre !

Carola : En fait tu ne comprends rien...

Meghan : Alberto est mort et je ne sais pas comment gérer ça ! L'avenir de tout le monde repose sur mes pouvoirs et je n'arrive pas non plus à gérer tout ça ! Est-ce que c'est si difficile à comprendre !

Carola : Je ne veux plus jamais te revoir.

Meghan : Quoi ?

Carola : Avec toi c'est tout le temps "moi je, moi je" et encore "moi je" ! Il n'y a pas que toi qui a des problèmes okay ! Tu repousse tout le monde mais tu ne veux pas non plus qu'on arrête de te prêter de l'attention. Tu ne demandes pas comment je vis alors que mon fils est loin de moi, ou que l'homme que j'aime me déteste ! Ça tu t'en fiche royalement.

Meghan : Non, pas du tout c'est que...

Carola : Meghan, c'est bon, j'ai assez donné avec toi. Depuis que tu es née, je suis sans aucun doute la personne qui t'a le plus soutenue. Mais là vois-tu, j'arrive à un stade saturation.

Meghan : Carola s'il te plait.

Carola : Pour mon propre bien, oublie-moi désormais.

Elle s'en alla. Meghan croyait être dans un terrible cauchemar depuis ce matin. Après Barry, venait le tour de Carola de lui tourner le dos. Pour couronner le tout, elle recommençait à attendre des voies dans sa tête. La voix d'Alberto qui l'accable de tous ses malheurs et celle de Regina qui la blâme d'être aussi faible.

Dans la soirée, tout le monde allait à la mairie sauf Charlie, introuvable comme d'habitude, Cher, qui ne pouvait pas, Barry, qui n'avait été vu par personne aujourd'hui, Meghan, qui était à l'hôpital et George, qui après un appel alarmant de sa fille, décida de passer la nuit à son chevet.

Hyacinth : Que me vaut cette visite impromptue ?

Dalva : On sait que tu retiens Flora et son frère !

Hyacinth : Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez.

Dalva : Je sens que tu mens, dis-nous la vérité !

Hyacinth : Sinon quoi, vous allez me transformer en rosier ?

Alba : Non on va juste faire une convergence et te réduire en poussière.

Hyacinth : Vos pouvoirs sont trop faibles, vous n'y arriverez pas.

Dalva : Tu es sûre ?

Hyacinth : Vous bluffez.

Alba : Alors pourquoi tu ne nous attaques pas ?

Dalva : Parce que tu sais que tu ne peux pas nous tuer sans déclencher une alerte sur Deoter.

Hyacinth : Quoi que vous fassiez, vous n'aurez pas Flora !

Hyacinth matérialisa ses pouvoirs psioniques. Au moment où elle le fit, Dalva émit une pression sur son esprit et tous les autres pointèrent leur arme en joue sur elle.

Alba : Tu n'as pas de capacité mentale, un geste est tu te fait cribler de balle. Crois-moi, ça ne va pas te tuer mais ça va te faire très mal.

Hyacinth : Ça ne va pas en rester là.

Hyacinth se télétransporta. Au moment où le nuage de fumée apparut, Vithushana lança la plus puissante décharge d'énergie qu'elle était en mesure de générer contre le nuage. Cela provoqua une onde interne dans le corps de Vithushana qui perdit connaissance. La jeune femme avait réussi à affaiblir les pouvoirs de Hyacinth, elle n'était plus en mesure de se télétransporter. Elle sauta par la fenêtre et disparut dans la nuit.

Carola : Il faut la rattraper !

Alba : Non ! Vithushana va très mal. 

Hyacinth arriva dans son repaire où elle séquestrait Flora.

Flora : Libère-moi ! Laisse-moi partir !

Hyacinth : Ferme-là !

Flora : Qu'est-ce que tu veux à la fin ?!

Hyacinth : Ce que je veux, je veux me venger ! Mais pour ça, il me faut les pouvoirs de Meghan. Cette idiote n'est même pas capable de les récupérer. Je n'ai plus le temps, il faut que je trouve la formule qui invoque le LivreNoir.

3 jours plus tard :

Policier : M. McCoy, où étiez-vous aujourd'hui aux alentours de midi et demi ?

Jason : Hum, j'étais chez moi. Pourquoi vous m'interrogez, je ne les ai pas poussé !

Policier : Vous affirmez être chez vous aux alentours de midi et demi ?

Jason : Oui, je viens de vous le dire !

Policier : Pourtant, quelqu'un dit vous avoir vu tout en haut de l'immeuble Hall Industries puis ressortir paniqué. C'est le moment de nous dire toute la vérité M. McCoy.

À suivre dans 'La vengeance de Meghan"