─ Chère petite Laurie quel plaisir de voir un peu de jeunesse, dit la comtesse.

─ Bonjour monsieur le comte, madame la comtesse, ai je fais en faisant ma révérence comme je l'avais appris, paniquée d'être observée mais m'efforçant de faire bonne figure.

─ Il faudra venir au château nous avons des animaux magnifiques, proposa la comtesse en souriant.

─ Cela n'intéresse pas les jeunes, voyons ! a répondu le comte à son épouse,

─ Venez, nous vous ferons les honneurs de la maison, poursuivit celle-ci imperturbable.

J'ai hoché la tête sentant les regards de mes condisciples. Je viendrais avec plaisir bien sur, j'ai discuté encore quelques minutes avec eux, dont les familles remontaient au moyen âge.

Les portes du théâtre enfin accessible, j'ai tourné la tête vers le bas, Sébastien et M Tardy me regardaient toujours.

Jérémie cracha par terre en regardant les richards en haut du théâtre, on ferait un casse la haut on serait milliardaire.

─ Oui sans doute, a répondu Stéphane, mais on serait arrêté aussitôt. Quand est ce que cette maudite Anne Breton arrêterait d'être aussi jolie, pensa-t-il.

─ C'est la petite bourge non ? demanda Joanna déjà saoule. Laurie Boudin ?

─ Oui c'est elle, dit René. Elle est mignonne et je lui enlèverais bien sa robe.

Seb eu envie de lui casser les dents. Stéphane qui devinait toujours son humeur le retient, du calme ! On parle dans le vide.

Laurie était en grande discussion avec des personnes âgées et il pouvait l'admirer. Vous allez tenter votre chance avec la mère, demanda Seb.

─ Non je n'ai aucune chance et je ne veux pas qu'elle me transforme en pantin et m'oblige à aller avec ces clowns.

─ Bien dit Stéphane, rigola Sébastien, en lui mettant une claque dans le dos, loin du respect entre un prof et un élève.