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CHAPITRE 4

J'étais fou de rage! Comment Acajou a put nous cacher la vérité, qu'ont a tant cherchés. On a des familles et elle les connait. Ou du moins, Erable, Ecureuil et Brise en on une. Je courais à toute allure sous la pluie. Je ne ferais même plus attention à la route et je ne me préoccupais pas de ma destination. Je voulais partir, partir loin de tout, loin des mensonges. Comme par magie, je me stoppa, le pelage trempé, devant la maison de Pistache, mon meilleur ami. D'habitude, même les jours de pluie, il scrute l'horizon, depuis la barrière en bois de son jardin. La maison juste à coté était celle d'Acajou, mais je m'efforçais de ne pas la regarder, je ne voulais plus avoir à faire avec elle.

- Pistache? Tu es là?, aucune réponse. Bizarre, mais pas étonnant. Ses bipèdes ont du l'emmener chez le vétérinaire ou peut-être qu'ils ne veulent pas qu'il sorte aujourd'hui.

J'allais faire demi-tour et reprendre ma course folle dans un autre sens de la ville quand, du coin de l'oeil, je vis un liquide pourpre sur le sol, près de la clôture. En mis rapprochant, je vis avec effroi qu'il s'agissait de sang! Paniqué, je ne savais que faire. Trop de chose étaient arrivés pour aujourd'hui, enfin c'était ce que je croyais. En tournant la tête, je vis une touffe de poils noir et blanc. J'en était sur maintenant. C'était les poils de Pistache! Quelque chose lui est surement arrivé. Je vis aussi des poils roux. En les reniflants, je sentis l'odeur des poubelles et une puanteur atroce. Des chats errants! Ho non....pauvre Pistache, il faut que je lui vienne en aide!

Les chats errants étaient l'une des pires menaces de cette ville. Ils n'aiment personnes et le faisaient savoir, mais ils détestent par dessus tout les chats domestiques, qui pour eux, sont des moins que rien, tout ça parce-qu'ils dépendent des bipèdes. Je me mis à renifler les alentours pour trouver une piste à suivre, mais j'en avais pas besoin. Tout le monde dans cette ville c'est où ce trouve leur repère, dans une petite allée entre deux bâtiments de briques rouges et ou les cartons et poubelles y sont rois.

J'y courut très vite car c'était à l'opposé de la ville, vers les bâtiments des usines. J'avais de la chance. Quand il pleut, les bipèdes n'utilisent pas beaucoup leurs machines. Une aubaine pour moi, car à la vitesse à laquelle j'allais, si une machine passait par la, elle m'écraserait bien comme il faut.

Maintenant, et à bout de force, j'y était bientôt. Il me fallait juste traversé la rue et me rendre dans l'allée. Enfin arrivé, je me cacha derrière un benne à ordure, à l'extérieur de l'allée, tout en calment ma respiration.  De ma cachette, j'entendais deux chats parlés, l'un avait une voix grave et menaçante, et l'autre, une plus petite voix posée.

- Notre accord tiens toujours?, demanda une voix grave.

- Bien sur, lui répondit le jeune matou noir et blanc.

- Alors dit à tes suivants de m'apporter mes guerriers.

Intriqué, je me risqua à jeter un coup d'oeil de ma cachette. Dans la pénombre, aucun chat n'étaient reconnaissable, même Croc, qui avait le pelage noir et blanc, n'était qu'une ombre parmi les autres chats. Il y en avait un peu partout, sur les bennes, à ses cotés, ou même complètement cachés dans des cartons. Mais, ce qui retint mon attention était un grand chat musclé, surement le plus grand que j'ai vue de ma vie. Il se tenait devant Croc, et donc dos à moi.

Au même instant, Croc fit un signe de tête au deux chats près de lui, ses bras droits, surement Bill et Andy. Je me demandait toujours comment Croc, qui avait quelques jours voir mois de plus que lui, pouvait être à la tête d'un petit gang de chats errants.

Andy et Bill partirent avec un groupe de chat vers le fin fond de la ruelle. Quelques minutes plus tard, ils revinrent en poussant violemment par le bout du museau, des jeunes chats. J'essayais tant bien que mal à voir si l'un d'eux était Pistache, mais sans lumière, je ne vis rien.

Le grand matou à la voix rauque parut examiner les nouveaux arrivant. Il se mit à les dévisager un par un, en s'arrêtant devant eux.

- Celui-ci est jeune, robuste et en pleine forme, lui affirma Croc, quand le chat inconnu s'arrêta devant une petite boule recroquevillée.

- Il est faible! cracha -t-il. Il est recourbé comme une tige et ne semble pas avoir plus d'intelligence qu'un moineau. Le matou se stoppa un instant, avant de reprocher sa tête à quelques centimètres des moustaches du petit chat. Comment t'appel-tu?

Le jeune chat leva sa tête avec un lenteur qui fit s'impatienter le plus grand. Ses yeux jaunes brillaient d'horreur dans le noir.

- Je...je me nomme Arlequin, dit-il en bégayant.

- Je suis pose que c'est mieux que rien. A partir de maintenant, tu m'appartiens. Ta vie de jeune chat domestique est fini. A mes cotés, je t'offres l'opportunité d'être quelqu'un, alors ne me déçoit pas, petit.

Le jeune chat laissa tomber une larme, mais personne ne la remarqua. Il n'essaya pas de se défendre devant la masse corpulente qui était en face de lui.

Puis, passant au deuxième chat, la matou puissant, lui complimenta son physique avantageux, mais ne lui dit pas pourquoi. Le troisième, un chat sans poils fit le fit rire, d'un rire moqueur.

- Tu ressembles à un vulgaire rat! Tu n'as pas honte d'être en vie!, lui dit-il sans ménagement. En te privant de tes bipèdes, je leurs ai rendus une fière chandelle.

Sous les remarques du grand chat, le chat rose baissa la tête et se fit le plus petit possible. J'en avait mal au coeur pour lui, mais je ne bougea pas de mon emplacement, attendant de voir la tournure des choses.

- Mais, tout en toi n'est pas que ridicule. Tu es svelte et long sur patte, tu me serviras à quelques choses en fin de compte.

Le chat massif passa une dizaine de chats, en leur faisant à chacun des remarques et des compliments et surtout en les prenants sous sont ailes, pour une raison que j'ignorais. Puis, vint le dernier chat.

- Celui-ci vient d'être fraichement capturé, il s'appel Pistache, l'informa Croc en aiguisant ses griffes sur un bout de métal.

A l'appel du nom de mon ami, je lâcha un hoquet de surprise, qui, par la grâce, n'a pas été entendu. Je tendit la tête et remarqua son collier bleu bien à lui. En toute discrétion, je me faufila derrière la benne suivante, me reprochant un peu plus de la scène.

- Tiens, tu me dis quelque chose jeune chat, aurais-tu eu la chance de me rencontrer autre part? demanda le chat massif.

- Non, je ne crois pas, dit simplement Pistache, la tête levée, malgré son sentiment de peur.

- Un courageux, très bien, conclut le grand chat. Et bien, fit-il en se tournant vers Croc, pour un jeune chat, tu m'épates. Tu as réussis à me débusquer des chats intéressants, et tu es même le chef de ton propre groupe, à ton si jeune âge, je te félicite.

- Merci beaucoup, lui répondit Croc en s'avançant vers lui. Ils partent se soir?

- Non, je reviendrais demain, à l'aube. Et à ce moment la, je te donnerais ton du.

- Disons avant l'aurore? trancha Croc.

- Parfait, je serais présent. En attendant, je veux qu'ils soient prêt pour un long voyage.

Sur ses paroles rauques, le chat massif fit volte-face et prit le chemin du retour au pas. Instinctivement, je me colla contre la paroi de la benne, pour qu'il ne me remarque pas. Quand il arriva à ma distance, je ne vit que deux prunelles jaunes menaçantes, avant qu'il s'en aille au galop.

Je dois intervenir, mais c'est peine perdu maintenant. Il faut que j'appel des renforts et que je reviennes avant l'aube, pensais-je en jetant un ultime coup d'oeil aux chats prisonniers. Ils étaient tous dépités et faisaient peine à voir. Sans plus tarder, je rampa délicatement jusqu'à la sortit de la ruelle, puis me mis à courir jusqu'à ma cabane, même si c'était le dernier endroit ou je voulais me trouver.

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