Au retour, j'ai recherché sur les bords de la route, les vêtements et les couvertures que j'emportais mais je ne les ai pas retrouvés. J'en avais pourtant fait « disparaître » des choses. Que faisais-je de ces affaires, si elle n'allait pas au moyen âge. Je suis parti à la recherche de la mystérieuse grotte dans la direction de Troyes cette fois ci mais sans la trouver. J'ai regardé à nouveau aux environs de la maison, sans succès par contre j'ai repéré un rocher affleurant que je pourrais peut être retrouver au moyen âge.

De temps à autre je me remémorais ma rencontre d'hier soir avec Sébastien, il m'avait demandé mon numéro de téléphone quand même. Qu'est-ce que cela ferait comme effet d'embrasser ce garçon. Non n'importe quoi ! ce n'était pas le genre à se contenter d'un bisou et je n'étais pas prêtes à plus.

Il y a eu un premier cas de viol d'une jeune fille du lycée technique et je l'ai su car les collègues de ma mère l'ont prévenu pour ma sécurité.

Cette nuit avec Phili nous avions ramassé du bois et semé des graines comme toutes les nuits. J'avais interrogé Phili, il n'y avait pas un mais cinq bourgmestres qui dépendaient du maire Charles gandin, deux d'entres eux les bourgmestres Paul ducal et louis Gremmel se partageaient chacun une moitié du marché. Le marchand Come n'était pas arrivé sur le marché en mars 1455. J'avais pleins d'informations pour Marianne Farran, elle serait contente.

Elle n'a pas compris le viol et cette notion la dépassait à son époque on n'avait qu'à s'exécuter si l'homme était plus fort ou plus riche.

Leur époque était parfois si dure, mais tout ce que je lui racontais sur la mienne ne la rassurait pas non plus.

J'ai recherché le rocher affleurant avec Phili, mais je ne l'ai pas trouvé. J'étais déçue car j'avais espérer avoir enfin une preuve de mes voyages.

Demain j'emmenais Fanny au club de botanique.