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16 - Kidnapping

PDV Irène

Je continue de chanter et je sens que Victoria perd patience. À un moment d'instrumental, Victoria essaie de me dégager de la scène, mais je reste car je suis bien déterminée à lui donner une bonne leçon pour nous avoir provoqué.

Bien énervée, elle descend de la scène et rejoint ses potes. Je suis seule sur scène et je termine le spectacle en beauté.

Tous les étudiants chantent les paroles avec moi, et je fais un geste pour les suivre avec moi, je suis heureuse d'avoir pu avoir mon moment de gloire.

Du coin de l'œil, Victoria a quitté la salle, ce qui m'a fait sourire.

Je finis la chanson en beauté, sous les applaudissements assourdissants des étudiants et des patrons de chaque société dans la salle.

Je les remercie et je descends de scène.

En descendant la dernière marche, Camille court vers moi et pose ses mains sur mes épaules.

- Tu as réussi à faire taire Victoria !

- Bravo, dit Amy.

J'ai souri.

- Merci, les filles.

- Mais t'as quand même gâché son show, j'aurai aimé voir comment elle serait humiliée, dit Lisa.

- Tu n'es pas contente que Victoria soit partie de la salle, folle de rage ? demande Camille.

- Si, si, mais bon.

On devient silencieuses. Pourquoi Lisa agit ainsi, elle qui a toujours détesté Victoria ? Mais Amy est revenue sur ma prestation qui était superbe.

- Par contre, tu chantes super bien, Irène. Tu ne nous l'as jamais dit, dit Camille.

J'ai souri.

- Merci, les filles.

- De rien !

- On a une Madonna dans notre classe, dit Amy.

Suite à cette allusion, on éclate toutes de rire. Deux voix d'hommes nous appellent et nous nous retournons. C'est Tom et Benedict.

Les deux amis s'avancent vers nous et Tom me complimente.

- Je n'aurais jamais cru que tu savais si bien chanter, Irène.

- Eh oui, dis-je en souriant. Chacun a son petit jardin secret, tu sais.

- Je sais, dit ce dernier.

- Tu chantes mélodieusement bien, dit Benedict.

- Merci, dis-je en rougissant.

- Je t'en prie.

- Et si on poursuivait la fête ? Propose Camille.

- Oui, allons-y ! dit Tom.

Sous cette parole, on continue à s'amuser et à rire. Vers 23h50, la fête se termina et on rentra tous chez nous.

~Ellipse~

(La semaine suivante...)

(Mardi)

Après avoir fini les cours, Camille, Lisa, Amy et moi sommes allées manger un petit quelque chose avant de rentrer chez nous.

- Je n'arrive pas à croire qu'on ait la meilleure note à notre article !

- Totalement d'accord. Et tout ça, grâce à notre chère Irène.

- Oh les filles, vous abusez un peu là... C'est grâce à notre travail d'équipe.

- Pas faux !

- Bon, levons notre boisson à notre travail d'équipe.

- Ouiii !!!!

On leva nos verres et on crie :

- À notre article !

Et, même si ce n'était pas du whisky qu'on buvait, on trinqua à notre travail d'équipe. Après ce moment de complicité amicale, on se dit au revoir et on rentre chacun de notre côté.

En prenant un trottoir, je vois un mec qui me fixe, ce qui me met vite mal à l'aise. J'accélère calmement le pas et l'homme derrière continue de me suivre, car je jette des coups d'œil légers au-dessus de mon épaule.

- « Mais c'est quoi son problème ?! » avais-je envie de crier.

La rue se vide petit à petit et bientôt, les voitures n'y passent presque plus. Je sens une main m'attraper et je crie de surprise.

Il m'emmène dans un coin sombre, à côté des poubelles de la rue. J'essaie de me débattre de lui, mais il essaie de me faire taire à plusieurs reprises.

Comme je criais à l'aide, il me plaqua sur la bouche un tissu rempli d'un produit chimique, mais je ne saurais pas dire lequel.

Sous l'effet du produit, je sens que je perds tout contrôle de mon corps, je ne sais plus si je respire. Ma vue floute et je sens mon corps me lâcher et atteindre le sol dans un blackout imminent.

~Ellipse~

PDV Tom

Après une énième journée d'entraînement pour la série Loki, je suis rentré chez moi. En ouvrant la porte, je crie ma présence aux habitants de la maison.

- Irène, je suis rentré !

Mais pas de réponse. Personne. Le chaton vient vers moi et se frotte à ma jambe. En le prenant dans mes bras pour le câliner, je pose mes affaires et commence à vérifier où elle est.

J'ai directement pensé qu'elle était dans sa chambre, et qu'elle n'a pas dû entendre ma voix à cause de ses études.

J'ouvre la porte de sa chambre, mais à ma grande surprise, elle n'y est pas. Je vérifie toutes les autres pièces de la maison, mais elle n'y est nulle part.

Mais où peut-elle être, enfin ?!

J'appelle plusieurs fois sur son numéro, mais toujours aucune réponse. Je sens l'angoisse me hanter.

Dans ma tête, je m'imagine tous les scénarios possibles avec elle. Et si elle s'était enfuie ? Et si on l'avait kidnappée ? Ou pire...

Tout tremblant, j'appelle Naomie pour lui avertir de la situation. Elle décroche quatre sonneries après.

- Allô ?

- N... Naomie.

Je commence à légèrement respirer vite.

- Tom ?

- Oui, c'est moi.

- Ça va ? Tu as la voix qui tremble...

- Non, non... Ça ne va pas...

- Calme-toi, Tom. Tout va bien. Qu'est ce qui se passe ?

Il me faut rassembler le courage nécessaire pour lui dire la vérité. En prenant une grande inspiration, je me lance.

- Irène n'est pas rentrée.

- Quoi ?!

- Je... Je te promets ! Je... Je ne sais pas où elle... elle est... D'habitude, elle est toujours là avant moi à la maison, mais pas aujourd'hui...Ça me paralyse... Je... Je ne sais pas quoi faire...

L'angoisse emporte sur moi et me mets à respirer de plus en plus vite, et je sens que des larmes vont me monter aux yeux.

- OK, calme-toi, Thomas. Ça va aller... Respire tranquillement, on va la retrouver, je te promets.

J'essaie de me calmer et de ralentir ma respiration effrénée.

- Je suis sûre qu'elle ne doit être pas loin... Tu as essayé de la joindre ?

- En vain... Mais elle était sur répondeur.

- Rappelle encore et ne quitte pas l'appel.

- OK.

J'appelle une dernière fois le numéro d'Irène, en espérant qu'elle réponde, cette fois-ci. Le téléphone décroche enfin.

Je commence à pousser un soupir de soulagement, lorsqu'une voix d'homme répond à son téléphone.

- Allô ?

Je reconnais cette voix, c'était l'ancien patron d'Irène.

- Robbins.

- Oh... Ce ne serait pas toi, Hiddleston ?

Mes yeux se sont remplis de rage.

- Où est Irène ? Et qu'est-ce que vous faites avec son téléphone ?

- Elle est avec moi.

- Qu'est-ce que vous lui avez fait ? Dis-je, sur le point de taper sur le mur.

- Je lui ai encore rien fait, ne te fais pas de souci. Je fais que la reprendre.

- Vous osez la jeter comme une vieille chaussette et après, vous la reprenez comme si c'était votre chien ? Quel culot, je lâche.

- Si tu veux la retrouver, tu travailleras pour moi.


Je ne prends même pas en compte la fin de sa phrase et je lui raccroche au nez.

- Tu as entendu, Naomie ?

- Oui, je l'ai très bien entendu. Décidément, il ne l'a pas lâchée d'une semelle.

- Je vais la chercher. Il est hors de question qu'elle reste toute une nuit avec lui.

- C'est d'accord. Comme je suis de pair avec la police, je vais les contacter.

- Merci, Naomie.

- Je t'en prie. Rappelle-moi lorsque tu seras devant Robbins et que tu auras récupéré Irène.

- Ça marche.

Après avoir raccroché, je donne à manger aux animaux et je m'en vais à la recherche d'Irène.

PDV Irène

J'ouvre les yeux quelques minutes plus tard et me retrouve dans une salle dont je ne reconnaissais aucunement les objets à cause du manque de lumière.

J'essaie de m'en sortir, mais mes mains sont nouées d'une corde bien solide. Des hommes sont là. Et Robbins devant eux.

Il s'approche de derrière moi, se baisse à mon niveau et me murmure.

- Comme on se retrouve, Baker.

Je me retourne et le regarde d'un air meurtrier.


- Vous n'avez rien d'autre à foutre au lieu de parler avec moi ?

- Oh que si... J'ai tout à faire avec toi, Irène.

- Ne m'appelez pas par mon prénom, sale connard.

- J'ai le droit de le dire comme ça me chante.

- Je ne pense pas.

- Encore moins toi, qui m'a trahi.

- Donc, dois-je vous rappeler que c'est vous qui m'ayez laissé tomber et vous osez m'accuser ? Ne me fais pas rire, dis-je en le fusillant du regard.

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