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#1 (son passé)

Quand j'avais 5 ou 6 ans, je me souviens que mes parents restaient très évasifs quand je leur demandait pour il y avait des gens qui criaient aux portes du palais. Je devais avoir 8 ans quand j'ai appris que ces gens mourraient de faim alors que nous, on mangeait 2 fois trop et qu'il y avait des restes. Ça m'a révolté et c'est la que j'ai commencé à désobéir. Je mangeais que du pain sec et de l'eau, je criais qu'on devais nourrir ces gens, que c'était notre devoir. J'ai même vider les réserves de nourriture du château pour pouvoir les nourrir. J'ai étais autant de fois punie ou battue que j'ai "enfreint" la règle. Mais quand même, ne pas donner à manger au peuple, faut le faire. Il y a un minimum de choses à respecter. Par contre j'ai jamais été bannie. Peut être parce que j'étais princesse.
Mes parents m'ont payés des cours de maintient et de savoir vivre. J'écoutais rien, mes notes étaient pourries alors que ceux de mes frères et soeurs excellentes. C'est grâce à ma grand mère que je n'ai perdu pied. Elle s'appelle Anya. Et elle m'a fait des cours sur les plantes, comment elles fonctionnent, sur le contrôlement des éléments. Je maîtrisais super bien le feu. Grâce à elle, j'ai appris la maîtrise de l'eau et j'ai progressé dans celle de la terre. Un ans plus tard, j'ai voulu apprendre à me battre, à me défendre. Malheureusement, les cours sur le maniement des armes étaient et le sont toujours réservés aux garçons.
Alors pour pouvoir y participer j'ai fait un petit incendie dans l'étable quand il n'y avait personne. Je l'ai fait de sorte quand ne puisse pas deviner que c'était voulu : par magie. Avant j'ai brûlé mes cheveux au carré pour qu'on me les coupe à la garçonne. C'était réussi tout le monde a cru à mon histoire sauf.......le grand chancelant. Il trouvait ça suspicieux que je sois là au moment où l'incendie s'est produit. J'ai dis que j'étais dans la serre quand c'est arrivé et qu'en le voyant j'ai tenté de l'arrêter. Il m'a aussi demandé comment j'avais réussi à l'éteindre. J'ai dis par magie parce que ma grand mère m'a appris à contrôler l'eau. Il m'a interrogé sur comment j'ai réussi à me brûler les cheveux alors que je pouvais éteindre les flammes. Qu'est ce qu'il m'énervait!!! Mais quel besoin il a de se mêler de ça. Bon, j'ai dis que j'étais au centre de l'étable quand c'est arrivé et que je n'ai pas vu les flammes qui arrivaient derrière moi. Et que je n'ai pas réagi assez vite pour les sauves en entier. Il s'apprêta à poser une autre question quand mon père l'interromput et juste pour ça je l'ai remercié dans ma tête car je n'avais plus d'idée de mensonges qu'on peut croire.
La coiffeuse royale m'a arrangé la coiffure pour une plus féminine.
Enfin prête, je vais prendre des vieux vêtement à mon père, je les déchire et les mets dans la cendre pour avoir l'air pauvre.
J'ai fermé la protection de ma chambre à clé et j'ai mis un panneau qui disait que je dormais. Je me changea et cacha ma robe. J'ai préféré ne pas mettre de chaussures ni de chaussettes car c'est plutôt marrant et que ça fait plus pauvre. Je me décoiffa, j'ai mis mes cheveux en bataille et j'ai rajouté de la cendre. Je me suis regardé dans le miroir : on ne pouvais pas me reconnaître. J'ai rajouté un casquette et j'ai fais des trous ainsi que toujours de la cendre.
C'était parfait. Je suis sortie par la fenêtre de ma chambre et suis sortie discrètement par les couloirs et les chemins destinés aux domestiques. Aucun risque de croiser une personne de ma famille.
Il fait plutôt sombre mais il y a quelque torches. Encore une fois ça me révolte comment mes parents traitent leurs inférieurs. Mais il ne faut surtout pas que je m'énerve, je pourrais être repérée.
Je suis partie en repérage : je n'ai jamais quitté le palais alors autant ne pas me perdre. J'ai remarqué qu'il y avait 2 sortes de personnes dans les rues : les mendiants, les pauvres et les gens aisés, riches. C'était horrible surtout quand j'ai vu un mendiant faire tomber une pièce et qu'une personne riche la ramassée en disant :
-Cette pièce est pour moi. Tu la sûrement voler à un honnête marchand.
-Comment osez vous faire ça? Vous devriez avoir honte. Cet homme n'a pas de quoi manger alors que vous vous roulez sur l'or. Et en plus vous lui prenez ce qu'il gagne!!?? Vous me dégoutez!!!
-Et toi sale petit pouilleux, comment ose tu m'adresser la parole?? Je fais ce que je veux et tu n'a pas à te mêler te mes affaires!!!! J'imagine que tes parents vont être contents quand ils vont apprendre que tu m'a manqué de respect.
Évidemment je n'ai pas pu me taire et me voilà dans de beaux draps. Imaginez un peu si mes parents apprenaient ça. Je vois déjà le tableau.
-Euh...Mes parents sont morts alors je vois pas trop comment ils pourraient l'apprendre. Je fais moi aussi ce qui me plaît et ça me plaît de vous embêter.
-Oh!!!!!! Je vais te faire une correction dont tu t'en souviendras mon p'tit gars!!!!!!
-Pour ça il va d'abord falloir l'attraper!!
Et je m'enfuya dans une rue sombre et sale. J'escalada un mur et me te trouve sur un toit. Je le vit en bas qui ce demander où j'avais bien pu passer et juste ça m'a redonné le sourire. Avant de partir du palais j'avais pris une bourse d'écus de bronze. Alors j'en donnis 4 au mendiant. Il me remercia infiniment.
Je rentris au château immédiatement après ses remerciements. Je pris une douche rapide et remis ma robe, mes chaussures et tout le tralala. Je me recoiffa satisfaite ma journée. Je savais maintenant où trouver un maître d'armes. Le lendemain je me suis levée à 4h00 du mat. Ils ne se douteront de rien vu que j'ai l'habitude de me lever à 11h. Je refis mon déguisement et le même chemin. Je demandais au maître que j'avais choisi (maître Guillor) si je pouvais faire ses entraînements. Il m'a demandé combien je pouvais payer par entraînement. J'ai dis environ 6 écus de bronze. Il m'a répondu parfait mais si des fois tu ne peux pas payer je comprendrais, tu me le dis et tu me donnes 3 écus de bronze à la place. C'était vraiment gentil. Mais je me suis trompé....on aurait dit qu'il voulait que nous abandonnions tellement ses parcours étaient durs. Je n'ai pas renoncé. Je pense même qu'à un moment, Guillor a paru satisfait. A la fin j'étais moulu. Je pris une serviette, m'essuya le visage et bu environ un demi litre d'eau. Maître Guillor m'a intercepté quand j'allais partir :
-C'est la première fois que tu t'entraîne?
-Oui maître pourquoi?
-Tu n'as pas abandonné ni voulu avoir l'air fatigué.
-J'aurais dû?
-Ah ah!!!! Non ça m'a juste surpris car d'habitude les nouveaux à leur 1er entraînement veulent abandonner en disant que c'est trop dur. Mais pas toi. Pourquoi?
-Parce qu'en disant que c'est trop dur ça le devient alors que si on se dit qu'on va y arriver ça paraît plus facile. C'est dans la tête que ça se passe
-Bien. Au fait comment tu t'appelles?
-Euh.... Iah
-Il te correspond bien.
-Merci
-Eh bien Iah je suis ravi de t'accueillir parmi nous.
-Merci maître c'est un grand honneur
-Par contre il va falloir m'obéir en tout point. Et avoir un respect pour les autres maîtres ainsi que leurs disciples. Est ce bien clair?
-Oui maître
-Bien. Rentre chez toi. Les cours se dérouleront tous les jours sauf le week end. De 6h00 à 9h30. D'accord?
-Oui
-À demain
-À demain maître.
J'étais trop contente. Mais il va falloir que je me lève beaucoup plus tôt et je le respecte sans lui désobéir.
J'ai suivi ses cours jusqu'à mes 13 ans. J'ai appris à me battre et à avoir de l'agilité. Un jour il m'a même dit que j'étais son meilleur élève. Bien sûr il ne savait pas que j'étais une fille. Ça m'a remplie de joie. J'ai appris à chasser et à me débrouiller en pleine nature. C'était génial. Mais les entraînements ont pris fin le jour où j'étais prête et où il a découvert qui j'étais vraiment. Je n'avais pas coupé les cheveux depuis 2 mois et ils avaient bien poussé.  Je les mettais donc sous ma casquette. Il y avait un gars ( c'est sur j'étais la seule fille) il s'appelait Ménès. Il était pénible, arrogant et fayot. Il ne sourit jamais. Avant que je n'arrive c'était le meilleur. Je l'avais encore battue à un duel. Mon maître allait me remettre la médaille pour mes entraînements, mon respect etc...... mais jaloux, il m'a pris ma casquette, révélant mes cheveux qui tombèrent au carré. Toutes les personnes présentes étaient choquées et surprises. Même Guillor. Mais le plus surpris et le plus choqué restait Ménès.
(M : Ménès, G : Guillor, S : Satya, l'héroïne)
M : Tu...tu es une fille!!!
S : Oui. Ça te surprend par vrai?
M : Ben oui t'étais sensé être un gars
G : Mais... Iah....toi.....une fille!!
S : Oui. Et mon vrai prénom c'est Satya. Je voulais apprendre à me battre et à me défendre mais mes parents n'étaient pas d'accord et je n'avais pas d'autres solutions.
G : Ce n'est pas honnête. Nous as-tu pris pour des imbéciles?
S : Non!!! Jamais!!! Je savais qu'on allait le découvrir un jour mais je le voulais et quand on veut quelque chose on s'en donne les moyens
G : Je vous que vous avez bien retenu mes leçons. Mais vous êtes une fille et vous ne pouvez ni être le...euh...la meilleure du cours ni recevoir la médaille.
S : Ce n'est pas grave maître. J'ai appris et apprendre c'est mieux que de recevoir un objet aussi important soit-il.
G : Bien retourne chez toi et je ne veux plus jamais entendre parler de cette histoire.
M : Le point positif c'est que maintenant c'est moi le meilleur. Adieu et à jamais Iah...euh...Satya.
S : Ravie de ne plus te revoir.
Et je suis partie. Je ne les ai pas revu mais je les remercie car ils m'ont rendu plus forte.
Pendant 2 ans j'ai continué à m'entraîner et à apprendre la maîtrise des éléments et je continue encore aujourd'hui.

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Voilà pour le résumé de son passé. Vous en dites quoi? Soyez un peu indulgent : C'est ma 1ère histoire de fantasy. N'hésitez pas à me dire ce qui va pas car ça fait progresser. J'espère que son histoire va vous plaire. Sinon tant pis j'aurais tenté quelque chose. Bibou. A bientôt.

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