partie 37
L'incompréhension, la peur , le panique, la curiosité totale brouillait les cerveaux de tout le monde. Chacun cherché désespérément le mot adéquat pour essayer de mettre internes à ce silence bien lourd.
Fadilou ne sentant pas sa place dans le salon, se lèva pour sortir mais ndeyah lui tient la main, elle appuie sa force sur la main de fadilou ce dernièr le regarde dans les yeux et Ndeyah l'a supplie du regard de rester à ses côtés.
Ndeye fatou thiam ou clara dior diop qui n'avait rien raté de la scène souris faiblement, un sourire plein de mélancolie , de regret et de remord. Sala se leva part fermé la porte avant de revenir s'assoir. Face aux six paires de yeux qui s'étaient braqués maintenant à sur Clara. Elle comprend qu'elle n'a pas moins d'échapper. En guise de réponse, elle se mit decheref à sangloter. Personne ne tenté de la réconforter. Elle pleure une bonne quinzaine de minutes avant de débarrasser d'un renvers de main ses larmes. Elle se racle la gorge puis prend parole ce que tout le monde attendez.
...《 Très jeûne fille , j'avais quinze ans on était une famille... si je peux l'appeler ainsi modeste. Je vivais avec ma mère et un père très absent que je voyais que deux fois dans le mois. Il venait très rarement à la maison et à chaque fois qu'il le fesait la tension de la maison deviennait insupportable, il disputait avec ma mère nuit et jour , il lui reprochait tout le temps une chose que j'ignorais Et à chaque fois qu'une dispute se déclenche mon père deserte la maison de ce fait je ne profitais pas de lui comme il le faut.
Et à chaque fois qu'il s'en allé ma mère venait dans la chambre pour me cracher son venin. Du coup je ne voulais pas de mon père chez nous. C'est pas parce que je le déteste mais je préfère son absence qu'aux coups. J'étais une jeûne fille malheureuse qui subbisais les assauts de sa mère sans pour autant levé le petit doigt. J'étais traumatisée par la situation familiale.
J'avais une mère très impulsive imbu de sa personne qui s'éclate pour un rien. Je fesais avec en vivant du jour au jour. Je voyais plus mon père, et bizarrement il me manquait, ça devrait faire trois mois qu'il n'est plus venu nous voir ma mère et moi . Et ces trois mois j'ai cru que notre maison était devenue un marché, ma mère recevait tout sorte de personne chaque jour que dieu fesait elle avait de la visite de différente personne. Ce fût une routine pour moi ! Il n'avait plus d'intimider dans notre maison, celà me fesais fais rien du moment que j'avais ma petite vie tranquille. Ce fût une routine jusqu'à mes seize ans .
C'était devenue une habitude , il m'a fallu prendre de l'âge pour savoir que ma mère vendait son corps à ses invités, en quelques sorte elle se prostitué et se droguée. Le jour où je l'ai su ce fut un choc pour moi. Je voulais pas y croire mais la réalité était trop frappante quand j'avais ouvert la porte de la chambre de ma mère et qu'elle était en plein ébats avec un de ces innombrables clients . J'avais laissé échapper un cris strident tellement ce que j'avais sous mes yeux était choquant. Les images me hantent jusqu'à présent. Elle m'avait vu et se leva en vitesse je n'oublierais jamais cette nuit.
Ma mère: qu'est ce que tu fou la clara s'écria t-elle
Je l'a regardé aucun son ne pouvait sortir de ma bouche. Elle continua
Ma mère: imbécile! Je te parle sort d'ici avant que je ne te trouve là-bas continua t-elle toujours en crie
Toujours debout comme une garde rouge, mes jambes refusait d'effectuer un moindre mouvement. Je l'a voyais s'approcher avec le visage réfrogne, elle prend la couette pour se couvrir le corps. Et marche vers la coiffeuse , je l'a suivais sans pour autant savoir ce qu'elle fesait. Elle prend le clop qui était à la table de chevet et l'allume puis se dirigea vers moi mon cerveau tardé à assimiler ce qu'elle comptait faire c'est quand elle prend le bout de la cigarette allumé et qu'elle me l'impregné au coin de l'oeil que j'ai tout capté.
Je criais tellement fort que je ne sentais plus ma voix. Elle neutrise la cigarette au coin de mon oeil jusqu'a ce que ça s'eteigne . J'avais plus de force pour crier ni me débattre. Lorsqu'elle en a eu marre elle me tira vers la sortie et crachat ses mots
Mere: Plus jamais tu n'entre dans chambre, bâtarde! la prochaine fois tu risque de ne pas sortir vivante dit-elle avant de cracher sur moi.
Je l'a voyais s'éloignais , elle entre dans la chambre j'eclate en sanglot. Moi , une bâtarde, bâtarde ces mots raisonnent dans ma tête comme un refrain d'une chanson , des multiples questions viennent s'encombrer dans ma tête. Pourquoi elle est comme ça? Qu'est ce que j'ai bien pu lui faire pour qu'elle se comporte ainsi avec moi? Qu'ais-je fait à dieu pour meriter une tel mère? Où plutôt est-elle ma mère mère tout simplement? Je sache mes questions dans ma tête pour ne pas y pensées .
Depuis ce jour , je ne suis jamais entré dans sa chambre, j'avais peur d'elle je ne l'a reconnaissait plus , je comprend maintenant pourquoi mon père l"enguelait à chaque fois.
Les mois passé et se ressemblé j'avais seize ans et huit mois et j'étais toujours impuissante face à la situation de la maison .
Aujourd'hui J'entendais des bruits ça fesait longtemps qu'il n'y avait pas . Et cette dispute semble être violente. Car des bruits violent provenait de la chambre de ma mère et des voix différentes résonnaient. J'ai dû reconnaître celle de ma mère et de mon père et une autre que je n'arrivais pas à connaître. De nature très curieuse je sors de ma chambre , marche sur la pointe des pieds jusqu'à arriver dans la chambre de ma mère je m'arrête avant de coller mon oreille à la porte pour donner satisfaction à ce dernier. J'entendis la voix de ma mère en premier.
Ma mère: Attend je t'explique entendis- je d'une voix morne
Puis mon père qui cria à haute voix.
Mon père: M' expliquer? Que j'attend que tu me raconte comment se passe tes ébats comme celui-ci. Que t'es une pute qui baise avec tout dakar? Et tout dans ma maison .
Ma mère: Assez! Assez! Qu'est ce que tu veux que je fasse au moment où je t'ai comme mari? Un Sale incapable qui n'est même pas fichu de me donner la vie que je mérite ce que je gère d'ailleurs! Mais me satisfaire au lit , il ne peut pas heureusement dieu à crée personnes qui connaissent la valeur du sexe alors que veut tu que je fasse? Cria t-elle plus fort
Inconnue: comme ça tu as un mari?dit-il avant que j'entends ses pas se diriger dehors pour sortir ce qui n'arrêta pas mon père
Mon père: moi! Tu me traite d'incapable ? Amsatou que n'ais-je pas fait pour toi ? Entendis-je
Il avait adouci sa voix et avait l'aire touché.
Ma mère: figure toi rien! Tu n'a rien fait pour moi tout ce que tu as fait c'est ce que aurait fait un autre homme. Tu n'ose même pas affronté ta femme et l'a dire que tu as double vie
Mon père: d'accord! j'en ai assez entendu, amsatou si tu savais combien je regrette , je me suis sacrifié pour toi ! Trahi ma première femme . Heureusement qu'elle ignore ton existence car elle ne merite pas de connaître des gens de ton espèces . Tu sais s'il y'a une chose que je regrette dans ma vie c'est ce jour où tu m'avait trouvé si j'étais pas aussi naïf on en serait pas là et ma conscience a eu raison sur moi tu n'es qu'une garce cracha t-il nerveux
Ma mère: Ne mêle pas ta conscience dans ça s'il te plaît tout ce qui m'arrive c'est à cause de mon beau père dit-elle blessée
Elle s'assoupie .
Mon père: tu me déçois de plus en plus! L'atome d'estime que j'avais en toi tu viens de l'attacher , manipulatrice et dire que j'ai investi tout mon argent en construisant cette maison je suis en colère contre moi
Ma mère: c'est ton problème j'en ai rien à foutre.
Mon père: pendant tout ce temps que j'étais au village pour travailler afin de vous mettre à l'abris du besoin, pour assurer ton avenir et celui de ma fille toi tu te l'a coulé douce. Mais yalla req moye buur loudoul degue dou yague. Mais dieu est grand, les mensonges ne dure jamais. Tu savais mieux que quiconque ta masque allé tombé, frivole que tu es !
Ma mère: yaye wakh batay deh kagne guay dem. Feula t-elle
Comme la porte n'était pas totalement fermée, je jette un regard et voit Mon père qui se retenait pour la sauté dessus, il serre ses pointe 7, ses mains se tendent au maximum. Ma mère avait le visage pâle d'un coup n'empêche elle a un sourire qu'il gratifié à mon père.
Mon père: je vais partir oui! Mais après t'avoir prononcé mes trois mots amsatou kou wor daw beu rene mou djikk leu dou ioe daniou lako guigne. Sama khol bigua tangual wallay bouleu ko yalla fayoul guay mbeur teh niatel bi moy diamono dina diaye nitt bamou fokk ni lou nieuw bou beumekh diale bobou dafa fekk gua fatei timis diotagoul. P repeta t-il trois fois triste.
Ma mère: enfin ! Maintenant tu peux dit-elle en désignant du doigt la porte.
Mon père: j'amène ma fille avec moi.
On parlé de moi ? Cette fois-ci j'entre dans la chambre.
Ma mère: qui clara? Wouy ma yaye elle rigolait face au visage de mon père elle s'arrêta et continue. Qui te dit que c'est ta fille defia t-elle
Mon père: pardon on parle de clara dior diop ? Ma fille ? Dit il étonné il s'adoucit et continue.. De toute façon ça m'ettonerait pas en tout cas félicitations dit t-il en sortant de la chambre sans un regard derrière arrivé à mon hauteur il me regarde tristement avant de tracer sa route
Une larme perla ma joue , puis deux ,trois coulent abandonnant le long de mes joues.
Mon monde s'écroule, connaître que ton père n'est pas ton père à cet âge? Même si je ne le voyais que très rarement, il restait tout de même mon père. Il était le seul que je connaissais. J'avais plus gout à la vie, les jours , semaines et mois passaient et se rassemblé j'avais perdu la notion du temps. J'avais l'impression que toit était noir dans ma vie , elle se résumait entre la nourriture et ma chambre.
Un jour j'entendais des gémissements dans la chambre de ma mère. Depuis sa dispute elle recevait plus de visite alors pourquoi ces gémissements? Le bruit se fit de plus en plus imposant, ça donnait l'impression d'être des gémissements de douleur. Je me lève en sursaut et sort de ma chambre en flèche pour aller à celle de ma mère.
J'étais pétrifiée face à l'image que j'avais sous mes yeux , elle souffrait ça se voyais. Elle me demanda d'approcher avec une voix faible losqu'elle m'a vu au seuil de la porte. J'étais étonnée face à sa demande. Ma mère même si elle mourait elle ne demande jamais de l'aide, elle est la plus orgueilleuse que la terre a vu naître alors la j'avais bien une raison d'être étonnée.
Je marche à pas hésitant et m'assoie au bord du lit elle me tire et me colle à elle avant d'éclater en sanglot je ne savais plus quoi faire, je me suis mis à la regardé, elle s'arrêta et se couche à mes genoux. Un calme déstabilisant règne à présent dans la chambre. Jusqu'à ma mère le brise.
Ma mère: ma fille , balma Ak * excuse moi * formula t-elle avant de sangloter à nouveau.
Elle s'est remis à pleurer une bonne dizaine de minutes puis efface ses larmes et reprends parole.
Ma mère: tu dois sûrement me haire actuellement, oui ! J'en suis sûr. Mais je te donne largement le droit , c'est très normale même d'ailleurs parce Que rien ne justifie ma brutalité , le traitement que tu reçois de moi, la maltraitance ma fille. Et toutes les choses dont tu es témoin.
Je me demandé bien qu'est ce que j'ai bien lui faire pour meriter tout ce qu'elle me fesait vivre. N'est t-elle pas l'heure de profiter et poser mes questions qui me brûlaient les lèvres? Elle continue
Ma mère: clara quand je te vois j'ai comme l'impression de voire mes intestins, tu me rappele tellement ton père, ne pense pas que sidy soit pas ton père c'est lui!
Moi: alors pourquoi tu lui avait dit que je suis pas sa fille alors?
Ma mère: c'est pour une bonne cause ma fille , je voulais qu'il s'éloigne de nous. C'était le seul moyen.
Moi: pourquoi tu me fesais vivre l'enfer comme si je suis pas ta fille?
Ma mère: parce Que celà m'apaise le coeur te voir souffrir me fait du bien ma fille. Écoute moi je t'explique le pourquoi tu tirera ta conclusion.
Face à mon silence elle continue
Ma mère: ma fille
Moi amsatou hann je n'aurais jamais pensé que je passerais par tant d'épreuves dans ma vie pourtant la vie me paraissait si simple; je nageais dans le bonheur absolu avec mes parents nous formions une petite et belle famille. Mon père, j'étais son petit trésor comme il aimait me le dire si souvent il ne m'a jamais rien refusé il s'est toujours dévoué corps et âmes pour nous afin de nous garantir un avenir meilleur. Il se sacrifier dans son travail et même s'il rentrait tard quelques fois, épuisé et qu'il ne voulait qu'une chose, dormir il trouvait toujours du temps pour jouer avec moi ou me raconter une belle histoire qui me ferait rêvasser jusqu'à l'arrivé de morphe . Je me souviens de nos balades, quand on allait au champ et qu'il me portait sur son dos, nous sourions et rigolions à gorge déployé, notre bonne humeur se sentait à des kilomètres à la ronde et contaminait tout ceux que nous croisions. Je ne me souviens pas l'avoir déjà vu lever main sur moi. Je peux dire qu'il était le père idéal, gentille et attentionné que tout enfant reverai d'avoir. Ma mère, n'en parlons pas c'est la femme la plus gentille et douce que je connaisse elle n'a jamais haussé le ton, elle ne se préoccupait que de notre bonheur même si celui ci était au détriment du sien ce qui lui importait était de nous voir sourire. Notre famille était très soudé mais le bonheur dans lequel nous vivions et que je croyais éternel était en fait éphémère. Je ne m'en suis rendu compte que lorsque ma main toute tremblante se dirigeait vers ce fameux drap blanc qui recouvrait mon défunt père. Mon monde venait de s'écrouler avec lui. Il avait emporté avec lui ma joie de vivre, mon univers, les bras qui me bercée alors que je tentait en vain de m'endormir, mon sourire s'est envolé avec lui. J'ai très mal vécu sa mort. Le jour de ses funérailles alors que je lui tournait dos en compagnie de ma mère avec son voile qui lui couvrait la tête et son air triste qu'elle essayait tant bien que mal à me cacher; ce n'est qu'à cet instant que je me suis vraimen rendu compte qu'il était vraiment parti, il m'a laissé ici toute seule, pourtant il m'avait promis de toujours rester avec moi et que jamais il ne m'abandonnerait mais il a failli à sa promesse. La bonne humeur qui émanait de notre maison et que tout le monde nous enviait avait disparu nous vivions avec le coeur lourd, ma mère était désormais la seule personne qu'il me restait sur ce bas monde et je me devais d'être forte pour elle. Elle a toujours su me conseiller et être là dans les moments durs alors aujourd'hui c'était à mon tour de faire pareille. Petit à petit nous avions finalement ou essayions de réussir à vivre avec. Ma mère avait même recommencé à sourire à mes blagues. Tout se passait pour le mieux mise à part les vas et viens répétitifs de Moussa. Je savais très bien ce qui se tramait même si ma mère ne m'en parlais jamais je n'etais pas dupe au point de ne point me douter de ses intentions envers ma mère. Les doutes furent dissipés le jour où ma mère me convoqua dans sa chambre pour me parler de son futur mariage avec Moussa. Surprise? Non je ne l'étais pas. Au début j'avais des craintes concernant cette relation,j'avais peur qu'il ne m'accepte pas ou qu'il prenne la place de mon père pourtant il avait un visage d'ange rayonnant il était très beau pour son âge et souriait tout le temps. Mais ne dit on pas que les apparences sont trompeuses? Derrière ce beau visage d'ange ce cachait un homme colérique sans scrupule. Le Moussa que je connaissait avant la mariage, qui m'offrait des bonbons et du chocolat avec son fameux sourire n'avait rien à voir avec celui qui était sous les yeux. Il changeait d'humeur chaque 15 secondes, il criait n'importe où et sur n'importe qui sans raison, je me souviens que le soir il revenait la plupart du temps ivre à la maison et depuis ma chambre je l'entendais crier sur ma mère ce qui me fendait le coeur. Étant une femme soumise qui connaît parfaitement la valeur du mariage et voue à son mari un respect incommensurable ma mère n'avait jamais pipe mot. Elle ne racontait jamais ses problèmes de couple même si elle se faisait insulter sous mes yeux jamais elle ne me le dirait elle trouverait toujours une excuse à inventer. Je haissais Moussa, mais ma haine n'était rien comparé à ce que j'eprouvais le jour ou il m'a violé, moi la fille de sa femme, celle qui devrait être comme sa propre fille il a osé me violer... il m'a privé de mon innonce... il ne sait même pas à quel point il me répugne, il me dégoûte au plus au point. J'aurais voulu me confier, le dire à ma mère pour qu' elle sache avec quel genre d'homme elle s'était marié...mais cela m'étais impossible comment allez dire à ma mère, mon sang que cet idiot de lunatique doublé de violeur m'avait ôté mon innoncence moi sa fille, c'est sur qu'elle ne s'en remettrait pas. Je connais assez bien ma mère pour savoir à quel point elle est sensible. Je me suis donc tu, elle avait déjà assez de problèmes pour que j'en rajoute. Dès lors j'était devenue son jouet sexuel favori, il abusait de moi qu'en bon lui semble que ce soit en pleine journée ou tard dans la nuit il assouvissait ses besoins en moi. Je souffrais en silence, hélas je ne pouvais me confier n'ayant pas d'amis ma mère a toujours été ma confidente, et aujourd'hui il m'est tout bonnement impossible de lui dire tout ce que je ressens,comment pourrais je ? Il s'agit quand même de son mari après tout et que ressentirais une mère en sachant que son mari viol perpétuellement sa fille à son insu? Non je ne peux pas, elle souffrirais bien trop si elle venait un jour à connaître la vérité. Je préfère lui priver une telle chose et souffrir à sa place. Les études était mon seul échappatoire, je m'y vouais corps et âmes pour publier ne serais ce qu'en une fraction de seconde tout mon ressentit. Je me sentais sale et incapable, j'étais impuissante et personne ne me comprenais. Il m'arrivait dès fois de parler seul certains me taxaient même de folle. Je même voulu m'enfuir loin de cette homme qui a gâché mon existence à tout jamais mais cette idée est directement chassé hors de ma tête en pensant à ma pauvre mère, je ne suis quand même pas égoïste au point de l'abandonner aux mains de ce fou. La nuit je ne peux m'empêcher de penser à mon pauvre père tout aurais été si différent s'il était encore parmi nous. Ahhh que ne donnerais je pas pour que tout ceci ne soit qu'un cauchemar et que je me réveille dans les bras de mon père. Mais malheureusement la réalité à eu raison de moi. Et me voilà dans cete triste vie qu'es la mienne. Un bon jour mon beau père m'avait interdit d'aller à l'école car pour lui la place d'une fille n'est pas à l'école , ma mère disait niet , c'était la première fois qu'elle tenait tête à mon beau père et ça lui a coûté très chère elle s'en est sorti méconnaissable. C'est ainsi que mes rêves de devenir styliste se sont envolé, les jours continué j'orner la maison et devenait la pute de mon beau père, c'était devenu une drogue pour moi, je me surprenais d'en réclamer oui! Moi amsatou j'harcelé mon beau père pour qu'il me baise. Un jour il en a fait part à ma mère, cette dernière ni avait pas cru, elle chassa mon beau père à la maison avant de demander le divorce. J'étais un peu soulagé mais à l'idée de ne plus le faire avec lui m'était impossible, ne pouvait pas me passé de lui. Je commençais à aller dehors pour chercher ce qu'il me manquait. C'est à dire les hommes c'est pas parce que je suis mauvaise mais je ne pouvais ne pas m'y faire et personne n'était à ma place pour me comprendre. Qui peut me comprendre d'ailleurs? Une drogue connaissez-vous ce que ça fait de ne pas en prendre si on est habitué? Sûrement non? Alors j'allais dehors un jour je suis tombé sur ton père qui revenait de son champ , je l'ai pris et le viole si on peut l'appeler ainsi. Il avait voulu arrêté car il disait avoir une femme et trompait sa femme n'est pas lui. Il s'éloignait de moi et moi je me rapproché dangereusement jusqu'à ce qu'on recommence encore et encore ce qui dura trois mois. J'ai commencé à avoir des vertiges, vomissait tout les signes qui lie à la grossesse et c'est pendant ces moments que la peur m'est monté. J'en est parlé avec ma mère , elle m'a insulté, renié avant de mettre dehors, elle n'y a pas crû, on est allé voir un médecin il nous affirma la grossesse. Ma mère me demanda l'auteur je lui dit et aussi le premier qui est passé. C'est à dire Moussa. elle m'a accusé sans me comprendre mais je ne l'a blâme pas étant à sa place je comprend parfaitement sa réaction. Maintenant j'étais livrée à tout le village j'en est parlé avec l'auteur c'est à dire ton père il m'a soutenu et m'amène à dakar pour m'éviter d'éventuelle jugements. J'y est vécu ma grossesse avec difficulté, il a essayé de me remettre avec ma mère. Cette dernière m'avait déjà pardonné, elle attendait que j'accouche pour qu'elle vienne me récupéré pendant ce temps ton père, il subvenait à mes moindres besoin jusqu'à mon accouchement, une fille est née et c'est toi , mais ta naissance avait apporté ma mère, elle est morte, elle morte en ayant une dent forte contre Moi, j'ai mal vécu sa mort , c'était une étape très difficile c'est grâce à ton père que j'ai surmonté. Je te détesté car je disais que c'est grâce à toi que ma mère est morte , alors tu ne bénéficiera pas de l'amour d'une mère j'étais égoïste de mettre tout dans ton dos. tu me rappeler terriblement mes erreurs, je t'en voulait de naître et ton père qui commencé à me délaisser à cause de sa première femme qui lui à donné des jumelles. Il avait d'autre préoccupation de ce fait il vient ici que deux fois dans le mois il refusait de me toucher disant que je suis pas sa femme. Il est un père model mais j'ai pas ténu à l'opportunité que j'avais. Je me suis rendu trop tard que l'on se rencontre de l'importance d'une personne que lorsqu'on l'a perd. Mon manque de sexe me poussait à recevoir des personnes qui pourront me satisfaire et me voilà tout perdre souffrant d'une overdose de drogue et sur le point de mourir ma fille je te demande pardon , j'ai fait d'énorme d'erreur dans ma vie . Essaye de faire du bien autour de toi et va retrouvé ton père au village c'est là-bas ta place. D'après les diagnostics des medecins il me reste moins de 72h à vivre termina t-elle faiblement
Tout au long de son monologue, j'avais le corps en compote et tremblé non seulement de colère pour ce pédophile de Moussa mais aussi pour l'égoïsme de ma mère. Je l'a voit se levé avec beaucoup de peine et marche vers l'armoire elle en sort une boîte. Puis revient s'assoir au lit , elle ouvre la boîte et me montre des photos y'avait celle de mon père et de son beau père , de sa mère. Y'avait aussi une adresse de son village et une enveloppe de cinq millions qu'elle me tenda.
C'était trop d'information, ma tête tardait à tout recevoir, j'ai comme l'impression que la terre tourne à une vitesse maximale. Alors ma mère a vécu tout ces atrocités? les caprices du destin et sa force ne l'ont pas épargné? Moi qui croyais être la seul à souffrir alors elle fesait en silence? elle n'est qu'en partie une victime même si elle a fait de mauvais choix très mauvaise même.
Sa vie ou plutôt était gâché à cause d'une personne, s'il mérite même ce titre vu ce qu'il a fait il mérite tout sauf d'être appelé ainsi. Je le hais de toute mes forces sans le connaître et je me vengerais de lui oui . Je me vengerais je lui rendrait coup sur coup, je n'epargnerais personne car j'ecraiserais tout le monde.
J'étais comme possédé, je voulais me rebelle montré que nous ne sommes pas faible . J'étais dote d'une force qui m'est inconnue je voulais expurger cette rage, depuis tout petite tout les malheurs que je subissent c'est à cause de cet enfoire , une haine incommensurable m'envahit tant que je serais sur terre il payera ainsi que tous son entourage. Actuellement la survie de ma mère reste ma priorité, après son récit très poignants elle était faible je l'amène à l'hôpital à l'aide de notre voisin une fois à l'hôpital les docteurs nous informe qu'elle n'a aucune chance de survie. Et qu'elle est en réanimation. Je voulais qu'elle se révèle et qu'elle observe ce que sa fille fera pour elle ce que sa fille fera vivre à l'auteur de leur malheur, ma mère malgré ses aires hautaine un lourd passé se repose sur ses épaules.
Les jours passaient je fesais la navette entre l'hôpital et la maison . Aujourd'hui mon monde s'est écroulé quand le médecin m'affirma que ma mère n'est plus. J'étais comme déconnecté, une boule s'est installé dans ma gorge et refusait de la quitter . J'ai voulu crié mais j'étais dépourvu de force. La nouvelle fut terrible pour moi, à 17ans j'ai subit une perte. J'ai fait le deuil et me promis d'honnerer ma mère en fesant payé son violeur de beau père. Je mets mon plan en marche et me dirige au village de ma mère.
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Une très longue partie j'ai voulu tout mettre mais ça risque d'être longue encore.
Vos impressions
[4878 mots]
Momo-chro❤
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